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Aâmet

Chapitre 7

Lesbienne
L’amour  Je ne comprends pas pourquoi je suis dans cet état, c’est une femme, je suis une femme. Je ne dois pas éprouver ce que j’éprouve pour elle, c’est un homme qu’il me faut, l’amour entre femmes n’est pas naturel même si notre religion ne le condamne pas. Non seulement Aâmet ne quitte pas mes pensées, mais il y a aussi Hayya pour qui j’éprouve un profond sentiment. Aâmet dort profondément, elle est magnifique, je ne peux détacher mes yeux de ce corps si beau. Hayya me fait allonger à côté d’elle, elle me met un bras sous ses seins et ma tête contre son épaule. –Reste avec elle Talya, je vais chercher de quoi boire, je sais où c’est, attend moi et garde bien ton amour.–Pourquoi ne dis tu ça ?–Parce que je sais que tu aimes Aâmet, il n’y a qu’à voir comment tu la regarde, tu ne respire que pour elle, tu ne vis que pour elle, même si tu ne t’en rends pas compte.–Et toi que deviens tu ?–Moi, je suis bien avec vous deux, je suis au service d’Aâmet, et j’aime beaucoup comment ça se passe, à tout de suite. Elle quitte la pièce, je vois ses magnifiques fesses danser devant mes yeux, mais je n’en éprouve pas le même plaisir qu’avec Aâmet. Elle a raison, c’est de l’amour que j’éprouve pour cette merveilleuse femme, j’espère que je n’en souffrirai pas, je ne suis que sa servante. Je reste collé à elle, je me détends de plus en plus jusqu’à m’endormir contre elle. Je suis réveillée par une odeur suave qui me titille le nez. J’ouvre les yeux pour voir le sexe d’Aâmet au dessus de mon visage, elle est sur moi, sa bouche contre mon sexe. Elle veut recommencer ce que nous avons fait juste avant de dormir. Je lui agrippe les fesses pour la plaquer sur ma bouche. Je me déchaîne sur ses bandes de chair et sur la partie de peau entre son sexe et son anus. J’avais remarqué avec Amenardis que cette partie du corps était très sensible chez elle. Aux mouvements que fait Aâmet, je vois qu’il en est de même, elle se tortille dans tous les sens. Je comprend pourquoi quand je sens sa langue et ses dents sur cette partie de mon corps, il est parcouru d’ondes de plaisir différentes qui me mettent dans un profond état d’excitation. C’est une partie du corps très sensible, je m’en souviendrai, je pense qu’il en est de même avec Chepseset, j’espère pouvoir en faire l’expérience avec lui. Nous jouissons en même temps, je sens son corps vibrer sur le mien, mon cœur s’emballe, je l’accompagne. Mais je ne peux retenir des larmes qui me montent aux yeux, je craque, je suis secouée de sanglots. Aâmet le sens, elle pivote pour prendre ma tête entre ses mains. –Que t’arrive t il Talya ?–Rien maîtresse, je ne sais pas.–Je t’ai dit de m’appeler Aâmet et ne me dis pas que ce n’est rien, on ne pleure pas pour rien, je t’ai fait du mal ?–Au contraire, je n’ai jamais été aussi heureuse de ma vie, je suis si bien ici que j’ai peur que ça s’arrête.–Ne t’en fais pas, j’ai bien l’intention de vous garder longtemps toutes les deux.–C’est simplement que tu lui a pris son cœur Aâmet, Talya ne t’aime pas comme une servante aime sa maîtresse, mais comme une personne aimant une autre personne. Je suis glacée par cette remarque d’Hayya, Aâmet me regarde différemment, ses yeux deviennent plus perçants, son visage se détend, elle approche sa bouche de la mienne et la pose dessus pour un long baiser rempli d’amour. Je la caresse sur tout son corps, nos langues s’amusent entre elles, elles s’aiment elles aussi, je suis au comble du bonheur, je partage un doux baiser avec la personne que j’aime. Elle redresse sa tête, se lève et me tend la main. –Viens Talya, viens avec moi, nous allons nous rafraîchir dans le bassin, et toi, Hayya, suis nous. 
