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X + Y et Y + Y

Chapitre 1

Divers
X + Y et Y + Y etc.
Quel drôle de titre me direz-vous ?Je n’ai rien trouvé de mieux pour cette histoire...
Quand j’entrais dans l’adolescence, ma mère est décédée dans un accident de voiture...mon père et moi, nous nous sommes trouvés désemparés et aussi dur que cela ait pu être, nous avons décidé de tourner la page.
Mon père Alain est employé par une multinationale qui a des agences en Afrique et en Asie aussi, il a pu avoir une mutation au Sénégal afin d’y redynamiser les exportations de bois vers la Métropole.Au cours des premiers mois, je ne l’ai pas vu beaucoup, car il passait de longues heures au bureau ou allait sur les chantiers d’abattage en avion ou en hélicoptère...mais son prédécesseur avait embauché une nounou qui s’occupait de l’immense villa et de moi...
Je menais une existence paisible entre le lycée et de nombreux voyages en France à chaque vacance...J’avais une bande de copains et copines qui venaient assez souvent profiter de la piscine de la villa...
Les années passaient et j’étais devenue une jeune fille attrayante (aux dires des unes et des autres), mais je restais sage malgré les tentatives d’approche d’un garçon en particulier...Il était sympa, mais je me trouvais trop jeune pour me livrer à lui...et comme mon inclination me portait plutôt vers les filles...je ne savais pas trop quoi faire en matière de sexe...
Oh ! N’allez pas croire que j’étais sage...Comme beaucoup, je me masturbais sous la douche ou dans mon lit...J’étais désormais une grande jeune fille aux cheveux noirs et lisses, j’avais un visage ovale avec de grands yeux marron, un nez droit et une bouche aux lèvres minces : banale ! Mon corps avait pris quelques formes, mais ma poitrine restait menue (85 B) à mon grand désespoir quand je la comparais à celles des natives qui étaient bien pourvues...

L’année du bac, j’étais retournée en France pour les vacances de printemps pour voir différents membres de la famille et faire des achats de choses que je ne trouvais pas à Abidjan.
Lors du vol de retour, je me trouvais à côté d’une femme noire d’une beauté à couper le souffle...Elle n’avait rien à voir avec les ‘doudous’ qui palabrent sans cesse sur les trottoirs. Je lui donnais aux environs de la quarantaine (mais c’est assez difficile de donner un âge...) et nous avons fait connaissance et bavardé longuement si bien, que je n’ai pas vu le temps passer...En fait, Adiouma (c’était son prénom) connaissait vaguement mon père...Elle travaillait à la capitainerie du port et c’est là qu’elle l’avait aperçu plus d’une fois lors des chargements de bois vers le port du Havre...
Lorsque j’ai parlé d’Adiouma à mon père, il m’a dit qu’il l’avait rencontrée dans le cadre de son activité professionnelle et qu’effectivement c’était une jolie femme !
— Puisque nous nous sommes liées d’amitié dans l’avion, pourquoi ne l’inviterais-tu pas un de ces week-ends ? Je sais qu’elle s’ennuie un peu...elle est seule comme toi avec une fille de mon âge !— Pourquoi pas ? Je lui téléphonerai un de ces jours...En attendant, tu as ton bac à préparer !— Oui...je vais y penser.

Quelques jours plus tard, mon père m’annonçait la visite d’Adiouma pour le samedi suivant...Elle viendrait avec sa fille qui avait sensiblement mon âge (mais cela, je le savais déjà...tout comme je savais aussi qu’Adiouma était mère célibataire...).
J’imaginais déjà que mon père et Adiouma allaient s’entendre...N’étais-je pas issue d’une mère déjà métissée d’origine asiatique ?Je savais que mon père serait sensible à la beauté de cette Sénégalaise à la silhouette longiligne et ondoyante...mais avec ce qu’il fallait aux bons endroits...Etant bisexuelle, je savais apprécier une jolie femme...Ma compagne de voyage était effectivement une TRES jolie femme, grande et élancée, elle avait un visage très expressif, avec de grands yeux marron ornés de longs cils recourbés...son nez était très légèrement épaté et sa bouche n’avait pas un caractère négroïde prononcé. Pour autant que j’aie pu en juger, elle avait une jolie poitrine bien galbée et ses hanches un peu pleines s’étalaient sous une taille fine...

