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Aâmet

Chapitre 4

Divers
Chepseset Je me réveille brusquement, j’ai ma tête entre les seins d’Aâmet, elle me libère. Je me retourne pour voir Chepseset, son mari. –Bonjour Chepseset, je ne t’attendais pas avant demain, Djar t’accompagne ?–Non, il est resté à Tanis, Pharaon a encore besoin de lui.–Tu nous accompagnes ?–Non, je dois voir Amenardis, pharaon veut qu’elle rejoigne son mari demain dans la capitale, il dois rester là-bas plusieurs mois.–Et toi, tu restes à Gizeh ?–Oui, je dois le remplacer pendant son absence. Mais qui est cette servante qui te tient compagnie ?–Talya, mais ce n’est pas une servante, c’est une accompagnatrice.–Une accompagnatrice ?–Oui, une personne qui accompagne une autre personne.–Elle t’accompagne ?–Non, elle est au service d’Amenardis, elle me la prête un petit moment.–J’espère que tu ne seras pas trop égoïste.–Ne t’en fais pas, comme d’habitude.–Je vous laisse, je dois aller voir Amenardis.–Très bien, à tout à l’heure. Il repart, je le regarde, il est magnifique torse nu dans son pagne court. C’est un homme grand, il est très large d’épaules, a des muscles saillants sur le ventre et des jambes solides. Aâmet me reprend dans ses bras. –Nous pouvons encore dormir, viens contre moi, j’en ai besoin. Je me blotti contre elle, le contact de sa peau me plait beaucoup, je suis bien, calme, sereine. Elle promène lentement une main sur mon corps, je m’endors une nouvelle fois dans ses bars.
 Je suis réveillée par la bouche d’Aâmet sur la mienne, elles se soudent, sa langue entre à la rencontre de la mienne. Je réagit et la serre contre moi en répondant à sa langue. Elle me libère au bout d’un long moment, mais j’aime trop cette sensation pour me plaindre. –Allez, debout. Nous nous levons, j’aide Aâmet à s’habiller, j’en profite pour laisser traîner mes mains sur son corps ce qu’elle semble beaucoup apprécier. J’enfile ma tunique et nous allons rejoindre Amenardis, elle veut savoir ce qu’elle va faire, et si elle m’emmène avec elle. Personnellement, je préférerais rester ici, je dois dire que je me sens très bien avec Aâmet, elle m’attire beaucoup. En plus, elle a l’air de bien m’aimer, c’est un peu rassurant dans ce monde de puissants. Je viens de découvrir que j’aime caresser le corps d’une femme, surtout quand elle est belle. Elles sont toutes les deux très belles, elles se ressemblent beaucoup bien qu’Aâmet soit plus jeune de deux ans. J’aime leurs seins fermes, leurs ventres plats, leurs bas-ventre lisses et leurs fesses hautes et rondes, et j’adore l’extrême douceur de leurs peaux. Amenardis et Aâmet sont deux femmes exceptionnellement belles, mais j’ai un faible pour Aâmet, je la trouve plus attachante qu’Amenardis. Nous arrivons dans une grande pièce, nous croisons Chepseset qui vient de quitter Amenardis qui nous sourit en nous voyant arriver.  –Qu’as-tu décidé.–Je quitte Gizeh demain très tôt, je dois rejoindre Djar, mais je n’emmène avec moi que Dalila et Yéhudit, je te laisse Talya et Hayya.–Très bien, tu comptes rester combien de temps à Tanis ?–Je ne sais pas, plusieurs mois je pense, d’après ce que m’a dit Chepseset, Pharaon veut réorganiser les régions, il a réuni tous les administrateurs et les vizirs. Ce n’est pas la peine que Talya vienne demain pour mon huile, Dalila s’en occupera, elle est à toi jusqu’à mon retour, je sais que tu sauras bien l’occuper.–Merci Amenardis, j’espère que ça ne va pas trop durer, tu sais que j’ai aussi besoin de toi.–Je sais Aâmet, je sais, moi aussi j’ai besoin de toi, mais les ordres de Pharaon sont stricts, demain à Tanis.