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Ma 1ère expérience de soumission

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Je frappe doucement à la porte, et je rentre dans la chambre. Il m’attend assis sur une chaise de bureau.
« Entre et ferme la porte » dit-il, d’une voix ferme mais douce. Je m’exécute. « Bien. Maintenant, déshabille-toi entièrement ».
Mon cœur bat un peu plus vite, mais je savais à quoi m’attendre en rentrant ici, et je fais lentement glisser mes vêtements un à un sur le sol. Quand il ne me reste que ma culotte, je n’ose plus le regarder dans les yeux, et je baisse la tête, rougissante, en enlevant le dernier bout de tissus qui me cachait.
« Laisse-moi t’expliquer les règles : à partir de maintenant, tu es à moi, et ce jusqu’à ce que je décide que tu peux t’en aller. Tu vas obéir à chacun de mes ordres, car je suis ton Maître. Tu répondras uniquement quand je te le demanderai, en n’oubliant pas de dire « Maître ». Tout autre bruit, plainte ou gémissement est interdit, et sera puni. Tu n’es là que pour mon plaisir, rappelle-t’en. »
Je frissonne et ne relève pas les yeux.
« Avance et viens te mettre à quatre pattes, face à moi »
Je me rapproche et fais ce qu’il demande, tout en n’osant toujours pas le regarder. Je l’entends se lever et je comprends au froissement de ses vêtements qu’il est en train de se déshabiller. Il se rassoit.
« Viens me sucer », lance-t-il, autoritairement.
Je relève la tête et aperçois son sexe qui ne bande pas encore à quelques centimètres de ma tête. Excitée par la situation, je referme doucement mes lèvres autour, et m’applique à réaliser la meilleure fellation possible. Il passe une de ses mains chaudes dans mes cheveux et la referme pour se maintenir au plus profond de ma bouche. Je sens sa bite gonfler jusqu’à ce que je sois obligée de reculer pour ne pas étouffer. Je ne peux m’empêcher de pousser un petit gémissement de protestation. La sentence est sans appel :
« Qu’est-ce que je t’ai dit sur les bruits non autorisés ? Tu vas être punie. Tourne-toi. »
J’obéis, un peu inquiète à l’idée de ce qui va m’arriver.
« Je vais te fesser. Deux fois pour commencer. Et à chaque désobéissance de ta part, je doublerais la punition. Alors, ne t’avise pas de crier. »
Je serre les dents lorsque sa main s’abat une première fois sur moi. La deuxième est plus douloureuse, mais c’est supportable.

« Ne recommence plus. Tu m’as bien compris ? » « Oui … Maître » réponds-je, incertaine. « Bien. Approche-toi maintenant, je veux vérifier quelque chose ».
Toujours dos à lui, à quatre pattes par terre et complètement nue, je m’approche de son siège. Je sens sa main qui passe de mes fesses à ma chatte : il effleure à peine mes lèvres, et les écarte de son doigt avant de l’enfoncer doucement mais sans hésitation à l’intérieur de moi. Je retiens de justesse un soupir.
« Ma parole, tu mouilles comme une belle petite salope ! Il semblerait que ça te plaît de te faire dominer hein. »
Je ne réponds pas, rouge de honte. Il m’écarte les fesses pour observer toute mon intimité.
« Tu n’imagines pas à quel point j’ai envie d’éclater ton petit cul ! Mais pas tout de suite, je veux que tu me supplies de le faire ».

