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Hélène

Chapitre 68

La poularde

Trash
Hélène : la poularde

Mon homme et moi partageons le même goût pour les plaisirs de la bouche. Et ce soir, il m’a invitée dans un bon petit restaurant de la vallée de Chevreuse.
J’adore ce genre d’attention et pour lui rendre sa gentillesse, j’ai soigné ma tenue. Comme je sais que Pierre adore mes jambes, j’ai choisi une jupe à larges plis dont l’ourlet tombe à dix centimètres au-dessus du genou. En devenant plus sure de moi, je n’hésite plus à montrer mes cuisses charnues, et tant pis si un coup de vent coquin me dévoile un instant.
Pour le haut, j’ai opté pour une veste tailleur bien sage style chanel, porté sur un tee-shirt en microfibre blanc avec un large décolleté carré laissant voir la moitié de ma poitrine opulente de mature.
Dessous, je porte un redresse seins bleu nuit qui s’arrête sous mes aréoles et qui laisse saillir mes tétons excités. Comme ça, je suis sûre que le regard de mon chéri ne se perdra pas dans la salle. Pour ce soir, le message est simple « Je pointe, et tu me tires ».
J’ai complété ma lingerie avec un serre-taille gainant, qui retient une paire de bas à couture gris colombe. Et bien entendu une grande culotte assortie, en dentelle devant et en soie transparente derrière.
Nous nous sommes installés à une petite table, sans voisin, comme ça personne ne nous entendra nous susurrer des mots d’amour.Le maitre d’hôtel s’approche et dépose devant nous deux verres d’un vin liquoreux.
— Madame, Monsieur, comme apéritif, voici le vin qui accompagnera votre diner, fait-il avant de s’éloigner.— Chéri, tu as vu, il est parti sans nous donner la carte, ni prendre la commande.— Ne te fais pas de soucis, j’ai tout organisé à l’avance, ça te va te plaire, et il poursuit.— En attendant, goute ce vin jaune du jura.
Je porte le verre à mes lèvres, il est excellent.
— C’est vrai qu’il est délicieux, il me donne un peu chaud.
Et tranquillement, je déboutonne ma veste, offrant le spectacle de ma poitrine à peine dissimulée au regard de mon chéri. Et pour finir, j’ébouriffe ma chevelure pour lui faire prendre du volume.Mon homme rosit, je suis sûre qu’il n’y a pas que ma chevelure qui ait gonflé.
Le serveur revient avec un plat couvert d’un couvercle en argent. Il le dépose sur notre table. Il le découvre dans un geste théâtral en annonçant…
— Poularde de Bresse, au vin jaune, farcie aux morilles, et il continue.— Je vous laisse admirer le travail du chef, je reviens vous découper la bête, je vais chercher les couteaux, fait le garçon en se reculant.
Devant nous, une belle volaille rôtie et ses champignons baignent dans une sauce dorée. J’en ai l’eau à la bouche. Puis sa présentation me rappelle quelque chose.
— Pierre, ce dressage me rappelle quelques souvenirs.— Je ne vois pas ce dont tu parles, Chérie.— Mais si une belle poule, bien troussée, les bras immobilisés, le cul en l’air, avec de belles cuisses.— Ah oui, maintenant que tu me le dis, la ressemblance est frappante, et il continue.— Je suis sûr que tu es aussi gouteuse que la sauce de cette belle poulette.— Voilà, je suis de retour avec mes outils, intervient le serveur, en brandissant couteau et fourchette.
Mais je l’arrête aussitôt.
— Dites donc, vous nous avez annoncé une poularde aux morilles, mais je n’en vois pas beaucoup.— Madame, les autres sont dedans.— Dedans… Dans la volaille ?— Exactement, le chef a poché les champignons dans le vin blanc, puis les a placées dans la bête une à une à la main, fait le garçon en serrant les pointes de ses doigts et en simulant l’introduction par le croupion.— Ah oui, j’imagine la scène, fais-je en éclatant de rire.
Le serveur finit de nous servir, et s’éloigne.
— Tu te rends compte de ce que cette pauvre volaille a subi.— Mais elle était déjà morte, et plumée, me répond mon chéri.— Et en plus, elle a loupé le meilleur, la pauvrette.
Pierre sourit à ma saillie. Alors, je me soulève légèrement, je me trousse, et je fais glisser ma culotte au-delà de mes genoux, elle tombe sur mes chevilles. Je l’attrape et sans me cacher, je la tends à mon coquin.
— Voilà, maintenant, il y a deux poulettes, le cul à l’air, à cette table.
Ma tenue a du faire de l’effet au personnel. Le maitre d’hôtel, le chef de rang, et le serveur se sont succédés pour remplir mon verre et surtout plonger dans mon décolleté.Je suis bien. Nous venons de sortir, et mon homme me tient par la taille, il nous reste quelques pas jusqu’à la voiture. Au moment où il va m’ouvrir la porte, je le coince contre la carrosserie, et je me colle à lui.
— Pose ta main sur mes fesses.
Je sens sa paume appliquer une légère pression sur ma jupe.
— J’ai dit « sur mes fesses », chéri.
Ses doigts se posent sur ma cuisse gainée de nylon, puis remontent jusqu’à la lisière de mes bas.Puis ils la dépassent pour atteindre ma chair nue, relevant le tissu. Ca y’est, il a sa main sur mon cul.
— Ca ne te gêne pas de te faire trousser, et peloter les miches dans la rue.— Non, j’aime avoir le cul à l’air.— Tu fais un petit peu salope, quand même !— Je suis la quinqua salope d’un seul homme, mon maitre, et j’adore ça, je marque un petit silence, et je reprends d’une toute petite voix émue.— Tout à l’heure, je veux que tu me fasses subir ce que cette pauvre poularde a subi...
Pierre a tamisé la lumière, il se glisse derrière moi, un bâillon anneau à la main.
— Ne me déshabille pas tout de suite, je veux me voir.
J’ouvre ma bouche en grand, je remonte ma chevelure sur le haut de ma tête, et je dégage ma nuque. Mon chéri en profite pour m’embrasser dans le cou. Puis il force mes mâchoires, et boucle les courroies. Je croise mes mains dans mon dos, projetant ma poitrine en avant
Je contemple mon reflet dans la glace. J’y vois une bourgeoise salope, la bouche ouverte à toutes les pénétrations, les nichons disponibles pour tous les pelotages. Je ferme les yeux, et je m’imagine avec une laisse, promenée comme une chienne, au milieu d’une réception mondaine.
Pierre me débarrasse de ma veste, puis de mon chemisier. Mon soutien-gorge tombe, libérant mes seins. Il descend la fermeture éclair de ma jupe, il m’en débarrasse. Je pivote vers le lit, je m’agenouille face au miroir meuble. Je m’incline. Je suis à genou, le menton sur un oreiller, le cul en l’air, les cuisses légèrement écartées. De moi-même, je croise mes doigts dans mes dos. Mon homme me menotte les poignets. Puis il lie mes mollets contre mes cuisses, et les bloque en m’écartant.
Je suis à sa merci, sans défense. Dans le miroir, je peux voir mon cul au-dessus de ma chevelure.Je sais ce que je vais subir, et pourtant je suis calme, presque détendue.

