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Abandon au plaisir

Chapitre 1

Tentation voyeuriste

Orgie / Partouze
Commençons par poser le cadre. Tu es au bal des pompiers dans une des nombreuses casernes de ce Paris que tu aimes tant. Pour l’occasion tu as enfilé une jolie robe noire courte et profite de la soirée qui bat déjà son plein. L’alcool coule plus que de raison et la musique t’emporte déjà. De nombreux pompiers en uniforme sont aussi là et ce pour ton plus grand plaisir. Ton corps bouge lascivement et tes yeux ne se lassent pas de ces uniformes qui se meuvent autour de toi. Mais tout d’un coup, ton regard se fixe sur une personne, une jolie petite brune en robe fendue verte faisant écho à ses yeux de la même couleur. Tu ne peux t’empêcher de la regarder passer dans cette robe qui moule ses fesses rebondies et un décolleté qui laisse deviner une petite poitrine ferme. Vos regards se croisent et tu devines au fond de ses yeux la même lueur qu’il y a dans les tiens, tu sens la curiosité et l’envie naissante, mais la foule coupe déjà ce bref instant et la soirée continue son cours. Un jeu s’installe bien vite entre cette brune et toi, entre deux mouvements, un regard qui s’accroche. Elle joue aussi avec ces pompiers qui l’entourent et qui comme toi ne semble pas la laisser indifférente. Tu remarques qu’elle se rapproche de plus en plus de deux d’entre eux, alternant entre un grand noir bien moulé dans son uniforme bleu et un joli brun de taille moyenne qui n’est pas en reste non plus dans son uniforme.Son jeu continu et t’hypnotise de plus en plus. Tu la sens se rapprocher subrepticement de ces deux hommes, tout en gardant le contrôle. Son regard qui s’allume de plus en plus continue à jouer avec le tien. De ton côté tu te rapproches aussi de plus en plus du cavalier avec lequel tu es venue. Tu ne veux pas perdre ce jeu que cette jolie brune a commencé. S’opère alors une délicieuse attraction, elle avec ses deux inconnus, toi avec ton cavalier et enfin vous deux et vos regards de plus en plus provocateurs à travers la salle.  A force de danser tu commences à avoir chaud et vas prendre l’air pour fumer une cigarette. Arrivée sur le balcon, l’air frais de la nuit te fait un bien fou, tu en profite pour contempler un instant la lune complètement visible dans ce ciel sans nuage. Tu tires une cigarette et entend derrière toi un bruit de briquet qui s’allume. Tu te retournes et te retrouve nez à nez avec ta complice de la soirée.Tu peux enfin la voir de près et tu remarques un petit grain de beauté juste à côté de son œil gauche qui ne fait qu’accentuer le charme de son joli visage. Elle s’approche de toi et te tend cette flamme allumée, en approchant son briquet elle effleure délicatement ta main ce qui te procure un léger frisson. Elle te fixe de ses grands yeux verts et un léger sourire charmeur se dessine sur ses lèvres. Elle te dit simplement :"Je m’appelle Agathe, vient à l’étage après ta cigarette si tu veux continuer notre jeu" et s’en va avec un joli rire cristallin.  Tu le sais d’avance, il n’y a pas d’hésitation à avoir. Tu es trop joueuse pour refuser son invitation, ce n’est pas de l’appréhension qui traverse ton esprit, au contraire c’est l’anticipation de ce qui peut bien t’attendre. Mais tu ne te laisse pas avoir par l’impatience, au contraire, tu gardes le contrôle et fais monter le plaisir par l’imagination. Tu termines donc doucement ta cigarette en profitant du léger vent frais qui caresse ton joli visage. Tu prends ensuite la direction des escaliers que tu avais repéré plus tôt en entrant et les gravis tranquillement. Tu avancés à présent dans un long couloir et ne croise que des portes fermées. En avançant encore tu tombes enfin sur une porte qui semble avoir été laissée entrouverte exprès. Tu t’approches doucement, à mesure que tes pas ralentissent tu sens déjà ton cœur