–Je te laisse à tes préparatifs, on se reverra bientôt. Nous quittons la pièce, je sens qu’Aâmet est très heureuse de la tournure des événements, nous allons chercher Hayya, elle veut qu’elle nous rejoigne tout de suite. Hayya est très heureuse que je ne parte pas avec Amenardis, elle avait peur de rester toute seule dans cet immense palais sans connaître personne, il y a plus de cent personnes au service des maîtres. Nous arrivons dans l’aile réservée à Aâmet et son mari. –Vous allez être avec moi en attendant le retour d’Amenardis, je n’ai pas besoin de vous pour les travaux de la maison, vous n’êtes pas là pour ça. Je désire simplement quelqu’un pour m’accompagner dans la journée et me rendre de menus services.–Bien maîtresse.–Non Hayya, je ne suis pas ta maîtresse, c’est toujours Amenardis ta maîtresse. Tu m’appelle Aâmet et mon mari Chepseset, compris ?–Compris Aâmet.–Allez voir Adjib, il est vers les cuisines, il vous donnera tout ce dont vous avez besoin, il faudra se changer. Vous nous rejoignez après le repas.–Très bien. Nous la quittons, Adjib est un petit homme, mais on sent très bien qu’il ne faut pas discuter, il est très autoritaire. Il nous montre les vêtements que nous devrons porter, il reste avec nous quand nous nous changeons, il semble bien apprécier de voir deux belles femmes nues devant lui à essayer des tuniques. Nous rejoignons Aâmet et Chepseset après leur repas, ils sont dans une grande salle accompagnés de quelques invités. A notre arrivée, tout le monde quitte la salle sauf eux. Aâmet se lève pour me prendre la main et m’emmener vers sa chambre, je la retiens. –Je crois que j’ai trouvé l’homme qui sera le premier pour moi, mais il faut que tu sois d’accord. Elle me regarde avec un petit sourire. –Tu pense à Chepseset je présume, j’ai remarqué ta manière de le regarder.–Oui, c’est pour ça que j’ai besoin de ton accord.–Ne t’en fais pas, nous avons parlé de toi, il te trouve très belle et je sais qu’il aimerait bien faire chanter ton corps.–Il sait qu’il sera le premier ?–Non, ce sera la surprise.–Et Hayya ?–Elle pourra rester avec toi si elle le désire, mais je pense que Chepseset voudra la faire chanter elle aussi si elle t’accompagne.–Et tu es d’accord ?–Oui, moi aussi c’est un mariage arrangé, ce sont nos familles qui nous ont unis, j’avais quatorze ans, il a cinq ans de plus que moi, mais j’ai appris à bien le connaître et je veux rester sa femme. Je ressens plus que de l’amitié pour lui et je crois que c’est réciproque. Il n’a pas de concubines, mais il partage la couche de plusieurs femmes, comme moi.–Tu as plusieurs hommes ?–Non, plusieurs femmes, j’aime qu’il fasse chanter mon corps, mais je préfère de loin que ce soit une femme, surtout quand c’est toi ? –Donc, je peux ?–Bien sûr, venez avec moi toutes les deux. Nous récupérons Hayya et allons dans sa chambre, sa couche est très grande, elle est recouverte de grandes pièces d’étoffe.  –Déshabillez vous et allongez vous sur la couche.  Une fois nues, nous nous allongeons côte à côte, mais dès que je vois le merveilleux corps d’Hayya allongé à côté du mien, je ne peux m’empêcher de le caresser, j’ai envie de lui faire ce que j’ai fait à Aâmet. Je la caresse un peu, elle ondule sur la couche, ma bouche remplace ma main pour arriver sur son bas ventre, je lui écarte un peu les jambes et m’allonge entre elles. Elle se laisse faire, ma bouche se pose sur son sexe, je la lape, je veux boire sa crème, elle a pratiquement le même goût que celle d’Aâmet. Je sens son corps se raidir de plus en plus, je n’attends pas longtemps avant d’aller lui sucer le bouton. Elle jouit beaucoup plus fort qu’hier, elle tressaille de tout son corps, j’ai du mal à rester sur son bouton pour le mordiller délicatement. D’un seul coup, elle ne bouge plus, je me redresse, elle est inerte sur la couche, je remonte le long de son corps, j’arrive sur son visage au moment où elle ouvre les yeux. Je vois Aâmet et Chepseset à côté du lit, ils semblent eux aussi un peu inquiets, mais le visage rayonnant d’Hayya nous soulage tous, elle est bien vivante.  –Ça va Hayya ?