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2062 : les hommes, en voie d'extinction, sont devenus esclaves des femmes

Chapitre 1

La Trayeuse

Trash
Nous sommes en 2062.Suite à une fulgurante épidémie de Covid44, la presque totalité des hommes de la planète a péri, il y a de cela environ 18 ans, soit l’année de ma naissance. Je me serais bien passé de ce rapprochement !
Mais attention : quand j’écris que la presque totalité des hommes de la planète a péri, je ne parle pas de l’humanité, je parle bien des hommes. Les femmes, elles, se portent très bien ! Pour vous donner quelques chiffres, si cela vous intéresse, il y a actuellement sur Terre environ 120 millions d’hommes, pour près de 4 milliards de femmes.
Vous vous dites que c’est déjà franchement déséquilibré ? Attendez de lire la suite ! Car sur ces hommes, la plupart ont été rendus stériles par l’épidémie. Pour ce que j’en sais, les hommes fertiles, denrée rare, se comptent au nombre approximatif d’une centaine de milliers sur toute la planète. Tandis que les autres servent comme esclaves des femmes pour les travaux pénibles et physiques, les reproducteurs, eux, servent pour… la reproduction.
J’imagine, messieurs, que la bave vous vient aux lèvres à cette idée ? Je vous arrête tout de suite ! Oubliez les images de harems où de jeunes hommes virils copulent à longueur de journées avec des femmes magnifiques ; ça n’existe pas (ou presque, mais j’y reviendrai).
Pour le commun des mortels tel que moi, cela veut dire ceci : après l’examen de fertilité réalisé à la puberté, j’ai été conduit dans l’un des centres appelés trayeuses. Depuis ce jour, je suis parqué dans une cellule comme un vulgaire criminel, avec le droit de n’en sortir qu’une fois par jour pour subir la traite : je suis placé dans une machine qui me masturbe, tandis que des images pornographiques me sont diffusées par un casque de réalité virtuelle.
Le système est étudié pour obtenir le maximum de rendement, aussi les images diffusées sont adaptées aux vices spécifiques de la personne soumise à la traite. Ah, et j’oubliais le plus drôle : une fois par jour, nous subissons l’injection. Une piqûre de Dieu-sait-quoi nous est administrée, afin paraît-il de doper notre production de sperme.
Je ne me souviens plus exactement à quoi sont censées ressembler des testicules normaux, mais les nôtres font en général bien rire les nouvelles gardiennes lors de leur arrivée, qui les comparent à des "balles de tennis".
Mais qu’est-ce que ça peut bien être qu’une balle de tennis ?!
Voilà à quoi se résume le triste quotidien des bêtes de traite, comme nous désignent avec sarcasme les gardiennes.
Assez loin de ce que vous imaginiez, n’est-ce pas ?
Pourtant, il existe bien des endroits où la situation est différente, ou en tout cas c’est ce que racontent les légendes qui circulent ici, entre reproducteurs. Bien que ce soit officiellement interdit, il se raconte que certaines femmes très fortunées se payent parfois un fertile pour elles-mêmes.
Dans certains cas, très rares, c’est pour en faire un esclave personnel (mais alors il faut vraiment qu’elles soient très riches, vu la valeur que nous atteignons au marché noir !). Plus souvent, c’est pour servir d’esclave sexuel à un groupe de femmes, qui se sont réunies pour rassembler la somme en question. Mais dans la majorité des cas, c’est pour garnir les bordels, institutions interdites mais florissantes.
Pourquoi s’embêter à mettre des reproducteurs dans des bordels, me demanderez-vous ? Pourquoi ne pas se contenter d’hommes infertiles, qui seront ainsi obtenus à bien meilleur coût ? Tout simplement parce que les hommes stériles ont un sexe atrophié, ils sont donc inaptes à la plupart des formes de rapports sexuels (en particulier celles que les femmes ne peuvent que difficilement pratiquer entre elles, en tout cas naturellement).
Ça vous étonnera peut-être, mais maintenant que ce n’est plus possible autrement, vous n’imaginez pas le nombre de femmes qui sont prêtes à payer (très cher) pour sucer une bonne bite bien chaude, puis se délecter de la semence qui leur gicle dans la bouche. Il se raconte même que des flacons de sperme à boire se vendent une fortune ! (à consommer tiède, de préférence).