accélérer et ton corps s’éveiller. Tu n’es plus qu’à quelques centimètres de la porte et tu jettes un œil à l’intérieur. Dans une pièce qui semble être un salle de sport au vu des nombreux tapis au sol tu aperçois éclairée par la verrière et le ciel clair de l’été, Agathe entourée de ces deux pompiers et cavaliers inconnus, le grand noir et le brun. La vision que tu as est d’un érotisme rare. Agathe au milieu de la pièce qui voit les deux corps des pompiers se rapprocher d’elle doucement, elle leur fait garder leur distance du bout de ses doigts tout en profitant de ce contact pour parcourir leur corps. Elle est la seule à diriger, elle passe ses doigts le long de leur cous, sur leurs torses, descendant sur leurs abdos jusqu’à la limite de leurs pantalons. Passant de l’un à l’autre, le regard de plus en plus gourmand. De l’endroit où tu es, tu peux voir deux belles bosses se dessiner au travers de l’uniforme des deux pompiers. Ce phénomène n’a pas non plus échappé à Agathe qui laisse glisser ses mains de plus en plus bas en se rapprochant toujours plus de l’objet de ses envies. Quand enfin elle touche l’entre jambe du brun, il y a comme une barrière qui se brise, les trois personnes en face de toi ne résistent plus à ces tensions et s’abandonnent au plaisir. Comme eux tu sens ton corps qui se laisse lui aussi envahir et sens ta chatte s’humidifier quand les deux pompiers font maintenant aller et venir leurs mains, leurs lèvres et leurs langues sur le corps d’Agathe.  Tu ne peux t’empêcher de t’imaginer à sa place, tu ressens leurs mains aller et venir le long de ton cou, de ta nuque, descendant le long de ton dos pour s’arrêter sur tes hanches. Le spectacle de ces quatre mains sur le corps d’Agathe t’hypnotise et tu reproduits les caresses se déroulant sous tes yeux sur ton propre corps, ce corps que tu sens de plus en plus chaud et léger. C’est quand tu vois les mains du grand noir empoigner fermement les petits seins d’Agathe. Les englober totalement, comme pour les posséder. Le voir resserrer son étreinte pour se les accaparer entièrement que ton corps devient fou. Tu reproduis encore le même traitement sur ta poitrine que tu sens déjà si ferme. Tu aperçois clairement les tétons d’Agathe dressés sous le fin tissu de sa robe. Les tiens sont si durs aussi. Tu ne peux t’empêcher de jouer avec. Ton plaisir augmente de plus en plus en écho à celui d’Agathe. Le brun s’est placé derrière elle et a plaqué ses hanches contre ses fesses. Agathe subit un traitement incroyable, le grand noir face à elle l’embrassant, passant sa langue et ses lèvres dans son cou, sur ses épaules, son torses, ne lâchant pas ses seins une seule seconde. Le brun quant à lui l’embrasse plus délicatement dans le creux de la nuque, passant ses mains le long de son dos et les posant parfois fermement sur les hanches de la belle inconnue pour qu’elle sente son envie entre ses fesses.  Tu fais subir à ton corps un traitement similaire, faisant monter le plaisir en te retenant de te toucher. En te retenant de passer ta main dans cette culotte que tu sais si humide, tu veux ressentir le même plaisir qu’Agathe. Ton souffle se fait de plus en plus lourd et saccadé faisant monter et descendre ta poitrine si ferme entre tes mains. Mais le désir est de plus en plus fort, l’une de tes mains ne peux s’empêcher de descendre inlassablement le long de ton ventre jusqu’à tes cuisses. Cette main récalcitrante se glisse doucement sous ta robe et en la faisant remonter, le moindre fait d’effleurer ta cuisse te fais déjà frissonner de plaisir. Tu es si proche de ton entrejambe à présent, les yeux rivés sur cette scène, sur Agathe et ces deux pompiers. Quand tout d’un coup Agathe se libère de leur emprise, les repoussant presque sauvagement. Ton corps se fige tout comme celui des deux hommes.  