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1968 : une révolution puissance X

Chapitre 7

comme la dernière des putes

Trash
Et la confession de Marianne commence...
« Eh bien... Oui, il y a trois mois à peine, je me croyais frigide... Je couchais un peu avec des mecs... À droite à gauche. Mais sans rien ressentir... Je faisais semblant d’aimer le sexe. Pour paraître branchée. Pour paraître libérée... En réalité, je ne prenais aucun plaisir. Jusqu’au jour où... Où j’ai rencontré Monsieur Paul. Un homme fascinant. Pas physiquement. Ce petit binoclard était plutôt repoussant, mais quand ses yeux globuleux vous scrutaient, vous passiez au scanner. Il lisait dans votre tête comme dans un livre ouvert et était doté d’un incroyable pouvoir de conviction. Il est devenu mon confident. Sa capacité d’écoute était d’autant plus importante pour moi que j’étais complètement perdue, vraiment pas bien, ni dans mon corps, ni dans ma tête. Pour compenser mon mal-être, je me goinfrais de sucreries. J’avais pris cinq kilos. Je craignais de devenir une grosse vache boulimique. Parler avec Monsieur Paul était bien plus efficace qu’une séance chez le psy.
Et un jour, il a fini par me dire :
— Je sais d’où vient ton problème et j’ai le remède. Tu dois lâcher prise. Je vais t’aider. Fais-moi confiance.
Et je me suis retrouvée un début d’après-midi, dans une suite de l’hôtel Lutetia. J’ignorais tout de ce qui m’attendait.
Monsieur Paul m’a d’abord fait entrer dans une petite chambre. Il m’a ordonné de lui donner mes habits et d’enfiler ceux qui étaient posés sur le lit.
— Mais, fringuée ainsi je vais avoir l’air d’une pute !— Disons plutôt d’un objet de désir. Cette tenue t’aidera à te lâcher complètement.
Qu’est-ce qu’il avait bien pu manigancer ? La curiosité l’a emportée et je me suis prêtée à sa mise en scène.
Me voici donc emballée dans une micro-jupe noire qui ne couvrait que le rebondi de mon cul, même pas une petite culotte pour donner le change, par contre, comme une parfaite catin, des porte-jarretelles, des bas Résille et des talons aiguilles aux pieds. Et pour le haut, la même indécence, puisqu’un corset en cuir souple enserrait ma taille et rehaussait mon buste ; mes seins étaient ainsi servis sur un balcon de dentelle, complètement à découvert, obscène, ils paradaient.
Quelques minutes plus tard, la porte s’ouvre et je suis introduite par Monsieur Paul dans une immense chambre. Trois hommes étaient vautrés dans des fauteuils confortables. J’ai reconnu l’un des bonshommes : Jean Serrail ! J’avais lu quelques jours plus tôt un article dans France-Soir sur le parcours de ce « self made man » devenu l’une des plus grosses fortunes de l’hexagone. Il y avait quelque chose de repoussant dans ses yeux de fouine, sa bouche étroite aux lèvres gloutonnes et ses joues mafflues. Les deux autres étaient du même acabit : vraiment pas plus attirants. Des quadras ventripotents, aux crânes dégarnis. Ça puait la suffisance.
J’ai eu un mouvement de recul. Mais Monsieur Paul m’a poussée en avant en me glissant à l’oreille :
— Fais-moi confiance.
Et je me retrouve, fringuée comme une pute, sans culotte ni sous-tif, plantée devant les trois types. Je suis une crâneuse. En toute circonstance, j’y vais toujours au culot. Hors de question de montrer que je suis déstabilisée. Mais là, j’avoue que je feintais l’assurance.
Et ça n’allait pas s’arranger, car voici que, d’une voix solennelle, Monsieur Paul ouvre la séance :
— Eh bien, messieurs, qu’en pensez-vous ? Elle est à votre goût ?
Je ne comprends pas tout de suite le sens de ses propos.
Les trois types se lèvent, me tournent autour, évaluent mes formes. De toute évidence, Jean Serrail était le leader. Son avis prime :
— Franchement, je suis plutôt déçu ! Je m’attendais à une jeune femme plus appétissante.
Quel toupet ! Ce gros porc ne me trouve pas assez désirable !
Monsieur Paul m’ordonne alors de déambuler dans la pièce :
— Défile pour ces messieurs, Marianne. Prouve-leur qu’ils te sous-estiment !
Pourquoi obtempérer ? Parce que la situation était invraisemblable, trop grotesque pour que je la prenne vraiment au sérieux. Je jouais un rôle dans une farce. D’ailleurs n’étais-je pas déguisée en catin ? En tout cas, dans ma tête les choses étaient claires : jamais au grand jamais, je ne baiserai avec de telles ordures. Mais j’étais vexée et bien décidée à prouver à ces sales types que je n’étais pas une dégonflée.