Mais tout ceci, que ce soit réalité ou fantasme, est en tout cas très éloigné de notre quotidien mécanique et cadencé de reproducteurs. Encore qu’il y ait des exceptions qui viennent rompre la monotonie, mais on s’en passerait bien…
Le jour où tout a commencé, j’ai justement subi une de ces exceptions. Je me trouvais sous la douche avec un groupe de reproducteurs qui, comme moi, s’apprêtaient à subir la traite. Soudain, trois gardiennes sont entrées dans les douches avec des matraques, et on a tout de suite su ce que ça voulait dire.
On s’est alignés le long des murs en attendant qu’elles fassent leur sélection. Parfois des gardiennes - qui en avaient marre de se contenter de vibromasseurs alors qu’elles travaillaient dans un milieu très masculin - faisaient une razzia : elles choisissaient un reproducteur, puis elles le baisaient jusqu’à épuisement.
Je sais : ça paraît cool. Mais non, toujours pas. Rien n’est cool dans mon monde !
Comme le sperme est devenu une ressource très précieuse, il est bien entendu très surveillé. En conséquence, un reproducteur a en permanence une jauge de sperme, matérialisée par un implant à la base des testicules. Les gardiennes n’ont logiquement pas le droit d’en prélever la moindre goutte et elles le savent très bien.
Alors comment font-elles ? Elles ont une solution aussi simple qu’atroce : un bloqueur d’orgasme. Le principe est le suivant : lors des séances de traite, la procédure est, comme je l’ai déjà dit, optimisée à l’extrême. Mais, contrairement à ce qu’on pourrait croire, cela ne se traduit pas par la recherche d’une éjaculation trop rapide. Enfin pas vraiment.
À l’origine de la trayeuse, les sujets étaient stimulés de manière intense lors de la traite, puis simplement parqués dans leurs cellules ensuite. Il se produirait donc un orgasme rapide, mais peu abondant.
Ensuite, les femmes à l’origine du projet avaient cherché à obtenir l’efficience maximum : une stimulation moins intense – et donc plus longue – afin d’obtenir un éjaculat plus important. Le ratio fut meilleur, mais la procédure prenait alors trop de temps.
Depuis quelques années, la traite était devenue pleinement efficace : nos passages dans la trayeuse sont désormais très rapides, mais nos éjaculations très importantes. Plus que jamais. Comment ? En étant stimulés toute la journée.
Mes journées sont désormais organisées ainsi : après la traite (qui a lieu aux alentours de 15h, selon la durée des personnes avant moi), j’ai droit au repos. Je suis parqué en cellule, puis je rejoins les autres pour le repas et, après deux heures de divertissements, je dois aller me coucher.
Dès le réveil, à 7h précises, les stimulations commencent : nous sommes réveillés par des cris de jouissance, féminine ou masculine, selon notre orientation sexuelle (jouissances enregistrées, bien entendu). Nous devons alors enfiler des masturbateurs péniens, qui nous prodiguent de douces caresses, et que nous gardons jusqu’à la traite. Puis des films pornographiques sont diffusés sur chacun des murs de notre chambre, y compris pendant le petit déjeuner et le déjeuner.
Même si les mouvements de notre masturbateur sont assez doux, il nous est rapidement difficile de contenir une éjaculation, surtout quand ils sont combinés aux images pornographiques. C’est là que les bloqueurs d’orgasme entrent en scène : intégrés directement à notre implant testiculaire, ils permettent d’empêcher totalement notre cerveau d’envoyer une consigne d’orgasme. Le problème, c’est que les informations de désir et de plaisir continuent de circuler.
Là encore, j’imagine que ça paraît cool : une branlette sur toute la journée, waouh ! Sauf que non… Je ne sais pas si certains parmi vous ont déjà pratiqué la masturbation interrompue ? En gros, ça consiste à se masturber presque jusqu’à la jouissance… puis s’arrêter. Réalisée plusieurs fois, cette technique permet d’obtenir des éjaculations dantesques, le genre qui repeint le plafond. La différence, c’est que là on ne s’arrête pas : on continue jusqu’à l’orgasme… qui ne vient pas ! Et on continue encore.