Elle m’amène vers le bassin en me tenant la main, je ne sais plus ce qui m’arrive, ce n’est pas une attitude normale de sa part. Nous entrons lentement dans l’eau, j’appréhende encore un peu, je ne suis pas rassurée. Hayya reste au bord du bassin. –Viens avec nous Hayya, tu verras, c’est très agréable cette fraîcheur avec la chaleur actuelle, n’ai pas peur, je suis là, si tu veux, je sors pour t’aider à rentrer dans l’eau.–Non maîtresse, j’ai trop peur, je ne suis jamais rentré entièrement dans de l’eau.–Peur ou pas, tu rentres dans cette eau, je te l’ordonne ! Hayya descends les marches du bassin, je la vois entrer dans l’eau, son visage se tétanise, elle est morte de peur, je lui tends une main, elle s’en saisi. Doucement son corps disparaît dans l’eau, quand elle en a jusqu’au cou, elle s’arrête, elle est contre nous. Nous l’enlaçons toutes les deux, elle semble plus confiante, je sens ses muscles se détendre. Je commence à laisser mes mains glisser sur son corps, je touche de temps en temps celles d’Aâmet qui font la même chose. Une de mes mains se glisse entre ses cuisses pour venir lui titiller le bouton, je veux qu’elle jouisse dans l’eau, je veux qu’elle connaisse les même joies que celles que j’ai éprouvées tout à l’heure. Mon doigt s’active sur son bouton, je le sens se raidir de plus en plus, elle se laisse aller au plaisir. Je veux lui caresser les fesses en même temps, mais je tombe sur une main d’Aâmet qui lui titille l’anus avec un doigt. Elle ne reste pas longtemps inerte, son corps s’anime jusqu’à se raidir entre nos bras dans un cri de joie. C’est la première fois que je l’entends s’exprimer comme ça, Aâmet la regarde avec un grand sourire. –Tu ne peux pas cacher ta joie, tu as raison, dis à tout le monde que tu es heureuse. Elle se détend lentement, je la lâche et me retourne vers Aâmet, j’ai envie de la faire jouir et de la faire crier elle aussi. Je l’enlace, elle me sourit et pose ses lèvres sur les miennes. Elle ne m’embrasse plus comme avant, ses baisers sont plus doux, plus tendres, pour moi, il n’y a que l’amour que je lui porte que je peux exprimer en l’embrasant. Je crois qu’elle le ressent, elle semble plus attentive, plus câline, plus aimante. Ma main arrive sur son bouton, je lui caresse en l’effleurant, je sens qu’elle aime ce que je lui fais, mais je veux aller plus loin. Je veux lui prouver que je n’ai plus peur de l’eau, je coupe ma respiration et plonge la tête dans l’eau jusqu’à son bas ventre. Je donne des coups de langue sur son bouton bien gonflé, elle sursaute. A bout de souffle, je remonte pour reprendre ma respiration, je recommence cinq ou six fois de suite la manœuvre jusqu’à ce que je la sente jouir grâce à ma langue sous l’eau. Je replonge une dernière fois pour lui aspirer le bouton et le titiller avec ma langue et faire jouir le plus possible. Même sous l’eau, je l’entends crier son bonheur de jouir de la sorte. C’est encore une première pour nous, mais je suis sûre que nous renouvellerons cette expérience. Quand je sort de l’eau, elle se jette sur ma bouche pour échanger un baiser fougueux et tendre en même temps. Nos tête se séparent, Hayya est à côté de nous, elle se tient au rebord du bassin, elle semble parfaitement à l’aise, elle a apprivoisé l’eau.  Nous restons quelques minutes dans l’eau, mes mains n’arrêtent pas de glisser sur le corps d’Aâmet, je sens mon cœur battre à toute vitesse, je caresse le corps de ma maîtresse et elle semble beaucoup aimer. Nous finissons par sortir de l’eau, Hayya semble sortir à regret. –Dis donc Hayya, tu ne voulais pas entrer dans le bassin, maintenant tu ne veux plus en sortir, tu aimes être dans l’eau.–Oui, j’aime beaucoup, je ne suis pas encore aussi à l’aise que toi, mais j’aime sentir cette fraîcheur sur tout mon corps.–Prenez chacune un linge et essuyez moi.–Laisse moi faire Aâmet, je m’en occupe.–Très bien Talya, fais le seule, mais en douceur, et toi Hayya, va nous chercher de l’eau fraîche, nous t’attendons dans ma chambre. Je passe un linge sur ce corps aimé avec un grand plaisir et beaucoup de tendresse, elle se laisse caresser avec un grand sourire. Je m’accroupie pour lui essuyer les jambes, mais ma bouche se trouve juste au niveau de son sexe, je me penche pour poser mes lèvres dessus. Ses mains se plaquent sur ma tête pour appuyer encore plus, elle veut que je la fasse jouir. Ma langue s’active dans ce délicieux mélange d’odeur et de crème. J’en profite pour lui caresser les fesses, elle bouge de plus en plus son bassin et fini par pousser un grondement de plaisir, elle jouit. Quand je la sens détendue, je me redresse, je vois dans son regard une sorte de tendresse que je ne lui connaissais pas.  –Tu es ma déesse de l’amour, jamais je n’ai autant joui avec quelqu’un, je ne veux plus que nous nous séparions, tu resteras toujours à côté de moi et toujours prête à me faire jouir quand je te le demanderai.–C’est mon désir le plus cher, ne jamais te quitter.–Ça veut dire même la nuit, avec Chepseset quand il est là, tu partageras tout avec moi.–Bien Aâmet, tu sais maintenant que je t’aime, je ferai tout pour te rendre heureuse, pour que ta vie soit douce.