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L'abbaye de La Sault d'Omy.

Chapitre 3

Introduction dans l'ordre.

Gay
L’attente ne fut pas longue. Quelques frères entrèrent, apportant plats froids et boissons. Ils respectaient le silence et me dévisageaient. Je devais rougir jusqu’aux oreilles. Quand ils furent tous installés, un léger brouhaha s’éleva. Il restait trois places en bout de table., une pour l’abbé, une pour Anthime et une pour moi. J’attendais, debout, près de l’autel à côté de la statue de Saint Sébastien et à l’autre extrémité d’une sorte de cathèdre qui était le trône de l’Abbé et qui était disposée perpendiculairement à l’autel de sorte que l’abbé était placé de profil Celui-ci apparut, crosse en main, suivi d’ Anthime. Les frères se levèrent. L’abbé remonta la nef, dépassa la table sans y prendre place et prit place sur son trône. Tout le monde put s’asseoir sauf Anthime, Colomban qui s’approcha, et moi. -      Mes frères, dit-il, vous le savez, nous avons ce soir à initier un novice tout juste arrivé. A-t-il de bonnes disposition frère Anthime.-      Je le crois mon père. Il s’est bien montré un peu rebelle mais il a regardé notre démonstration avec Colomban avec un intérêt qu’il dissimulait avec peine…. Je crois même qu’il bandait le petit salaud. Un murmure approbateur monta de la salle pendant que je me sentais rougir jusqu’aux oreilles. -      Bien, nous pouvons commencer. Anthime, Colomban, faites votre office. L’abbé se leva et les deux frères l’aidèrent à ôter sa bure et il se retrouva nu. Puis, Colomban et Anthime s’approchèrent de la statue de saint Sébastien, et commencèrent à en enlever les flèches, ce qui fit jouer un mécanisme dont j’entendis le cliquetis. Cela permettait de dévêtir le saint. Quand le linge amovible qui le couvrait de la ceinture jusqu’à mi-cuisses, tout de bois sculpté et d’un travail si fin que personne n’eut pu voir, sans un examen attentif, qu’il se pouvait ôter, quand ce linge fut dégagé donc, je pus voir que la statue avait un énorme vit et une grosse paire de couilles ainsi qu’un fessier particulièrement rebondi. Il s’agissait plus d’une statue païenne que de celle d’un saint. Je n’étais pas au bout de mes surprises. Pendant cette cérémonie, les moines s’étaient levés et s’étaient rangés à la queue leu-leu, du plus ancien au plus jeune mes semblait-il, et s’approchaient de façon à passer d’abord devant la statue puis devant l’autel puis devant l’abbé. Il me fut aisé de voir que quelques robes se tendaient au niveau du bas ventre. Colomban ouvrit le tabernacle qui n’avait pas de lampe de sanctuaire. Sacrilège suprême, celui-ci contenait deux énormes godemichés de bois à peu près identiques. 
Colomban en saisit un et vint à la statue. Le pénis s’en dévissait pour laisser place au premier godemiché bien assorti d’énormes couilles qui conférait au "saint" un air de Priape. Quant au second membre, moins couillu, c’est à dire plus réaliste, il se vissait au sommet de la crosse de l’abbé dès qu’on en avait enlevé la volute.Ceci fait, on me fit grimper sur l’autel. -      Enlevez votre bure mon frère. Tous les regards étaient tournés vers moi. Je n’eus qu’un moment d’hésitation. J’étais chez des sodomites et, si j’avais été scandalisé de voir mon père s’y adonner, ceux-là ne m’étaient rien. D’ailleurs j’avais déjà la religion en dégoût et je m’amusais de la voir ainsi pervertie. Je n’avais donc aucune prévention religieuse contre la sodomie, mais plutôt morale. Elle était pour moi une perversion d’hommes inachevés. Mais les moines n’avaient rien de pucelles et tout dans leur constitution, du moins pour la plupart d’entre eux, en faisait de solides gaillards. J’étais donc disposé, au moins pour l’expérience et pour cette fois, à essayer d’y mettre le moins de résistance possible. Je me dénudai donc avec une certaine hésitation quand même. Il y eut un murmure. La procession commença. Chaque moine passait devant la statue, lui caressait le sexe ou l’embrassait, puis passait devant moi. -      Tourne -toi qu’on voit bien tes génitoires.-      A magnifique, magnifique !-      Voyez comme il a la jambe bien prise…-      Et quel divin cul !-      J’ai hâte de le bouffer. Les propos continuaient, et certains frères tendaient la main pour me caresser les fesses ou les cuisses. D’autres essayaient de me palper les burnes, ce qui me faisait reculer instinctivement. -      Farouche.