Ce matin, le jour est déjà bien entamé et nous sommes tous les trois dans le séjour pour attendre nos amis. Nous sommes dans une posture très chaude, spécialement pour eux. Ber est assis dans un fauteuil et ma fille et moi sommes devant lui en train de le sucer tranquillement pour ne pas précipiter les choses. Quand ils nous rejoignent, ils ont fait l’effort d’être à poil dès le lever mais sont tout de même surpris de nous voir dans cette configuration. Les ayant entendus arriver, je me retourne :— Oh, vous voilà ! On s’occupait un peu en vous attendant pour le petit-déjeuner. Comme si tout était normal, je me lève et vais à la cuisine préparer le nécessaire. Au passage, je constate que François commence à bander en regardant Lola continuer à sucer son père. Quand je reviens avec un plateau bien garni, je leur précise que vu l’heure, j’ai plutôt préparé un gros brunch. Ber a attendu mon retour avant d’éjaculer dans la bouche de Lola. Je me doute qu’il commençait à en avoir assez de se retenir depuis aussi longtemps. Il laisse notre fille le terminer correctement et lui dit :— Si tu t’occupais un peu de notre invité ? On va pas le laisser dans cet état, hein ? Elle se dévoue volontiers et va gober le gland de l’intéressé sans qu’il ne fasse un geste pour l’en empêcher. Il tient moins la distance car il est excité à mort et ne tarde pas à gicler à son tour. Martine a laissé faire car elle nous connait déjà bien. Pour calmer un peu l’ambiance, je les invite à venir s’assoir avant que ça refroidisse. Une fois restaurés, il est déjà le milieu de la journée. Martine m’aide à débarrasser et vient avec moi à la cuisine pour faire une rapide vaisselle. Elle profite qu’on est seules pour me questionner sur ce qu’il s’est passé depuis hier :— Dis donc, si je m’attendais pour ta fille…— On s’entend bien avec elle, oui.— Un peu plus que ça, non ?— Oui, on aime bien se faire plaisir, et ça fait de mal à personne. Quand nous revenons, les trois autres se sont déplacés vers la terrasse pour un premier bain. Nous les rejoignons mais tout reste tranquille. La sonnette d’entrée retentit et je sors de l’eau en disant à nos invités :— Ça doit être Julien. c’est le copain de Lola. Il habite dans le lotissement. Ne vous dérangez pas pour lui, il connait les habitudes de la maison. En effet, je reviens avec Julien que j’ai briefé et qui s’est lui aussi mis à poil. Après les présentations il s’installe dans la piscine avec nous. Nous barbotons. Puis nous sortons et nous installons tous sur des matelas au soleil pour sécher. Les trois queues sont au repos et nous ne faisons rien pour le moment pour les réveiller. Puis les dernières gouttes disparaissent et la peau commence à ressentir la chaleur. Je décide qu’il est temps de passer à autre chose. Je propose à Martine de lui passer un peu de protection solaire. Elle accepte et comme elle est sur le dos, elle commence à se redresser pour se tourner, mais je la stoppe et la fais se recoucher. Je commence à lui enduire les jambes, puis je remonte sur ses cuisses jusqu’à ses hanches. François qui est allongé à côté d’elle me voir remonter, à cheval sur les jambes de ma collègue et déplacer mes mains vers son ventre. Je descends ensuite sur son triangle dont je n’oublie aucun repli, surtout sa fente qui est visible sous son ticket de métro. Ça remet progressivement son compagnon en érection qui a l’air de ne pas savoir comment faire vu la présence de notre jeune voisin, mais son regard rencontre le mien et je lui fais comprendre par un petit clin d’œil que ça ne le dérange pas plus que nous et donc il se laisse aller. Sa bite vient se poser sur son ventre et continue de raidir.
