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Aâmet

Chapitre 10

Inceste
Haânkhès En fin de journée, nous allons dans notre chambre, nous nous déshabillons, Aâmet s’allonge au milieu du lit, je m’allonge sur elle en posant ma tête sur une de ses épaule. Nous ne bougeons pas, nous restons immobiles un long moment à apprécier la peau de l’autre contre la sienne. C’est un rituel journalier, nous avons besoin de ce contact, nous avons juste besoin de sentir le corps de l’aimée vivre contre le sien. Oudjânkhet entre dans la pièce et vient vers nous pour s’assoir sur le bord du lit. –Papa m’a dit ce que voulait Haânkhès, moi aussi je veux rester ici avec elle, mais je n’ai jamais connu de femme, je ne veux pas qu’elle soit la première pour moi, je veux qu’elle garde un bon souvenir de sa première fois.–Donc, tu veux connaître d’autres femmes avant de prendre la fleur de ta sœur pour qu’elle jouisse pour sa première fois.–C’est exactement ça, je veux qu’elle en garde un très bon souvenir parce que moi aussi, je veux vivre avec elle.–Et bien, je ne vois qu’une seule solution, c’est qu’Aâmet et moi-même t’apprenions à faire l’amour à une femme et à la faire jouir, tu es d’accord avec ma proposition ?–Vous êtes toutes les deux les mamans de mes sœurs, vous leurs avez appris à faire l’amour à elles aussi ? –Non, elles ont appris en nous regardant faire, elles nous ont imité, c’est tout. Alors, d’accord ?–Je n’osais pas vous le demander, bien sûr que je suis d’accord.–Tu nous a vu avec Chepseset ?–Oui, et je veux faire comme lui, vous faire jouir. Il se lève, en moins de trois secondes, il est nu et vient s’allonger à côté de nous. Je le vois nu pour la première fois depuis plus de vingt ans. Il est magnifique, mais surtout, il a un beau sexe, pas gigantesque, mais avec un énorme gland, comme son père. Je passe de l’autre côté de manière à le mettre entre nous deux. Aâmet pose une main sur son ventre, je pose une main sur sa cuisse, elle le caresse et remonte vers son sexe qui se redresse lentement. Aâmet se penche dessus et le gobe entièrement. Elle monte et descend sur ce morceau de chair qui se durci de plus en plus. Quand il est bien raide, elle le libère. Elle vient vers moi pour poser sa bouche sur mon sexe et le titiller avec sa langue. Très rapidement, je suis inondée de crème, elle me libère. –Allez Oudjânkhet c’est à toi de faire, allonge toi sur ta mère, entre ses jambes, les bras tendus, ne bouge pas, je m’occupe de tout. Oudjânkhet se met au dessus de moi, je sens son sexe toucher l’intérieur de ma cuisse gauche. Il reste sur ses bras tendus, je pose mes mains sur ses fesses, elles sont fermes, tendues par l’effort. Je les caresse un peu, je sens son sexe bouger contre ma cuisse. Aâmet s’en saisie et le dirige vers mon trou. Son gland se pose dessus en commence à entrer lentement. –Vas y Oudjânkhet, entre doucement dans le trou de ta mère, tu vas voir, c’est une merveilleuse sensation, mais il ne faut pas t’exciter, reste calme. Je sens son gland s’enfoncer doucement dans mon trou, j’appuie un peu sur ses fesses quand je le sens entièrement en moi.  –Ça te plait ?
