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2020... le week-end de la Pentecôte

Chapitre unique

Erotique
2020... Le week-end de la Pentecôte...

Après un début d’année assez difficile pour cause d’épidémie venue de Chine, nous avions dû réorganiser la maison d’édition dont je suis le directeur financier... Les nouveaux manuscrits parvenaient difficilement et ensuite, après une première lecture rapide, nous devions les adresser aux lecteurs et lectrices attitrés... souvent par des porteurs !
L’activité avait repris cahin-caha et désormais nous pouvions souffler un peu... la vente par correspondance marchait bien et les libraires commençaient à reprendre leurs commandes...

C’était le dernier week-end prolongé avant l’été... Je voulais quitter Paris pour profiter de ces trois jours pour aller me détendre sur la côte normande... J’avais tout prévu comme quitter mon boulot en milieu d’après-midi du vendredi pour échapper aux traditionnels bouchons de l’autoroute avant de gagner la province. Je n’avais qu’un léger bagage fait de vêtements confortables adaptés à la saison... Il faisait déjà chaud en cette fin de printemps. Pour être tranquille, j’avais retenu une suite à l’Hôtel Mercure de Port en Bessin que je connaissais pour y être déjà venu il y a quelques années... et je savais que j’y serais bien, au calme, et que, si je le souhaitais, je pourrais bénéficier du spa situé au sous-sol et éventuellement (sur rendez-vous) me faire masser...
Dès que je suis arrivé à l’hôtel, j’ai confirmé au concierge que je repartirais dès le repas du lundi midi, mais que je libérerais ma suite en fin de matinée... Un groom s’est saisi de ma valise et m’a guidé vers la suite qui donnait sur la plage et le boulevard... Je passe volontiers sur la description des lieux, mais j’y serais bien...

Après une rapide installation, je me suis changé pour des vêtements plus adaptés à la soirée (pantalon en flanelle grise, polo siglé, chaussures confortables et blazer) puis je suis redescendu au lounge pour dîner... Je ne sais pourquoi, mais toutes les tables étaient prises ou presque et un pianiste jouait d’une manière décontractée des airs du répertoire actuel. Certainement que beaucoup de convives voulaient profiter de cette coupure après les longs mois de confinement...
Installé à une table pour deux dans un angle, j’avais une vue imprenable sur l’entrée de la salle et c’est en dégustant mon dessert et un café décaféiné que je la vis entrer : altière, entièrement vêtue de cuir noir – pantalon ajusté, veste un peu longue ceinturée à la taille, mais ouverte vers le haut sur un chemisier en soie aux tons mordorés - des cheveux roux flamboyants tombant sur ses épaules : Elle se savait belle, mais certainement farouche (peut-être inaccessible ?) et savait se faire admirer... De loin, je lui donnais une petite trentaine d’années, mais peut-être un peu plus... allez savoir...
Elle parlementait avec le maître d’hôtel qui vint bientôt vers moi :
— Accepteriez-vous quelqu’un à votre table ? Vous avez presque terminé votre dîner...— Si c’est pour la personne avec qui vous parliez à l’instant, je me ferai un plaisir de l’accepter à ma table...
La cause était entendue...
— Samantha... merci de m’accueillir à votre table...
— Mais c’est un honneur... Vous êtes bien jolie... Prenez place...— Vous êtes sympa’... j’arrive à l’improviste dans ce coin de France que je ne connais pas... Comme vous pouvez l’entendre, j’ai un accent méridional assez prononcé !!!— Il est charmant... Si ce n’est pas être trop curieux... d’où venez-vous ?— De Marseille... J’en ai eu assez de toute cette population cosmopolite et de toute cette violence qui règne dans cette ville !!!— Et vous faites un break ?— Oui... en quelque sorte ! Je m’offre un week-end de détente... Je reprendrai l’avion à Paris lundi soir...— Si je comprends bien, vous êtes venue de Paris par le dernier train ?— C’est cela... Tout s’est bien enchaîné ! Les réservations sur un coup de tête ont bien fonctionné... Par contre, je n’ai pu obtenir qu’une chambre au dernier étage...