Lola lui demande alors si ça lui plairait qu’elle lui passe un peu de crème aussi. Il ne refuse pas, ayant déjà eu un aperçu de notre liberté dans ce domaine. Elle se retourne et vient le chevaucher elle aussi sur les jambes pour commencer par les pectoraux. Ses poils du torse commencent à briller dans la lumière. Pendant ce temps, je me suis déplacée et je suis maintenant au-dessus de la tête de Martine, lui malaxant les seins avec mes mains toutes grasses. Je me penche un peu plus et me laisse descendre. Ma chatte vient en contact avec ses lèvres et ma bouche va à la rencontre de son clito. François est pris entre ce soixante-neuf sous ses yeux et Lola qui lui enduit à deux mains la tige et les couilles sous les yeux de son petit ami. Elle ne tarde pas à se servir de cet engin bien préparé en s’avançant juste assez pour s’empaler dessus. Il se laisse volontiers chevaucher par sa jeune cavalière. Dans la foulée, Ber apparait dans mon champ de vision et je lui laisse la place pour qu’il se positionne et embroche Martine. J’entend un faible bruit de mouvement derrière moi et je sais très vite de quoi il s’agit. Je sens le doigt de julien qui me lubrifie la fente de l’anus au clito avec ma mouille. Et comme il me connait, il sait que je n’ai pas besoin de longs préliminaires pour ça. Il présente son gland contre ma chatte et pousse. Son gland passe l’entrée et le reste suit. Pour ne laisser aucun doute à François, je commente ce qu’il se passe :— Oh oui, baise-moi à fond ! La langue de Martine qui continue à me lécher le clito combinée aux coups de reins de Julien me font venir assez vite. Je le repousse et fait rouler sur le côté notre duo lesbien pour que ma collègue se retrouve dessus. Même s’il n’en a pas besoin, je dis à Julien :— Allez, pas tout pour moi, fais-la profiter elle aussi. Il avance son gland vers la chatte de Martine et je prends sa matraque en main pour la lubrifier en la promenant sur sa fente avant de la diriger bien en face de l’anus. Martine sent le contact contre son agneau plissé mais ne dit pas non. Il pousse et ça rentre sans trop d’efforts.Il entame des va-et-vient qui le font pénétrer progressivement à chaque aller, jusqu’à venir buter sur ses fesses. Puis il continue sur un rythme pas trop rapide, histoire de bien lui faire sentir les coulissements. De son côté, Ber qui se retrouvait disponible vient derrière notre fille qui galope sur François et la fait un peu stopper, le temps de l’enfiler en double. François n’en peut plus et prévient Lola qu’il va tout lâcher. Elle saute en marche et se penche pour le terminer entre ses seins. Il a encore de bonnes réserve car un peu de sperme dégouline de la poitrine de notre fille jusque sur celle de son étalon. Martine les suit de près en râlant longuement à l’arrivée de son orgasme. Il ne reste plus que Ber et Lola qui n’ont pas encore joui. Comme il avait été éjecté en même temps que François, il investit à nouveau son cul qui n’a plus besoin de lubrifiant artificiel et il accélère pour terminer la séance. Elle l’encourage :— Oh oui, défonce-moi le cul. Tu sais que j’aime ça ! Elle continue à commenter puis change de registre et nous fait savoir qu’elle est arrivée au terminus. Ber n’a maintenant plus de raison de se retenir. Il se retire et se branle pour enfin éjaculer sur son dos et ses fesses. Il se passe un bon moment où chacun reprend ses esprits. Puis Lola va se doucher pour enlever la semence qui lui tapisse le côté pile, accompagnée par Julien. En l’attendant j’entraine Martine dans la piscine pour se donner un coup de fraicheur et les deux hommes nous y rejoignent. François rompt le silence en me lançant :— Eh ben dis donc ! Sacré famille… Et même le petit copain de votre fille !— Oui, on se prive de rien et tout le monde y trouve son compte.— J’étais loin de m’attendre à ça en arrivant hier.— Oh, dis pas que tu avais jamais fait ça en groupe.— Ben non. J’en faisais le fantasme depuis longtemps, mais j’ai jamais osé en parler avec Martine. Ni non plus à mes anciennes partenaires.— Et voilà, surprise ! Maintenant c’est fait. Nous en rions et Lola et Julien qui reviennent de la douche nous demande pourquoi. Nous leur expliquons et ils rient avec nous. Comme l’ambiance n’est plus tournée vers le sexe, je suggère qu’on se repose pour être de nouveau en forme pour la soirée. J’annonce que demain ma cousine doit venir nous voir avec ses enfants et ma tante, ainsi que son copain :— C’était prévu avant de savoir que vous alliez venir. Alors j’ai pas décommandé. Mais pas de soucis, ils ont tous l’habitude d’être à poil quand ils sont ici. Je ne leur précise pas que ça va beaucoup plus loin avec eux aussi pour garder un peu de surprises. Puis en fin d’après-midi, Julien nous quitte pour rejoindre sa mère. Ce soir après le dîner, nous reprenons les festivités. Nous en profitons un maximum sous le prétexte que demain ça ne sera pas possible avec tout le monde présent. Donc cette fois, plus de retenue pour personne. Nous avons toutes les trois droit à un sandwich et c’est Ber qui se met au sol pour offrir son pieu dressé à notre chatte. François est tout heureux de pouvoir expérimenter cette combinaison et d’avoir en plus droit à l’entrée de service à chaque fois. Puis, tout le monde va au lit, chacun de son côté.
A suivre…
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