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Aâmet

Chapitre 12

Zoophilie
Méhényt Une fois la soirée terminée, nous allons dans notre chambre, Chepseset nous rejoint, mais quand il arrive, nous dormons déjà dans les bras l’une de l’autre. Je sens dans mon sommeil une main glisser sur mon corps pendant quelques secondes.  Le lendemain, je suis seule dans le lit quand je me réveille, Aâmet est déjà levée, je l’entend discuter avec quelqu’un. Je me lève pour la rejoindre, elle est en pleine discussion avec Dédetès. –Tu nous les amène dans une heure, le temps que nous nous préparions.–Bien maîtresse, je vais les récupérer tout de suite. Dédetès s’en va au moment où j’enlace mon amour. –Tu vas bien ?–Oui, très bien, j’ai passé une excellente nuit, Chepseset m’a fait l’amour deux fois, tu ne te réveillais pas quand il te caressait, j’en ai profité.–Tu as eu raison, il me semble avoir senti ses caresses, mais la fatigue était la plus forte. Pourquoi ne m’as-tu pas réveillé ce matin.–Parce que Dédetès est venu pour nous demander ce qu’elle devait faire avec Neb et Lateef, je ne pensais pas que tu te réveilles avant mon retour. Je lui prend la main, l’emmène sur le lit, la jette dessus et me couche sur elle en lui présentant mon sexe pendant que je m’occupe du sien. Nos langues s’animent entre nos bandes de chair, je la bois avec plaisir quand je sens un poids sur mon dos. C’est Chepseset qui s’est couché sur moi en me glissant son sexe entre mes fesses. Une main le guide vers mon sexe où il s’enfonce lentement. –Je dois rattraper cette nuit.–Vas-y Chepseset, moi aussi j’ai envie de rattraper mon retard.  Son sexe va et vient dans le mien pendant qu’une langue me titille le bouton et que la mienne s’abreuve à celui d’Aâmet. Mon corps n’en demande pas plus pour se désintégrer dans un grand éblouissement vite suivie par elle. Quand je sens Aâmet se détendre, je me laisse aller sur le côté, le sexe de Chepseset est toujours raide, il n’a pas joui, il se place juste au dessus de moi pour m’enfoncer une nouvelle fois son sexe dans le mien. J’ouvre mes jambes en grand pour lui ceinturer les fesses avec. Il me donne de grand coup de rein pendant qu’Aâmet pose ses lèvres sur les miennes. Une de ses mains glisse sur ma peau pour venir terminer son voyage sur mon bouton. Quand je sens la crème de Chepseset m’inonder, mon cerveau est de nouveau envahi par une lumière éblouissante qui m’emmène au pays du bonheur suprême. Il se laisse aller sur moi, je sens le poids de son corps sur le mien, le l’enlace pour le serre de toutes mes forces contre moi. –Pourquoi ne nous fais tu pas ça tous les matins ?–Parce que d’habitude, je ne suis plus là quand vous vous réveillez mesdames. Je suis quand même assez pris par mes fonctions, aujourd’hui, j’attend un émissaire de Pharaon, il ne devrait pas tarder, je dois vous laisser.