-      Encore, encore… comme vous quand vous entrâtes frère Maximin… et depuis, il n’y a point de moment où vous n’espérez qu’on vous les palpes.-      C’est très vrai, frère, très vrai…-      Il plaira à Frère Aurélien et frère Marcillin. Les rires et les commentaires gras fusèrent. Je compris que les deux susnommés étaient de garde à la porterie cette semaine, car, à tour de rôle, deux moins gardaient le monastère pendant que les autres se distrayaient le gland, afin d’éviter les mauvaises surprises. A ce que l’on disait, ils dépassaient tout le monde en vice et devaient occuper leur veille de la façon la plus désordonnée qui fut. Le défilé avançait avec une certaine lenteur, la société s’attardant longuement à mettre les mains sur la statue et à baiser le cul abbatial. Les propos continuaient. -      Voyez comme sa raie du cul est bien obombrée de jeunes poils frisottés.-      Promesses de maintes gourmandises !-      Quant à moi, je préférerais que le rasoir de frère Gidéon vint l’éclairci un peu.-      Tant il est vrai que vous les préférez lisses comme un cul de nonnette.-      Précisément.-      Et voyez comme l’extrémité de son vit se dessine bien sous son petit capuchon.-      Foutre oui… Ainsi, quand les moines m’avaient suffisamment regardé, sous toutes les coutures me demandant de me tourner à droite, à gauche, de m’accroupir, de m’agenouiller, de croiser les bras, de les lever et ainsi de suite, ils allaient ver l’abbé qui s’appuyait au dossier de son siège comme un prie-Dieu. La bure était soulevée et laissait sa croupe, poilue et musclée, entièrement à nu. Les frères venaient se prosterner et déposer un baiser profond dans la raie culière, puis ils embrassaient leur chef sur la bouche dans un baiser puissant qui durait plus ou moins longtemps en fonction de la faveur que leur accordait le destinataire de ces hommages et caressaient enfin le vit de bois en haut de la crosse en lui baisant les couilles ensuite en signe d’allégeance. Puis, chacun allait s’asseoir à la table, le regard toujours fixé vers moi, à moins déjà qu’ils ne commençassent à s’embrasser ou, après s’être mis à poil, à se branler réciproquement. Quand le dernier fut passé, l’abbé se leva et l’on me fit allonger sur l’autel où Colomban plaça une confortable paillasse.-      Es-tu prêt pour l’initiation et ton admission dans l’ordre ?-      En vérité je ne sais…-      Ne fais point le sot. Tu as compris quelle est notre règle de vie l’acceptes-tu ?-      Ne sauriez-vous être plus précis ?-      Colomban, dites-lui la règle.-      Bien mon père. Il me récita la règle qui était orale. Je demandais à être admis dans l’ordre du Vit divin pour aimer et chérir mes frères et m’accoupler à tous ceux qui le désiraient dans l’ordre, à obéir en tout à l’abbé, à ne point trahir l’ordre sous peine de mort. Suivaient d’autres prescriptions, notamment sur l’hygiène du corps. -      Es-tu prêt ? J’hésitais encore, ne sachant ce que je devais faire. -      Allons, assez de ces atermoiements. Allez-Y frère Anthime.-      Allongez-vous ! m’ordonna celui-ci. A peine l’étais-je, qu’il m’attira à lui, en plaçant mes fesses au bord de l’autel. Puis il saisit mes jambes pour les rabattre vers moi, les pliants brutalement à m’en faire mal, et je sentis sa bouche aux approches de mon cul. Le contact des poils de barbes me provoqua comme une commotion et je regimbai très vivement. Mais la puissance des bras d’Anthime, et l’aide de Colomban qui vint faire appui sur mes épaules, m’immobilisèrent en un instant. Alors rien ne retint plus la langue qui vint se mettre à l’ouvrage, avec frénésie sur mon trou de cul. Ce fut vitement la révélation de la grâce. Je gémis de plaisir, sans pouvoir dissimuler ma plainte. Jamais je n’avais connu pareille blandice. -      Vous pouvez le libérer je crois Colomban. Il me semble que notre jeune novice vient de se convertir. Je le crois devenu sage. N’est-ce pas mon jeune ami ?-      Oui Monseigneur… sage, très sage… OOOOOh, c’est bon, c’est trop bon… tellement bon.