–C’est merveilleux cette douceur, cette chaleur, j’ai envie de ne pas bouger.–Reste un moment comme ça, que j’ai le temps de m’imprégner de ce superbe sexe dans le mien. Mais, très rapidement, je sens son sexe se ramollir. –Vas-y, sort un peu ton sexe et re rentre aussitôt après, fais des va et vient dans mon trou avec ton sexe comme tu as vu faire ton père. Il sort un peu, je le retiens quand son gland arrive au bord de mon trou, j’appuie sur ses fesses, il rentre de nouveau. –Recommence lentement comme ça, jusqu’à ce que tu sente ton corps se tendre et se disloquer dans un nuage.–Tu sais, j’ai déjà jouis en caressant mon sexe, je sais ce que c’est.–Oui, mais tu vas voir la différence avec une femme. Il continue ses va et vient, moi-même, je commence à sentir mon corps se tendre vers le plaisir, il a toujours des mouvements réguliers et lents. Son gland va du fond de mon trou jusqu’au bord, il parcoure tout l’espace disponible, comme le fais Chepseset. Je n’en peux plus, je veux sentir son corps sur le mien, je l’enlace et serre très fort. Il repli les bars et se colle à moi. Je sens son torse puissant sur mes seins, je caresse son corps tout entier, tout ce que je peux atteindre avec mes mains. Je sens que son corps réagit à mes caresses, il accélère un peu ses va et vient, il va jouir en moi, sa mère, je vais lui faire connaître l’extase pour la première fois de sa vie. Mon bas ventre se soulève, il accélère encore un peu, il se tend. –Oui maman, oui, je vais jouir avec toi, je ne peux plus tenir. Je sens un puissant jet de semence de vie dans mon trou, je l’accompagne en le serrant dans mes bras. –Vas-y Oudjânkhet, vas-y, je suis là pour recevoir le fruit de ton plaisir. Je suis envahie par une onde de plaisir qui m’emmène au confins de l’univers, au milieu des étoiles. Lentement, nous revenons à nous, Oudjânkhet se laisse aller sur le côté, son sexe est encore un peu tendu, Aâmet se penche sur lui. –Je ne veux pas qu’une si belle chose se ramollisse, j’ai envie d’en profiter moi aussi.–Je suis là pour apprendre, et j’ai besoin de plusieurs professeurs, c’est un gage de réussite.–Tu as déjà vu des professeurs comme nous ?–Jamais aussi belles, vous êtes très belles les mamans de mes sœurs.–Je suis aussi ta mère.–Je sais, mais je n’ai pas pu en profiter comme elles, je suis un peu jaloux.–C’est la vie des enfants mâle dans une grande famille, tu devras prendre des décisions importantes dans un avenir assez proche, il faut t’y former.–Je sais, mais je regrette de ne pas avoir partagé plus de temps avec vous, vous êtes si douces et si belles.–Merci, mais je vois que ton sexe se redresse, tu as de la chance d’être si jeune, ton père a besoin d’un peu plus de temps.–Et qui va profiter de ces belles capacités ?–Seulement Haânkhès, je veux être comme papa, ce que je fais aujourd’hui avec vous ne se renouvellera pas.–Oui, mais ton père a deux femmes, et Haânkhès a Litnéferti, tu vas être seul quand elles seront ensemble, à moins qu’elle ne te fasse partager leurs ébats.–Laissons le temps faire, je trouverai bien mon chemin.–Tu as raison, pour l’instant, je veux que tu me fasse ce que tu viens de faire à ta mère, mais sans l’aide de personne, allez, viens me faire l’amour.–J’arrive Aâmet. Aâmet s’allonge sur le dos les jambes ouvertes, je n’ai pas besoin de l’exciter, je vois que son sexe est recouvert de crème. Oudjânkhet se positionne entre ses jambes les bras tendus. Je vois son sexe avancer vers le trou d’Aâmet. Son gland se fraye un passage entre ses bandes de chair et s’enfonce lentement dans son trou. Quand le bas de son ventre touche celui d’Aâmet, elle l’enlace et le plaque contre elle. –Vas-y Oudjânkhet, fais moi l’amour, mais plus sauvagement qu’avec ta mère, je veux te sentir me défoncer le trou. –Comme tu veux, je suis là pour ça. Il commence des va et vient amples et assez lents, mais rapidement son rythme augmente, Aâmet donne des coups de rein pour qu’il s’enfonce encore plus en elle. Il est maintenant à un rythme fou, je vois Aâmet se tendre lentement, elle se donne à lui, elle veut jouir avec lui. Oudjânkhet se tend, je vois ses fesses se contracter de plus en plus. Aâmet se tend en jouissant, ses fesses quittent le lit et soulèvent Oudjânkhet. D’un seul coup, il ne bouge plus et ne donne que de petits coups de rein, il jouit. –Oui, vas-y, rempli moi de ta semence de vie.  Ils jouissent ensemble, elle le serre contre elle à l’en étouffer. Ils reviennent à eux lentement, Oudjânkhet se laisse encore une fois glisser sur le côté, il est complètement détendu, son visage reflète son bien être. Je m’allonge juste à côté d’Aâmet, je me colle à elle pour la câliner. Elle sourit, elle est sereine, elle me regarde. –Nous venons de faire de notre fils un homme.