Après avoir passé la commande de son dîner, Samantha sembla se détendre, elle avait posé sa veste sur le dossier de sa chaise et par l’ouverture de son chemisier, je pouvais distinguer l’amorce de la vallée séparant deux seins que je jugeai assez volumineux... deux beaux fruits venus du sud... certainement gorgés de soleil...
Comme je me trouvais en charmante compagnie, je n’étais pas pressé de regagner ma suite et nous avons commencé à bavarder comme deux vieux amis... Nous parlions de nos métiers respectifs et de leurs contraintes, de notre vie à Paris et à Marseille, de nos goûts et de nos désirs...
— Oh, mais je vois bien où tu veux en venir... Tes coups d’œil indiscrets dans mon décolleté... Serais-tu un tantinet coquin ?— Oh, excuse-moi, mais c’est si tentant ! Coquin, peut-être, amateur de jolies femmes, certainement et je te trouve TRES jolie...— En plus... tu es un flatteur ! Ca ne me gêne pas ! Une femme aime bien les compliments...

Sans le vouloir, nous étions passés au tutoiement... et nous avons continué à bavarder si bien que nous nous sommes bientôt retrouvés être les seules personnes attablées dans cette salle de restaurant.
La compagnie de Samantha était agréable, elle n’avait rien de celle des personnes de son âge qui parfois sont complètement écervelées, ne pensant qu’à leur petite personne...
Elle me parlait de son boulot de capitaine de police et de la difficulté qu’elle avait eue à faire sa place de ce milieu où le machisme était très présent, de sa vie amoureuse assez décousue entre Frank, son ami médecin et amant occasionnel qui aurait bien voulu l’installer dans sa grande demeure et Rico, avec lequel elle avait fait un assaut à la salle de sports et qui l’avait « sautée vite fait sous la douche ». Ce Rico qui lors d’une affaire au printemps, l’avait protégée des balles tirées en sa direction par une sœur acariâtre qui n’acceptait pas que des femmes tournent autour de lui...
Elle me parlait aussi de sa chienne Terreur pour laquelle elle avait beaucoup d’affection et qui le lui rendait bien... Elle me disait aussi comment sa chienne avait adopté ce chat borgne qui lui avait tenu compagnie pendant des heures difficiles.
Je laissais parler Samantha qui, me semblait-il, avait envie de parler et en quelque sorte se vider l’esprit de ses soucis quotidiens...
— Et toi ? Je parle et tu m’écoutes, mais je ne sais rien de toi... Que fais-tu ? Tu sembles bien seul toi aussi !— Oh, il n’y a pas grand-chose à dire... Je m’offre un week-end de repos après un début d’année difficile à la boîte... Je suis seul effectivement, mais cela ne veut pas dire que je mène une vie d’ermite...— Je suis certaine que tu es un redoutable séducteur...— Oh, j’ai effectivement des opportunités avec certaines auteures qui, pour me convaincre d’appuyer la publication leurs écrits, m’invitent au restaurant et à partager leur lit pour une soirée... mais depuis deux ans, je n’ai pas de compagne si c’est cela que tu veux dire... Carolyn avec qui je vivais depuis plusieurs années est repartie aux States... Tu sais, à bientôt quarante ans et après un divorce assez difficile avant trente ans, je n’ai plus envie de me compliquer la vie... Je prends ce qu’elle m’offre !— C’est effectivement une bonne philosophie... Bien, je crois qu’il est temps de quitter les lieux... Le maître d’hôtel nous jette de coups d’œil désespérés...— Oui, on aura le temps de se rencontrer à nouveau demain...