–Oui, très bien, je n’ai jamais été aussi bien. Elle m’enlace pour me serrer contre son corps, elle attire ma tête vers la sienne pour poser ses lèvres sur les miennes. J’introduire ma langue dans sa bouche qu’elle a entrouverte, sa langue commence à danser avec la mienne. Nos langue s’amusent entre elles, se câlinent, se caressent, s’aiment pendant que ses mains glissent sur mon corps, nous ne voulons pas nous arrêter. –Bon il va falloir passer à autre chose. Nous nous séparons, je me retourne pour voir Aâmet et Chepseset nus, je vois son sexe dressé vers le ciel, je sais que ça veut dire qu’il a envie d’une de nous deux, j’espère que c’est de moi. Aâmet s’allonge entre mes jambes, je sens sa langue se poser sur mon sexe, elle me quitte instantanément. –Pas besoin de la faire mouiller, elle coule comme une fontaine, tu peux y aller mon mari, mais fais attention, elle n’a jamais connu d’homme de sa vie, tu vas être le premier. Je sais que tu sais être très doux, tu me l’a prouvé quand tu as pris ma fleur il y a quatre ans.–Je vais être le plus doux possible, comme avec toi. Hayya me prend la main et la serre un peu. –Tu vas voir, c’est assez difficile, mais je suis sûre que tu vas aimer. Chepseset me regarde, son regard est franc et assez doux, je vois ce bel homme s’allonger sur moi en restant sur ses bras tendus, son sexe se frotte à ma cuisse gauche. Aâmet s’en saisi et le guide vers le mien. Le bout de son sexe touche mon sexe, il écarte les bandes de chair pour arriver vers mon trou. Je le sens s’enfoncer lentement dedans, c’est assez agréable, mais d’un seul coup, une violente douleur me fait me crisper. Chepseset s’en rend compte et s’arrête. –Tu as mal ?–Oui, mais continu, prend ma fleur, Aâmet et moi te la donnons.–Pourquoi Aâmet ?–Parce que tu es son mari et qu’elle a bien voulu que ce soit toi.–Tu es une drôle de fille toi, mais d’accord, je vais te prendre ta fleur. Il s’enfonce encore un peu, la douleur est vive, mais très acceptable, j’en suis moi-même étonnée. Je sens le bas de son ventre contre le mien, ça y est, il est complètement entré en moi, j’ai mal, mais j’aime le sentir enfoncé dans mon sexe. Je tends les bras pour l’enlacer, il se laisse tomber sur moi, je sens son corps d’homme peser sur le mien, je le serre le plus fort possible contre moi. –Fais moi ce que tu fais à Aâmet, je veux connaître l’amour avec un homme. Je sens son sexe aller et venir dans le mien, au début, c’est à peine supportable, j’ai mal, mais petit à petit, la douleur se transforme en une sorte d’onde de plaisir. Je sens mon sexe s’ouvrir encore plus, son sexe va et vient librement dans le mien, l’onde grossit dans mon ventre pour l’envahir complètement. Mes muscles se crispent, mon ventre se tend vers le sien, je donne de violents coups de rein pour le sentir encore plus s’enfoncer en moi. –Dis donc, pour une première fois, elle semble aimer, vas-y Chepseset, fais lui connaître l’illumination divine. Il accélère son rythme, je me donne de plus en plus jusqu’à que mon corps soit disséminé dans l’espace par une violente illumination qui me fait hurler. Je sens un liquide s’écouler dans mon sexe, ça décuple mon plaisir, je jouis différemment d’avec Hayya où Aâmet, mais c’est très fort, je suis anéantie de bonheur. Chepseset s’immobilise sur moi, son corps pèse sur le mien, mais j’adore le sentir abandonné sur moi. Je me détend petit à petit, Aâmet se penche sur mon visage. –Et bien, je crois que tu as aimé ce que t’a fait Chepseset.–Oui, j’ai beaucoup aimé, mais j’ai senti quelque chose couler dans mon trou.–C’est la semence de l’homme, c’est ce qu’il faut pour faire des enfants.–Je vais avoir un enfant ?–Non, ne t’inquiète pas, ce n’est pas toutes les fois, rassure toi. Je me sens mieux, j’ai eu peur bien que j’aimerais bien avoir un enfant, j’ai beaucoup aimé m’occuper de celui de ma sœur il y a quatre ans. Chepseset se retire, son sexe pend entre ses cuisses, il est beaucoup moins impressionnant, mais je dois dire que j’aimerai bien recommencer, j’ai beaucoup aimé. Aâmet vient s’allonger à côté de moi, elle me caresse les seins délicatement, comme pour me rassurer.
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