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2062 : les hommes, en voie d'extinction, sont devenus esclaves des femmes

Chapitre 2

Le jouet des trois gardiennes

Trash
Amandine, placée à califourchon au-dessus de moi, a commencé à descendre lentement pour s’empaler sur ma bite prête à exploser. Les parois de son vagin étaient douces et serrées, mais si bien lubrifiées par notre excitation à tous les deux que la pénétration s’est faite sans aucun problème.
— Hmmm, c’est si bon ! a gémi la sadique cochonne.
Elle m’a attrapé le menton pour me forcer à la regarder.
— Je vais me faire plaisir avec ta bite : je vais te sauter pendant des heures, petit salaud !
Puis elle m’a craché dessus, avant de se laisser tomber pour s’empaler d’un seul coup sur mon membre turgescent. Nous avons poussé un gémissement en même temps, elle de bonheur et moi... c’était difficile à définir.
Elle a alors commencé à aller et venir sur moi, comme si j’avais été un vulgaire sextoy. Ses mains étaient posées sur mon torse, sa poitrine délicieuse ballottait juste sous mon nez, et son bassin montait et descendait sur ma queue au rythme de ses halètements. Je n’ai pas tenu, même si je savais que c’était la dernière chose à faire : j’ai posé fiévreusement mes mains sur ses seins pour les malaxer sauvagement.
Les trois filles ont explosé de rire.
— Ah voilà : il devient enfin raisonnable, notre jouet ! a ricané Sonia.— Vas-y, plote-moi ! a gémi Amandine en me baisant encore plus fort. C’est tout ce que tu peux faire, petit merdeux ?!
Je lui caressais déjà les seins avec une certaine hargne, rendu fou par l’excitation hors du commun qui me dévorait, mais elle était apparemment aussi excitée que moi. N’étant plus maître de ce que je faisais, j’ai obéi et je lui ai pressé ses délicieuses mamelles, si fort qu’elles sont rapidement devenues toutes rouges.
— T’aime bien sentir ma petite chatte trempée autour de ta queue, mon petit Turo ? m’a demandé Amandine en continuant à me baiser avec panache.
Je pleurais, dévoré par une atroce et délicieuse souffrance : l’excès d’excitation. J’avais tellement envie de jouir, j’aurais donné n’importe quoi pour pouvoir le faire !
— Oui j’aime beaucoup, ai-je trouvé la force de répondre. Je t’en supplie, laisse-moi éjaculer dans ton ventre ! Je te jure qu’ensuite on recommencera encore et encore.
Mais bien sûr, cette nouvelle supplique n’a pas eu plus d’effet que les précédentes, si ce n’est que mes magnifiques tortionnaires ont éclaté de rire. Amandine m’a ensuite collé une gifle, puis elle a continué à s’escrimer sur mon membre rendu douloureux à force de désir.
Chacune des aller-et-venue de sa chatte douce et juteuse me provoquait des sensations incroyables, si bien que j’étais partagé entre l’envie instinctive de participer au coït pour profiter de ce délicieux moment… et celle de penser à autre chose pour m’extraire de cette torture par le sexe.
Cruel dilemme !
Nous avons baisé, baisé, baisé, et baisé encore. Amandine était insatiable, et son imagination était sans limite. Elle m’a chevauché un moment en étant assise sur moi et en me regardant droit dans les yeux, puis elle s’est allongée sur moi avec quelque chose qui ressemblait à de la tendresse (mais de loin). Ensuite, elle s’est retournée pour me chevaucher de nouveau en s’asseyant sur moi, mais cette fois en me tournant le dos.
J’ai bien cru que nous irions ainsi jusqu’à l’orgasme de ma tortionnaire, mais non, elle a cru bon de se retirer avant.
— Ne fais pas cette tête ! m’a-t-elle dit. Tu sais, ça ne sert à rien d’essayer de nous faire jouir pour abréger tes souffrances. Même si tu y arrivais, je recommencerais à te baiser une fois que mes collègues te seraient passées dessus. On va te sauter jusqu’à épuisement Turo, fais-toi à l’idée !
Malheureusement, je savais qu’elle avait raison. Les heures qui suivraient seraient difficiles, alors autant en prendre mon parti. D’ailleurs, Sonia m’a intimé l’ordre de rester allongé sur le dos d’un simple geste, puis elle s’est installée à califourchon au-dessus de mon visage.