–Je le sais Talya, moi aussi je dois dire que j’aime beaucoup quand nous sommes toutes les deux, tu sais tellement bien me faire jouir.–Toi aussi tu sais bien me faire jouir, j’aime tant sentir ta langue sur mon sexe.–Et bien, allons dans ma chambre, allons faire chanter nos corps. Elle me prend la main pour m’entraîner derrière elle, je la suis avec plaisir, je sais que je vais vivre un moment de bonheur avec la personne que j’aime. Arrivées dans sa chambre, nous tombons sur Chepseset allongé sur la couche.  –Je crois ma chère femme qu’il est temps d’aller manger, laissons ces demoiselles aller manger avec les autres.–Non, elles restent avec nous, tu as devant toi ma nouvelle dame de compagnie et son amie, elles doivent me suivre partout.–Même dans notre couche ?–Oui, même dans notre couche, et tu pourras les honorer si tu en as envie, elles y consentent.–Très bien, allons manger. Il se lève, prend Hayya par la main et se dirige vers la plus grande pièce de l’aile du palais. Aâmet prend le mienne et nous les suivons. Je sens sa main me serrer la mienne, elle se tourne de temps en temps sur moi, son regard est d’une grande tendresse. Soudain elle s’arrête, me plaque contre elle pour poser sa bouche sur la mienne. La baiser dure longtemps, ses mains parcourent mon corps, j’en fais de même avec les miennes. Quand nos bouches se séparent, elle prend ma tête entre ses mains. –Je crois que tu n’es pas la seule à aimer une autre personne du même sexe. Ton image ne quitte plus mes pensées. Je commence à ne plus pouvoir me passer de toi, j’ai envie de te sentir constamment à mes côtés. J’ai envie de pouvoir passer ma main sur ton corps à n’importe quel moment, et de savoir que ta main peut se poser sur le mien. Je crois que je suis comme toi, je crois que je t’aime Talya.-Aâmet, tu ne peux pas aimer une servante, je ne suis qu’une personne à ton service.–Oui, mais ce n’est vrai que si tu es ma servante, or, tu est ma dame de compagnie, une personne de mon rang avec qui je partage mon temps.–Ce n’est pas possible.–Rien n’est impossible au bras droit de Djar, il suffit de demander. Je m’écroule en larme, Aâmet n’a que le temps de me prendre dans ses bras pour m’empêcher de tomber. Elle me couvre de baiser, Chepseset et Hayya reviennent sur leurs pas pour nous rejoindre. –Que ce passe t il ?–Je viens juste de dire à Talya que je l’aime et qu’elle est ma dame de compagnie. A ce titre, elle doit partager ma vie et elle n’a pas complètement assimilé, ne t’en fais pas, elle va revenir à elle, je m’en occupe. Allez vous installer, nous vous rejoignons. Chepseset et Hayya nous quittent, Aâmet repose ses lèvres sur les miennes, nous échangeons un merveilleux baiser. Maintenant, je sais que mes sentiments sont partagés, mon cœur ne m’appartient plus, il est entièrement dédié à Aâmet. Je suis complètement subjuguée par cette femme, elle est ancrée dans mon cœur, je l’aime et je suis capable de donner ma vie pour elle. Je me donne à ce baiser comme si ma vie en dépendait, je lui appartiens. Nos bouches se séparent, mes larmes sont asséchées, elle me prend la main. –Viens ma chère dame de compagnie, désormais, nous ferons tout ensemble, personne ne pourra nous séparer. Je suis une nouvelle fois au bord des larmes, je la suis comme si ne n’avais plus aucune personnalité, elle me guide. Nous arrivons dans la grande réservée au repas du palais, Amenardis, Chepseset et Hayya sont assis autour d’une natte et nous attendent. Aâmet s’assoie à côté de Chepseset, je m’assoie à côté d’elle. Deux serviteurs viennent nous apporter des plats et les posent sur la natte. Nous nous servons directement dans les plats, ce sont des légumes, je n’ai jamais mangé quelque chose d’aussi bon. Les plats s’enchaînent, au bout du septième, je n’en peux plus, pourtant c’est de la viande de gazelle, c’est très bon, mais je ne fais que goûter. Aâmet me regarde amusée. –Tu n’as pas l’habitude de manger comme ça ?–Non, et je vois qu’Hayya est comme moi, elle ne mange plus.–C’est parce que tu en a pris un peu trop au début, il faut prendre que très peu ne nourriture sur chaque plats, il y en a en moyenne douze par repas. Tu le sauras pour l’avenir.–Oui, je m’en souviendrai, mais je n’ai jamais mangé comme ça, tout était très bon. –Tu es à la table d’un dignitaire d’Egypte, ce n’est pas comme à la table de pharaon, mais c’est tout de même une grande table. Et tu n’as pas fini, il reste encore pas mal de plats. Les plats défilent, je me contente de picorer dans chaque plat, je suis au bord de vomir, mais je réussi à me maîtriser. A la fin du repas, Aâmet me prend la main et m’entraîne vers sa chambre. Elle m’enlève ma tunique et m’allonge sur la natte. –Que tu es belle, repose toi un instant, je dois rejoindre Chepseset et Amenardis, j’espère que tu seras mieux à notre retour, j’aurai besoin de toi.–Ne t’en fais pas Aâmet, je serai en forme. Elle se retourne, je vois ses magnifiques fesses danser devant mes yeux en s’éloignant, je ferme les yeux et sombre dans un profond sommeil.
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