Branlette à répétition en mode "I'll be back"... tu l'as pas dans ta liste celle-ci, Sunstone ! (et quelle liste wouha, chapeau bas les artistes, un travail monstrueux, vous êtes pas rester à rien branler pendant ce temps-là en tout cas )

Dernière modification par Slaanesh (Le 22-02-2023 à 23h47)

WetDreamCatcher :

Slaanesh :

Branlette à répétition en mode "I'll be back"... tu l'as pas dans ta liste celle-ci  !

Aaah... Slaanesh ! Je me disais aussi... Un topic pareil et il n'est pas là... ?! 😜

Wedreca !!!!!!

Alors de une, qu'est-ce que je dois comprendre sur le "un topic pareil et il est pas là?!" ( d'ailleurs la double ponctuation, t'as pas un doute là? )

De deux, "Aaah... Slaanesh !"... visiblement je te manquait

Une branlette à la marseillaise, avec du caractère, pas niaise !

À titre personnel la branlette compose la majeure partie de ma sexualité, cette information est personnelle, délicate parfois, mais assumée. Toute utilisation de cette dernière à des fins de harcèlement de ma personne serait donc vouée à l'échec et ferait montre à la fois d'une imagination médiocre et d'une scélératesse turpide. Sans compter l'indigne offense qui serait ainsi faîte à l'énorme proportion de damoiseau qui se contente de leur battoir. Parenthèse fermée.

Pour ma part disais-je, j'ai donc développé tout un art de la palisse, de la paluche, de la masturbation. Déjà la position de la main, je ne rentrerai pas dans les détails, mais j'ai pu constater que j'avais une certaine originalité : mes doigts s'alignent sur tout la longueur de mon sexe, comme une pince, et viennent s'y enrouler ou le presser avec d'innombrables variations. Le gland lui vient se caler parfois sur le filament de peau entre l'index et le pouce, ou s'écraser contre la paume de la main. Ceci ajoute pour moi moultes sensation et une simple poigne ne me permet même plus de bander.

Ensuite quand je me prélasse, impossible de rester figé assis sur une chaise. Il me faut du temps, du confort, de l'intimité. Plus l'excitation monte moins je supporte mes vêtements, et il est presque impossible que je ne les jette pas aux quatre coins de ma chambre, ensuite j'aime à m'allonger, sentir mes coussins ou mes draps sur mon corps, mes tétons, mes cuisses, mes muscles.

Finalement j'aime prendre mon temps, ralentir le rythme, essayer de plier mon sexe entre mes doigts au maximum de sa rigueur, effleurant ainsi ces limites et coupant quelques instants l'afflux de sang, titiller le frein ou masser mes testicules. J'aime plier mon auriculaire sous ma paume pour réduire l'envergure de ma poigne et faire frotter l'angle de mes phalanges contre mes veines phalliques. J'aime les variations de rythme, de pression. La frustration prends un rôle important et je peux me retenir de jouir des dizaines de minutes.

Avec une moyenne de trente minutes mes branlettes sont plutôt chronophage, j'ai le temps d'apprécier différents contenus : le premier est ma propre imagination que je titille sans cesse : je rédige parfois mes scénarii en histoire publiées ici et là, la majorité traînent sous forme de synopsis dans les note de mon téléphone. Parfois je lis des manwas érotiques, sorte de BD crues plutôt lentes et parfois intéressantes. Des fois je regarde des GIF sur un autre site, ou des vidéos enregistrées. Des fois des conversations par messages interposés ou même des post Instagram peuvent attiser mon appétit sexuel. Alors je feuillette les pages de contenus divers et variés et bien souvent je finis par trouver ce qui me plais : une planche toute en suggestion ou un regard/sourire capturé dans une image/vidéo jouée en boucle, un vêtement qui laisse transparaître la courbe de seins, une situation si osée qu'elle en titille ma convoitise. Et paf, de longs mouvements, des doigts qui se serrent plus forts, qui peinent à continuer leurs trajets le long de ma verge et c'est fini, je jouis à flot.

Souvent dans ce dernier acte je m'imagine dans une bouche, entre des lèvres, ou avec un corps par dessus le mien, aussi proche que possible tout collé contre le mien. Et je caresse mes bras en rêvant de caresse avant de me lever et d'entamer ma journée ou de serrer mon oreiller dans mes bras pour rejoindre Morphée.