 Il se lève, enfile son pagne et nous quitte. Nous nous levons pour aller nous faire laver par nos servantes. Je n’aurais jamais imaginé vivre cette vie, le fait qu’Aâmet ne puisse pas avoir d’enfant a créé une situation nouvelle pour moi. Et le comportement de Chepseset est lui aussi exceptionnel, tout homme de son rang aurait choisi une autre femme pour avoir une succession, mais il aime Aâmet et n’a pas voulu se séparer d’elle. Maintenant, il a quatre enfants dont deux mâles et deux femmes qui l’aiment et le lui prouvent tous les jours.  Une fois lavées par nos servantes, nous allons dans le grand bassin pour nous rafraîchir, il fait déjà une chaleur insupportable. Nous sommes dans l’eau, enlacées, nos bouches soudées à échanger un merveilleux baiser. C’est le moment que choisi Dédetès pour nous rejoindre, elle est accompagnée d’une autre servante et de Neb et Lateef qui semblent bien s’entendre.  –Je vous amène les chiens, ils sont calmes et en pleine forme, je m’en suis assurée. –Pour les deux ?–Oui, Neb dans le sexe et Lateef dans l’anus. Il est très gros, plus que Neb, et très résistant, il semble beaucoup aimer prendre une femelle, il ne voulait pas s’arrêter.–Et bien nous allons le constater nous même, présentes moi ta compagne.–Je te présente Méhényt, elle va me remplacer, je dois retourner au service de Medouka.–Tout de suite ?–Oui, c’est un ordre de Chepseset. –Très bien. Dédetès s’en va, Méhényt semble un peu tendue, c’est la première fois que je vois cette fille, elle est très jolie et semble assez belle dans sa toge ample. –Je ne te connais pas, maintenant tu es à mon service, nous devons faire connaissance, mais d’abord, viens nous rejoindre, ça va te rafraîchir, je suppose que les chiens peuvent rester au bord du bassin sans problème.–Oui, ils ont l’habitude, ils ont été dressés pour ça. Elle fait passer sa toge par-dessus sa tête, je vois apparaître un splendide corps de femme d’à peine vingt ans, magnifiques seins, peau intégralement lisse, fesses rondes et hautes, et un bas ventre rebondi comme nous les aimons. C’est la première fois qu’Aâmet invite une servante dans le bassin avec nous, je me demande pourquoi. Pendant que Méhényt fais le tour pour descendre par les marches, Aâmet se penche à mon oreille. –Tu n’aimerais pas faire chanter ce magnifique corps ?–Oui, bien sûr mais comment vas-tu faire, c’est une servante, je sais que moi aussi j’étais une servante, mais comment avoir de l’autorité après ça.–Comme avec toi, si elle est intelligente, elle saura garder ses distances, sinon, je la renvoie à sa famille.–C’est un peu dur tu ne crois pas ?–Je crois surtout qu’elle est intelligente et qu’elle saura garder ses distances pour profiter de la situation. Méhényt arrive à côté de nous, elle nous regarde avec une sorte de crainte et d’excitation, je la sens fébrile, au bord de l’évanouissement. Je viens vers elle à me coller à son corps, Aâmet se met derrière elle. Elle panique de plus en plus, je l’enlace, Aâmet en fait autant en posant ses mains sur ses seins. Elle se penche à son oreille. –Tu n’aimerais pas que nous fassions chanter ton corps, il me semble qu’il aimerait bien qu’on s’occupe de lui.–Oui, et je dois dire que je rêve depuis toujours de pouvoir laisser ma main glisser sur ta peau maîtresse, comme sur celle de Talya, je vous admire depuis toujours.–Tu es au palais depuis combien de temps ?–Depuis toujours, je suis la fille de Gemnikai, le régisseur du palais, je suis né ici.–Tu as quel âge ?–Je viens d’avoir dix-huit ans depuis le douzième jour de pharmouti.–Pas étonnant que tu sois si fraîche, laisse toi faire.–Bien maîtresse. Elle fait glisser ses mains sur ses seins et son ventre pendant que je fais glisser les miennes sur son dos et ses fesses. Méhényt ferme les yeux, elle semble très heureuse de ce qui lui arrive, son rêve se réalise, elle sent nos corps contre le sien. Je lui prend les mains et les pose sur mes fesses. –Moi aussi j’aime sentir des mains de femme se promener sur mon corps.  Je recommence mes caresses, je sens ses mains commencer à glisser sur ma peau, elles restent un peu sur mes fesses pour remonter le long de mon dos. Quand elles reviennent sur mes omoplates, je pivote sur moi-même, ses mains se retrouvent sur mes seins. Je sens une seconde d’hésitation, mais elle s’enhardie et commence à me caresser les seins. –Tu aimes caresser les seins d’une femme ?