Agathe reprend difficilement son souffle. Elle était, tout comme toi, à deux doigts de se laisser aller. Mais elle veut garder le contrôle, tu le sens. Plus calme, tu la vois faire glisser doucement les bretelles de sa robe qui tombe le long de son corps jusqu’au sol. D’un pas délicat elle s’avance vers les deux pompiers abandonnant sa robe et n’arborant plus qu’un joli tanga vert. Chacun de ses gestes est chargé d’érotisme. Une fois devant eux, elle se met à genoux et s’applique délicatement à défaire leurs ceintures. Tu vois enfin leurs sexes dressés apparaitre. Celui du grand noir est bien droit et large, celui du brun quant à lui est un peu moins large mais plus long. Leurs deux sexes sont fièrement dressés et donnent déjà l’impression d’être sur le point d’exploser. Au moment où Agathe les prend tous les deux en main tu vois leurs sexes palpiter. Elle s’approche doucement et ces deux bites ne sont plus qu’à quelques centimètres de son visage.  Tu les imagines entre tes doigts, tu aimerais ressentir leur chaleur, leur envie, pouvoir les avoir si dures entre tes mains. Rien qu’à cette idée tes jambes se font plus faible encore et tu ne peux t’empêcher de déglutir d’envie en sachant très bien ce qu’Agathe s’apprête à leur faire vivre. Tu ne perds pas une seconde de cette vision. D’un coup, ses yeux se détournent et son regard vient se poser sur toi ! Surprise, tes jambes finissent de te lâcher et tu tombes à genoux sur le sol, toujours hypnotisée par ces yeux verts qui te pénètrent. De nouveau un sourire coquin passe brièvement sur son visage, comme si elle savait que tu étais la depuis le début. Voulant te faire profiter du spectacle et voulant toujours plus jouer tu vois une étincelle perverse dans son regard.  Tu la vois passer doucement sa langue sur ses lèvres. Toujours ses yeux sur toi, t’appelant au vice et étincelant de luxure, elle ramène les deux queues bien dures à ses lèvres. Ouvrant outrageusement sa bouche tout en tirant la langue. Amenant doucement à elle les deux glands déjà humides de pré sperme, enfin elle peut les goûter. Tu la vois savourer leurs goûts, leurs chaleurs et leurs raideurs. Passant sa langue sur leurs glands gonflés, Agathe commence à les branler de plus en plus vite. A mesure que le rythme augmente elle se fait plus active et envieuse sur leurs glands, les prenant de plus en plus profond dans sa bouche que tu vois à présent outrageusement ouverte et baveuse. Elle humidifie tellement le bout de ces deux verges qu’un filet tombe sur son corps et coule entre ces deux seins !  À cette vision tu n’en peux plus, tu craques totalement et ta main n’hésite pas. Elle s’est placée entre tes jambes sans même que tu t’en rendes compte. La douce chaleur de ta main sur ta chatte trempée est si agréable. Tu commences à bouger doucement tes doigts au rythme des mains d’Agathe sur ces deux bites qui t’hypnotisent et que tu aimerais tant avoir en bouche toi aussi. Maintenant assise, tu te laisses aller au jeu et soutient ces deux yeux verts et pervers. Tu écartes les jambes ainsi que le tissu de ta culotte offrant à Agathe un spectacle à la hauteur de celui qu’elle t’accorde. Tes doigts passant d’abord entre tes lèvres gonflées, de bas en haut et de haut en bas de plus en plus vite à mesure que les mains d’Agathe accélèrent aussi. Tu es tellement humide. D’un air victorieux Agathe abandonne ton regard et lève enfin les yeux vers les deux pompiers.  Elle prend subitement le sexe du brun en bouche, tout en continuant de branler frénétiquement la queue du grand noir de son autre main. Agathe s’active sur cette belle bite qui lui remplit la bouche de plus en plus. A chaque va et vient, elle la prend plus loin encore. Tu vois sa gorge se déformer à mesure que la longue queue du brun se fait engloutir. A chaque fois plus loin, tu ne peux qu’envier les différentes étapes que tu vois se dérouler devant toi en les imaginant. Tu imagines la sensation d’avoir cette bite prendre possession de ta bouche, puis passer l’ouverture de ta gorge pour enfin te posséder entièrement comme tu la vois posséder la gorge d’Agathe maintenant entièrement remplie. Elle reprend enfin son souffle et libère cette queue à présent si dure et luisante pour s’occuper de celle du grand noir. Une danse frénétique s’installe alors, Agathe alternant entre les deux hommes, suçant l’un tout en branlant l’autre. Faisant monter leur plaisir à chaque mouvements.  