Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 46 J'aime
  • 1 Commentaire

1785 à ... Une histoire tourmentée

Chapitre 3

Une baignade bienvenue sous cet été si chaud

Avec plusieurs femmes
Les ponts de Cé, le treize juillet de l’an de grâce mil sept cent quatre vingt cinq

Vicomtesse,
Je suis heureux que nos échanges vous plaisent autant qu’à moi. Je rends visite dans trois semaines à un cousin dont le domaine domine la mer aux environs du Havre. M’autorisez vous à venir continuer notre conversation de vive voix ? Dans l’affirmative, je pourrais vous conter moultes anecdotes sur les Amériques. Vous m’indiquiez dans votre missive craindre la chaleur de ces contrées. Rassurez-vous, tout un chacun lutte comme il peut et beaucoup ont des vêtements bien plus légers que ceux que nous portons ici. Le protocole n’est pas celui de la Cour ni même d’une réunion entre gens de bonne compagnie. La vie est plus simple et on distingue moins facilement la noblesse de la roture. D’ailleurs, la compagnie s’apprécie plus en fonction des personnes rencontrées que de leur naissance. Le monde change et de nombreux nobles là-bas travaillent car, plus que la naissance, il faut survivre et la réussite sociale semble plus importante en ces lieux. On est bien loin de notre ancien monde. Sachez Madame que la joie d’avoir reçu votre missive ne sera surpassée que par la joie de votre invitation à me voir. Dans cette attente, je reste votre dévoué serviteur.
Vicomte Adrien De Larmafort

==============================================================================================