–C’est la première fois, mais j’aime beaucoup.–Alors, retournes toi et caresse ceux d’Aâmet.  Elle se retourne en même temps qu’Aâmet et pose ses mains sur ses seins. J’en profite pour m’emparer des siens. Ils sont fermes et souples en même temps, des seins de jeune fille. J’éprouve un immense plaisir à les caresser, mais mes mains descendent sur son bas ventre. Je tombe sur un sexe très gras, ce n’est pas de l’eau, c’est sa crème qu’elle sécrète abondamment. Je trouve son bouton que je titille avec un doigt. Je sens son corps réagir à ma caresse, je glisse mon doigt entre ses bandes de chair pour arriver sur son trou. J’essaye d’y enfoncer mon doigt, mais je sens une résistance, j’abandonne pour retourner sur son bouton. Cette fois, je lui titille jusqu’à ce que je la sente se raidir. Je sens qu’elle se retient, elle jouit en silence. Je me penche à son oreille. –Tu peux t’exprimer, nous avons l’habitude.  Cette fois elle s’exprime en poussant un cri rauque sorti du fin fond de sa gorge. Aâmet se retourne, je sens sa main venir sur la mienne, je lui laisse la place pour m’occuper de ses seins. Je délaisse Méhényt pour aller me coller au dos d’Aâmet et lui caresser les seins et le bas ventre pour arriver sur son bouton. Je l’enlace pour la coller à mon corps tout en lui titillant le bouton. Je sens qu’elle se laisse aller au plaisir qui monte en elle tout en titillant le bouton de Méhényt. Au bout d’un petit moment, elles jouissent toutes les deux en même temps en criant leur joie de jouir. Tout le palais doit être au courant. Nous restons quelques secondes enlacées, Méhényt enlace Aâmet, elle pose sa tête sur son épaule. –Jamais je n’ai ressenti un tel bonheur, je ne savais pas que le corps puisse donner de telles sensations.–Et tu ne connais pas tout, nous allons t’apprendre à faire chanter le corps d’une femme comme nous allons faire chanter le tien. J’ai senti une résistance quand j’ai voulu enfoncer mon doigt dans ton sexe, tu n’as jamais connu d’homme ?–Oui, aucun homme ne m’a touché.–Tu n’aimes pas ?–Je n’ai pas dit ça, mais je n’ai jamais eu l’occasion, c’est tout. Nous sortons du bassin, Aâmet la prend par la main, je m’occupe des chien qui nous suivent docilement, ils semblent calmes et sereins. Nous arrivons dans la chambre, Aâmet fait assoir Méhényt sur le lit, juste au bord, en lui ouvrant un peu les jambes. Elle se laisse faire avec un air quand même un peu inquiet. Elle doit se demander ce qui va lui arriver, elle ne peut imaginer que ça puisse être du plaisir, c’est une servante, elle est là pour servir, rien d’autre.  –Vas y amour, fais chanter ce merveilleux corps, je crois que Lateef va s’occuper de toi pendant que tu t’occupe d’elle. –Je n’en espérais pas tant, à nous deux petite demoiselle. Je m’agenouille devant Méhényt et plonge ma bouche sur son sexe. Elle semble surprise mais finit par s’allonger complètement en ouvrant encore plus ses jambes. Je me déchaîne sur ce sexe frais et vierge, elle sécrète de la crème en quantité, elle est très excitée, son ventre commence à tourner en l’air, je glisse mes mains sous ses fesses pour mieux lui manger le sexe. C’est à ce moment que Lateef me saute dessus et, guidé par Aâmet, m’enfonce son sexe dans le mien. Je suis prise entre deux plaisir, celui de boire au sexe de Méhényt et celui de sentir cette énorme sexe aller et venir dans le mien en grossissant. Mais Méhényt n’a aucune expérience de l’amour entre femme et son corps réagit très vite à mes caresses. Elle se tend pour finir par jouir en criant très fort pour exprimer le plaisir qu’elle ressent. Je suis moi-même au bord de jouir, je sens la boule du sexe de Lateef grossir et buter contre mon sexe. Il finit par donner un énorme coup de rein pour me l’enfoncer entièrement et déclencher une énorme vague dans mon corps. Mon cerveau est traversé par des éclairs qui me font perdre toutes notions de temps. Je jouis sans fin, le plaisir est immense, je ne veux pas que ça s’arrête. Aâmet réussi à dégager Lateef, elle me fait lever et m’allonge sur le lit. Elle se penche sur mon sexe pour le lécher, elle semble se délecter de ce qu’elle y trouve. –Tu sais, le jus de chien est aussi bon que celui de Chepseset, j’adore, tu devais goûter une fois qu’il se sera vidé en moi.