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22...!

Chapitre 1

J'emmerde les gendarme et la maréchaussée.

Hétéro
                                                                                 — 22... !

    Je posai ma main sur sa cuisse et la caressai doucement à travers l’étoffe légère de sa courte jupe.    Elle porta son regard sur ma main, me jeta un coup d’œil rapide. Imperceptiblement, je sentis sa respiration changer, s’alentir et s’approfondir , en même temps que l’expression de son visage, subtilement, se transformait, sa bouche s’amollit et l’espace d’un instant, je la vis fermer les yeux, alors qu’elle avalait sa salive...
    J’accentuai ma caresse, glissant ma main au niveau des plis émouvants qui soulignaient son entrejambes, et la posai sur la petite motte renflée de son sexe, bougeant à peine mes doigts sur le tissu. Je pouvais sentir la tension perfide qui l’envahissait.
    Elle se concentrait sur sa conduite, alors que je la savais gagnée par un trouble profond. Ce jeu m’excitait …    J’accentuai ma caresse. Elle se crispa un peu plus, sur un soupir, et inclina légèrement sa jolie tête vers l’arrière, abaissant, un instant, ses paupières, alors que les adorables petits seins, qui tendaient le T-shirt, se soulevaient sous l’effet d’une inspiration plus profonde, presque un sanglot. Elle se mut légèrement, sur le cuir du siège, dans un mouvement d’involontaire lascivité. J’accentuai la pression de ma main.
    Elle eut un « Oh ! » à peine audible, mais qui me montrait déjà, à quel point elle était remuée par l’appel d’un désir qu’elle ne pouvait plus réprimer. Elle porta une main à son cou et l’y appuya, comme pour en chasser une gêne. Puis, elle eut ce mouvement des épaules, qu’elle contracta et relâcha lentement dans un profond soupir. Elle jeta vers moi, un regard voilé , furtif et interrogateur, sa jolie tête dodelinant doucement, dans un mouvement incoercible, qui montrait à quel point son vertige l’accaparait.
    Je déboutonnai le haut de sa jupe, et caressai son ventre, descendant ma caresse sous le string . Du bout de mon médius j’accédai à son clitoris que j’effleurai légèrement, la faisant doucement geindre à chaque attouchement. Je m’étais penché sur elle et, m’enivrant du parfum de sa chevelure, laissai ma bouche courir sur son bras et son cou, mordillai le coquillage de son oreille. Son souffle s’était accourci, ses soupirs s’étaient faits intenses, elle ne pouvait plus contenir de légers bruits de gorge, auxquels se mêlaient maintenant ses soupirs.
    Je ne l’avais vu sourire à aucun moment … le grand écart que je l’obligeais à faire, entre la concentration qu’exigeait la conduite et l’abandon que demandaient mes lascives caresses, l’excitait au plus haut point, mais un niveau maître de sa conscience continuait à maintenir, aiguë, sa vigilance.
    Je me redressai et commençai, alors à baisser la petite jupe, dont j’amenai la ligne de taille entièrement déboutonnée, à la jointure de ses cuisses, Elle m’aida et la descendit sur son côté gauche, puis se soulevant de son siège, en se contorsionnant, la fit passer sous ses fesses, et je pus baisser le vêtement sous ses genoux, découvrant ses cuisses fuselées qui enserraient le doux petit con, que je devinai turgide et trempé de cyprine.
    Je caressai son ventre de tiède douceur satinée, et descendis ma caresse , sous son string sur la légère toison, qui ornait son pubis, que je fis doucement crisser sous mes doigts, puis, couvrant la petite vulve que j’emprisonnai dans ma main en coupe, en écartai les lèvres et glissai mon médius dans la fente soyeuse et trempée de mouille. Jambes largement ouvertes, elle eut une exclamation rauque, saisissant mon poignet, elle le poussa sur son sexe et, impérieuse, entre ses dents serrées :
— Encore !
    Je réunis trois doigts et les enfonçai dans la tendre chatte, trempée de cyprine.sur lesquels avec des mouvements saccadés du bassin, elle cherchait à s’enfoncer, râlant et geignant d’excitation.
— On ne ferme pas les yeux... on conduit!
    Elle rit.
— Oh...! Le salaud !
    C’est à ce moment précis que je vis glisser le long de la vitre la silhouette casquée du motard de la Police Nationale harnaché dans son blouson de nylon noir et bleu.
    Je cessai immédiatement ma caresse et me redressai lentement, feignant ne pas l’avoir vu, je fis semblant de sourire et de ma voix la plus calme:
— Carla chérie regarde tranquillement sur ta gauche...On a de la visite...
    Le flic restait à la hauteur de la belle conductrice, qu’il détaillait d’un regard impassible.    Ma belle, qui avait instantanément cessé tout mouvement, porta son regard sur sa gauche, sans tourner la tête. Quand elle découvrit le motard , elle eut un grand sourire, et chantonnant sur l’air des lampions :
— J’emmerde les gendarmes et la maréchaussée...

