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Aâmet

Chapitre 5

Divers
Hayya –Tu recommencerais avec Chepseset ?–Oui, j’aimerais beaucoup, mais j’ai un peu mal.–Ne t’en fais pas, ça passera dans deux ou trois jours, c’est normal. Tu pourras recommencer après. Aâmet se lève pour s’allonger sur Hayya qui est restée à côté de moi, elle me tient toujours la main.  –Ça va être ton tour quand Chepseset aura récupéré, tu veux que ce soit moi qui te prépare à recevoir son sexe ?–Toi, tu pourras me faire ce que m’a fait Talya ?–Bien sûr, surtout que j’adore le goût des femmes, je connais celui de Talya et le mien et j’ai beaucoup aimé, je veux connaître le tien. Elle se redresse, lui écarte un peu les jambes pour plonger sa tête entre ses cuisses. Je vois cette tête monter et descendre sur son sexe. Hayya commence à bouger son bassin, elle me serre la main, me regarde en souriant. –Il y a longtemps qu’un homme ne m’a enfoncé son sexe dans le mien, ça commençait à beaucoup me manquer.–Ne t’en fais pas, mon mari va te satisfaire, tu vas jouir comme Talya, il sait très bien faire chanter le corps des femmes. Elle la libère, Chepseset a maintenant son sexe dressé vers le ciel, il s’allonge sur Hayya comme avec moi, les bras tendus. Aâmet guide son sexe dans celui d’Hayya, cette fois-ci, il s’enfonce d’un seul coup sur toute sa longueur. –Oh que c’est bon un sexe d’homme, que c’est bon. Hayya soulève ses fesses, elle veut que Chepseset s’enfonce le plus possible dans son trou. Il lui donne de violents coups de rein, elle lui répond en avançant le plus possible son bas ventre contre le sien. Sa main me serre de plus en plus, je sens qu’elle se raidi, elle se cabre sous le corps de Chepseset, elle est secouée de tout son corps, elle jouit déjà. Chepseset ne s’arrête pas, il continue de la posséder, je vois Hayya revenir à elle, elle recommence ses coups de rein pour s’enfoncer sur le sexe de Chepseset. Je ne la reconnais plus, elle est déchaînée, son corps donne de violent coups de rein contre celui de Chepseset, elle le plaque contre son corps, ses fesses se lèvent, elle est arque-boutée sur le lit, elle soulève Chepseset comme une plume et jouit une nouvelle fois en criant son bonheur. Elle m’écrase la main dans le sienne, j’ai très mal.  Chepseset continue, il n’a pas encore joui, mais je réalise qu’elle va encore se donner à lui, elle a encore envie de jouir. Elle passe son autre main derrière la tête de Chepseset pour coller ses lèvres contre les siennes, je ne sais pas s’il va apprécier, c’est quand même sa servante, elle prend beaucoup d’initiatives. Mais Chepseset accepte son baiser, je vois même qu’il lui répond avec ardeur. Elle me lâche et promène ses mains sur son corps ce que je n’ai pas osé faire moi-même. Il continu ses va et vient dans son sexe, mais plus lentement, plus tendrement. Ils veulent tous les deux se donner du plaisir, conclure dans une sorte d’apothéose. Je vois que leurs deux corps se tendent l’un vers l’autre, je pose ma main sur sa hanche, je sens comme elle son corps se tendre vers un nouveau plaisir, les muscles de Chepseset se tendent aussi, il accélère progressivement son rythme jusqu’à ce que leurs corps exultent et les fassent crier leur bonheur. Chepseset est secoué de soubresauts, il doit lui donner à elle aussi sa semence, elle le serre contre elle de toutes ses forces.  