Hélène a vraiment un beau cul. Il est bien rond et fendu comme une pèche. Depuis que je connais sa propriétaire, iI a pris de l’ampleur, mais il est resté ferme, sans marque de cellulite, ni de bourrelet. Le martinet a du bon, en favorisant la circulation, il a amélioré le drainage des capitons.J’ai lié ma belle en ouvrant son compas. Je peux distinguer ses lèvres gonflées par le désir, et au-dessus, son anus si accueillant. Il palpite doucement attendant impatiemment le doigtage promis.
Mais sa peau pale, cette chair si douce à ma disposition réveille en moi d’autres besoins pervers.Je m’agenouille, près de son visage. Je lui présente une paire de pinces dentelées. Elle me fixe de ses beaux yeux, puis bat des cils en signe d’approbation. J’empoigne ses seins et je les masse de la poitrine vers les aréoles. Je prends un téton, et je le glisse entre les mâchoires et je serre. Elle soupire, je sais qu’elle aime ce travail des mamelons, je continue de la supplicier, jusqu’à ce que les larmes sourdent de ses paupières. Je traite l’autre sein de la même façon. Maintenant, il faut que je passe à son cul.
J’attrape le martinet, et je commence à fouetter ce postérieur si tentant. Trois cinglées, et je marque un arrêt, puis je reprends ma flagellation, ménageant des pauses pour la laisser déguster la chaleur qui irradie de son cul.Sa croupe est maintenant bien rougie, inutile d’aller plus loin, elle est à point.

J’hoquète, et je renifle. Mais je dois reconnaître que Pierre a été plutôt tendre, il n’a utilisé que le martinet. Il me laisse reposer.
Hélène est une grande jouisseuse anale. Elle m’a avoué que son dressage par casse-noisette avait décuplé sa sensibilité sodomite .Et surtout qu’elle adorait cette petite douleur passagère lors du forçage de son anus. Ce soir, elle va être servie.
— Je t’enlève ton bâillon, je veux t’entendre, surtout si je te fais mal.
Il dénoue les courroies sur ma nuque. Puis il caresse doucement mon postérieur marqué de stries rouges. Il fait couler un liquide frais sur mes fesses Il étale l’onguent du bout des doigts, puis il débute le massage de mon pauvre cul martyrisé. Il commence à la limite des cuisses, puis il remonte sur le côté jusqu’aux reins et il continue en se rapprochant de ma raie culière.Bien qu’ayant les mains liées dans le dos, ma position n’est pas si inconfortable. Et puis, j’adore quand Pierre pétrit mon croupion de salope mature. Son petit traitement n’est pas sans effet, je sens le sang affluer dans mes lèvres, et surtout je peux voir dans le miroir, mes tétons rougir et gonfler. Si j’osais, je lui demanderai de serrer à nouveau les pinces.
Il fait couler un liquide gras sur mon petit trou, puis y glisse un doigt. Il le tourne dans ma corolle pour l’élargir. L’index rejoint le majeur. Ces deux coquins continuent d’ovaliser mon petit oignon.C’est délicieux, tout en douceur. L’annulaire rejoint ses deux copains et poursuivent ce massage rectal.
J’ai rentré quatre doigts dans le cul de ma belle. J’entame un mouvement de vissage dans l’anus d’Hélène. Je me retire, et je me renfonce, toujours en continuant de tourner.Son sphincter s’assouplit. D’ailleurs, ses gémissements sont plus de bonheur que de douleur. Il faut que je passe à l’étape suivante, la plus risquée: le passage du poignet.