    Le flic lui fit signe de se garer et la dépassa, son binôme le suivait de près, il dépassa l’Audi, lui aussi.
    Les deux policiers se tenaient près de leur moto sur un petit terre-plein où ils firent signe à Carla de se garer. Ce qu’elle fit. Elle se tenait immobile, sans bouger un cil et attendait.    Ils s’approchèrent et l’un d’eux se pencha sur la vitre, Carla ne bronchait pas. Le flic toqua au carreau.     Ma coquine se retourna, lui décochant son sourire mortel, et appuya sur la commande du lève-vitre.
— Bonjour, Mademoiselle. Vous savez pourquoi je vous ai fait arrêter.
    Tournant la tête vers moi, il me jeta un regard lourd.
— Non, pas vraiment, monsieur... J’ai commis une infraction?
    Et toujours son sourire charmeur.
— Une infraction, peut-être pas, nous allons voir ça...mais quand vous conduisez vous devriez veiller à ne faire que conduire, n’est ce pas monsieur?
    A nouveau ce regard... j’avais envie de me marrer, ce qu’il ne fallait surtout pas faire.
— Monsieur l’agent, je vous assure que je suis restée très concentrée sur ma conduite...
    Elle se foutait de sa gueule, le type le sentit.
— Permis de conduire, papiers du véhicule, s’il vous plaît!
    Et avec un regard à son collègue:
— Contrôle véhicule!— Oh! Monsieur l’Agent … je vous en prie...
    Tournant vers lui un regard à faire fondre la banquise.    Le flic, les documents à la main resta un moment à la regarder. La coquine, jouant de son charme le tenait.    Il secoua la tête lui souriant, lui rendit les papiers.
— Allez-y Mademoiselle mais veillez à rester concentrée sur votre conduite, si vous voyez ce que je veux dire...
    Sur un salut, il eut un signe vers son collègue. Ils rejoignirent leurs machines et Carla faisant semblant de ranger ses papiers les laissa démarrer.    Je fis mine de l’applaudir.
— Alors là... Chapeau! J’admire!— T ’as vu ça, la classe...? Non, je rigole... en fait j’en menais pas large! C’est de ta faute aussi, toi, idiot, à m’exciter comme ça! Attends, tu vas me payer ça, tu vas voir...!
    Elle riait.    Nous reprîmes la route... cinq minutes plus tard, clignotant à droite, elle nous arrêtait sur un parking.    Elle descendit, contourna la voiture, je la rejoignis, s’appuyant à la carrosserie elle me mit les bras autour du cou et chantonna :
— Embrasse moi, idiot! Et montre moi ce que tu sais faire...
    Je ne me fis pas prier et commençai à l’embrasser et la caresser en y mettant tout mon savoir-faire.     Je sentais à son souffle précipité, à ses petites plaintes rauques l’excitation monter chez ma belle Carla et m’accroupis devant elle enserrant sa taille, embrassant son ventre, relevai les volants de sa courte jupe, déposai de légers baisers sur ses cuisses, laissant mon souffle caresser sa peau. Sa respiration se désordonnait, elle s’était mise à haleter... Attendre! Pas maintenant …! Pas encore!
    Je passai lentement de ses cuisses à son ventre, prenant soin de ne pas seulement effleurer son clitoris. Puis, glissant mes mains sous ses fesses, j’ approchai ma bouche du précieux bourgeon, lui faisant sentir mon souffle, à travers la dentelle de son string que je léchai d’un long coup de langue, prenant soin de ne pas l’appuyer.