–Tu vois Talya, c’est merveilleux de se donner à un homme, mais je dois dire que moi, je préfère me donner à une femme, mon corps exulte plus fort.–Moi aussi, mais je crois que je recommencerais souvent avec un homme, surtout avec Chepseset. Mais je suis comme toi, je préfère quand c’est toi ou Hayya qui me caresse et surtout qui pose sa bouche sur mon sexe.–Je vois qu’Hayya est plus hardie que toi, elle a embrassé Chepseset, tu ne l’a pas fait, pourquoi.–Je n’ai pas osé, je ne pouvais pas penser qu’il puisse accepter, je ne suis qu’une accompagnatrice.–Sache que pour Chepseset et moi-même, le clivage maître servante disparaît quand nous sommes dans un même lit. Nous avons eu des rapports charnels avec toutes nos servantes, ça ne change pas avec toi.–Je m’en souviendrai, mais qu’avec vos servantes, et vos serviteurs ?–Je n’accepte que le sexe de Chepseset, et lui n’a d’intérêt que pour les femmes.–Très bien, mais j’aimerai bien m’occuper de ton corps maintenant, je vois que Hayya est bien avec ton mari, puis-je donner du plaisir à ma nouvelle maîtresse ?–Maîtresse temporaire je te le répète, mais je veux bien que tu t’occupe de moi, moi aussi j’ai envie de jouir. Elle s’allonge à côté d’Hayya, je lui ouvre un peu les jambes, je me penche sur son sexe pour le humer, j’adore cette odeur suave qui s’en échappe quand sa crème coule. Je descend ma langue dessus, elle est inondée, elle doit être au bord de jouir, je pose ma langue entre ses bandes de chair, elle a un mouvement du bas ventre, je sens son corps se tendre, elle va jouir, je me précipite sur son bouton pour l’aspirer et le mordiller. Elle jouit en me plaquant le tête sur son sexe, j’en profite pour aspirer sa crème et m’en gaver. Je m’attendais à ce qu’elle jouisse très vite, mais pas à ce point, ça ne m’empêchera pas de rester sur son sexe pour lui faire connaître l’extase encore une fois, mais grâce à moi.  Ma langue continue de titiller ses bandes de chair autour de son puit, j’adore laisser glisser ma langue dessus, c’est d’une infinie douceur. Elle monte un peu ses fesses, je suis en contact avec son sexe grand ouvert, elle se donne à moi. Chepseset nous regarde, il ne doit pas avoir déjà vu ça, une femme qui pose sa bouche sur le sexe d’une autre femme. Je vois que son sexe se redresse. Hayya s’en saisi et fait des mouvement en avant et en arrière. Son sexe se redresse de plus en plus, il disparaît derrière moi. Ma langue se glisse dans le puit d’Aâmet, j’essaye d’en extraire un maximum de crème, je me concentre sur ce merveilleux sexe quand je sens une main passer un produit gras entre mes fesses. –Ne bouge pas Talya, Chepseset va te prendre par là, tu verras, c’est aussi très plaisant. Je redresse ma tête, je ne sais pas ce qui m’arrive, mais je sens que je ne vais pas pouvoir me soustraire quand Chepseset intervient. –Si tu ne veux pas, je ne le ferais pas, mais je pense que tu vas bien aimé.–Laisse le faire Talya, je dois dire que j’adore quand Chepseset me prend comme ça, tu verras, c’est différent mais très agréable.–Vas-y Chepseset, je veux connaître moi aussi.–Détends toi et continue ce que tu me fais, je veux jouir avec toi. Je me reconcentre sur ce sexe ruisselant de crème, je sens le sexe de Chepseset se glisser entre mes fesses, il me tient par les hanches, une main, certainement celle d’Hayya, le guide pour atteindre mon anus. Il force un peu, mon anus s’ouvre un peu, mais assez vite une légère douleur apparaît, au début supportable, mais elle augmente au fur et à mesure que son sexe s’enfonce en moi. Je commence à me crisper, Chepseset le sent et s’arrête. Je continu de lécher le sexe d’Aâmet pour me concentrer dessus, je sens le sexe de Chepseset s’enfoncer encore un peu, mais la douleur n’augmente plus, jusqu’à ce que je sente la peau de son ventre contre mes fesses, il est entièrement entré en moi. J’en éprouve une grande joie. –Voilà, je suis en toi, je vais rester un peu immobile, mais je vais te faire l’amour comme dans ton sexe, je pense que tu vas beaucoup aimer. Je sens mon anus se détendre, Chepseset commence d’aller et venir en moi, c’est une merveilleuse sensation, différente de tout à l’heure, mais très agréable, je commence à avoir des frissons dans tout le corps. Je retourne au sexe d’Aâmet, je sens qu’elle se tortille de plus en plus, elle donne de grand coup de rein pour me sentir encore plus sur son sexe. Moi-même, je donne des coups de rein en arrière pour qu’il