Et me voici à marcher de long en large devant eux. Dans un sens. Demi-tour. Dans l’autre sens. Comme une pute qui arpente son trottoir car dans une telle tenue, le moindre mouvement racolait. À chaque pas, mes seins nus gigotaient et j’avais beau essayer de ne pas dandiner du cul, les talons aiguilles forçaient mon déhanché.
Le gros porc en chef ne semblait toujours pas convaincu :
— Pas vraiment gracieuse. Un manque de classe évident. Et puis, elle est un peu forte des hanches, non ? Qu’en pensez-vous mes amis ?
L’un des porcs soulève ma minijupe et palpe sans vergogne ma croupe. Je suis tellement stupéfaite que je ne bouge pas alors que les grosses pattes dégueulasses jaugent la fermeté de mon postérieur. Les autres types, un sourire vicieux aux lèvres, observent la scène. On pourrait croire qu’ils attendent un verdict. Que vaut la marchandise ?
— Un peu gros cul, en effet, mais y a de quoi faire !
J’allais balancer une gifle monumentale à l’ordure mais le regard pénétrant de Jean Serrail stoppa mon geste. Je pris alors conscience du pouvoir psychique de cet homme. Un dominant qui n’a pas l’habitude qu’on lui résiste ! Eh bien, moi, je ne céderai pas. Je lui dirai ses quatre vérités :
— Vous n’êtes qu’un porc !
L’insulte ne le perturbe pas. Il ne se départit pas d’un sourire satisfait aux lèvres :
— Et alors ?— Et alors ! Il est hors de question que je me donne à des personnages aussi détestables.— Il ne s’agit pas de savoir si tu nous apprécies ou pas. Nous ne parlons pas de sentiment. Même pas de désir. Juste de sexe à l’état brut. Sans subterfuge, sans détour. Et tu n’as visiblement pas compris que la décision ne t’appartient pas. C’est nous qui hésitons. Je ne pense pas que tu mérites que l’on s’occupe de toi.— D’après vous, je suis consentante ?— Dans le cas contraire, tu ne t’exhiberais pas dans un tel accoutrement !
J’étais abasourdie. Mais incapable de réagir. La situation était tellement caricaturale. Je voulais savoir jusqu’où cette mascarade pouvait aller. Et puis ? Et puis, merde, d’accord, j’avoue, j’étais un peu excitée...
Je cherche une réplique pour remettre à sa place le porc en chef, mais Monsieur Paul me devance, et, tel un bonimenteur de foire qui fait l’article :
— Je trouve vos réticences infondées, messieurs ! Cette jeune femelle est toute fraîche et entièrement disponible. Certes pas neuve, mais très peu utilisée. Imaginez ce qu’elle va rendre à quatre pattes ! Avez-vous vu ses seins ? Du premier choix. Jugez par vous-même !
Jusqu’à quel point allait-il me réduire à l’état d’objet sexuel ? Une curiosité teintée d’excitation me retenait de mettre fin à cette ignoble comédie machiste.
En attendant, ma poitrine subit l’outrage d’un pelotage odieux.
À tour de rôle, les porcs testent la générosité de mes mamelles. Des palpations obscènes de mes chairs débordantes. Les mains en coupe, ils s’amusent à soupeser les grosses poires. À croire qu’ils en évaluent le prix au kilo. Je n’en reviens pas. Et pourtant, je ravale ma fierté. D’autant plus humiliée que mes tétons se dressent et que la mouille trahit le consentement de ma chatte à un traitement aussi dévalorisant. Mon corps réclame ce que mon esprit rejette catégoriquement. Et je suis libre de trancher. Quel parti prendre celui de la raison ou celui de l’instinct ?
Le gros porc en chef me provoque encore :
— À genoux, chienne !
Si je n’obéis pas, l’histoire s’arrête ici. Or je veux savoir jusqu’où ils sont capables de me rabaisser. Alors, je relève le défi.
Je me soumets et m’agenouille. Le visage à hauteur du bas-ventre des trois types qui m’entourent me cerne. Dans une telle position, je n’ai plus besoin de directive. Je sais ce qu’ils attendent de moi.
Je commence par le gros porc en chef. Je défais le ceinturon, baisse la braguette, puis tire le pantalon sur des cuisses grasses et velues. Ensuite, en toute logique, j’abaisse le caleçon, un gourdin arqué au gland proéminent jaillit. Le salop est sacrément bien monté ! Je passe au second porc. Même manège. J’extrais une pine plus courte et plus épaisse. Et maintenant, le dernier. Protocole identique pour une queue vicieuse, aussi copieuse que noueuse.
