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Aâmet

Chapitre 6

Lesbienne
L’apothéose Elle se lève et quitte la pièce, je la vois disparaître au fond du couloir toujours nue. Hayya me serre contre elle, je me laisse aller, ses mains glissent sur mon dos et mes fesses, je pose ma bouche sur la sienne, nous échangeons un merveilleux baiser, J’aime être avec cette merveilleuse fille. Elle me fait allonger sur le dos, m’écarte les jambes et vient s’allonger à côté de moi, mais à l’envers. Elle pose sa bouche sur mon sexe, j’ai son sexe juste à côté de ma tête, je glisse une main sous ses fesses et la fais basculer sur moi. Je me retrouve la tête entre ses jambes, sous son sexe, je lui agrippe les fesses et la plaque sur ma bouche. Je lui lèche le sexe pendant qu’elle me lèche le mien, je n’ai jamais été aussi excitée, je sens mon sexe couler et la langue d’Hayya récupérer tout ce qui en sort. Je fais de même avec le sien qui coule autant que le mien. Je sens son corps commencer à se tendre, le mien aussi. Je commence à bien sentir l’évolution de la personne que je veux faire jouir, j’essaye de la faire jouir en même temps que moi que je sens approcher du plaisir assez vite.  D’un seul coup, mon corps exulte, je suis transportée dans un univers de plaisir, de douceur, de joie et de béatitude. Je sens le corps d’Hayya se raidir et vibrer sur le mien, elle jouit en même temps que moi, j’en éprouve encore plus de plaisir. Nos langues s’activent sur nos sexe entretenant le plaisir que nous éprouvons à faire chanter nos corps. Lentement nos corps se détendent sous les caresses de nos langue. Hayya lève la tête et pivote pour rester sur mon corps et poser sa bouche sur la mienne, nous échangeons un baiser au goût de nos crèmes. Nos langues s’amusent entre elles, mes mains glissent sur ses fesses adorées, mon cœur est submergé de joie, je suis merveilleusement bien dans les bras de cette fille, j’espère qu’elle éprouve le même plaisir que moi. Je suis épuisée, cet succession d’explosions dans mon corps m’a anéanti, je m’endors sous son corps protecteur. Je suis réveillée par une bouche sur la mienne et une langue qui explore ma bouche. C’est Hayya qui m’embrasse pour me sortir de ma torpeur. Aâmet est debout à côté de la couche. –Il faut se lever, Amenardis nous demande, elle veut que nous la rejoignions dans ses appartements avec Aâmet. –Elle veut que tu lui fasses ce que tu nous a fait, je me suis proposé, mais elle veut que tu montre à Dalila et Yéhudit comment faire.–Nous avons aussi quelque chose de nouveau, tu veux savoir ce que c’est ?–Bien sûr que je veux savoir, mais plus tard, Amenardis nous attend–Très bien, allons-y. Aâmet est toujours nue, elle semble adorer être nue, moi aussi, j’ai envie d’être comme elle. –Je peux y aller comme toi ?–C’est-à-dire ?–Nue bien sûr, tu ne t’es pas habillée, et je dois dire que moi aussi j’aime être complètement libre, sans ma tunique.–Très bien, je ne pense pas qu’Amenardis y trouve à redire, elle aime voir un corps de femme.–Moi aussi, je reste comme ça. Nous suivons Aâmet dans les dédales des couloir de ce palais immense, elle semble bien le connaître, je m’approche d’elle. –Qu’avez-vous décidé pour nous.
