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été 87

Chapitre 1

Inceste
... c’est un embouteillage monstrueux au péage de Montauban, fallait s’en douter, on est la mi-juillet, on crève de chaud et ma mère n’arrête pas de taper sur le volant, et de jurer comme un charretier comme si ça pouvait faire avancer plus vite. Je n’ose pas trop lui faire de remarque, elle me mettrait une baffe, et à 13ans, prendre une baffe par sa mère c’est pas cool. Et puis de toute façon, elle m’énerve tout le temps car ça-ne-va-ja-mais... toujours à me crier dessus, fais pas ci. . . fais pas ça, etc... bon ok mon père s’est barré avec une pouf comme elle dit, j’y peux quoi moi... Et puis y’a longtemps, elle aurait dû se calmer depuis, mais non, putain ça lui passera jamais. En plus, je la trouve moche, enfin pas jolie-jolie quoi comme les mères de certains potes, blondes, ou avec des mèches... et des yeux bleus aussi, c’est mieux. J’aurais bien aimé avoir une mère blonde avec des mèches, tant pis elle est brune, mais alors très brune, assez petite, enfin je suis presque aussi grand qu’elle, et avec des yeux marrons évidemment... Arnaud, mon meilleur pote me dit qu’elle a du style et que si on la regarde bien, elle est super, mais que bon, comme elle a toujours l’air en colère ça la rend moins jolie. Ce n’est pas con comme explication, mais il a presque 15 ans lui et rentre en 1ere littéraire, alors il me gonfle un peu avec ses grandes phrases. Maman tu m’énerves à taper sur ton volant, putain y fait chaud mais ce qui m’énerve encore plus c’est que je ne sais pas pourquoi depuis un moment je ne peux pas détacher mon regard des tes cuisses nues, jupe courte, remontée à fond. Je trouve que tes cuisses sont pas si mal, un peu blanches,... et puis tu sens bon, malgré la chaleur, ça j’aime bien, et puis aussi j’aperçois ton sein qui tressaute chaque fois que tu t’agites, le gauche, je le distingue bien dans l’ouverture de ta robe, putain t’as un soutif mini-mini alors et je ne pensais pas que tes nibards étaient si gros en fait, pourtant Arnaud me l’avait dit ce con, il croyait que je t’avais déjà vue à poil, enfin pas à poil à poil juste les seins, mais non jamais, d’ailleurs je m’en fous. J’essaie juste de penser à toutes les filles de mon âge, pas les vieilles comme toi, on est bien d’accord, que je vais pouvoir mater sur la plage, si on y arrive un jour. C’est con à dire, je suis en train de bander pour ma mère, c’est dégueulasse comme plan, la honte à mort mais j’arrive pas à chasser cette image, putain je me branlerais presque dans la bagnole, d’ailleurs si je glissais discret ma main dans ma poche et que... non ça se verrait trop, vivement ce soir dans mon lit peinard, je m’en ferais 3 ou 4 de suite. La honte. Alors la BX que papy était si fier de nous prêter pour les vacances n’a pas supporté la chaleur, elle a fumé sous le capot, et un camion plateau est venu à grand mal nous chercher... L’assistance devait nous trouver un hôtel, on a attendu 2 heures au garage, taxi et hop une petite chambre avec un lit pas très grand, mais bon une douche, ha une douche. Tu en sors, juste enroulée dans la serviette, courte la serviette. Tu me dis essuie moi dans le dos mon minou, putain d’habitude je n’aime pas ça quand tu dis mon minou, mais là si, et en plus y’a personne qui entendra. Je t’essuie un peu les épaules, tu sens frais, super bon, les cheveux mouillés. Ca me fait de l’effet de te toucher la peau, et hop un petit bisou dans le cou, et un autre, je sais pas ce qui m’arrive moi, faut que j’aille me doucher, me toucher aussi, tu parles j’avais tellement envie, une trique de fou que je lâche tout, tout de suite, quel con, et puis j’ai eu peur que tu rentres, y’a pas de verrou à la salle de bain... mais putain même encore aujourd’hui je me souviens que c’est l’image de tes cuisses, et puis peut être un peu de ton sein qui m’est venue quand j’ai giclé... enfin c’est fait je dormirai plus tranquille, Après, on est allés bouffer. Et on s’est couchés, mais tard, super tard, il faisait chaud aussi chaud que dans la BX, et donc j’étais gêné de coucher avec toi, je voulais pas que tu vois que j’avais la trique merde encore oui surtout que tu t’es allongée juste avec un petit-petit tee-shirt j’ai rien d’autre t’as dit mais toi pose ton slip si tu veux , ça va pas non pour que tu te foutes de ma gueule, mais ça je l’ai pas dit juste pensé. On essaie de dormir, putain y fait 200 degrés, y’a du bruit dans la rue, et en plus pas de volets à la fenêtre, juste un store, on est au 3eme. Malgré ça, on sent encore bon, tu me prends dans tes bras comme un gamin, d’habitude j’aime pas mais bon et tu me bises un petit moment et tu me dis, je m’en rappelle encore ça fait longtemps que j’ai pas dormi avec un mec, tu rigoles et tu t’endors, si putain, c’est vrai, et moi j’en peux plus j’ai super-super chaud, je me dégage de ton emprise, moi je peux pas dormir je sais pas comment tu fais, tu t’agites, et là je te jure, comme il fait pas très sombre, tu écartes les cuisses et c’est fou je vois ta touffe de poils noirs, j’e n’avais jamais vu ça je n’en peux plus, t’es vachement poilue mais c’est beau, je sais pas si Arnaud me croira, je crois pas qu’il ait vu la chatte de sa mère. Je n’ai pas beaucoup dormi cette nuit de juillet 87 à Montauban, mais par contre je me suis beaucoup, énormément, absolument, branlé, le plus discrètement possible bien sûr, et il m’est passé par la tête des envies inavouables, et 22 ans plus tard je ressens parfois en te voyant-mais je te vois pas souvent puisque tu vis ta retraite en Espagne avec un ami-ce sentiment indicible fait de honte et de désir. Mais dormais tu vraiment???
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