Je vais ouvrir à contrecœur, mais c’est peut-être important. — Bonjour tu vas bien, je ramène le matériel que je t’avais emprunté pour mes travaux.— Bonjour Serge, oui, je vais bien. Tu veux un coup de main ?— Non, Isa est là, elle va m’aider, on en a pour deux minutes. Et merde, je n’en ai pas besoin de mes outils. Ce sont des amis de longue date, Isa et Serge. Couple très sympa et libertin, pas de souci avec eux, ils ont l’habitude de me trouver dans des situations un peu olé olé. Donc pas de chichis. — Voilà, on les dépose ou ?— Entre, mettez-les dans le coin du salon. Et bonjour Isa, un coup de main.— Non, avec les roulettes ça va tout seul et puis Serge porte le plus lourd. Nous entrons dans le salon et surprise, Zora n’est plus dans son fauteuil. Bordel qu’est-ce qui lui a pris, elle a désobéi, elle va encore s’étonner de recevoir une punition. — Tu es seul, F n’est pas là.— Si Isa, cette pétasse est là et ce n’est plus F, mais Zora, j’ai commencé son dressage.— Ah et bien, vu ta tête, çà n’a pas l’air de fonctionner très bien.— Je vais régler le problème, asseyez-vous, j’arrive dans deux minutes. Elle doit être à l’étage, lorsqu’elle a entendu qu’ils allaient entrer, elle a dû se réfugier en haut.En effet, elle est dans la chambre, occupée à enfiler une robe.— Zora, ici.— Oui monsieur.— Qui t’a autorisée à quitter ta place dans le fauteuil.
— Mais il y aJe ne lui laisse pas le temps de terminer. Deux gifles lui remettent les idées en place.— Tu te remets en tenue et tu descends reprendre ta place, chienne.— Mais, je Deux nouvelles gifles.— Tu n’as pas compris, je ne parle pas correctement le français. En tenue et reprends ta place en bas.— Oui, monsieur.— J’aime mieux cela, Zora.Je descends, tu as deux minutes sans quoi tu sais ce qui arrivera. Je rejoins Isa et Serge.— Elle arrive, elle a pris peur en vous entendant.— On ne mord pas pourtant. Zora descend et reprend sans un mot sa place sur le fauteuil. C’est à ce moment que je me rends compte qu’elle doit avoir un moyen d’ouvrir le cadenas. Elle pensait me rouler, patience, ma vengeance sera terrible. Ce geste, elle va le regretter, mais lorsque nous serons seul.Je lui remets sa chaîne et lui flatte la croupe.Isa n’arrête pas de la mater, je sais qu’elle est bi et aime bien dominer.Serge lui ne sait ou regarder, pas dans ses habitudes ça. Il doit y avoir un problème. — Et bien Serge, tu es gêné? Et là, Isa me répond qu’il a fait des conneries et qu’il est puni.Je pars d’un éclat de rire, Serge puni, la bonne blague.— Non, explique-moi, qu’est ce qu’il a bien pu te faire pour qu’il soit maté de cette manière.— Et bien, il m’a trompé ce petit con, et il pensait que je n’en saurais rien.— Je ne comprends pas trop bien votre cas à vous deux.— Et bien, ce petit malin a levé une petite jeune à son boulot, mais comme il est con comme un manche, il lui a filé son numéro de G et je suis tombée sur différents messages qui ne m’ont pas du tout plu.— Et c’est tout.— Non, je lui ai dit de faire ses valises et de partir de la maison.— Apparemment ce n’est pas le cas, il est toujours là.— Oui, il a pleuré, m’a suppliée de le garder, qu’il ne recommencerait plus. Donc, je lui ai laissé une chance, mais en contrepartie, il est devenu mon soumis.— Lui soumis, tu plaisantes, vous me faites marcher tous les deux.— Non, la preuve, Serge, à poils.— Oui maîtresse.— On va faire de vous un beau petit couple de soumis. On vous laissera peut-être même copuler ensemble si vous êtes sage. Je ne m’attendais pas du tout à me retrouver dans cette situation. — Serge, prends le second fauteuil et installe-le à côté de celui de Zora et prends la même pose qu’elle.— Oui maîtresse. Et voilà Serge et Zora, l’un à côté de l’autre. Beau tableau.— Oh Isa, je ne voudrais pas te contrarier, mais Serge est en train de bander.— Je suppose qu’il bande car ta salope doit être en train de mouiller et de dégager une odeur qui l’excite.Je passe la main entre les jambes de Zora et effectivement, elle coule, ses lèvres sont humides, la situation doit l’émoustiller. — Bien Isa et comment allons-nous résoudre ce problème.— Toi je ne sais pas, mais pour Serge, on va vite régler cela. — Tu as une corde ou des liens ?— Non, rien de cela, Zora n’en est qu’a ses débuts, je dois encore faire l’achat de divers moyens de contention.— Pas grave, on va se débrouiller. Et Isa se dirige vers les boîtes à outils. Elle les ouvre et commence à fouiller dedans. Bon dieu, elle ne va pas lui arracher les couilles à la tenaille. Je sais qu’elle peut être excessive par moment et pas envie d’un carnage à la maison. — Voilà, j’ai trouvé ce que je cherchais. — Oui et qu’as-tu trouvé?— Ca, c’est un moyen qui fonctionne bien pour attacher un soumis. Imagination fertile de femme, elle tient en main une poignée de collier de serrage en plastique. — Regarde, tu en prends un et tu attaches une des mains à sa cheville. Puis tu recommences avec l’autre main.— Pas bête, c’est comme la police avec des manifestants en un peu plus hard.— J’en profite pour attacher Zora comme Serge, si tu veux.— Oui, je vais profiter de ton expérience et il y en a plus dans deux têtes qu’une seule. Isa attache Zora comme Serge. Bon, les voilà bien maintenus, par quoi allons-nous continuer.Même pas le temps de faire une proposition, qu’Isa passe un collier autour des couilles et de la bite de Serge et serre ce dernier. Elle se dirige ensuite vers Zora et me demande de lui étirer et presser un sein. Sitôt fait, elle enserre celui-ci avec un collier et serre. Son sein est prisonnier de cet anneau.— Voilà, un de fait, on passe au second et ensuite nous verrons ce que nous réservons à ce petit couple. Voici une après-midi qui s’annonce torride.