Les trois verges convergent, bandées, vers ma face.
Il est temps de me mettre au travail. Le gros porc en chef m’agrippe, sans ménagement la tête et je m’embouche sur sa bite. Je ne fais pas preuve d’un grand enthousiasme. Son sexe particulièrement imposant essaie de forcer le passage vers ma gorge, je résiste, crispe mes lèvres. Il me baise un peu la bouche, me relâche rapidement. Je tourne à peine mon visage et une autre pine s’enfile entre mes lèvres. J’adapte la succion à la taille du sexe. Quelques va-et-vient et, déjà, il est temps de m’attaquer à la troisième queue ; ce braquemart-là exige un déploiement maximal de ma mâchoire. À tour de rôle, pendant quelques minutes, les trois porcs se servent ainsi de mon suçoir. Je veille à poser mes mains sur leurs cuisses et évite ainsi qu’ils ne s’enfilent trop profondément.
Le gros porc en chef n’est visiblement pas satisfait de ma prestation :
— Tu suces comme une connasse !
Il décide alors de passer aux choses sérieuses.
Il m’agrippe par le bras. Me traîne sans ménagement. J’avance accroupie comme une grenouille. Il me culbute brutalement sur le lit, et sans autre forme de procès, enfile, un doigt dans ma chatte. Et puis deux. Il me baise vigoureusement. La sentence est entendue :
— Cette morue adore ça.
En effet, je suis rapidement débordée par le fourrage vicieux. Ma chatte réagit au quart de tour, vite, trop vite, détrempée pour que je puisse contredire.
— Regardez comme cette chienne se régale !
Comment contester puisque, effectivement, genoux pliés, cuisses largement écartées, avec mes bas Résille, et mes talons aiguilles aux pieds, offerte comme la dernière des salopes au vicieux godage des doigts, je me liquéfie littéralement de l’intérieure. Et les deux autres porcs se joignent à la fête, enfournent leur queue, à tour de rôle, dans ma bouche, en me tenant la tête. Maintenant, ils poussent profondément leur engin dans ma gorge, écrasant leurs couilles contre mes lèvres, riant de mes borborygmes, de la bave qui coule abondamment sur mon menton, sur mon cou.
Monsieur Paul observe en silence. Ce voyeurisme décuple mon excitation. J’exhibe ce qu’il y a de plus inadmissible en moi.
Les doigts du gros porc en chef me tringlent si intensément que ma chatte se met à gicler. Ces jets incontrôlables, cette puissante incontinence orgasmique, signifient ma disponibilité à l’outrage, autorisent toutes les outrances. Je ne suis qu’une « sale petite pute insatiable » et j’ai droit à un traitement en conséquence.
Le gros porc en chef et l’un de ces immondes complices m’attrapent, comme un sac poubelle, me retournent, écrasent ma joue contre la flaque de mouille qui macule le couvre-lit. Ils m’obligent à me ployer, à me plier à leur caprice, à genoux comme prosternée, je n’ai pas le choix, il me faut « bien tendre mon cul de chienne pour me faire troncher comme je le mérite ». Oui, ils annoncent la couleur :
— La chiennasse en chaleur va déguster.
Et ils tiennent promesse. À tour de rôle. Bestialement. Encore et encore. Une sacrée tringlée qui, malgré moi, m’entraîne vers l’orgasme. Et, pour le même prix, ils me fessent vicieusement, de grosses claques bruyantes, rougissante ma croupe, presque au sang. J’ai le cul en feu, je ne suis plus que de la viande crue, à consommer, à perforer.

Jusqu’à l’outrage ultime. Le gros porc en chef, sans cesser de tringler mon vagin, pousse un doigt dans mon anus. Et, je m’ouvre par là aussi. Et un deuxième doigt viole mon cul. Inutile de me débattre, mes gesticulations attiseraient d’autant leur perversion. Et la douleur ne décuple-t-elle pas la jouissance ? Encouragé par ses complices, le gros porc en chef pousse son engin dans mon fondement. Sans pitié, il fore, non pas insensible à mes hurlements, mais au contraire, motivé par mes cris...
J’ai cru qu’il allait me déchirer. Mais la souffrance se teinta progressivement de félicité, le supplice tournait au délice... Et les injures infâmes se convertirent en une vérité scandaleuse : j’aimais trop ça.
Le gros porc en chef résume la situation :
— Avec ce genre truie, tout est permis.