J’attendais le samedi après-midi avec une certaine impatience...Adiouma m’avait parlé de sa fille Carole qui était un peu plus âgée que moi et de ses origines...N’avait-elle pas été séduite par un Européen qui s’était empressé de la larguer quand il avait appris qu’il avait engrossé une fille à peine majeure ? Elle avait ajouté avec un brin de tristesse qu’il était courant que les expats’ (mariés le plus souvent...) aient une maîtresse autochtone !Carole serait un peu un dérivatif à mes copains et copines du lycée qui pour certains, recherchaient mon amitié pour profiter de la piscine...Agée de 22ans, Carole serait un peu une grande sœur pour moi ! J’avais hâte de faire sa connaissance !

Le samedi après-midi, à l’heure dite, je voyais un petit 4X4 japonais s’arrêter dans la cour à côté du Range Rover de la société...Je guettais cette arrivée depuis la terrasse et j’ai vu mon père se précipiter à la rencontre d’Adiouma et de sa fille. De loin, je l’ai entendu dire :
— Entrez vite...à l’intérieur, il y a la clim !
Je n’avais pas entendu ses paroles de bienvenue, mais mon attention s’était portée sur Carole ! Elle avait la même silhouette que sa mère, mais en plus fine; et malgré des traces négroïdes, elle était pratiquement blanche (Ah...les gênes...) !
Notre ‘doudou’ avait bien fait les choses...elle avait préparé beaucoup de plateaux avec des en-cas solides, et je savais qu’elle eût mis dans le réfrigérateur diverses boissons alcoolisées ou non, dans lesquelles nous pourrions puiser en fonction de nos envies.
Le courant est bien passé entre Adiouma et mon père...D’anecdotes en souvenirs, bientôt, ce furent de grands éclats de rire...De mon côté, je découvrais Carole, une fille intelligente, mais horriblement complexée : la couleur ambrée de sa peau et ses origines négroïdes l’avaient toujours tenue à l’écart de la bonne société d’Abidjan : elle n’était pas acceptée par les natives et ne trouvait pas sa place parmi les expats qui étaient nombreux...
Moi, cela ne me gênait pas ! J’avais un quart de sang asiatique dans les veines et mon visage ne trompait personne : les yeux en amande, les pommettes un peu aplaties comme mon nez étaient typiquement d’origine extrême orientale. Parlant couramment plusieurs langues, elle travaillait comme hôtesse à l’aéroport international Félix-Houphouët-Boigny.

Avec Carole, nous étions faites pour nous entendre, et après cet après-midi suivi d’une soirée devant le feu à l’âtre (les nuits sont fraîches sous les Tropiques...), nous nous sommes promis de nous revoir...De rencontre en rencontre, nous sommes devenues très proches, partageant les mêmes goûts, les mêmes délires...Le bac en poche, j’ai commencé à chercher du travail, mais c’est Carole qui m’a propulsée et fait embaucher avec elle à l’aéroport local. Je savais que cela serait provisoire, car à terme, je devrais revenir en Métropole pour faire mes études supérieures.