    Alors, tout le corps de ma belle se mit à trembler dans mes mains. Encore... encore! Attendre encore.    J’embrassai le grain satiné de sa peau, en haut des cuisses, la picorai de baisers, alternant avec des morsures que je faisais tendres et posai enfin mes lèvres, dans un long baiser sur sa jolie petite motte que dissimulait à peine l’affriolante, minuscule pièce de lingerie... Pas encore...!
Carla se tendit dans un râle, poussant son bassin en avant, et renversant la tête, aspirant l’air entre ses dents serrées, saisit ma nuque entre ses mains , écrasant ma bouche sur son sexe pour en goûter encore la caresse...Le joli triangle de dentelle était trempé de sa cyprine, dont je me délectai, en imprégnai mes lèvres et ma langue, propulsé à des summums de jouissance.
    J’écartai, enfin, le petit cache-sexe, dévoilant à mon regard extasié, les plis délicats du joli coquillage, humide de désir.    Avec lenteur, j’approchai ma langue du petit bourgeon incandescent, saillant des replis nacrés, y posai juste la pointe, que je durcis et l’y maintins, y exerçant une pression de plus en plus intense.
    Carla n’en pouvait plus de cette délicieuse torture, et écartant ses cuisses des deux mains, elle s’abandonna enfin à un orgasmequi la secoua toute entière, faisant jaillir son plaisir.    N’y tenant plus, je fondis de ma bouche avide, sur le trésor mouillé, goûtant ses saveurs marines dans un baiser passionné, qui déclencha un long râle de jouissance de ma belle.    Je la fis jouir ainsi plusieurs fois me délectant de sa cyprine plus douce qu’un miel.    Alors se tournant et prenant appui sur l’aile de la voiture, elle releva sa courte jupe sur ses reins, baissa son string et cambrant ses jolies petites fesses les écarta des deux mains dans la plus indécente et délicieuse posture dévoilant à mon regard ravi son mignon œillet mauve que je me baissai pour embrasser avec passion alors que j’entendais ma belle me râler avec des mots crus la délicieuse invite...
    Je déposai ma salive sur son anneau et en fis pénétrer de deux doigts réunis dans son fourreau,Carla se tendit et s’enfonça avec un feulement sur la caresse. Écartant ses lèvres je plongeai mon membre dans la petite chatte en fusion et emporté par tant de douceur commença à la limer
— Oh! Chéri... Prends moi le cul ...Encule moi!
    Je ne pouvais recevoir d’ordre plus doux. J’abouchai mon gland à son hostie et poussai doucement, ses sphincters résistaient, j’accentuai ma poussée sur son anneau qui céda et son fourreau soyeux engloutit ma bielle toute entière, dans un long râle de ma belle maîtresse.    Je la besognai de longues minutes la faisant lentement monter et gémir à chaque coup de boutoir et quand son orgasme éclata elle eut un long cri rauque s’affalant sur le capot de la voiture, je sentis mon mandrin sortir de son étroit fourreau et j’éjaculai, déchargeant à lourdes giclées, balafrant des jets de mon sperme, la petite jupe, en trempant ses mignonnes petites fesses.    Elle s’ébroua et s’ étira, me souriant heureuse — Mmh, c’était bon...! — tapotant sur ses jolies fesses elle arrangea les plis des sa petite jupe.
— Tu as entendu comme on s’est fait klaxonner?— Non, pas vraiment. Tu veux en entendre des klaxons?
    Contournant la voiture, elle regagna sa place dans un gracieux déhanchement string baissé, pans de sa jupe relevés sur le plus mignon petit cul qu’il y eût au bord de la D 107 … elle en fit sonner des klaxons.    Elle riait en remontant au volant.
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