Au bout d’un moment, c’est une véritable torture : l’envie de jouir est tellement forte qu’on donnerait n’importe quoi juste pour ça : se laisser aller à l’orgasme. Mais on ne peut pas.Vous imaginez bien que, en arrivant à la trayeuse, quand que notre bloqueur d’orgasme est désactivé, la machine n’a plus grand-chose à faire pour nous vider totalement les couilles en une éjaculation monstrueuse, souvent à tel point qu’elle en est douloureuse (et néanmoins délicieusement libératrice…).
Bref, pour en revenir à nos gardiennes, elles avaient parfois le droit à deux types de bonus :
— Lorsqu’elles étaient bien notées par leurs supérieures, elles pouvaient épisodiquement surgir dans la cellule d’un reproducteur, puis le baiser après le déjeuner. C’était très pénible pour nous, puisque forcément les stimulations étaient bien plus intenses que les simples caresses de notre masturbateur, et l’envie symétriquement bien plus forte ! Mais ça allait encore, puisque ça ne durait pas trop longtemps, et on allait à la trayeuse juste derrière.— Lorsqu’elles étaient très bien notées, elles avaient parfois droit à un avantage bien plus important : notre semence. Dans ce cas, elles s’introduisaient dans les douches, juste avant la traite, puis elles choisissaient l’un d’entre nous et elles le baisaient à la chaîne... sans qu’il puisse jouir, évidemment ! Ou en tout cas, pas avant que chacune d’elles ait atteint l’orgasme, parfois même plusieurs fois… ce qui pouvait prendre des heures !
Or c’est précisément ce qui s’apprêtait à se passer…
Les trois harpies ont inspecté un moment les morceaux de viandes diversement attirantes qu’elles avaient sous les yeux, puis elles ont commencé à renvoyer la plupart d’entre nous à la trayeuse.
Mais pas moi…
À la fin, il n’est plus resté que Louis, un garçon musclé d’un an de plus que moi, et… moi.
— Arthur, tu restes là ! a soudain aboyé Sonia à mon intention.
Sonia était une jeune et jolie métisse qui semblait diriger le groupe. Âgée d’environ 25 ans, elle était accompagnée d’Amandine, une brune dans la trentaine, et de Marie, une jeune blonde qui ne devait pas avoir plus que mes 18 ans.
— Courage, vieux ! m’a lancé Louis en se carapatant, visiblement soulagé.— Attendez c’est pas juste, vous êtes déjà venues dans ma cellule la semaine dernière ! me suis-je insurgé en le regardant partir.
Amandine s’est approchée de moi, puis elle m’a attrapé le menton d’une poigne de fer.
— Fallait pas avoir cette jolie petite gueule, Turo !
Turo était le surnom que me donnaient parfois les gardiennes, qui aimaient particulièrement me torturer. Je ne pouvais pas m’empêcher de me dire que c’était parce qu’elles ne m’aimaient pas, même si elles disaient régulièrement que ma belle gueule et mon air juvénile s’accordaient si bien avec mon torse musclé et ma grosse bite – je cite – qu’elles ne se lasseraient jamais de me baiser comme – je cite toujours – la gentille petite chienne que j’étais.
Ça me fait une belle jambe !
[Au final, même si je ne pouvais pas encore le deviner, ça me ferait effectivement une belle jambe, mais je ne vais pas spoiler ma propre histoire…]
La séance de "torture" a commencé immédiatement : comme j’étais déjà nu et en érection, Sonia s’est agenouillée devant moi et elle a pris mon sexe dans sa bouche (bien stimulé, on était quasiment en érection permanente, jusqu’à la trayeuse).
C’était divin, donc atroce ! Ses douces lèvres pulpeuses me prodiguaient une caresse inimitable, tandis que sa langue se promenait le long de ma hampe avec gourmandise. Pendant ce temps, Amandine et Marie se sont déshabillées totalement, jusqu’à se retrouver nues devant moi.
Rien qu’en voyant leurs corps magnifiques offerts devant moi, tandis que Sonia me suçait avec adresse et passion, j’ai commencé à pleurer de frustration : c’était si bon, je n’en pouvais plus... il fallait que je me libère !
— Je vous en supplie, laissez-moi jouir ! les ai-je suppliées. Je vous promets que je m’occuperais de vous comme vous voulez : je vous lécherais, j’utiliserais mes doigts... Je pourrais très vite me remettre à bander, je vous baiserais pendant des heures si vous voulez ! Mais pitié, laissez-moi jouir...