Après être passée par la loge du concierge pour récupérer la clé magnétique de sa chambre, Samantha prit l’ascenseur avec moi... et au lieu de gagner son étage, elle sortit à mon niveau en disant :
— Je n’ai pas envie de dormir seule... Si tu m’offrais l’hospitalité ?

Que répondre à une telle proposition faite par une jolie femme ? La soirée au restaurant avait été agréable, mais il ne m’était jamais venu à l’idée d’inviter Samantha à partager ma chambre...
— Comment pourrai-je refuser une telle offre... Ma suite comporte deux lits jumeaux assez larges... Tu pourras dormir dans le second...— Mais qui te parle de dormir ? J’ai envie de toi... et je pense que c’est réciproque ?— Certainement... Entrons vite et mets-toi à ton aise...

Samantha est passée rapidement dans la salle de bains d’où elle est ressortie entièrement nue... splendide naïade au corps marqué par plusieurs cicatrices, mais avec tout ce qu’il fallait aux bons endroits : la taille relativement fine dominait des hanches pleines et une fourche pubienne juste masquée par une fine bande de poils roux assez fournie... La poitrine haut perchée était comme je les aime : ronde avec une aréole bistre très foncée et un téton encore peu saillant et qui n’attendait qu’une chose : mes baisers pour les faire saillir...
— Oh... tu es splendide ! Quel cadeau tu me fais !— Alors on est faits pour s’entendre... Si tu me montrais ce que tu caches encore...— Approche-toi et je te laisse aller à la découverte... Tu seras peut-être surprise...— Qui vivra... verra !

Samantha s’approcha de moi et passant ses bras autour de mon cou, elle me tendit ses lèvres... Je sentais son parfum un peu musqué et son corps qui ondulait contre le mien... puis elle ôta tous mes vêtements et lorsqu’elle fit glisser mon boxer, elle dit à mi-voix :
— Oh... je sens que je vais me régaler !
Et elle emboucha aussitôt mon sexe qui n’en demandait pas tant ! Je bandais déjà à moitié, mais la bouche onctueuse et chaude de Samantha qui suçait mon sexe comme on suce une glace eût vite fait de me mettre au mieux de ma forme...
— Ça... c’est pour te remercier de ton hospitalité... Si tu t’occupais de moi ?— Mais bien sûr... Je sais par quoi commencer !— Alors... qu’attends-tu ?

Avait-elle deviné quelles étaient mes intentions ?
Samantha s’allongea en travers d’un des lits, les pieds posés sur le parquet, les cuisses légèrement entrouvertes, la main droite cachant l’orifice de sa fourche intime et la gauche posée en travers de sa poitrine. Elle m’attendait, une mèche de ses cheveux roux masquant une partie de son visage... Elle attendait mes initiatives !
Je m’agenouillai entre ses jambes et, posant mes mains à la hauteur de ses hanches, je plongeai littéralement sur cette petite bande de poils roux et je commençai à sucer le bourgeon de son clitoris qui saillait entre ses lèvres intimes : le parfum musqué était plus présent...
Pendant plusieurs minutes, je m’appliquai sur le sexe de Samantha qui bientôt entra en transe, serrant ma tête entre ses cuisses au moment où le plaisir l’emportait...
Et moi, quelque peu émoustillé par ce que je venais de faire, je bandais comme un cerf en rut, la bite dressée sur mon pubis, prête à une estocade qui à n’en pas douter, était proche.
— S’il te plaît... Prends-moi... Je t’attends !

Samantha n’a pas eu à le dire deux fois... Rapidement couvert, je relevai ses jambes pour les mettre sur mes épaules et d’une seule poussée, je me suis introduit dans sa chatte qui était nappée de cyprine... Je voyais sa poitrine bouger suivant mes coups de boutoir, mais cette coquine ne me laissait pas voir ses yeux, je ne pouvais pas voir le plaisir monter dans son regard jusqu’au moment où elle a décidé de m‘accompagner en bougeant son bassin et que la jouissance nous emporte... J’ai laissé ses jambes redescendre le long des miennes et nous avons savouré notre plaisir... Nous étions bien...
Et nous avons remis le couvert : Samantha s’est mise à quatre pattes, m’offrant la vision de ses jolies fesses et m’invitant à la saillir (ce sont ces propres mots) comme une salope... Il ne fallait pas me le dire deux fois ! Sam était véritablement bandante et je m’empressai de lui donner satisfaction en oubliant de me couvrir... Je lâchais d’abondantes giclées de sperme au fond de sa chatte très humide !