–Bien sûr, je veux moi aussi goûter ça.  Elle me lèche jusqu’à ce que mon corps ne me fasse connaître une nouvelle joie. Elle se redresse pour aller entre les jambes de Méhényt et plonger sur son sexe. Je vois cette magnifique jeune fille se tortiller sur le lit les yeux fermés à essayer de tirer un maximum de plaisir de l’instant qu’elle vie avec nous. Elle finit par jouir bruyamment et se détendre abandonnée par Aâmet. Quelques instants plus tard, je sens sa bouche de nouveau sur mon sexe.  –Méhényt, amène Lateef vers moi, tu sais ce que j’attends de toi.–Oui maîtresse, Dédetès m’a montré ce qu’il fallait faire avec eux. Je reste les yeux ouverts pour voir Lateef sauter sur le dos d’Aâmet et lui enfoncer son sexe dans le sien. –Il s’est trompé, il est dans mon anus, mais ça ne fait rien, j’aime aussi.  Je sens les coups de butoirs que lui donne Lateef, sa bouche est toujours sur mon sexe et se délecte de ma crème. Méhényt nous regarde faire, elle semble subjuguée.  –Méhényt, viens présenter ton sexe au dessus de ma bouche, je veux te boire une nouvelle fois. Elle semble abasourdie par ce que je viens de dire mais s’exécute. Elle vient me présenter son sexe juste au dessus de mon visage, j’attrape ses fesses pour la faire descendre dessus. Elle est trempée de crème, la situation l’excite très fort, je boit son jus d’amour en lui titillant le bouton avec ma langue. Elle ne tarde pas à jouir de nouveau, mais ses forces l’abandonnent et elle s’écroule sur moi, j’ai le visage étouffé par ses fesses et son sexe, mais j’adore la sentir complètement anéantie par le plaisir et abandonnée. Elle finit par basculer sur le côté au moment où Aâmet exprime son bonheur et m’entraînant dans son délire. C’est à ce moment qu’arrive Chepseset, il s’assoie sur le lit et fait glisser une main sur nos corps. Méhényt est de l’autre côté, je fais en sorte de me dégager pour qu’il puisse l’atteindre. Elle ne réagit pas encore, elle continue de savourer les ondes de plaisir que lui envoie encore son corps.  –Elle n’a pas connu d’homme, tu peux t’en occuper ?–Bien sûr si elle le désire.–Oui, je le désire.–Allonges toi à côté de moi et ouvre tes jambes. Chepseset enlève son pagne, son sexe est déjà raide, il s’allonge sur Méhényt en se tenant sur ses bras tendus. Je guide son sexe vers son trou. Quand je vois qu’il entre doucement, je le libère pour aller me mettre entre ses cuisse, lui écarter les fesses et lui titiller l’anus avec ma langue, ce qu’il adore. Je suis difficilement ses mouvements, mais je réussi à lui lécher l’anus de temps en temps. Je sens Aâmet me faire la même chose. Je n’ai pas vu le sexe de Chepseset s’enfoncer complètement dans celui de Méhényt, mais elle semble aimer ce qu’il lui fait car elle donne des coups de rein pour accentuer la pénétration. Il est de plus en plus rapide et profond, je dois abandonner ses fesses, je m’allonge à côté d’eux pour recevoir le corps d’Aâmet sur le mien et échanger un long baiser. C’est le moment que choisit Méhényt pour exprimer bruyamment son plaisir suivi assez rapidement par Chepseset. Tout le monde se détend, je vois à son visage resplendissant que Méhényt est au comble du bonheur, elle semble ailleurs. Nous la laissons reprendre lentement ses esprits, Chepseset nous quitte pour aller travailler, Aâmet me fait lever pour me parler un peu à l’écart. –Que penses tu de la performance de Lateef ?–J’ai aimé, mais je ne sais pas si j’aimerais recommencer souvent, c’est toi que j’aime, je n’ai besoin de personne d’autre. –Moi aussi, je vais demandé de les ramener au chenil, par contre, nous gardons Méhényt avec nous.–Parfaitement d’accord. Nous nous enlaçons pour échanger un long baiser, notre vie est douce, nous vivons dans un pays merveilleux, je sais que je vais être heureuse avec mes amours et mes enfants. Aâmet appelle une servante pour ramener les chiens, mais nous, pour l’instant, nous rejoignons Méhényt, nous allons nous occuper sérieusement d’elle.
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