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Aâmet

Chapitre 9

Inceste
Litnéferti  Le temps a suivi son court, Ahmôsis est toujours notre pharaon. Litnéferti a maintenant vingt deux ans, elle est très belle, elle me ressemble beaucoup mais a pris le côté égyptien de son père, elle a une magnifique couleur de peau assez sombre. Elle a été une enfant espiègle mais très câline avec ses parents, et contre toute attente, Chepseset l’adore et passe beaucoup de temps avec elle. Elle a été mariée il y a six ans, son mari est le bras droit de Chepseset, ils vivent dans le palais. J’ai eu deux autres enfants, un garçon Désobek et une fille Haânkhès. Ils ont respectivement vingt ans et dix-huit ans. Haânkhès est devenue la fille d’Aâmet qui s’en est occupé presque exclusivement, comme ça, nous avions chacune notre fille. Désobek est marié et vit à Tanis aux côtés de Djar qui l’a pris sous son aile. Haânkhès n’est toujours pas mariée, aucun prétendant ne convient à Chepseset. Oudjânkhet et lui aussi resté sans femme, il ne semble pas très intéressé par une alliance, il partage beaucoup de son temps avec ses sœurs. Djar est devenu contremaître royal et Chepseset gouverneur de la province, je suis la concubine du gouverneur et Amenardis la femme d’un contremaître, ils ont dû aller s’installer à Tanis. Nous occupons la partie principale du palais, Litnéferti et son mari l’ancienne aile qu’Aâmet occupait. Chepseset est un homme doux et aimant, il n’a aucune maîtresse, nous sommes ces deux seules femmes. C’est un dirigeant dur mais juste qui ne laisse rien passer, la province est gérée d’une main de maître, mais sans violence. Je suis de plus en plus amoureuse d’Aâmet, elle m’a prouvé tout au long de notre vie commune qu’elle était une femme de cœur et très amoureuse de moi. Nous avons élevé nos enfants ensemble, ils ne font pas la différence entre elle et moi. Je suis la seule concubine de Chepseset, à ce titre, je partage les mêmes prérogatives qu’Aâmet, je suis considérée comme la femme du gouverneur, comme Aâmet. Chepseset est un père attentionné, même pour ses filles, j’éprouve pour lui un sentiment profond, il est devenu l’homme de ma vie, comme Aâmet la femme de ma vie. Je suis avec mes filles et Aâmet dans le grand bain, nous sommes en mésori, c’est la fin de Chémou, il fait très chaud, le Nil ne va pas tarder à être en crue. Oudjânkhet est avec ses précepteurs, il doit être prêt à prendre des responsabilités, son père le forme pour ça. Nous ne le voyons que trop rarement, mais je le savais depuis le début, je m’y suis soumise. Je regarde mes filles, elles sont très belles et très jolies. Haânkhès est de ma taille, elle me ressemble beaucoup, même seins, mêmes fesses, même allure. Quant a Litnéferti, elle est plus grande que moi, a de très beaux seins un peu plus gros que les miens et une paire de fesses qui attire les yeux. Elles sont nues devant moi, j’ai envie de passer mes mains sur leurs corps, mais quelque chose me retient. Aâmet vient vers moi. –Tu regarde nos filles d’une drôle de manière, j’ai l’impression que tu veux leur sauter dessus.–C’est exactement ce que je ressens, j’ai envie de les serrer contre mon corps et de caresser leurs peaux brunes.–Je dois t’avouer que moi aussi, regarde ces merveilles, elles sont les deux plus belles femmes du palais, et tout le monde le dit.–Comme nous il y a vingt ans.–Oui, mais encore plus belles.–Je sais, mais elles sont nos filles.–Oui. Litnéferti et Haânkhès s’amusent dans l’eau, elle s’entendent très bien, mais je vois que les mains s’égarent sur le corps de l’autre. Elles se caressent dans l’eau, Litnéferti est derrière Haânkhès, elle passe une main sur les seins de sa sœur et une autre entre ses cuisses. Haânkhès ferme les yeux et semble beaucoup aimer ce que lui fait sa sœur. Elles se sont positionnées en face de nous, nous ne pouvons rien ignorer de leurs faits et gestes. Je regarde Aâmet qui les regarde, je lui donne un petit coup de coude. –Elles semblent bien aimer ce qu’elle font.–Oui, et j’ai l’impression que ce n’est pas la première fois.–Et si nous allions participer à leurs ébats, tu crois qu’elles accepteraient ?
