Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 130 J'aime
  • 11 Commentaires

L’Abattage Isabelle.

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
Isabelle était allongée là, sur la table du salon en chêne massif.Ses grandes lunettes rondes, couvertes de sperme, en vrac sur son visage, lui aussi enseveli sous une épaisse couche de ce liquide épais qu’elle aimait tant.Les fines montures noires en plastiques étaient à peine visible.Un filet plus liquide, car mélangé de salive, coulait par le coin de sa bouche entrouverte. Il lui parcourait les joues pour finir le long de son cou en alimentant la flaque dans laquelle ses cheveux baignaient.Elle avait les yeux mi-clos, révulsés, comme comateuse. Les seuls signes prouvant qu’elle était encore consciente, étaient de petits soubresauts de ses cuisses, et quelques tremblements.
Elle n’avait même pas été déshabillée. Sa salopette jupe en Jean pendait de part et d’autre, les boutons arrachés. Son soutien-gorge vert à poix blancs ne tenait plus que par une bretelle, la dentelle qui l’entourait avait disparu du coté gauche. Il ne cachait plus ses deux petits seins flasques aux tétons rougis.Sa culotte, assortie, n’était pas dans plus bel état. Elle était déchirée en deux, et n’était plus retenue que par ses porte-jarretelles blancs qui maintenaient avec difficulté deux bas eux aussi blancs.Ces pauvres bas, l’un d’eux ressemblait plus à un sac distendu, il avait été agrippé pas l’élastique servant de poignée pour forcer la belle à se mettre dans les positions demandées.Isabelle avait toujours les pieds posés sur la table, les genoux pliés et écartés, tel une grenouille prête à bondir. Cette position lui maintenait les lèvres ouvertes, au milieu desquelles on distinguait un vagin dilaté avec, plus au fond, un col de l’utérus, lui aussi évasé.Comme pour sa bouche, de cette caverne s’échappait un filet de liquide blanc, mais plus épais et abondant. Il coulait entre ses fesses, rejoignant une deuxième source qui lui sortait de l’anus comme deux rivières alimentant un fleuve. Un fleuve qui poursuivait sa course le long des pieds de la table pour finir sur le sol en carrelage du salon.
Les sphincters n’arrivaient plus à refermer son petit trou qui, par moments, faisait des bulles pour évacuer l’air emmagasiné par les va-et-vient répétés. On pouvait aisément y glisser un pouce sans toucher la moindre parois.Donc, Isabelle gisait souillée au milieu d’un bordel innommable, elle qui était si minutieuse avec son ménage, à la limite de l’obsession.Il faut dire qu’elle venait de subir son premier abattage en règle. Et ce, avec une quinzaine de jeunes gaillards vigoureux.Sa copine Sylvie, grosse infirmière nymphomane adepte des tournantes en tous genres, l’avait conseillé.
— Faut pas se mentir, on est pas des bombasses ! En plus on est plus toutes jeunes ! Si tu veux attirer autre chose que des vieux cochons il faut que tu fasses une annonce qui en jette. Il faut leurs en promettre aux jeunes ! Il faut qu’ils soient sûr de se déplacer pour quelque chose !
Qu’ils comprennent que tu n’es que trois trous et une paire de seins.Pour convaincre plus, elle avait posté avec son annonce des photo d’elle dans ses tenues les plus sexy, la vulve rasée largement ouverte, et un concombre de belle taille profondément ancré dans l’anus.Elle avait aussi cherché un titre accrocheur, et avait rédigé son annonce un peu comme ceci :RESPECTABLE MÈRE DE FAMILLE A DÉMONTER A PLUSIEURS,Isabelle 54 ans, mère de famille mariée, honorable et BCBG

Cherche groupe de bricoleurs maxi 30 ans pour la monter et démonter.Venez user votre outil préféré.Et, contre toute attente, ça avait plutôt bien fonctionné puisqu’en à peine une dizaine de jours elle avait constitué un groupe de quinze jeunots.Et d’autres demandes tombaient encore, elle les mettait de côté pour de futures séances.Elle organisait donc le ‘combat’ dans une résidence secondaire qu’habituellement elle louait, mais libre pour l’occasion.Les premiers sont arrivés vers 14h00 à trois dans la même voiture.