Je déglutis.
« Pour le moment, retourne-toi vers moi salope, et viens observer ma belle queue »
Je me replace devant lui, et observe attentivement son énorme sexe qu’il masturbe doucement dans sa main. Cela m’excite tellement, je meurs d’envie de prendre cette bite en moi, ou au moins de la lécher avec gourmandise. Mais, docile, j’attends qu’il m’en donne l’autorisation. Il peut lire mon désir dans mes yeux, et me demande
« Est-ce que tu la veux dans ta bouche ? ».
Emportée par l’envie, je lance un
« Oh oui ! » oubliant le « Maître ».
Il se fige :
« Oh oui qui ? » « Oh oui Maître » réponds-je en baissant les yeux. « Relève la tête petite insolente ! Je vais te montrer qui est le Maître ici !» rugit-il en me biflant avec son sexe aussi dur que du bois. Lorsque ma joue commence à chauffer, il se calme et se rassoit pour observer son travail. Je sens mon entrejambe brûlant se tordre d’envie. Il est si sexy, tellement autoritaire mais calme à la fois ! Et cette situation, l’atmosphère qui s’en dégage me fait vibrer jusqu’aux tréfonds de mon ventre. C’est l’une des premières fois que nous faisons ça, et si l’inquiétude était présente au début, elle a vite disparu. J’espère bien que cela ne sera pas la dernière.
Il se relève :
« Suce-moi encore, et tu as intérêt à bien t’appliquer pour te faire pardonner »
Je m’exécute avec enthousiasme. Cela dure quelques minutes, puis il m’arrête et me repousse d’une main autoritaire.
« Va te mettre à quatre pattes sur le lit et montre-moi bien tes fesses, donne-moi envie de te baiser comme la belle coquine que tu es »
Complètement trempée, j’obéis, faisant du mieux que je peux pour me mettre en valeur. Je suis prête à tout, j’en meurs d’envie. Et j’ai cru déceler un sourire satisfait sur le visage qu’il essaie de garder fermé. Je gagne en confiance et commence à onduler lascivement, toujours à quatre pattes devant lui. Je le sens frémir devant mes charmes.
Soudain, il s’approche et pose ses mains brûlantes sur mes fesses. D’une poussée, il rentre sans difficulté en moi et je me sens presque soulagée de sentir enfin son énorme sexe dans ma chatte qui le réclamait ardemment. Comme on pouvait s’y attendre – et je le soupçonne d’avoir fait exprès – je ne peux retenir un soupir de plaisir. Malheureusement pour moi, il ne plaisante pas avec ça, et s’arrête immédiatement :
« Tu n’écoutes donc jamais les consignes ? Ne bouge pas ! »
4 fois, ses larges mains s’abattent sur mes fesses qui me brûlent, mais je réussis à contenir cette douleur si excitante. « Tu es calmée ? » dit-il en reprenant sa place entre mes cuisses. Cette fois-ci, je l’ai senti venir et j’ai mordu l’oreiller pour ne rien laisser transparaître de mon plaisir, qui s’intensifie à chaque instant. Il commence de lents va-et-vient et je le prie intérieurement d’accélérer. Il a raison, je vais bientôt finir par le supplier ! Je sens qu’il est tendu au maximum, et ça ne fait que me faire mouiller encore plus. Oh, mais accélère qu’on en finisse ! Il prend un malin plaisir à forcer ce rythme lent, je le sais. Bon, je me lance :
« Maître ? Je … j’aimerais bien que vous alliez plus rapidement… enfin s’il vous plaît »
Il ricane :
« Oh je crains que ce ne soit pas possible, du moins pas par ici … »
Dans le brouillard de mon désir, je comprends petit à petit où il veut en venir. Et, face à l’ampleur de mon envie, je sais qu’il va obtenir exactement ce qu’il voulait depuis le début :
« … Enculez-moi Maître, s’il vous plaît, j’en ai très envie »
Il s’arrête, se retire et vient se placer face à moi, le sexe plus en érection que jamais.
« Qu’est-ce que tu dis petite salope ? » « Défoncez-moi le cul, je vous en supplie Maître ! » dis-je, en terminant plutôt par un gémissement qu’un mot.
Il rayonne de satisfaction d’avoir gagné, et se positionne presque aussitôt derrière mes fesses. Il appuie sur mon dos avec ses mains puissantes pour que je sois écrasée dans l’oreiller, les fesses bien tendues en arrière. Il s’approche de mon oreille, et chuchote
« Très bien, je vais t’exploser ton petit cul de chaudasse avec ma grosse bite. Je vais rentrer directement, pas besoin de lubrifier, ta petite chatte a déjà fait tout le boulot. Je t’autorise à gémir un peu. »
Je hoche la tête comme je peux, inquiète mais terriblement excitée. Je le sens qui force à l’entrée de mes fesses, qui ne résistent pas longtemps. Je gémis de douleur alors que je le sens, si gros, avancer à l’intérieur de moi. Mais déjà je m’habitue à lui, et il commence à faire ses va-et-vient sans plus s’occuper de moi. Il accélère, et je ne peux m’empêcher de lâcher quelques soupirs, au fur et à mesure que je me détends. Je sens les vagues de plaisir monter, se rapprocher.
« On dirait que ça te plaît de te faire démonter le cul ? Dis-le ! » « Oh j’adore me faire démonter les fesses Maître, mmh ! » balbutie-je dans mon oreiller.
Le verbaliser ne fait qu’augmenter mon excitation que je pensais déjà maximale, et me rapproche inexorablement de la jouissance. C’est l’affaire de quelques dizaines de secondes avant que je sente ce flot de plaisir m’envahir des pieds à la tête, je crie de manière étouffée plus que je ne gémis, mais mon partenaire semble avoir d’autres choses à penser que de me reprendre. En effet, j’ai à peine le temps de reprendre mes esprits qu’il se retire et m’ordonne brutalement de me retourner et de me mettre à genoux sous lui. Moins de deux secondes plus tard, il m’arrose de son sperme abondant, ne manquant pas au passage d’en laisser une trace dans mes cheveux.
Il sourit tendrement :
« Bien joué ma chérie ».
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