–Pour le savoir, il faut y aller.–Et bien allons-y. Nous nous reprochons lentement d’elles, Litnéferti nous regarde venir vers elles et nous sourit, elle écarte un bras dans notre direction. –Venez avec nous, nous vous attendons depuis trop longtemps. Litnéferti lâche sa sœur et enroule son bras autour de ma taille, Haânkhès fait la même chose à Aâmet. Je n’ai pas le temps de réagir qu’une bouche gourmande se pose sur la mienne. Ma langue rencontre pour la première fois celle de ma fille, elles se titillent, se câlinent, se frottent et finissent par s’aimer. Un coup d’œil sur le côté me confirme qu’il en est de même pour Aâmet et Haânkhès. Mes mains explorent le corps de ma fille, elles glissent sur une peau lisse et très douce. Mais une main arrive entre mes cuisses, je les ouvre un peu, un doigt vient tourner sur mon bouton, j’arrive à trouver le sien et lui fais la même chose. Lentement son corps se tend, comme le mien, je sens qu’elle ne va pas tarder à jouir et je veux être avec elle, je veux que nous jouissions ensemble. C’est le grondement de plaisir d’Aâmet qui donne le signal, mon corps exulte dans un éblouissement total en sentant celui de ma fille se raidir et être secoué de spasmes de plaisir. Nous revenons à nous lentement, Litnéferti me prend la main et me fait sortir du bassin. Les filles nous entraînent dans une grande pièce avec une grande natte sur le sol. Elles nous font allonger dessus et se couchent sur nous. Litnéferti sur Aâmet et Haânkhès sur moi. Je découvre le corps de ma seconde fille avec mes mains, je vois celles d’Aâmet sur le corps de Litnéferti. Nous restons quelques minutes comme ça, à nous imprégner de ces merveilleux corps.  –Bon, il est temps de passer à des choses plus sérieuses les filles, mettez vous sur le dos et les jambes écartées, nous allons vous montrer quelque chose. Litnéferti se redresse et nous regarde avec un sourire un peu moqueur. –Si c’est pour nous faire voir comment faire chanter un corps de femme avec sa langue, on connaît déjà.–Et comment avez-vous appris ?–Tout simplement en vous regardant vous aimer.–Ça fait longtemps que vous nous regardez ?–Une petite dizaine d’années, mais nous ne vous imitons que depuis quatre ans. –Vous vous aimez depuis quatre ans.–Oui, c’est vous qui nous avez donné l’envie de voir ce que ça pouvait donner entre nous deux. Les deux filles pivotent et se retrouve la tête entre nos jambes en nous présentant leurs sexes. J’agrippe les fesses d’Haânkhès pour plaquer son sexe sur le ma bouche. Je sens sa bouche sur mon sexe, elle me lèche avec beaucoup d’expérience, on voit qu’elles pratiquent depuis longtemps. Je me délecte de la crème de ma fille qui coule avec abondance, elle est comme moi, une vraie fontaine. Sa langue batifole dans mon sexe en faisant monter une vibration dans tout mon corps. Son corps est toujours très détendu, comme si elle était imperméable à ce que je lui fait. Je sens que je suis sur le point de jouir, je suis déçue de ne pas avoir amené ma fille vers le plaisir que je vais moi-même ressentir. Un grand cri m’informe qu’Aâmet jouit quelques secondes avant que je ne m’exprime. Mon corps est submergé par une onde de plaisir comme j’en ai rarement connu, je ne sais plus où je suis, qui je suis, ce que je fais, mais c’est une impression extraordinaire que j’aimerai revivre souvent.  Haânkhès et Litnéferti se redressent et se jettent sur leurs sexes, leurs têtes plongent entre leurs cuisses, il ne faut que deux minutes pour qu’elle jouissent en se serrant l’une contre l’autre. Quand elles sont de nouveau lucides, elle viennent s’allonger contre nous, Haânkhès contre Aâmet, Litnéferti contre moi. –Et oui, nous nous réservons pour jouir ensembles, nous avons découvert que c’était la meilleure manière de jouir pour nous.–Et bien les filles, nous allons vous montrer autre chose, ne bougez pas. Je me précipite entre les cuisses de Litnéferti, Aâmet entre celles d’Haânkhès, elle n’a pas le temps de réagir que ma bouche lui aspire les bandes de chair. Je fais passer ses jambes sur mes épaules, je me redresse un peu, elle est maintenant sur ses omoplates, son sexe m’est offert, bien luisant de crème. Ma langue va de son trou à son anus en insistant un peu sur la bande de chair entre. Elle commence à se tortiller quand je lui lèche l’anus et y enfonçant un peu ma langue.  –Oh oui maman, oui. Je continue, apparemment elles ne pratiquent pas cette variante, je lui mordille la bande entre son anus et son sexe, ça aussi c’est nouveau pour elle. J’entends qu’Aâmet fait la même chose à Haânkhès qui réagit comme Litnéferti. Nous nous regardons une seconde, sans parler, nous savons ce que nous devons faire pour les envoyer là où elles ne sont jamais allées. Ma langue se déchaîne sur les bandes de chair de ma fille, elle s’enfonce de temps en temps dans son trou, redescend sur son anus en la léchant, elle est de plus en plus tendue, je sens qu’elle est au bord du plaisir, un léger coup d’œil vers Aâmet me confirme qu’Haânkhès en est au même point. Ensemble, nous remontons vers leurs boutons pour les mordiller en même temps que nous les aspirons. Elles se tordent de plaisir en s’exprimant bruyamment.  –Oui, oui, oh maman, maman, oui, aaaaahhhhh. Tout le palais est au courant, mais elles ne semblent pas y porter un quelconque intérêt, ce qui compte, c’est leurs corps qui leur donnent un plaisir qu’elles n’ont encore jamais éprouvé. Quand je sens Litnéferti se détendre, je me concentre sur son puit pour me délecter de sa crème onctueuse. Lentement ses fesses descendent, je les libèrent pour qu’elle puisse s’allonger à côté de sa sœur. Elle me tend les bras, je me love dedans. Nos bouches se soudent un long moment, quand nos lèvres se séparent, je vois dans son regard une tendresse inconnue. –Jamais je n’ai ressenti un tel plaisir, jamais nous n’avons osé aller jusque là, merci ma maman chérie, merci.–Merci maman, merci de m’avoir fait découvrir un nouveau plaisir.  Je vois qu’Aâmet est au bord des larmes après ce que vient de lui dire sa fille, elle la caresse sur tout le corps avec un sourire radieux. Nous sommes allongées sur une couche pas très confortable, je décide d’aller chez nous, je veux encore sentir le corps de nos filles contre ma peau. Nous arrivons dans la grande pièce qui nous sert de chambre. Chepseset a fait installer un grand lit recouvert de tissus doux. Litnéferti et Haânkhès s’allongent côte à côte, nous restons debout à les regarder, qu’elles sont belles nos filles !!! Nous nous allongeons autour d’elles, je pose ma main sur le ventre de Litnéferti pour la faire glisser sur sa peau douce. Haânkhès se redresse et regarde Aâmet. –Tu sais maman, je n’ai toujours pas connu d’homme, je vous ai vu avec papa, vous semblez beaucoup jouir avec lui, Oudjânkhet pourrait me montrer ?–Tu veux que ton frère prenne ta fleur ?–Oui, je crois que c’est le seul homme que je connaîtrai dans ma vie, je n’ai aucune envie de me marier à un homme, je veux rester avec Litnéferti, nous sommes bien ensemble.–Et son mari ne te plait pas ?–Non, pour moi, le seul, c’est Oudjânkhet, je ne donnerai ma fleur qu’à lui.–Très bien, et tu veux faire ça quand ?–Le plus vite possible, je veux savoir.–Bon, nous parlerons à ton père de ça dès qu’on le verra.–Et que voulez vous me dire mes chères femmes. Chepseset est là, debout devant nous, nous ne l’avons pas entendu arriver. Haânkhès se lève et se précipite sur lui pour l’enlacer. Il l’enlace en posant ses mains sur le bas de son dos. –Qu’y a-t-il ma fille ?–Juste que je veux donner ma fleur à Oudjânkhet, si tu ne veux pas, personne ne l’aura.–Et ton futur mari ?–Je ne veux pas de mari étranger, je veux rester avec lui, je le veux comme mari.–Très bien, les filles, retournez chez vous, je veux rester seul avec Aâmet et Talya. Elles nous quittent, Chepseset s’assoie sur le lit, il nous regarde un peu perplexe. –La solution serait qu’elle épouse son frère, je présume qu’elles sont restées avec vous et que vous avez fait chanter vos corps.–Exactement, et je crois que ça va se renouveler souvent, ça a été une merveilleuse expérience. –Très bien, je dois aller rejoindre Oudjânkhet dans la salle des armes, nous devons lui enseigner l’art de la guerre, il doit savoir se défendre. Il faut que je lui en parle.–Très bien, nous t’attendrons, mais que décides tu pour Haânkhès, elle est impatiente de découvrir l’amour avec un homme. –Tout ça dépend de la décision d’Oudjânkhet, je ne peux pas le forcer, mais je crois qu’il s’entend bien avec ses sœurs.–Oui, ils sont souvent ensemble, mais je n’ai rien vu qui fasse penser à autre chose que de l’amour fraternel.–Très bien, je vais en discuter avec lui. Il nous quitte pour aller rejoindre son fils. Nous nous jetons dans les bras l’une de l’autre pour échanger un merveilleux baiser.
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