— Lèche-moi la chatte, petit merdeux ! m’a-t-elle dit avec une délicatesse toute relative.
Bien entendu, je me suis exécuté docilement. J’ai posé mes mains sur les fesses douces et rebondies et de la jeune métisse, puis je me suis approché pour lécher doucement ses lèvres entrouvertes. Sa vulve, déjà légèrement humide, avait un goût délicieux, et je m’en suis délecté de bonne grâce. Ses gémissements de plaisir n’ont pas tardé à accompagner mon œuvre, signe d’une certaine compétence dans ce domaine.
En même temps, combien de fois m’ont-elles déjà obligé à les lécher ? Avec les ordres ad-hoc en plus, ce qui fait que j’ai littéralement été dressé à leur service.
Soudain, un contact sur ma queue m’a presque fait sursauter : j’ai aperçu Marie du coin de l’œil, qui venait de s’emparer de mon membre et s’approchait doucement. Bientôt, elle l’a embrassé tendrement, puis elle a enroulé sa langue autour avant de le faire plonger dans sa délicieuse petite bouche.
  Elle a commencé une formidable fellation, tout en me branlant légèrement d’une main et en me caressant les couilles de l’autre. Putain, elle me rendait dingue !
Combien de temps j’arriverais à tenir à ce rythme ? J’en venais à me demander s’il était possible que ma bite finisse par exploser, ou plus prosaïquement si je pouvais faire une crise cardiaque par excès de plaisir. Mais je ne pense pas, sinon les tests qui avaient été réalisés maint et maint fois l’auraient déjà démontré.
Et si cela avait été le cas ? Après tout, qu’est-ce qu’il me prouvait que ce n’était jamais arrivé ?
J’ai laissé tomber mon monologue intérieur tandis que Marie délaissait déjà sa fellation pour venir se placer au-dessus de moi. Je me souvenais qu’elle était pucelle, et j’ai donc regardé sa chatte serrée avec une appréhension proche de l’effroi : qu’est-ce que ça devait être bon de la baiser !
Tellement bon que ça en serait probablement très douloureux…
Elle a commencé à descendre doucement sur ma bite, et la sensation était encore plus forte que tout ce que j’avais imaginé : elle était tellement étroite !
— Aaahh putain !! ai-je lâché sans pouvoir m’en empêcher.
La sensation était merveilleuse. C’était si fort que, en temps normal, j’aurais eu un orgasme immédiat et d’une intensité monstrueuse. Marie a gémi légèrement quand mon gland a buté contre son hymen, mais elle a forcé un peu et j’ai senti l’obstacle se déchirer. Emportée par son élan, elle s’est alors empalée jusqu’à ce que ses fesses reposent sur mes cuisses.
— Oh Marie, pitié, laisse-moi jouir… l’ai-je supplié, des larmes plein les yeux.
Je souffrais le martyr. Jamais je n’avais ressenti quelque chose d’aussi intense et d’aussi bon. Mais, comme il fallait s’y attendre, la gardienne s’est contentée de rire. Elle a pris mes mains dans les siennes et les a posées d’autorité sur sa poitrine.
— Caresse-moi plutôt les seins, tapette ! m’a-t-elle dit.
J’ai obéi. Ses seins étaient d’une taille et d’une forme idéale selon moi, surtout que leur fermeté et leur douceur étaient également parfaites. Marie était mon âme-sœur-sexuelle, donc autant dire la pire torture imaginable !
Pourtant, même si c’était douloureux à force d’être bon, j’étais beaucoup trop excité pour me montrer raisonnable. J’ai malaxé ses seins de plus en plus fort, j’ai excité ses tétons du bout des doigts, je suis même allé jusqu’à les pincer légèrement une fois ou deux.
— Oh oui, c’est bon… gémissait Marie en allant et venant sur ma bite.
Un coup d’œil à la dérobée sur ma verge m’a fait apercevoir les minces traces de sang qui la maculaient, signe de la perte de virginité de ma partenaire. Mais cela n’a fait qu’accroître encore mon excitation !
Je devenais fou. Fou de plaisir. Fou de désir. Fou de souffrances.