–Vous n’êtes plus à son service, mais au mien, vous pourriez m’appeler maîtresse, mais j’aime mieux que vous m’appeliez par mon nom. Je ne peux m’empêcher de lui sauter au cou et de poser mes lèvres sur les siennes, nous nous embrassons tendrement, quand je la quitte, Hayya lui saute dessus pour l’embrasser, c’est la première fois et elles semblent aimer. Nous finissons par arriver chez Amenardis qui nous attend nue, allongée sur sa couche les jambes légèrement ouvertes. Je vois son sexe rose briller, il est déjà recouvert d’un peu de crème, elle a dû se toucher le bouton. Quand nous approchons de sa couche, elle tend ses bras vers Aâmet. –Viens à côté de moi Aâmet, laissons les faire chanter nos corps comme elles savent le faire.  Nous nous regardons avec Hayya, nous allons vers elles. Dalila et Yéhudit sont debout à côté de la couche et nous regardent. Je les regarde. –Regardez ce que nous faisons, nous n’irons pas jusqu’au bout, ce sera vous qui ferez jouir nos maîtresses.–Très bien. Hayya s’allonge entre les jambes d’Aâmet, je m’allonge entre les jambes d’Amenardis, je ne connais pas encore le goût de sa crème. Quand mon nez arrive au dessus de son sexe, une odeur suave et très agréable le titille, j’adore et plonge ma tête sur lui sans attendre, j’en ai très envie. Elle a un sursaut mais ne bouge pas, ma langue se déchaîne entre ses bandes de chair, je sens son sexe se soulever un peu.  –Oh oui Talya, oui, c’est divin, et vous autres, regardez bien ce qu’elles font. Encouragée, j’augmente la pression de mes lèvres sur son sexe. Je la lape, lui mordille les bandes de chair, redescend plus bas, elle soulève encore plus son sexe. Je réussi à lui replier les jambes, son anus m’est offert, je plonge dessus. Ma langue le titille, mes dents le mordille, elle donne de plus en plus de coups de rein, j’ai peur de lui faire mal, je titille la bande de peau entre son anus et son sexe, elle se tortille de plus en plus, elle aime. Je retourne à son sexe pour boire sa crème à la source de son puit mais le garde en mémoire sa réaction. Dalila se penche à côté de moi, elle ne perd pas de vue le sexe que ma langue explore avec gourmandise. Je sens qu’elle trépigne d’impatience, je me redresse. –Vas-y Dalila, fait jouir ta maîtresse avec ta langue. Elle prend ma place, Amenardis ne bouge pas, elle réagit à peine quand Dalila pose ses lèvres sur son sexe, mais très vite, son bas ventre commence à onduler. –Oui Dalila, comme ça, oui, tu as compris, continue, continue. Je sens que Dalila se détend et se donne encore plus sur ce sexe offert. Elle semble adorer ce qu’elle fait et y met tout son cœur, elle veut donner du plaisir à sa maîtresse. Amenardis pose ses mains sur sa tête et la plaque contre son sexe. –Oui, continue, tu vas me faire jouir, mon corps m’abandonne, continue. Dalila accentue encore la pression sur le sexe de sa maîtresse, Amenardis soulève ses fesses en écartant encore plus ses jambes. Dalila sent qu’elle va jouir et pose ses lèvre sur son bouton, elle creuse ses joues, elle aspire son bouton. Amenardis est prise par un gigantesque tremblement, son corps est secoué par une main invisible. Son visage est transfiguré, il montre la joie qu’elle éprouve à sentir son corps lui échapper. Dalila se déchaîne sur son sexe, elle veut maintenir le plaisir de sa maîtresse au plus haut niveau le plus longtemps possible. Lentement le corps d’Amenardis se détend, ses fesses redescendent doucement sur sa couche au moment où Aâmet exprime en hurlant le plaisir qu’elle éprouve sous la bouche de Yéhudit. Les deux sœurs se détendent allongées sur la couche, Dalila et Yéhudit se sont allongée à côté d’elles et les caressent tendrement. Amenardis se redresse, elle me regarde. –Je ne sais pas d’où tu sors ça, mais c’est divin, je ne veux plus être aimé autrement, j’espère que vous aussi vous aimez ça.–Bien sûr maîtresse, nous adorons boire votre jus d’amour.–Tu as raison Dalila, nous appellerons désormais ce que sécrète notre trou comme ça, « jus d’amour ». Aâmet se redresse aussi, elle se lève et vient vers moi. –Nous devons retourner dans mes appartements, Chepseset doit nous attendre, je sais qu’il doit remplacer Djar et il veut nous dire ce qui va se passer maintenant.–Très bien, nous te suivons. Nous retournons chez elle, quand nous arrivons, Chepseset est absent, ça n’a pas l’air de surprendre Aâmet, je m’en étonne. –Il n’est pas là.–Mais personne ne t’a dit qu’il serait là, j’avais simplement envie de me retrouver seule avec vous, j’ai besoin de sentir vos corps contre le mien.–Donc, notre vie ne va être qu’orientée sur le plaisir que l’on va pouvoir te donner ?–Mais pas du tout, simplement, j’aime sentir une peau de femme contre ma peau, j’ai juste envie de m’allonger avec vous pour vous serrer contre moi sans rien faire d’autre. Juste avoir vos deux splendides corps contre le mien, les serrer contre moi pour m’en imprégner.