Isabelle les fit entrer, et leur paya un Coca.Ils devaient avoir 25 ans, avec un petit gros dans le groupe.Puis d’autres sont arrivés, tantôt seul, tantôt en groupe.Ils étaient maintenant 10, il n’en manquait plus que cinq.Deux mains la firent asseoir sur une chaise de cuisine, d’autres courraient sur son corps, bientôt des braguettes se baissèrent, des pantalons tombèrent, et des sexes raides se présentèrent autour de son visage.Elle commença à positionner ses lèvres sur le gland le plus proche et avec de petites aspirations finit par l’avaler complètement. Il était pourtant déjà de bonne taille. Elle s’activait sur ce morceau mais les autres s’étaient rapprochés et réclamaient leur gâter ie.
Quand les derniers sont arrivés, 20 minutes plus tard, Isabelle était à genoux au milieu de sa cuisine toujours entourée de verges raides mais luisantes de sa salive. Elle butinait de gland en gland, en avalait parfois deux en même temps. Elle tournait la tête pour satisfaire celles qui se présentaient derrière elle, et ça faisait ressortir les rides de son long cou.Déjà elle ne devait plus voir grand-chose à travers ses lunettes.Des mains indélicates s’étaient immiscées dans son soutien-gorge, d’autres sous sa culotte par l’avant et d’autres encore semblaient rechercher quelque chose par l’arrière.Déjà deux boutons de sa salopette avaient cédés.Elle fût invitée, plutôt contrainte, à se mettre à genoux au milieu du salon. On écarta les meubles pour libérer de la place devant et derrière. On lui fit bomber le torse, le fessier et la tête fièrement relevés. Sa salopette jupe fût relevée et posée sur ses reins. quelqu’un attrapa sa culotte et la déchira en deux, ses lèvres encore collées se dévoilèrent. Un gland se présenta à leur entrée et d’un coup sec les écarta pour la pénétrer tel une chienne. C’était d’ailleurs la dernière fois de la séance où où ses pauvres lèvres avaient l’occasion de se toucher.Après une dizaine de minutes et environ six cavaliers différents, elle commençait à souffrir de la position, et ça se voyait.
— Mettez lui des coussins sous les genoux. Faut pas l’abîmer, on en a encore besoin !
Le défilé dura encore une bonne demi-heure, et tout le monde pût passer au moins deux fois tant par l’avant que par l’arrière. Chacun avait sa technique pour chevaucher la bête. Certains la tenaient par les reins pour assurer une bonne prise, d’autres les paumes posées sur ses fesses, d’autres encore ne la tenaient pas du tout. Pour les pénétrations buccales, c’était pareil, il y avait ceux qui lui tenaient la tête les paumes sur les oreilles, ou les mains sur l’arrière de la tête, par les cheveux...Mais tous avaient le même but : placer leur queue au chaud, le plus profond possible. Et pour ça Isabelle pouvait les satisfaire.C’est là que, n’y tenant plus, l’un des plus jeune explosa littéralement dans la joues de ma belle-sœur. Bien sûr elle l’avait senti monter et s’était préparée à accueillir cette première dose.Elle avait fortement serré les lèvres sur sa verge et lui avait masé le gland de sa langue un peu râpeuse. Mais alors qu’il lui ensemençait la bouche, il se retira en disant :
— Désolé Madame mais j’en peut plus.
Il se retirait, et tandis qu’elle avalait goulûment ce nectar
— C’est pas grave, mais revient un peu
Il s’exécuta, elle fini de lui vider son distributeur de sperme qui déjà commençait à ramollir. Elle lui massait les couilles comme pour s’assurer qu’il n’y avait plus rien à soutirer.Un des assaillants s’assit sur le canapé, sa grande verge raide et luisante en attente, et dit :
— Amenez la moi les gars !
Elle fût donc conduite à Monsieur et assise sur son sexe érigé qui disparu jusqu’aux couilles dans son vagin déjà tout dilaté.Mais ça ne convenait pas pour le jeune homme qui l’attrapa par les hanches, la souleva pour se dégager, la décala légèrement vers l’avant et :
— Hep, hep hep ! Tu rigoles ! Pas par là Mamie !— M’appelle pas Mamiiiiiiii
Il ne lui laissa pas l’occasion de finir sa phrase. La dernière syllabe glissa en même temps que le pieux dans son anus. Il attrapa les deux coté de sa salopette et tira si violemment que ses boutons sautèrent comme les bouchons d’une bouteille de champagne trop chaude.Il posa les mains sous ses fesses qu’il écarta et la souleva de quelques centimètres. Il pouvait ainsi, par grand coups de reins, entrer et sortir à sa guise dans les entrailles d’Isabelle qui gémissait.Avec ses deux index, il lui écarta largement le vagin.