-      Cela se vérifie ! jamais pucelle du cul n’a résisté à la bouche de frère Anthime. Colomban relâcha la pression sur mes épaules et je portais, comme mu par un réflexe, la main vers mon dard qui avait rapidement durci. -      Allons, allons, pas touche ! Colomban m’immobilisa la main. J’essayai donc avec l’autre qui subit le même traitement. -      Frère Pacôme ! A l’appel de l’abbé, je tournai ma tête vers la chapelle où la plupart des moines s’étaient entièrement dénudés et, tous, se livraient déjà à de belles embrassades en se tripotant les uns les autres. Un jeune moine, fluet, s’approcha. Complétement nu, petit, la peau d’une blancheur de cierge, il s’avança, faisant balancer son énorme vit tendu droit à partir de sa base de poils très noir. Sans qu’on ne lui dise rien, mon jeune coreligionnaire se pencha sur moi et mit ma trique dans sa bouche. -      Allez-y sobrement mon frère, il faut qu’il résiste le plus longtemps possible. Le frère, la bouche pleine, ne put répondre que par un grognement qui sanctionnait probablement son acquiescement. Je n’avais jamais connu un tel ravissement entre la langue experte qui me fourrai la rondelle et la bouche divine qui me pompait le dard, rien de semblable ne m’avait été prodigué. Mes mains étaient désormais libres. -      Attrapez ma queue et branlez-moi. Sans hésiter, je saisis la queue de mon supérieur, de taille moyenne mais de fort belle découpe et raideur, et commençai à l’agiter. Je m’y pris assez mal et reçus quelques petites claques pour m’apprendre à bien astiquer un autre goupillon que le mien. Pendant que je le masturbais, l’abbé me pinçait les tétons, de plus en plus fort jusqu’à m’en faire mal mais avec le plaisir que je ressentais sur mon cul et mon sexe, cette douleur, non seulement était supportable mais m’excitait davantage encore. J’étais au bord de l’orgasme. On dut le voir. On s’arrêta. -      Retournez -le. Sans ménagement, je fus amené à descendre de l’autel. Beaucoup de moines se pressaient autour pour voir tout en continuant à se baiser. Quelques-uns étaient restés dans la salle et s’enfilaient sur la table ou sur les chaises. Il y avait déjà de longues minutes que l’on s’occupait de moi et que les autres moines forniquaient. On n’entendait que gémissements, cris ou jurons à promettre l’enfer. La chaleur de la source d’eau chaude toute proche, jointe à celle des cierges, les mouvements des corps, tout cela nous faisait suer comme des porcs et il se répandait une odeur de transpiration qui évoquait celle des paysans de mon père au labeur, et une odeur de stupre qui me rappelait celle qui m’avait agressé les narines quand j’avais surpris l’orgie parentale au château. Mais je n’eus pas plus le temps de réfléchir que déjà frère Anthime s’allongeait à la place où je me trouvais avant lui. On m’obligea à me pencher vers lui et comme je pensais qu’on voulait que le lui suce le gland, je m’apprêtais à le faire, sans répugnance vu que je savais maintenant quel plaisir on en pouvait vraiment tirer quand c’était bien fait, mais il saisit ses gros roustons  en les enserrant d’une main, bien fort à la base, et je dus les lécher. -      Apportez les huiles. Un frère revint avec des burettes pleines d’huile. Un moine que je ne voyais pas, s’en enduisit les doigts et commença à me caresser le trou de cul avec ses doigts.  A côté, l’abbé se branlait en donnant les consignes pour qu’on me préparât bien. -      Mettez un doigt.  L’autre obéit en introduisant lentement un doigt dans mon fondement. Il le fit tourner, puis l’enfonça de plus en plus profondément. -      Comment est-il ? demanda l’abbé.-      Bien détendu mon père. Frère Anthime a fait merveille, mais il s’est raidi un peu, comme toujours à la pénétration du doigt. -      Deux doigts ! Le manège reprit avec les mêmes précautions. C’était plus épais bien sûr mais cela glissait bien, avec pression mais sans douleur. Le moine avait grande expertise et il faisait glisser  son index et son majeur en variant la vitesse, en les tournant, les retournant et les faisant tournoyer, en remettant de l’huile pour que la lubrification soir complète. Je finis par y trouver une étincelle de plaisir et poussais une gémissement timide, un souffle, un murmure mais il fut entendu. -      Il est prêt, à point, mûr pour votre loisir Monseigneur.-      A foutre, il va en tâter de ma sainte crosse. 
Mon supérieur se plaque contre moi. Il me saisit par les épaules, sa queue glissa entre mes fesses plusieurs fois, puis il la guida sur mon trou et commença d’exercer une forte pression.
A suivre
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