Il n’y avait donc pas de limite ! Car l’un des porcs s’était allongé sur le dos, et je n’étais plus qu’une poupée qu’on manipule, qu’on positionne pour que non contente d’être sodomisée, elle soit aussi, en même temps, empalée par la chatte. Gavée aussi par là ! Et bien sûr, le troisième porc s’engouffra dans ma bouche, me bâillonna avec sa pine et j’aspirai l’engin, comme la pire des chiennes, j’aspirai à être toujours plus remplie... Par tous les trous !
... Mon cul défoncé, mes entrailles fouillées, mon vagin qui comprime la pine, et par cette pression, tout mon être se dilate, jusqu’à l’explosion en des millions de morceaux, d’une densité titanesque...
... Je n’étais qu’une chose, un trou sans fond, enfin comblé... Oui, par tous les trous, une convergence de déflagrations phénoménales, intégrales... Mon corps traversé par des spasmes infernaux...
... Ce traitement innommable déclencha en moi, en rafales, des ouragans inimaginables, une jouissance incroyable de puissance et d’abjection ; abjecte parce qu’elle légitimait l’insanité des porcs...
... J’étais leur truie et la truie gueulait, couinait, enchaînait les orgasmes...
... Et la truie eut droit à une première éjaculation, au visage, impossible de détourner ma face, tellement, simultanément, j’étais secouée par les coups de boutoir dans mon cul. Le copieux maquillage de foutre, badigeon séminal, à l’odeur épaisse, collant, m’obligea à garder un œil fermé. Et la queue qui fouillait mes entrailles s’extirpa, la pine après mon fondement prit son tour dans ma bouche et parce que je ressentais le vide de ne plus être enculée, sans doute le manque, je ne pouvais que me confondre avec ce goût excrémentiel. J’étais cette tripaille, je n’étais qu’un boyau destiné, à enserrer les bites, voué à la giclée de sperme, le visage écrasé contre des couilles de porc. Je m’étouffais, vomissais presque. Il s’en foutait. Je n’étais bonne qu’à ça... Et le foutre gras, gluant, dégueulasse, gicla au fond de ma gorge, trop infect pour ne pas être, quelque part, exquis. Et le porc se vida ainsi les couilles en me bâillonnant avec sa bite. Impossible de me dégager. J’avalai jusqu’à la dernière goutte.
Mais la fête n’était pas finie. Je savais compter jusqu’à trois. Un dernier porc devait encore se vider les couilles...
Mais avant, ils s’amusent un peu. Ils me traînent hors du lit, et, alors même que je tente de me redresser, un coup de pied au cul et je m’affale et un autre coup de pied au cul pour que je ne puisse prétendre à une once de dignité et des rires odieux m’accompagnent pendant, qu’à quatre pattes, j’essaie de me soustraire à la honte, mais c’est peine perdue, ils me font à nouveau trébucher, je m’étale de tout mon long, à leurs pieds, plus bas que terre, « une serpillère », je n’ai jamais été aussi bas, jamais autant excitée. Et je n’ai pas encore touché le fond !
— A genoux, grognasse, magne-toi !

J’obéis mais un reste d’orgueil résiste à l’avilissement, je veux encore les narguer, malgré mon œil à demi collé par le foutre, malgré les dégueulasses traînées de souillures sur ma face de traînée, je vais encore les défier, et j’en paie le prix, cash, une gifle, nette, sèche, sans appel, « tiens connasse, prends ça », j’encaisse sans broncher, je ne baisse pas les yeux, je les provoque toujours, ils enchaînent les claques « sur ma petite gueule de pute », joue droite, joue gauche, puisque « la pouffiasse aime se faire baffer », ils s’en donnent à cœur joie, oui, j’aime cette détestable brûlure qui échauffe mes sens, un feu inadmissible, je suis méprisable et j’en jouis, je l’assume, la tête droite, bravade inutile car cette part minime de fierté m’est refusée :

— Mais pour qui se prend ce sac à foutre !
Les gifles et les insanités pleuvent, jusqu’à l’ultime outrage, le gros porc en chef racle sa gorge et, comme si je n’étais pas assez souillée, un mollard gluant s’écrase sur ma joue, alors, enfin, les larmes aux yeux, complètement vaincue, je baisse la tête, et reçois la troisième giclée, le dernier crachat de foutre, sur mes cheveux et sur mon front...
Les misogynes pervers annoncent qu’ils ont bien profité de la pouffiasse. Ils sont satisfaits. À quoi bon s’attarder, je n’offre plus aucun intérêt. Et Monsieur Paul n’avait pas bronché. Avant de disparaître à son tour, il me gratifia d’une ultime recommandation :
— Ne culpabilise surtout pas. Cette expérience a amplifié ta puissance de vie. Tu en sortiras grandie.
Je ne l’ai plus jamais revue.
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