La journée de travail est finie. J’arrive chez moi après la petite heure de route. Cette heure de route me permet de décompresser et j’arrive à l’appartement en pleine forme. Ma femme arrive avant moi. Abba, c’est ainsi que s’appelle ma femme, ses parents adoraient le groupe Abba c’est pour cela qu’ils l’ont appelée comme cela, heureusement que ce n’était pas ZZ TOP leur groupe préféré, je m’imagine appelait ma femme ZZ TOP, bref, passons. Abba et moi sommes ensemble depuis dix ans. Nous avons les mêmes gouts et passons tout notre temps libre ensemble. On adore la mer, le soleil. Nous passons nos vacances dans des pays chauds, au bord de la plage, au pied des cocotiers à faire le lézard. Mais voilà, les vacances sont finies et, comme d’habitude, elles ont passé trop vite. Abba est toute bronzée, c’est un délice. Nous retrouvons notre travail avec plaisir. Nous ne travaillons pas ensemble, on a chacun notre commerce. Ce samedi, nous sommes invités chez Marc et Claudie. On racontera nos vacances, c’est un rituel un peu stupide dans la mesure où pour nous, c’est toujours sur une ile au soleil à faire le lézard sur la plage, et pour eux, ils vont toujours chez les parents de Claudie. Les parents de Claudie ont une maison en Vendée au bord de mer. En fait, c’est surtout le plaisir de nous retrouver. Cela fait très longtemps que l’on se connaît. Le samedi arrive. Abba se prépare, elle est merveilleusement belle. Quand je la vois, j’ai envie de lui faire l’amour. Il fait encore très bon, et la soirée s’annonce douce. Nous arrivons chez Marc et Claudie à dix-neuf heures. Claudie nous accueille et nous sert l’apéritif. C’est à ce moment que Kevin et Clara arrivent. Ils passent juste prendre l’apéritif. Kevin et Clara ont dans nos âges. Clara est la meilleure amie de Claudie. Claudie regarde Clara, arrête de servir tout en tenant la bouteille. Elle est ébahie. Le couple dit bonjour à tout le monde. Plus personne ne parle. Une fois le couple installé, Claudie demande à Clara— C’est quoi ce tatouage ? Ce trait qui part du bas du cou, monte, passe sur la pointe du menton et se termine comme une flèche juste sous tes lèvres ? Cela te coupe en deux d’une manière symétrique. Pourquoi as-tu fait cela ? C’est étrange ? En plus, elle est large, toute noire et se voit très bien. Clara nous regarde, sourit à Claudie, et commence.— Je crois, pour t’expliquer Claudie, qu’il faut que je commence par le début. C’est suite à une demande que j’ai faite, plus exactement, que nous avons faite, Kevin était d’accord avec moi. Nous avons été voir un couple, et je leur ai dit, que je voulais qu’il me domine Claudie finit de servir — On leur a laissé nos clefs de maison. On voulait être surpris. Ils sont arrivés en pleine nuit en semaine. On dormait et ils sont rentrés dans la chambre. On ne les avait pas entendus, on a eu très peur. Là, ils m’ont sortie du lit sans ménagement, on prit des ciseaux et on découpait mon pyjama. Kévin était blême. J’ai été inspectée, comme on fait pour une vache qu’on veut acheter. La femme m’a forcée à écarter les cuisses, elle m’a fouillée. J’ai dû écarter mes fesses. Ils ont introduit leurs doigts chacun leur tour. Ils ont ri et m’ont donné des grandes claques sur les fesses. La femme a été chercher des cuillères en bois dans la cuisine et ils m’ont fessée avec. J’avais très mal. A la fin, il a pris une ceinture qui trainait dans la chambre et m’a donné plusieurs coups avec. Le dernier coup a été plus fort. Ils ont ri et on dit à bientôt. Tout le monde écoute et ne dit rien. Claudie s’est assise à côté de moi. Clara continue— On les a regardés partir sans rien dire. Je me suis couchée, mis ma main sur le bas-ventre de Kevin, il bandait. Nous avons fait l’amour. Le matin, j’ai compris qu’ils pouvaient aller très loin. Je n’avais pas imaginé cela, pas ce genre de scénario. Je ne contrôlais rien. Kevin continue— Le matin, quand Clara s’est levée, j’ai vu qu’elle avait des grands bleus sur les fesses et je me suis dit qu’ils avaient vraiment frappé fort. Je me demandais quand ils allaient revenir. J’étais inquiet et excité en même temps. Quand j’en ai parlé à Clara, elle était dans le même état d’esprit que moi. Clara reprend la parole-On leur avait laissé carte blanche. Je ne voulais pas donner de limite, justement pour ne pas m’attendre à ce qu’ils pouvaient faire. J’ai été servie au-delà de ce que j’imaginais. Ils ont laissé passer du temps, un mois environ. Tous les soirs on s’attendait à ce qu’ils arrivent. C’était angoissant. On dormait mal. Je me demandais ce qu’ils allaient imaginer. Je voulais qu’ils viennent j’en avais envie, très envie. Ils sont revenus, un samedi matin. Nous étions au petit déjeuner. Ils ont sonné, Kevin a été ouvrir la porte et là, ils sont rentrés directement sans dire bonjour. Ils avaient chacun une valise. La femme avait une robe en cuir, un décolleté plongeant, des escarpins à talon. Elle était très belle, très sexy, lui, portait un pantalon de cuir et une chemise. Cela lui donnait une allure très sévère, dur. Ils étaient tous les deux en noir. Clara fait une pause, sirote son porto et reprend— Ils m’ont forcée à me lever, ont arraché mon pyjama, ont éclaté de rire en disant qu’il y avait besoin d’un bon nettoyage. Et là, cela a vraiment commencé. Cela a duré tout le week-end. Ils m’ont épilée à la cire brulante. J’ai dû lécher sa chatte pleine de sperme, sucer sa bite. Ils m’ont fouettée, se sont amusés avec mes seins, se sont moqués de moi, m’ont traité de tous les noms, m’ont insultée comme je ne l’ai jamais été. On trouvait les noms les plus dégradants. Et, je voyais Kévin qui bandait. Il était assis sur une chaise et se branlait. Ils se sont servis d’un de mes slips sales comme bâillon. Ils ont forcé mes orifices. Bien sûr, j’ai été fessée de nombreuses fois, durement. Mes tétons ont été martyrisées, mes seins tourmentés. Le seul moment de repos, cela a été en pleine nuit. Ils m’ont descendu à la cave et m’ont mise dans un cagibi dans le noir. Ils m’ont laissé en me disant de dormir, que je devais récupérer. Je n’avais rien pour me couvrir. J’ai dû me coucher à même le sol.