— Les mecs, venez voir comment ça travaille une chatte de vieille quand on l’encule.
Les autres se postèrent devant Isabelle qui se faisait empaler, la chatte rose béante, ouverte. On aurait pu mesurer la taille de la bite par la bosse qui progressait et repoussait son intimité. On lui voyant son tunnel vaginal qui se refermait de l’intérieur à chaque fois que le sexe de son locataire du dessous y entrait. Et pour un tunnel, c’était devenu même un tunnel deux voies (au moins). Une queue raide s’y présenta et y entra entre les doigts qui s’y trouvaient déjà.
— Ho putain, je flotte là dedant !— Attend, bouge pas, remonte juste une peu.
Un deuxième gaillard se présenta derrière le premier.
— Hé tu vas pas m’enculer !— Non, non t’inquiète.
Ce n’était pas son intention, mais il glissa sa bite dans le vagin d’Isabelle en plus des deux doigts et de celle déjà présente.Assise, les fesses à dix centimètres dans le vide, elle se faisait nettoyer les cheminées par trois ramoneurs.D’autres sont venus s’assoir sur le canapé à coté du premier, ils étaient quatre, assis, à se passer Isabelle et à l’asseoir sur leurs cuisses, la queue toujours bien profondément plantée dans son cul comme pour ne pas qu’elle glisse. Et les autres s’y mettaient maintenant toujours à deux pour lui combler le minou.Il faut dire que seul dans cette caverne, c’était humiliant de s’apercevoir qu’avec sa bite, on touchait difficilement les bords tellement ça s’était avachi.Et son petit trou du cul, au début bien serré, prenait le même chemin à force de changements répétés de visiteurs. Et toujours des visites profondes et brutales ce qui n’arrangeait rien.
Le passage était fait, et bien fait, même les mieux membrés la visitaient sans problème. Et quand ils la changeaient d’assises, ses orifices restaient largement ouverts comme si les queues de ses compagnons s’y trouvaient toujours.Thierry, le premier à avoir mis en place la double vaginale, s’aprocha et posa son gland à l’entrée de sa pauvre rondelle déjà occupée par une queue de bonne taille.
— Non, pas deux là ! Vous alleeeez me déééééchirer !
Mais déjà son gland en forme de champignon était entré pour tenir compagnie à la bite déjà en place.
— T’inquiète pas, t’imagines pas comment s’est élastique un trou du cul ! Même un vieux.— Et surtout le tien !
Renchérit le premier.Cette fois ils étaient plus doux, plus patients, juste pour la préserver, qu’elle abandonne pas le combat. Et au bout de quelques minutes de travail délicat, ils étaient tous deux complètement enfouis en elle, couilles contre couilles.Ils lui firent subir plusieurs doubles délicats en changeant de personne.Puis de moins en moins délaicat, ils finirent pas la tambouriner sauvagement.
— Hé les mecs, à 6 on peut entrer !
Deux s’allongèrent par terre, cuisses mélées, leurs deux bites collées l’une contre l’autre.
— Viens t’asseoir là !
Elle s’exécuta en comprenant bien dans quel trou elle devait les enfouir.Elle fût tirer en arrière, deux autres, à genoux lui remplir le vagin de leurs outils.Deux autres, lui proposèrent leurs gourdins au visage. Elle les goba. Tous s’activaient anarchiquement en elle.Tous tentèrent la pose, ça avait même redonné de la vigueur au premier à avoir éjaculé en elle.D’ailleurs, bon nombres d’entre eux ont déchargés dans ces positions. Le sperme coulait entre ses cuisses.
Finalement, après plus de quatre heures de torture, on l’allongea sur la table du salon pour en finir.Son entre cuisse était tellement distendue que les derniers préférèrent se finir dans sa bouche. C’était encore le seul endroit où ils pouvaient espérer un peu de serrage autour de leurs queues.
Diffuse en direct !
Regarder son live