De ton côté ton corps est brûlant d’envie et de désir, tu continues de te toucher. Ton clitoris est tellement gonflé, les cercles que tu lui impose avec tes doigts se font de plus en plus appuyés et rapides. Tu joues délicatement avec tes tétons qui sont encore plus gonflés et dressés que ton clitoris et tu t’enivre de cette scène et de ces sons. Les râles de plus en plus fort des deux pompiers et les bruits de bouche aussi vulgaires qu’obscènes d’Agathe ne font qu’accentuer ton plaisir. D’autant plus que le rythme augmente.  À présent ce n’est plus Agathe qui a le contrôle, le grand brun tient sa tête fermement entre ses mains et c’est lui qui impose le rythme à sa bouche. Sa gorge entièrement prise elle se déforme à chaque va et vient puissant du brun. Se faisant littéralement baiser la bouche elle ne peut s’empêcher de pousser des gémissements étouffés de plaisir. Le brun la laisse enfin respirer, mais sa délivrance est de courte durée, les mains du grand noir empoignent déjà ses cheveux et il commence lui aussi à baiser la bouche d’Agathe. Cette bouche si ouverte et humide qu’elle leur offre sans retenue. Cette bouche qui se fait baiser si fort. Cette bouche qui laisse couler de longs filets de salive sur sa poitrine nue. Toujours à genoux, Agathe écarte les cuisses et tu la vois commencer elle aussi à se caresser. Le mouvement de sa main s’adaptant à celui des deux bites si passionnées autour d’elle. Ses gémissements se font de plus en plus forts et étouffés. Sa gorge utilisée sauvagement, elle regarde les deux hommes qui la possède fermement dans les yeux, le corps tremblant de plaisir. Le tien n’est pas en reste et tu aimerais tellement être à sa place à subir les assauts de ces deux sexes, les sentir profondément en toi, posséder ta bouche et ta gorge. Les sentir entièrement remplies de leurs bites brûlantes. Mais tu sais aussi que tu aurais envie de plus à sa place ! Tu aurais envie de les sentir en toi, profondément. Au fond de ta chatte dégoulinante de plaisir et gonflée d’envie. Tu ne peux t’empêcher de te demander laquelle de ces deux belles queues tu prendrais en premier et un sourire se dessine sur tes lèvres. Tu n’as pas mis longtemps à trouver ta réponse et Agathe semble avoir eu le même cheminement de pensée que toi.  Elle a fait s’allonger le grand noir sur le dos et tu peux la voir prendre en main cette colonne de chair qui semble énorme entre ses petits doigts. Elle la fait se dresser fièrement, turgescente et humide. La pointe directement vers son antre. Le chevauchant, dos à lui, lui offrant une magnifique vu sur ses fesses maintenant nues et surtout face à toi. Vos regards peuvent se retrouver de nouveau et sont animés d’une flamme brûlante. Toujours juste au-dessus de ce sexe, elle descend doucement en écartant les jambes plus que nécessaire ainsi que ces lèvres qu’elle caresse. Elle le fait pour toi, pour que tu puisses voir l’instant exact où elle va se faire pénétrer, l’instant exact ou son corps sera comblé, l’instant que tu aimerais tant vivre à sa place. En écho, tes jambes s’écartent aussi encore plus qu’elles ne l’étaient déjà et tu laisses totalement apparaître ton intimité à la belle inconnue. A cette vision elle pousse un gémissement de plaisir et accélère le mouvement de ses doigts. La descente commence enfin, gracieuse, lente et tellement érotique.
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