Bien sûr, elles ont rigolé. Les gardiennes ne montraient jamais aucune pitié envers nous, elles avaient été éduquées pour cela. Au contraire, nous voir suppliciés était souvent un motif d’excitation supplémentaire pour elles.
— Mais tu VAS nous baiser pendant des heures, m’a susurré Marie à l’oreille.— On a toutes très envie de goûter à ta jolie queue... a ajouté Amandine en me caressant les couilles, pendant que Sonia me suçait toujours. Et ensuite on va te baiser, chacune notre tour, et on va prendre notre temps... N’espère pas t’en tirer tout de suite !— Pitié, j’en peux déjà plus ! ai-je encore tenté, mes larmes redoublant sur mes joues.
Mais cela n’a fait que les faire rire plus fort encore.
— Hmmm, j’ai jamais sucé une aussi bonne bite... a soupiré Sonia.— J’ai hâte d’y goûter ! a répondu Amandine en se léchant les babines.
Terrifié à la perspective de me faire sucer et baiser pendant des heures, je me suis débattu d’un coup vif et j’ai essayé de prendre la fuite, mais c’était peine perdue : elles s’attendaient à ce genre de tentatives et elles s’y étaient préparées !
Elles m’ont maintenu encore plus fort, puis Marie est venue se coller à moi en attrapant ma bite. Sonia s’est relevée, un vaste sourire aux lèvres, et elle s’est déshabillée à son tour. Amandine a attrapé mes mains, qu’elle a posé sur ses seins, puis la jeune blonde qui me tenait le sexe a commencé à me branler à toute allure.
Vous savez, le genre de branlette qui vous fait gicler en deux minutes chrono...
— Arrêtez, pitié ! ai-je supplié, déjà totalement vaincu par cette torture. Je me tiendrais tranquille, je vous le promets !
Mais Marie n’a pas arrêté, ni même ralenti. La pression était si forte que ça en devenait quasiment douloureux.
— Vous le croyez, vous ? a-t-elle demandé à ses collègues.— Pas du tout ! a répondu Amandine avec un grand sourire, tout en me forçant à lui caresser les seins.
Sonia n’a rien dit, mais elle s’est agenouillée de nouveau et elle a commencé à me suçoter les couilles, alors que Marie me branlait toujours.
Putain, elles vont me tuer !
Heureusement, au bout de deux ou trois minutes de cet ignoble traitement, Marie s’est enfin arrêtée.
— Tu as compris la leçon ? m’a-t-elle demandé d’une voix douce et terriblement érotique, ce qui était la pire manière de me torturer.— Oui ! me suis-je exclamé. Promis je n’essayerai plus de me sauver !— Tu as intérêt, parce que sinon on t’enferme dans ta cellule et on te baise toute la nuit.
J’ai frémi à cette terrible perspective, me promettant de me tenir à carreau. Les filles m’ont alors fait m’allonger, puis Marie s’est assise sur mon visage.
— Lèche-moi, petit salaud ! m’a-t-elle dit.
Je me suis exécuté avec empressement, conscient de la chance qui m’était offerte : un cunni est un très bon moyen de faire jouir une fille sans trop être sollicité soi-même ! J’ai donc commencé à lui titiller le clitoris avec ma langue, puis je me suis mis à le prendre entre mes lèvres pour le suçoter. Mais Marie n’était pas dupe de ma manœuvre.
— Vas-y doucement, n’essaye pas de me faire jouir ! Tu crois que je ne vois pas ce que tu essayes de faire, petite crevure ? Si tu continues, je te branle jusqu’à ce que ta bite explose.
J’ai ralenti immédiatement, puis je me suis contenté de douces léchouilles le long de sa fente humide, avec seulement quelques sollicitations de temps à autres sur son clitoris. Hors de question de subir une nouvelle séance de branlette !
— Hmmm, mon petit chien obéissant... C’est parfait comme ça, continue...
Pendant ce temps, l’une des filles - je ne pouvais pas voir laquelle - a commencé à me sucer, tandis que la dernière me suçotait les couilles. J’essayais de me concentrer au maximum sur la gâterie que je prodiguais à Marie, afin d’éviter de me focaliser sur les merveilleuses sensations que je ressentais entre les jambes.Le problème, c’est que la jolie petite chatte épilée de la jeune blondinette était tout à fait à mon goût, alors la déguster m’excitait presque autant !