–Très bien Aâmet, allonge toi, nous allons nous coller contre ton corps et le caresser doucement pour que tu ressente un plaisir serein. Elle s’allonge sur sa couche, Hayya s’allonge à sa gauche, moi à sa droite. Nos mains se posent sur son corps et le caresse doucement, très lentement. Elle ferme les yeux, sa respiration est calme, elle est très détendue, elle se laisse aller à nos mains. N’y tenant plus, je regarde Hayya qui me sourit et m’allonge sur le corps d’Aâmet, elle rabat ses mains sur mes fesses. –Oui Talya, j’aime te sentir sur moi, j’aime ton corps.–Je crois que tu vas aimer ce que je veux te faire, tu permets ?–Bien sûr Talya si c’est pour me faire jouir, mais pas tout de suite, je veux te sentir sur moi, ton ventre sur mon ventre, tes seins sur mes seins, ta bouche sur ma bouche, embrasse moi Talya. Je pose mes lèvres sur les siennes, nos langues s’amusent entre elles, ses mains glissent sur mes fesses et mon dos, je suis bien sur le corps de cette femme merveilleuse. Hayya est allongée à côté de nous, elle fait glisser une main sur mes fesses et mon dos comme Aâmet. De temps en temps, elles se disputent gentiment ma peau pour mon plus grand bonheur. Cette femme me fait fondre, jamais je n’ai ressenti cette sensation de bonheur absolu quand je suis contre sa peau. Nos bouches se séparent, je vois qu’Hayya a envie de me remplacer, je glisse sur le côté opposé, elle prend ma place et pose sa bouche sur celle d’Aâmet. Comme pour moi, ses mains la caressent comme les miennes. Au bout de quelques minute, elle glisse sur le côté, je pose mon bras sous les seins d’Aâmet, Hayya m’imite et nous restons immobiles un long moment. Je sens Aâmet vivre pleinement ce moment, elle a fermé ses yeux, un sourire de bonheur illumine son visage. Mais moi, j’ai envie de lui faire connaître autre chose, je commence à m’agiter, j’ai envie de lui bouffer le sexe, je deviens dépendante de son jus d’amour. Elle le sent et ouvre les yeux. –Talya, tu voulais me faire connaître quelque chose de nouveau, tu peux le faire tout de suite ?–Bien sûr, reste sur le dos et ouvre un peu les jambes.–Comme d’habitude quoi.–Il va y avoir une légère variante, laisse toi faire.–Je te fais confiance. Je remonte sur elle et fais pivoter mon corps, ma bouche se pose sur son sexe, elle comprend tout de suite ce que j’attends d’elle. Elles pose ses mains sur mes fesses et plaque mon sexe sur sa bouche. Je sens qu’elle réagit à ma langue entre ses bandes de chair, moi-même je suis sous la domination de sa langue si agile. Hayya me caresse le dos et les fesses, elle ne veut pas rester inactive mais en faisant ça, elle m’excite encore plus. Je sens que je vais jouir, je veux qu’Aâmet jouisse en même temps que moi. Je me déchaîne sur son sexe, je descend jusqu’à la limite de son anus, je remarque qu’elle réagit à ce que je lui fais. Je sens son corps se raidir lentement, mais le mien aussi, quand je suis au borde de jouir, je pose mes lèvres sur son bouton et l’aspire en le mordillant. Nous jouissons toutes les deux en même temps, elle me plaque contre sa bouche de toutes ses forces, elle me mord les bandes de chair, j’en ressens une plus grande jouissance. Nous revenons doucement à nous, je me suis laissé tomber sur le côté, j’ai pivoté pour poser ma bouche sur la sienne. Je retrouve mon goût sur ses lèvres, elle me plaque contre sa bouche, notre baiser est doux et voluptueux. Quand je me détache d’elle, je vois Hayya prendre ma place sur elle et poser sa bouche sur son sexe. Aâmet l’agrippe par les fesses et la plaque sur sa bouche pour s’occuper de son bouton. Je vois qu’elles adorent ce qu’elles font, Haya se donne à fond comme Aâmet, elles veulent jouir ensemble et elles font tout pour. Au bout de quelques minutes, elles jouissent ensemble en se serrant de toutes leurs forces. Quand elles sont revenues à elles, Hayya pivote et pose ses lèvres sur celles d’Aâmet. Elles échangent un long baiser en se câlinant. J’ai l’impression qu’Aâmet ressent quelque chose pour nous, son comportement n’est pas celui d’une maîtresse avec ses servantes. Elle est douce, câline, sensuelle et semble très heureuse de nous donner du plaisir. Hayya se lève, Aâmet reste allongée sur le dos, ses jambes légèrement ouvertes. Je lui ferme, pose un rapide baiser sur ses lèvres. –Dors bien maîtresse, nous sommes là pour toi. Elle reste les yeux fermés, au bout d’une petite minute, elle dort comme un bébé, je regarde ce magnifique corps, je sens que mon cœur lui est acquis, je crois que c’est la personne qui saurait me rendre heureuse, mais c’est ma maîtresse et dans ce pays, les servantes ne sont pas les égales des maîtres. Il y a aussi Hayya pour qui j’éprouve une grande tendresse, ses seins, ses fesses, son corps m’émeuvent, mais pas comme le corps sublime d’Aâmet. Je regarde de nouveau Aâmet, mon cœur bondi, mes yeux se mouillent, je suis au bord des larmes, Hayya s’en aperçoit. –J’ai tout de suite su que ton cœur était pris par elle, mais sache que je serais toujours avec toi. Elle vient me prendre dans ses bras et j’éclate en sanglot.
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