Écrire cette lettre m’a donné plus envie de la voir. Son sourire et sa conversation me plaisent et j’ai hâte de pouvoir la revoir. En attendant, une cavalcade dans les bois me fera le plus grand bien. Le soleil d’été est magnifique, la chaleur est présente et j’aime sentir le vent sur moi dans de folles chevauchées. Deux heures sont passées. J’ai parcouru mon domaine et j’ai pu profiter de longues cavalcades dans les chemins ombragés ou tout proche des champs où j’ai pu assister au début de la moisson. Ma monture tout comme moi-même sommes poussiéreux et transpirants. J’arrive en bordure de la Sioule. Ce petit cours d’eau traverse mes terres et du haut du petit pont qui l’enjambe, cette eau pure et fraîche me semble du meilleur aloi. Nous descendons sur les berges et je laisse ma monture s’abreuver pendant que je quitte mes chausses, mes culottes courtes et mon gilet. Je plonge alors dans cette eau si reposante et profite de la caresse du soleil et de la fraîcheur de l’eau. Je dérive doucement et après quelques longues minutes, j’entends des exclamations féminines au loin, derrière un coude de la rivière. Je m’approche doucement et écoute ces femmes discuter. Je reconnais à la voix les lingères de ma maison qui devisent en riant tout en lavant le linge à l’eau claire.La discussion porte tout d’abord sur la chaleur actuelle difficile à supporter la nuit. Elle rient en évoquant le fait que certains de leurs maris souffrent plus de la chopine que de la chaleur. Et évolue ensuite en riant sur le fait que chopine et galanterie ne font pas bon ménage et que certaines d’entre elles souhaiteraient un mari plus vaillant au coucher. Je reconnais le timbre  d’Ernestine dans ce reproche. Elles rient aux éclats de sa mine dépitée. C’est le moment que je choisis pour apparaître au coin de la rivière.Ne me reconnaissant pas au premier abord, des cris s’élèvent et je vois deux d’entre elles se saisir d’un bâton imposant pour chasser l’intrus qui viendrait les déranger. Pour ne pas trop se tremper et du fait de la chaleur, il est vrai qu’elles se sont toutes un peu déshabillées pour profiter de la fraîcheur de l’ombrage. Je distingue ça et là, une cuisse appétissante ou un corsage bien rempli et assez disponible. Des envies me viennent doucement de profiter de ces chairs si complaisamment offertes à ma vue. Très vite on me reconnaît et on me souhaite le bonjour. Mes vêtements mouillés collent à ma peau et forment comme une nouvelle peau. Ils ne doivent pas cacher grand chose de mon anatomie et je fais comme si je ne me doutais pas de cet effet. Je sens les yeux de ces femmes se promener sur moi et je constate que Madeleine, ma jeune lingère de dix-neuf printemps en a une moue de contrariété car elle souhaiterait  me garder pour elle. Je leur indique que je vais les laisser car ma monture n’est qu’à quelques dizaines de mètres et que mes vêtements poussiéreux y sont également. Sur ces paroles, Ernestine m’indique qu’il n’est pas séant que je rentre au domaine dans des vêtements poussiéreux et qu’elle m’accompagne si je l’y autorise pour pouvoir rafraîchir ma tenue de coups de brosses bien sentis. Madeleine rétorque qu’il faut bien qu’elles soient deux pour ne pas me faire perdre de temps. Et nous voilà remontant la rive, les pieds dans l’eau pour retrouver ma monture.Elles me suivent et je sens leurs regards sur moi. Nous remontons en silence deux ou trois coudes de rivière et les bavardages des autres lingères qui ont repris le travail s’estompe complètement pour faire place au silence, au chant des oiseaux et à la brise dans mes cheveux. Marchant maladroitement sur un caillou glissant, je tombe et mes deux accompagnatrices se jettent dans l’eau pour me relever. Nous sommes trempés et le peu de linge qui nous couvre ne cache pas grand chose collé par l’eau. Je vois distinctement leurs seins et quand Ernestine se redresse, je distingue la touche sombre de son pubis sous la frêle longue chemise. Je la regarde dans les yeux et me rapproche d’elle. Sans bouger, elle me laisse avancer et quand mon corps est contre le sien je la prends par les hanches et la colle contre moi. Sa chaleur m’excite et je sens vite mon sexe prendre de l’ampleur. Il vient se loger au creux de sa féminité et je la sens s’alanguir contre moi. Nos visages se rapprochent et je l’embrasse avec fougue. Elle y répond avec le même entrain et je sens son bassin venir à la rencontre du mien. Visiblement Bastien, son mari,la laisse vraiment sur sa faim.Je sens alors des bras enlacer mon dos et Madeleine venir se coller tout contre moi. Ses petits seins sur mon dos sont déjà bien durs et son bassin vient épouser mes fesses. Ses mains sur mon torse caressent ma poitrine tout en frôlant les seins d’Ernestine. Nos respirations s’accélèrent et nos bouches, nos mains courent sur nos corps. Notre danse à trois oscille entre des déhanchements très excitants et des bouches qui courent sur nos peaux et nos lèvres.Nous allons vers la berge et nous nous laissons tomber dans l’herbe folle. Très vite les quelques vêtements trempés qui nous couvraient sont enlevés et nous sommes nus tous les trois. Ernestine a une poitrine lourde, fruit de deux maternités. Elle a un ventre un peu rond et ses larges cuisses s’ouvrent sur un sexe aux lèvres humides,visibles et fripées. De magnifiques petites escalopes à sucer et je ne me prive pas d’y porter la bouche. Mes lèvres aspirent les siennes, les mâchouillent et je sens tout son bassin se tendre vers moi. Son clitoris est bien saillant et chaque fois