Il replie son pouce à l’intérieur de sa paume et il pousse. Je bloque mon hurlement en crispant mes mâchoires.
Il est en moi. Je souffle, son poignet est moins large que sa paume. J’ouvre les yeux, je contemple mon reflet dans la glace. Mon rimmel a coulé, ma chevelure trempée pendouille en vrac devant mes yeux. Ma sueur coule sur mes joues, mais aussi sur mes seins et le long de mes tétons congestionnés. Et derrière moi, ce bras qui jaillit de ma raie culière.En moins d’une heure, la quinqua bon chic bon genre s’est transformée en bourgeoise salope anale.Et le pire, ou plutôt le meilleur, c’est que j’aime ça.
Il recule légèrement son bras. Je sens comme un filet liquide frais sur mon cratère distendu.Il se renfonce doucement, prenant soin de bien me lubrifier.Il me pistonne lentement, avec délicatesse. Je soupire. Il accélère, simulant une sodomie hors normes. Je gémis de façon continue. Je perds la tête. Je murmure des mots sans sens.
— Oh oui, oui, oui !— Encule-moi, encule-moi fort !— Défonce ta salope !— Fiste ta bourge !
Tout mon vocabulaire vulgaire y passe.Je ne compte plus ses allers-retours dans mon cul quand il retire soudainement son bras. Quand son poing passe mon sphincter et qu’il m’explose l’anus, je pars et je m’effondre foudroyée par un mélange de plaisir et de douleur.
Pierre m’a allongée sur le côté, il me débarrasse de mon serre-taille et fait glisser les bas le long de mes jambes. J’adore cette caresse, et de me sentir dorlotée, comme une princesse.Il se colle contre moi.
— S’il te plait, vérifie que je ne suis plus ouverte.
Sa main câline mes fesses, puis s’insinue dans ma raie culière. Son index s’insinue dans mon orifice caché.
— C’est bon, je suis bien serré.— Ouf !
Je laisse passer un silence.
— S’il te plait, la prochaine fois...— La prochaine fois ?— La prochaine fois, sois plus brutal,— Pardon.— Oui chéri, la prochaine fois tu me défonceras le cul avec ton poing.

Je sors de la douche avant Pierre, et j’arrange les oreillers. Je m’agenouille, et je me penche en avant, posant la joue sur les coussins. Je trousse ma chemise de nuit, cachant ma tête sous la dentelle. J’écarte mes genoux et je saisis mes chevilles.Doucement, mais distinctement, je murmure….
— Poularde.
Comme une réponse muette, je sens un liquide frais couler dans ma raie culière, puis un doigt coquin câline mon petit trou du cul.Puis les autres le rejoignent, il visse pour m’ovaliser. Le plus dur ou le meilleur est à venir. J’halète comme la chienne anale que je suis devenue. Je suis dilatée au maximum. Il pousse d’un coup. Je sens sa main entrer. Le pouce passe.
Plop, le renflement de sa main est passé. Je gaine son poignet de mon sphincter. Je suis empalée.Il me laisse reposer, mon esprit divague.
— S’il te plait, défonce ta salope fistée.
Il serre le poing, et dilate mon ampoule rectale. Puis il ouvre sa main au maximum, forçant mes parois intimes. Puis il resserre ses phalanges, et recommence. Les yeux fermés, j’imagine un poulpe agitant ses tentacules dans mon rectum. Je suis envahie par un monstre marin. Il me caresse du bout des doigts, je sens comme la griffure de ses ongles sur mes muqueuses intimes. Je crie mon bonheur.
Pierre m’a encore fait exploser le cul et la tête. Mon anus me lance encore un peu. Mais c’est une douleur si agréable. Je me coule dans les bras de mon homme.
— Quand tu m’as rencontrée, tu savais que j’étais si salope.— Non, mais j’ai senti que tu avais un beau potentiel.— Moi aussi quand l’étais à plat ventre sur toi, j’ai senti ton gros potentiel, et je poursuis.— Je suis si bien, chéri, et je le questionne.— Tu crois que je pourrais faire poularde à Mel et à Anne So.— Tu n’as pas peur qu’elles soient trop étroites.— Oui, probablement, mais j’aime bien les faire souffrir un peu.— Enlève quand même tes bagues.— Oui, mais je garderai mon alliance...
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