— Baise-moi bien Turo, me répétait sans arrêt Marie. Baise-moi plus fort, j’adore ça.
Alors je me suis exécuté, j’ai accompagné ses mouvements et j’ai pressé plus fort encore ses seins déjà rouges à force d’être malaxés sans tendresse.
Pourtant, Marie a posé ses mains sur les miennes pour m’inciter à continuer.
— Ne te retiens pas : pince-moi, gifle-moi. Fais-moi mal… a-t-elle encore lâchée en gémissant de plaisir.— T’aime ça quand je te malaxe les nichons comme une cochonne ? ai-je rétorqué.

J’ai lancé ça sans m’en rendre compte, complètement subjugué par l’intensité de la baise. Marie s’est arrêtée, et même ses collègues ont stoppé leurs ricanements.
Le silence était devenu assourdissant.
À notre époque, il est totalement entré dans les mœurs que les hommes sont soumis aux femmes, et nul n’ose braver cet interdit, sous peine de lourde punition. Dans ce contexte, ce genre de phrase non réclamée était une promesse certaine de nombreux et implacables tourments.
— Qu’est-ce que tu as dit ? a demandé Marie, la voix lourde de menaces.— Je... rien, je suis désolé ! me suis-je excusé platement, paniqué.
J’étais si effrayé que j’aurais presque pu en débander !
— Répète ! a-t-elle ordonné, tandis que ses collègues nous observaient avec des éclairs dans les yeux.— Je... j’ai demandé si vous aimiez quand je...
Marie m’a décoché une nouvelle baffe, le genre qui résonne dans tout l’étage.
— C’est pas ce que t’as dit, petite merde ! Répète, j’te dis !
J’ai hésité, avec la très nette impression d’être coincé entre Charybde et Scylla.
— D’accord, d’accord, ai-je enfin cédé. J’ai dit : "t’aime quand je te malaxe les nichons comme une truie ?"
Elle a recommencé à onduler du bassin sur ma queue.
— Encore ! m’a-t-elle ordonné. Et mets-y plus de cœur.
Je ne comprenais pas ce qui se passait. Était-ce un piège ? De toute façon je n’avais pas le choix...
— T’aime quand je te malaxe les nichons comme une cochonne ? ai-je répété.— Oh oui, insulte-moi... a-t-elle gémi, à ma grande surprise.
Ses deux collègues nous observaient toujours sans un mot.
— Marie ? a tenté Amandine, apparemment aussi surprise que moi.— J’aime quand il m’insulte. Laissez-le faire, a-t-elle ordonné aux autres filles.
Amandine et Sonia se sont regardées, puis elles m’ont de nouveau fusillé du regard, comme si c’était de ma faute.
Bon d’accord, ça l’était un peu.
En tout cas, je n’avais plus le choix : j’avais ouvert une porte qu’il m’était désormais impossible de refermer.
J’ai observé Marie une seconde, le temps de voir l’extase de la soumission dans ses yeux. La perspective était inédite et plus qu’étonnante ! Pour moi, une femme était dominatrice par nature, et les hommes n’étaient là que pour obéir à ses moindres désirs. Que l’une d’elle puisse souhaiter renverser la perspective, c’était une nouveauté totale et, à vrai dire, presque inquiétante.
Pourtant, une sorte d’instinct a soudain pris le dessus et, avant que je ne comprenne moi-même ce que je faisais, j’avais déjà retourné Marie sur le dos. Sans lui laisser le temps de se remettre de sa surprise, je me suis placé au-dessus d’elle pour la pénétrer de nouveau, brutalement.
— T’aime ça, salope ?
Ça me faisait bizarre de lui dire ce genre de choses, habituellement réservées aux hommes. Pourtant, qu’est-ce que c’était bon !
— Oh oui, baise-moi !! a hurlé Marie.
J’ai encore accéléré mes coups de rein, tout en lui malaxant les seins à pleines mains, si bien que je n’ai pas tardé à voir ses yeux se révulser de plaisir. Elle s’est mise à hurler de plaisir, et ce n’était pas la seule manifestation de son orgasme : un filet de mouille a commencé à me couler le long de la cuisse tellement elle en produisait.
Elle était en extase, et moi aussi.
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