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auplaisirdetous
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22-08-2017
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L'histoire «Histoires d'un mâle alpha (50)» a été publiée. N'hésitez pas à en discuter ici !

Extrait :
Je me lève, embrasse Manon et viens m'asseoir à côté d'Isabelle. Je me glisse tout contre elle, passe mon bras autour d'elle, et l'attire à moi. Je l'embrasse, ma langue s'enroule sur la sienne. On se roule de grosses pelles. Elle gémit, moi aussi. Je sens sa main qui se pose sur mon torse. Je la pr...

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FrenchAngelique
Membre
30-10-2015
41 Messages
Genre : Femme
Age : 32 ans
Lieu: Pays de la Loire

Bonjour, cela fait un moment que je suis cette histoire ainsi que la précédente, qui n'a toujours pas trouvée de fin il me semble?

En ce qui concerne cette histoire, je te sens bien plus inspiré, prendre le point de vue de la personne dominante te donne plus de libertés d'écriture.

Ces 50 chapitres présentent certaines qualités, tu prends parfois le temps de réaliser plusieurs péripéties avant le passage à l'acte, et pour Manon, puis Charlotte, pris le temps de créer des hésitations et réticencese qui les rendent plus réalistes, et le passage a l'acte bien plus appréciable.

Là ou je continue à avoir du mal malgrès tout reste dans le traitement binaire de tes personnages, qui empêche pour le lecteur de sentir un risque, une tension scénaristique. Je m'explique : ton personnage principale est un Gary Stu , comme il est le mâle "Alpha", il est parfait à tout point de vue, il est riche, fort, beau, intelligent. il est "Alpha", donc une femme le vois et mouille pour lui et succombe, pour la plupart , sans aucun conflit interne. C'est la version masculine d'une Mary-Stu, un personnage trop parfait, et donc du coup pour lequel on sait qu'il ou elle réussira tout dès le début. Donc pas d'enjeux, et il est paradoxalement plus difficile , pour ma part, de ressentir de l'empathie pour ce personnage.

Un mâle dominant a des défauts, on est capable de les voirs. Que ce soit colérique, jaloux , ou au contraire si froid qu'on a du mal a se sentir aimée sentimentalement. cela fait partie de ce qui fait d'eux des "Alpha" : malgrès leur défaut frustrant, on n'arrive pas à arrêter la relation.

Et non, ce n'est pas parcequ'ils sont beau, fort, bon baiseurs, que l'on oublie nos barrières morales. Etre avec un tel type d'homme est un conflit emotionnel permanent pour l'amante ou la conjointe. Ce conflit les excite, car il souligne leur pouvoir, ils en jouent. Tu avais commeencé à le mettre en valeur avec manon , ce qui était très appréciable, dans les premiers chapitres. Et avec Isabelle également, ce qui a rendu ce dernier chapitre très appréciable. Mais ce n'est pas parcequ'on fini par coucher avec qu'on est soudainement "totalement a l'aise" avec la situation, elle continue de nous géner, pour la compagne cocue, la rabaisser et l'humilier, mais c'est le desir de l'autre qui l'emporte et l'excitation involontaiare de le voir avec une autre, ainsi qu'une certaine fierté que les "autres" cèdent au charmes de l'homme qui, au bout du compte, reste "le notre", ce qui paradoxalement , vu qu'il peut aller voir une autre, nous donne un sentiment d'insécurité, nous donnee besoin de le sentir sensible à notre charme, nous donne envie plus souvent de lui, de sa présence, et de lui faire plaisir.

Si cela peut t'aider à concevoir la mentalité féminine daans ce type de relation, il faut prendre en compte le lien étroit qu'on a pour ma grande majorité d'entre nous, entre honte et désir sexuelle. Egalement, lorsque les femmes ont attendu tellement ce "mâle" et que tu décris le passage a l'acte, il semble être secondaire au récit : "je la baise, je claque son cul, elle joui, fin de l'acte" . Je grossis le trait mais c'est le ressentie. il se passe plus de chose pour une femme dans ce moment si intime, la passion, l'intimité, la situaation qui l'a amenée la qui fait surface dans notre esprit, la sensation que notre corps ne nous reponds plus, l'animal , l'instinctif prenaant le dessus. Un mâle alpha qui prend une "femme", c'est un peut comme sentir qu'on perds la raison, que l'on devient peu a peu une "femelle" a chaque coup de bassin, que l'on succombe, que l'on devient sienne. C'est un jeu de pouvoir, on commence par jouer du bassin en coeur avec lui , pour au final se retrouvé conquise, domptée, obeissant à ses coups de bassin , le laissant totalement maitre de ce moment intime.

De nombreuses critiques, mais si je prend le temps de les développer, c'est parceque ce récit de 50 chapitres dans leequelle tu t'investie passionnement , au rythme d'un chapitre tout les deux ou trois jours m'interessee et reste prométteur, et je ne souhaite pas le voir s'arrêter en cours de route.

Cordialement

Dernière modification par FrenchAngelique (Le 22-04-2019 à 13h54)

mrpado
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27-03-2013
19 Messages
Genre : Homme
Age : 45 ans
Lieu: rennes,Bretagne,

Bonjour ,
Si je puis me permets, à quand la suite, car au vu de la régularité avec laquelle tu publiais les différents chapitres de ce récit prolifique, cette longue pause commence à se faire sentir.
Cordialement


VENI,VIDI,FUTUI

quisquis amat valeat, pereat qui nescit amare,
bis tanto pereat quisquis amare vetat !
(Longue vie à qui aime, périsse qui ne sait pas aimer, périsse donc deux fois qui empêche d’aimer.)