J’ai soudain réalisé que c’était Amandine qui me suçait, et Sonia qui me titillait les testicules pendant ce temps. M’étant déjà fait torturer durant de longues heures par ces gardiennes, je pouvais reconnaître leurs bouches quand elles s’activaient sur ma queue...
Les minutes qui ont suivi ont été interminables. Les trois garces ne se gênaient pas pour gémir de plaisir, ce qui ne m’aidait pas à penser à autre chose (j’essayais de me concentrer de toutes mes forces pour penser à des choses non sexuelles).
Au bout d’un moment, j’ai senti que Marie commençait à se tortiller de plaisir sous les assauts de ma langue, j’ai donc pris le risque d’accélérer. Elle s’est mise à gémir de plus en plus fort, et j’ai pris son clitoris entre mes lèvres pour la finir. Trop emportée par son plaisir, elle n’a pas eu le réflexe de se retirer, si bien que je lui ai donné un orgasme apparemment très plaisant.
Je m’étais dit, un peu naïvement, qu’en lui donnant un orgasme cela lui passerait l’envie de continuer. Qu’est-ce que j’étais naïf effectivement ! D’ailleurs Sonia a éclaté de rire.

— Tu pensais que tu serais tranquille après ça ? m’a-t-elle demandé.

La jeune blonde a alors repris ses esprits à son tour : elle s’est levée et elle m’a collé une gifle d’une rare violence.
— T’es doué avec ta langue, petite merde ! m’a-t-elle craché. C’est la première fois que je m’amuse avec un mec et tu en as profité. C’était agréable mais attention, on ne te demande pas de prendre des initiatives...

Sonia s’est approchée de moi à son tour, puis elle a passé tendrement ses doigts sur la vulve épilée de sa copine blonde.
— Tu ne connais pas Marie, je crois ? m’a-t-elle dit d’une voix douce. C’est une nouvelle. Elle est belle, hein ?
Elle a caressé lentement la douce poitrine de l’adolescente, puis elle est revenue poser son index le long de sa fente humide.
— Regarde-moi cette petite chatte toute étroite... Marie est vierge, tu le savais ? Tu imagines comme ça doit être doux et chaud à l’intérieur ? Tu as envie d’elle, n’est-ce pas ?
Oh oui, j’en ai tellement envie !
Sonia a alors recueilli une goutte de cyprine qui s’écoulait du vagin entrouvert de Marie, puis elle l’a portée à mes lèvres.
— En tout cas, elle a envie de toi...
J’ai lapé la mouille qu’elle me tendait avec empressement.
J’adore le goût de cette fille...
Sonia s’est agenouillée à côté de moi, ses gros seins juste sous mon nez.
— Elle va venir s’empaler sur ta grosse bite (elle a pris la bite en question entre ses doigts, ce qui m’a fait tressaillir), puis elle va la faire coulisser lentement dans sa petite chatte toute lisse et toute étroite...
Elle a commencé à faire descendre ses doigts le long de ma bite, mimant ainsi l’acte qu’elle me décrivait. C’était tellement bon que la souffrance en devenait horrible !
— Tu imagines comme ça doit être doux à l’intérieur ? Son petit vagin tout neuf… Elle va devoir forcer pour rentrer ta bite tout au fond, il va falloir que tu écartes bien ses petites lèvres chaudes et humides...
Elle me branlait maintenant franchement, en accélérant au fur et à mesure.
— Pitié... ai-je de nouveau supplié, avec des larmes plein les yeux.— Pitié ?
Sonia a explosé de rire, bientôt imitée par ses camarades.
— Tu es un jouet pour nous, et on n’a pas de pitié envers ses jouets !— Tu ferais mieux de te préparer, mon mignon. La nuit va être longue... a ajouté Amandine, qui est venue se positionner au niveau de mes hanches.— Non, pas ça ! ai-je encore tenté.
Mais c’était peine perdue : la jeune brune s’est accroupie juste au-dessus de moi, puis elle a commencé à descendre doucement sur ma queue. Mon gland gonflé était prêt à exploser, mais il ne pouvait pas. Alors il a alors écarté lentement les chairs qui se présentaient à lui pour se frayer un passage dans la chatte juteuse de la gardienne…
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