que mon nez vient s’y poser, son bassin s’agite encore un peu plus. Madeleine n’est pas en reste et voyant que je m’occupais de la féminité de sa consœur,elle a rapidement embouché mon sexe pour le sucer et faire tournoyer sa langue autour de mon gland. Depuis que nous avons commencé nos jeux, Madeleine m’a avoué toujours avoir eu envie de pouvoir donner du plaisir avec sa bouche. Elle ne se l’explique pas mais sentir le plaisir donné par ce biais décuple le sien et elle s’est souvent endormi avec des rêves érotiques à ce sujet. Elle a donc particulièrement bien développé sa technique malgré son jeune âge et j’en profite à l’instant présent. En parallèle Ernestine couine de plaisir par mes multiples actions buccales. Elle se tord, se tend,se déhanche. Nos mains se rejoignent sur ses seins et je presse avec elle ses mamelons gonflés et durs. Elle crie, gémit, halète et perd son souffle. Elle ne sait plus ce qu’elle dit et reprends son souffle comme une noyée. Elle ne tarde pas à se cambrer une nouvelle fois et je sens ma bouche s’inonder de sa mouille abondante pendant qu’un hululement de plaisir parachève son orgasme.  Je me retourne alors et libère Madeleine de mon membre. Elle semble déçue mais je pointe mon sexe vers Ernestine et la pénètre ardemment. Ses lèvres fripées enserrent mon sexe et elle en frémit de plaisir. Avec force, je la pilonne et elle ne tarde pas à crier de nouveau sa joie. Ses seins libres s’agitent en tout sens et cette vision de cette femme dépoitraillée, frémissante, et entièrement ouverte sur mon sexe me fait redoubler d’ardeur au fond de son antre.Quelques minutes de pilonnage intensif de son antre trempé et accueillant font monter la sève. Je me libère alors en elle par de forts coups de butoir. Mes jets déclenchent en elle des déhanchements plus intenses alors et elle jouit en se comprimant les seins si fort qu’une marque rouge orne alors cette peau si blanche. Reprenant tout à la fois ses esprits et sa respiration, elle reste allongée sur le dos dans l’herbe verte. Je fais de même à ses cotés mais Madeleine veut reprendre le travail là où elle l’avait laissé. Elle pose alors de nouveau ses lèvres sur mon sexe et entreprend de lui redonner tout à la fois une propreté impeccable mais également une vigueur qui lui plairait bien ainsi qu ’à moi-même. Il ne faut pas longtemps pour que sa langue et ses lèvres, parcourant tout à la fois mon gland, ma hampe et mes couilles n’eurent fait ce labeur ô combien agréable pour elle comme pour moi. Je sens sa petite langue habile remonter le long de ma hampe par de petits girations puis venir doucement se poser sur mon gland. Puis ses lèvres s’entrouvrent et elle enfourne avec plaisir mon membre. La chaleur de sa bouche alliée à la divine torture de sa langue vont me faire venir mais je souhaite aussi profiter de son autre orifice. Je la repousse alors doucement. Elle comprend. Je l’attire sur moi et sa poitrine s’écrase sur mon torse.Nos langues se mêlent. Ses bras m’enserrent. Je sens son petit abricot tout proche de mon sexe et se reculant, elle empoigne mon sexe et le glisse d’un geste brusque au creux de sa féminité. Elle se redresse alors et à califourchon sur moi entame des déhanchements sensuels puis de plus en plus forts au risque de presque risquer d’arracher mon membre. Telle une pouliche folle, je vois sa chevelure brune voler dans la brise, son torse humide de sueur, ses petits seins fiers et arrogants se dresser face à moi et son ventre plat se creuser pour mieux ressentir mon membre. Elle chevauche fièrement.Elle se redresse pour libérer mon sexe de sa gangue mais c’est pour l’absorber furieusement plus fortement un instant plus tard. Son sexe me masse et son étroitesse ne cesse de me plaire. Je la plaque alors contre mon torse et l’enserrant de mes bras et de mes jambes, je la tiens prisonnière. J’entame alors par de puissants coups de rein un pistonnage fort et régulier qui va en s’accélérant au fur et à mesure des ses gémissements de plaisir. Elle tente de bouger et ses seins tendus contre mon torse m’excitent tout autant que la sensation de mon membre qui coulisse si bien au creux de  ses reins. Elle plaque alors son pubis au plus près du mien et son sexe alors comprime le mien dans une étreinte intime. Elle jouit de me serrer si fort en elle et je sens à la fois ses bras qui me serrent si fort pour que je n’en parte pas et ses cuisses s’écraser si large pour me faire aller au plus profond d’elle. Elle hoquette de plaisir. Je n’y tiens plus et j’inonde sa cavité intime de ma semence ce qui lui arrache un nouveau hoquet de plaisir en me sentant la remplir.Nous reprenons notre respiration, joue contre joue, souffle contre souffle. Repus, heureux. Mon sexe encore au creux d’elle.Nous sommes tous les trois à profiter du moment présent. Madeleine sur moi et Ernestine à mes cotés qui nous a regardé en profiter avec un regard de braise et d’envie, peut être un peu de jalousie également.
Nos peaux sont humides de sueurs et de nos liquides corporels. Après quelques instants, la chaleur de l’été nous rappelle que l’eau de la rivière nous serait tout aussi agréable. Nous nous y jetons donc tout à la fois pour en profiter et pour nous laver. Après quelques minutes de mains baladeuses et de caresses dans cette eau si propice, je laisse mes chères lingères se rhabiller et rejoindre leurs consœurs. Pour ma part, habillé de pied en cap, je repars pour une folle chevauchée vers le château.
Cet été est vraiment un bel été.
Diffuse en direct !
Regarder son live