Un soir, nous avions terminé notre journée ensemble, et j’ai invité Carole à passer le reste de la soirée à la maison, et éventuellement, la nuit, car le lendemain, samedi, nous ne bossions pas...Chacune dans une voiture, nous avons fait la route jusqu’à la maison...Nous sommes montées dans ma chambre, et Carole m’a demandée si elle pouvait prendre une douche, elle se sentait sale...moi aussi d’ailleurs...la journée de boulot nous avait épuisées...
— Si tu veux ! Il n’y a pas de problème !— Et si l’on prenait la douche ensemble ?— Tu crois ?— Si...j’ai envie de te découvrir complètement ! Ton corps me fait envie !— Le tien aussi !
C’est ainsi que nous nous sommes retrouvées toutes les deux, dans la grande cabine de douches...et vous devinez ce qui s’est passé !
Carole était, ce qu’il est convenu d’appeler, une belle plante...juste un peu plus grande que moi (elle devait mesurer aux environs d’un mètre soixante-quinze), son visage, ovale avec de grands yeux marron rieurs, était agréable à regarder...ses lèvres pulpeuses me faisaient envie depuis que je l’avais rencontrée la première fois, parfois, je m’arrangeais pour les frôler, mais je ne voulais pas l’effaroucher, car je ne savais pas encore comment elle recevrait ce témoignage...Lorsqu’elle a fait sauter l’agrafe de son soutien-gorge rose, ses seins me sont apparus, ronds et haut placés, sur son buste...Waouh...qu’ils étaient beaux ! Tout de suite, j’enviais Carole, car mes seins étaient loin d’être aussi développés que les siens...J’ai pris Carole dans mes bras et je me suis inclinée pour venir embrasser ses seins, j’ai fait rouler ses pointes entre mes dents...et là, j’ai eu la surprise quand dans un soupir, Carole a avoué :
— Enfin...depuis le temps que j’attends cela !— Tu m’avais devinée ?— Oui...je sentais depuis le premier jour une adepte des amours de Lesbos...— Prenons rapidement notre douche et allons sur le lit !— Oooouuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !
Moins de dix minutes plus tard, nous tombions sur le lit, bras et jambes emmêlées, nous embrassant à bouche que veux-tu...Tantôt Carole me dominait, tantôt c’est moi qui avais le dessus...Nos baisers étaient de plus en plus torrides, nos pubis frottaient l’un contre l’autre jusqu’à ce que Carole se mette en 69 au-dessus de moi et commence un cunnilingus très savant...sa langue agile ne cessait de titiller mon bourgeon et de tenter des intrusions dans mon vagin...mes lèvres intimes étaient inondées...je le sentais ! Et la jouissance nous a emportées pour la première fois ! Il n’y avait pas d’amour entre nous...juste le besoin d’assouvir une pulsion sexuelle que nous avait précipitée dans les bras l’une de l’autre.
Cette nuit-là, la chambre d’amis n’a pas servi...J’ai passé une nuit comme je n’en avais pas connu depuis longtemps dans les bras de Carole. Et au matin, nous nous sommes aimées une nouvelle fois, avec plus de douceur que la veille...Ce que nous avions découvert nous ouvrait des portes insoupçonnées : j’avais une amie qui aimait les femmes...
Après une nouvelle douche prise ensemble, nous sommes descendues à l’office où nous savions trouver tout le nécessaire pour un petit-déjeuner tardif, mais reconstituant. Et là, alors que nous étions attablées toutes les deux, nous avons eu la surprise de voir arriver mon père en bermuda et T-shirt accompagné d’Adiouma, enroulée dans une immense sortie de bain...
— Oh...mon Papounet...je savais que cela arriverait ! Tu as de la chance...et moi, j’ai le bonheur de rencontrer Carole avec qui je partage beaucoup de choses !
Mon père a alors répondu :
— Mais c’est parfait...Adiouma a accepté de me suivre après notre soirée au restaurant et en boîte de nuit...Nous avons bien vu les deux voitures, mais elle a fait semblant de ne pas reconnaître celle de sa fille !
Le petit-déjeuner s’est poursuivi à quatre...Deux couples pleins d’amour et de tendresse dont les yeux et les mains se cherchaient...Telle est la signification du titre !
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