Bien qu’il y ait deux lits dans la suite, Samantha s’est couchée à côté de moi... Nous étions un peu serrés, mais qu’est-ce que c’était bon de sentir son corps alangui dans mes bras, ses fesses dures et musclées contre le bas de mon ventre... Nous nous sommes endormis ainsi, épuisés par nos voyages respectifs et nos joutes coquines... Ma dernière observation consciente : Il était presque une heure du matin !!!

Etant d’une manière quasi habituelle « un lève-tôt » je n’osais bouger lorsque je me suis éveillé... ça faisait bien longtemps que je n’avais pas eu le privilège de me réveiller avec une conquête entre mes bras... Carolyn était bien loin désormais... avec les autres, je m’étais esquivé presque aussitôt notre satisfaction trouvée !
Mais Samantha dans un demi-sommeil se pressait contre moi, je sentais ses petites fesses dures chercher la sensation de mon sexe dressé contre elles et elle bougeait de plus en plus comme si elle avait voulu m’exciter davantage... et moi, je sentais que mon sexe était de plus en plus rigide jusqu’au moment où Samantha s’est retournée pour me tendre ses lèvres en disant :
— Aime-moi... ça fait si longtemps que je n’ai pas fait l’amour au réveil...— Bonjour belle rousse... Bien dormi ?— Oh oui... mais je sens que le réveil sera encore meilleur...— Laisse-moi me couvrir et je suis à toi !— Non, c’est inutile après cette nuit... Je vois que tu es en forme... Prenons notre temps...

Et nous avons pris notre temps et changé de position à plusieurs reprises...
Après une « paresseuse » pour faire monter le désir de l’un et de l’autre, Samantha m’a, en quelque sorte, désarçonné et se mettant à quatre pattes au milieu du lit, elle m’a demandé de la prendre en levrette... Je n’avais pas débandé et je lui donnai satisfaction aussitôt... Je logeai mon sexe dans sa chatte et, collé contre ses fesses, je recommençai à aller et venir dans cet antre chaud et humide qui en serrait bien mon membre... Je sentais que mon plaisir montait, mais je voulais arriver en même temps que Samantha... si bien que je lui ai offert de changer une nouvelle fois de position pour qu’elle vienne me chevaucher et ainsi, sentir mon sexe au fond du sien...
— Oh oui... Je vais prendre mon plaisir ainsi... et je pense que pour toi, ce sera bon aussi !

Et dès que j’ai été sur le dos, mon sexe pointé vers le haut, Samantha m’a enjambé et lentement, elle s’est empalée sur mon sceptre dressé comme si elle voulait sentir son vagin se mouler sur moi... Les mains posées sur mon buste, elle a commencé les mouvements alternatifs, mais cette coquine laissait refluer son plaisir quand celui-ci devenait trop prégnant ou qu’elle sentait à mes réactions que moi aussi j’étais prêt à me déverser en elle... Et cela a duré un certain temps jusqu’à ce que nous n’en puissions plus d’attendre !

Nous étions samedi en milieu de matinée et pendant tout ce week-end prolongé, nous ne nous sommes pas quittés... entre plages de repos ou de promenade en bord de mer et de séquences très chaudes, c’est avec regrets que j’ai déposé Samantha à Orly le lundi en fin de journée...

Ce fut un beau week-end, mais le repos escompté au départ... il vaut mieux n’en pas parler...
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