s’enfonce encore plus en moi, je sens monter en moi le plaisir, je sais que je vais jouir, c’est la première fois, mais je sais que ça va arriver. Je veux qu’Aâmet jouisse en même temps que moi, mais je la sens au bord du plaisir, je me sens un peu en retard jusqu’à ce que je sente une bouche se poser sur mon sexe. C’est Hayya qui vient me lécher le sexe. Chepseset accélère ses va et vient, j’accélère ma langue sur le bouton d’Aâmet pendant qu’Hayya me mordille mon bouton. Je me dissous dans un merveilleux nuage de lumière pendant qu’Aâmet se raidi en jouissant et que Chepseset se vide en moi. Je sens son liquide me remplir l’anus, je suis dans un état second, je ne sais plus ce que je fais et je mords le sexe d’Aâmet qui cri. Je réalise toutefois et relâche la pression de mes dents. Deux mains se posent sur ma tête et me font remonter le long de son corps. La bouche d’Hayya ma quitte ainsi que le sexe de Chepseset.  J’appréhende la découverte du visage d’Aâmet après ce que je viens de lui faire. Contre toute attente, elle me sourit, son visage resplendi de bonheur, elle m’attire contre sa bouche pour partager un merveilleux baiser. Ce baiser dure longtemps, ses mains me caressent sur tout le corps, dos, fesses, jambes. Quand elle me libère, elle me fais mettre le long de son corps. –Tu as été merveilleuse, jamais je n’ai joui comme ça.–Je ne t’ai pas fait mal ?–Oui, mais ça a décuplé mon plaisir, jamais mon corps n’a été autant envahi de plaisir, jamais je n’ai ressenti un tel bonheur. Et toi, tu as aimé ?–Oui, beaucoup, surtout avec Hayya qui s’est occupé de mon sexe.–C’est vrai que la première fois, il vaut mieux être aidé, mais tu es capable de jouir sans l’intervention d’Hayya, juste avec ton anus, je le sais.–De toute manière, je recommencerais, j’ai bien aimé. Aâmet se redresse, elle voit Chepseset debout à côté de la couche, son sexe entre ses cuisses. Elle le prend en main et le porte à sa bouche. Je la regarde étonnée, elle le relâche. –Evidemment, tu n’as jamais sucé un sexe d’homme.–Non, jamais.–Essaye, tu verra, rien n’est plus excitant que de sentir ce morceau de chair gonfler et se durcir dans ta bouche. Je m’approche de Chepseset, Aâmet lâche le sexe que je saisi et le porte à ma bouche. Au début, je ne prends que le bout, mais je sens qu’il réagit, je commence à me l’enfoncer complètement dans la bouche. Je sens un morceau de chair flasque sur ma langue, mais lentement, il grossi et se raidi. C’est une sensation extraordinaire de sentir ce sexe grossir et se raidir dans sa bouche. Je le prend entièrement et commence des va et vient dessus, Chepseset pose ses mains sur ma tête pour me guider, je sens mon sexe se liquéfier, je ne suis pas loin de jouir rien qu’en suçant un sexe d’homme, je ne me reconnaît pas. Mais Chepseset se saisi de ma tête et se libère, je suis un peu déçue, il se retourne, je vois Hayya à quatre patte sur la couche, l’anus couvert d’une sorte de graisse. Chepseset se met derrière elle et glisse son sexe entre ses fesses. Je ne résiste pas, m’en saisi pour le guider sur son anus. Chepseset donne un grand coup de rein, son sexe s’enfonce d’un seul coup entièrement. Je suis étonnée de ne pas voir de réaction de douleur de la part d’Hayya, elle semble au contraire beaucoup aimer ce que lui fait Chepseset. Il donne de violents coups de rein sur toute le longueur de son sexe, à tel point qu’il sort de temps en temps de son anus pour y retourner violemment. Hayya est comme possédée par ce sexe qui la transperce, elle se donne à lui et finit par laisser sa tête tomber sur la couche et hurler son plaisir pendant que Chepseset lui donne sa semence. Quand il se retire, elle s’allonge sur le dos les jambes légèrement ouvertes, elle me tend les bras. Je viens me blottir contre son corps, j’adore sentir sa peau contre la mienne, j’ai un étrange sentiment pour cette fille. Chepseset quitte la pièce, Aâmet se redresse et viens contre moi. –Tu aimes beaucoup Hayya n’est ce pas ?–Oui, j’aime être avec elle, elle me manque quand nous ne sommes pas ensemble.–Très bien, je vais demander à Amenardis de pouvoir vous garder toutes les deux définitivement à son service, avec elle, vous ne pourrez pas être ensemble. Mais moi, je pourrais vous mettre ensemble tout le temps à mon service. Moi aussi j’aime être avec vous, je n’ai pas envie de vous laisser à Amenardis, je vais la voir, attendez moi ici.
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