–Oui et j’en suis heureuse, qu’en penses tu Oudjânkhet ?–Moi aussi j’en suis très heureux, je vais pouvoir faire d’Haânkhès une femme, et le faire en douceur pour qu’elle ait envie de recommencer.–Très bien, maintenant, tu vas nous laisser, nous nous reverrons demain pour que tu puisse faire de ta sœur une femme comme tu dis. –Très bien, je vous laisse. Il se lève, mais il n’a pas le temps d’enfiler son pagne que Chepseset arrive avec Haânkhès. –Alors, mon fils est il apte à faire d’Haânkhès une femme ?–Tout à fait, il sais ce qu’il doit faire et nous pouvons te dire qu’il le fait bien. Haânkhès se précipite sur lui et l’enlace. –Tu peux le faire tout de suite, j’ai envie maintenant, entourée de mes parents.–Comme tu veux, laisse moi faire. Il se dégage un peu et lui enlève sa tunique, apparemment, ce n’est pas la première fois qu’il la voit nue, il l’enlace de nouveau et fait passer ses mains sur son dos et ses fesses qu’il a l’air d’apprécier beaucoup. Il lui prend la main et vient l’allonger à côté de nous. Nous nous levons pour leur laisser un maximum de place. Elle se laisse faire avec un merveilleux sourire. Il la caresse sur tout le corps pour finir sur ses seins qu’il embrasse l’un après l’autre. Haânkhès ferme les yeux, elle laisse son frère la guider. Il lui écarte un peu les jambes et vient poser ses lèvres sur le bas de son ventre. Je vois que sa langue vient se glisser entre ses bandes de chair, il la lape comme un chat. Haânkhès commence à faire bouger son ventre, sa respiration s’accélère un peu. J’ai envie de lui embrasser les seins, mais quand je bouge, Aâmet me retient. –Laisse les seuls, j’ai l’impression qu’ils se croient seuls, ils nous ont oubliés. Oudjânkhet se redresse un peu, son sexe est raide sous son ventre. Il remonte le long du corps de sa sœur les bras tendus. Son sexe touche celui d’Haânkhès, elle sursaute sans ouvrir les yeux, elle a toujours son sourire aux lèvres. Doucement le sexe d’Oudjânkhet s’enfonce dans celui d’Haânkhès jusqu’à ce que son visage perde son sourire. –Tu as mal ?–Oui, mais continu, je sais que c’est normal et ce n’est pas si violent que ça. Il recommence sa pénétration, le visage d’Haânkhès se crispe un peu, mais finit par se détendre quand le bas du ventre d’Oudjânkhet touche celui d’Haânkhès. –Oui, tu es complètement en moi, maintenant, fais moi l’amour, je veux que tu me donne ta semence de vie, je veux sentir en moi ton plaisir. Oudjânkhet commence des va et vient lents et profond, sa sœur l’enlace et le plaque contre son corps. –Je veux te sentir vivre contre moi. Ses aller-retours s’accélèrent, je vois qu’Haânkhès donne des coups de rein, elle participe, elle veut qu’il jouisse en elle, ses mains glissent sur son corps et ses fesses. Oudjânkhet accélère encore le rythme, jusqu’à ce qu’il ralentisse brusquement. –Pourquoi ralentis tu ?–Je ne veux pas jouir sans toi, et je ne suis pas loin, restons un peu comme ça, sans bouger.–Tu reste en moi, je te sens bien. Ils restent ainsi quelques minutes, je me demande comment il fait pour rester raide, son sexe doit commencer à se ramollir, mais il reprend doucement ses va et vient, Haânkhès l’accompagne en avançant son bas ventre. Il finit par reprendre un rythme normal, je vois à son visage qu’Haânkhès ne va pas tarder à jouir. –Oui, continue, je n’ai plus mal, je sens que je vais jouir, mon corps se tend, viens avec moi, oui, je jouis, viens. Elle se crispe et soulève ses fesses, Oudjânkhet est soulevé comme une plume, lui aussi jouit, je vois qu’il se vide en elle. Leurs bouches finissent par se joindre, ils échangent un long baiser. Il a maintenant un rythme fou, le corps d’Haânkhès est tendu comme un arc, il finit par s’immobiliser toujours planté en elle.  Quand leur corps finissent par se détendre, Oudjânkhet se laisse glisser sur le côté, il pose sa tête sur l’épaule de sa sœur et son bras sur ses seins. –Merci de m’avoir donné tant de plaisir, je ne veux pas connaître d’autres femmes que toi.–Moi aussi, je ne veux pas connaître d’autres hommes que toi, je veux que nous vivions ensemble. Il se redresse et pose ses lèvres sur celles de sa sœur, de nouveau leur baiser est intense et long. Chepseset s’en va, il doit donner des instructions pour demain. Aâmet passe derrière moi, m’enlace et pose ses lèvres sur mon cou. –C’est beau l’amour, je suis heureuse pour eux.–Moi aussi. Je me retourne pour échanger un long baiser avec la femme que j’aime. Ses mains glissent sur mes fesses, les miennes les imitent.
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