J’avais 24 ans à l’époque de ma première sodomie. Jusqu’alors, je n’avais sucé que deux hommes quelque temps auparavant. Depuis plusieurs années, j’avais envie de connaître la sensation de faire l’amour avec un mec. Cette envie avait véritablement commencé à être présente lors de mon arrivée à la fac. Par deux fois, j’avais failli avoir ma première fois alors que j’étais étudiant. La première fois, c’était après avoir discuté avec un homme via un site de rencontre gay alors que j’étais sur un ordi à la fac. Je me suis présenté chez un mec de 42 ans qui m’a ouvert la porte, mais la peur m’a fait rebrousser chemin. La deuxième fois, toujours après un échange sur le Net, je devais recevoir dans ma chambre de cité U un homme de 43 ans le jour de l’An. J’étais anxieux, paniqué, mais aussi excité. Malheureusement, il n’est jamais venu. Puis j’ai rencontré une fille et nous nous sommes mis en couple. J’ai fait taire ces envies, car je voulais rester fidèle. Puis après ma rupture, l’idée de me faire défoncer par un mec, de le sucer à fond, ont refait surface. Je me suis mis en quête de cet homme, de mon homme, qui me déflorerait. Mes deux premières expériences furent assez simples. Le premier était un homme gay dans la trentaine qui est venu chez moi une nuit à 2h du mat et que j’ai sucé sur mon lit. Le deuxième habitait dans mon quartier et je suis allé le sucer chez lui, un plan direct moi à genoux, lui assis sur son canapé. Sympa, mais j’en voulais plus. Je ne trouvais personne qui me convienne vraiment sur les tchats gays. En revanche, sur un tchat normal, un mec m’aborda et nous discutâmes quelque temps. Il m’avait envoyé sa photo et il était assez mignon, trois ans de moins que moi et il était gay. On s’est chauffé donc, mais à la fin, il me reprochait de ne jamais venir le sucer (il n’avait pas tort, mais j’étais encore intimidé par le sexe entre hommes à cette époque). Un soir, j’ai craqué et je lui ai dit que j’arrivais. L’avantage est qu’il habitait à une centaine de mètres de chez moi. Il m’a donné son adresse exacte et j’ai foncé chez lui. Même si je lui disais depuis plusieurs semaines, que je voulais être bourré comme une chienne, je souhaitais simplement le sucer, car j’avais peur de passer à l’acte. Pourtant, j’avais avec moi du gel... Arrivé chez lui, il mit un DVD gay porno à la télé et on est allé s’asseoir sur son canapé. J’ai commencé à lui caresser le sexe à travers le pantalon puis dans son caleçon tout en regardant la télé où deux mecs se suçaient. Puis, je finis par sortir sa belle bite. J’ai commencé à le branler et à lui donner quelques coups de langue. Je n’ai pu résister longtemps à le sucer. Je l’ai sucé tandis qu’il me caressait les cheveux. Que c’est bon de sucer un gros gland, d’astiquer une belle tige de chair brûlante. Je crois qu’il aurait pu en profiter et jouir dans ma bouche, se vider au fond de ma gorge, sans que je n’oppose de résistance, mais il n’en fut rien. Je l’ai sucé longtemps, d’abord assis puis il s’est levé et m’a fait sucer à genoux. Je le regardais parfois dans les yeux, le voyant prendre du plaisir. Il me répétait que je suçais merveilleusement bien malgré mon inexpérience. D’un coup, il m’a demandé si je voulais me faire prendre. Instinctivement, j’ai répondu OUI !!!!! Nous nous sommes déshabillés puis il m’a demandé de me mettre du gel. J’ai appliqué le gel sur mon petit trou, faisant pénétrer deux puis trois doigts pour bien m’ouvrir. Il me regardait me doigter tout en se branlant. Enfin, il prit un préservatif et se le mit. Il présenta sa queue pour que je le suce encore et applique du gel. Il me retourna ensuite à quatre pattes sur le bord de son lit qui était presque au ras du sol. Puis me pénétra. Sans ménagement, il s’enfonça en moi, me possédant, me bourrant le cul comme je lui demandais dans nos échanges sur le tchat. Je ne pourrais décrire la jouissance que j’ai retirée à me faire prendre comme une bonne salope, entre plaisir et douleur. Je sentais sa queue me prendre toujours plus profondément, son gland cognait toujours plus loin, me déchirant le cul. Moi je criais ma douleur et mon plaisir. Tantôt, il se tenait derrière moi, ses mains sur mes hanches, tantôt il se collait à moi et effectuait un mouvement de bassin fort et rapide qui me défonçait encore plus. Il était très excité par mon joli cul cambré et rebondi de salope. Malheureusement, des amis devaient passer pour l’amener en soirée et il ne pouvait faire durer ce moment plus longtemps. Il me demanda où je voulais qu’il jouisse. Je lui répondis que je voulais le sentir en moi lors de sa jouissance. Je me mis sur le dos, levai mes jambes et il vint me prendre comme si j’étais sa femelle. Quel bonheur de voir ce mâle pendant qu’il me possède, ne cherchant qu’à m’utiliser comme vide-couilles. Là encore, ses coups de reins me labourèrent. Il ne tarda pas à jouir tandis que j’écartais au maximum mes jambes pour le sentir bien au fond de mon cul. Il se leva et partit à la salle de bains tandis que je restais allongé, nu, défoncé, en me branlant jusqu’à m’éjaculer sur tout le torse. Je partis de suite sans demander mon reste avec les compliments de mon bel apollon qui me complimenta sur ma pipe et mon beau cul de salope... Je ne l’ai plus revu sur le tchat. C’est bien dommage, car j’aurais aimé qu’un soir, il me défonce encore plus longtemps !!!! De mon côté, je rejoins également des amis, ignorant que, quelques dizaines de minutes avant de les rejoindre, un mec avait fait de moi sa salope, sa queue bien au fond de mon cul...
