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L'abnégation de ma mère à la maison de retraite

Chapitre 3

Le curé absout ses péchés. (D'une drôle de manière)

Hétéro
Sous les jupons de l’Eglise.

Mémoires de ma mère.Après avoir appris le décès de Mr Abdelkader suite à leurs ébats, ma mère repensait à tout ce qu’elle avait accepté de faire, elle, la veuve exemplaire, manifestant toujours une dévotion chrétienne un peu trop excessive pour mon goût. (Lire : l’abnégation de ma mère à la maison de retraite).
Ma mère, prise de remords, décida d’aller se confesser. Que va dire le père Jean, vieux curé de la paroisse lorsqu’elle va lui confesser les dépravations auxquelles elle s’est livrée, oh bien sûr, à son corps défendant.
Comme elle faisait aussi le ménage chez Monsieur le curé de la paroisse à l’église et à la sacristie, elle lui demanda d’aller à confesse, espérant trouver un réconfort moral, mais cela risquait d’avoir une influence pour le moins désastreuse sur leurs rapports.
La pénitente se dirigea vers le confessionnal et entra dans le compartiment prévu à cet effet.Quelques instants plus tard, le curé entra dans le confessionnal et ouvrit le volet, un grillage et la porte habillée d’un rideau épais ne laissant passer que peu de lumière, il s’adressa à ma mère :
— Je vous écoute, ma fille, énumérez-moi vos péchés.
Alors, tout en pleurant à chaudes larmes sous ses airs innocents et prudes, elle raconta cette journée de débauche à la maison de retraite, ne cachant aucun détail si elle voulait qu’il l’absolve de ses péchés. Elle énuméra tout ce qu’il lui était arrivé. L’acceptation de la fellation administrée à ce vieil homme aux mains baladeuses, dont elle a été obligée d’avaler la semence jusqu’à la dernière goutte et ce qu’il a suivi et pour finir, l’acception de se faire prendre par ce vieux bouc qui a labouré son intimité avec son soc monstrueux avant de s’attaquer à son cul.
— Vous en avez retiré du plaisir ma fille ? interroge le prêtre après un long silence.— Ou..... Oui... mon Père, je... Je confesse que j’y ai pris du plaisir, plus que je ne devrais, répondit-elle. Mon émoi devant le sexe disproportionné de ce vieux Maghrébin, mon refus au début, mais le plaisir ressenti de me faire saillir par un tel étalon, moi, une femme grosse et plus très jeune, je ne croyais plus connaître ça un jour !

Le curé, éminemment troublé par l’énoncé de tant de dépravations, eut une érection fortuite issue de la confession intime de sa pénitente, mais voulut s’en retourner vers Dieu pour tenter de réfréner ses pensées peu dignes de son sacerdoce. Il voudrait expier ses péchés d’avoir de si mauvaises pensées. Mais contre toute attente, comme Don Camilllo, voilà que Jésus lui-même lui répondit, le fustigeant de ces ridicules flagellations et l’encourageant à donner à cette paroissienne comme acte de contrition de jouer avec le gros cierge qui vrille son bas-ventre. Mais il résista au vice en s’enfuyant à la sacristie après avoir donné l’absolution à la pénitente. En plus des « Ave » et des « Notre Père », elle devra récurer à genoux la sacristie.
Ma mère quitta le confessionnal. Une fois les prières dites, la dévote se dévoua, frottant comme une folle le parquet de la sacristie, enlevant quelques nippes pour être plus à l’aise pour frotter et frotter encore. Le père, après avoir retiré la tenue de confesse, revient à la grande salle de la sacristie.
— Bonjour Madame xxxxx. Je suis le père Rudy, le père Jean prend de l’âge et l’Eglise m’a envoyé pour le seconder, je le remplace depuis ce matin au confessionnal. Vous savez que vous m’avez chauffé les sangs ?!


Ma mère tourna la tête, étonnée et confuse, mais surtout complètement affolée de voir un jeune prêtre martiniquais. Toute tremblante, ma mère eut une brusque bouffée de chaleur et le rouge lui monta au front. Comment a-t-elle pu confesser à ce jeune curé ses péchés véniels ? Elle lui a avoué des fellations, des coïts endiablés et l’acte sodomique qu’elle avait subis.
Ma mère essaya en pleurs de se justifier du plaisir inouï qu’elle avait ressenti à se faire prendre par ce vieux Maghrébin. Puis sur sa lancée, elle raconta comment elle avait dû subir les derniers outrages, de ses fesses forcées par ce pénis qui a pénétré dans son œillet, perforant son rectum jusqu’aux entrailles.Le père Rudy, à la nouvelle évocation de la lubricité de cette matrone, toujours à quatre pattes devant lui à frotter vigoureusement le sol, voyant cette énorme paire de seins ballotter et ce gros cul tourné vers lui, rebanda à nouveau comme un bouc.
— Pauvre pécheresse, votre pénitence doit être plus en corrélation avec vos aveux de fornication que malgré vos dires, vous ne semblez peu regretter vu les détails que vous me donnez. Dieu par son serviteur, va vous infliger votre châtiment !
L’abbé de couleur retira les habits sacerdotaux, ouvrit sa braguette pour en sortir difficilement un mandrin vigoureux dressé entre ses jambes. Ma mère fut épouvantée par ce qu’elle voyait, mais le jeune religieux ne lui laissa pas le temps de se reprendre. En un tour de main, se retrouvant devant elle et lui présentant sa verge à sucer. Ma pauvre mère n’eut pas le choix.
— Ma fille, ouvrez la bouche en grand et avalez-moi ce goupillon de curé jusqu’à ce qu’il vous bénisse de sa crème purificatrice. C’est le premier acte de contrition que Dieu vous inflige.

Résignée, ma mère prit le pénis du curé dans ses deux mains tellement la tige était grosse et longue. Pas autant que celle de Monsieur Abdelkader, mais quand même de belles proportions.Elle lécha le gland congestionné, surprise par sa couleur chocolat au lait alors que le reste de la queue était encore plus foncée. Elle s’appliqua comme une dévote, écartant ses mâchoires le plus possible pour engloutir l’énorme pine jusqu’à ce qu’elle bute sur sa glotte et la pompa sans rechigner. Le curé Rudy fit aller son vit dans la gorge de sa pénitente sans douceur. Après un vieil homme, c’est maintenant la fougue de la jeunesse qui se défoulait dans la bouche de ma mère.
Les larmes aux yeux, une bave abondante lui coulant jusqu’au menton lorsque le nœud atteignit le fond de sa gorge puis s’activa avec force. Mais bientôt, le jeune curé, novice de ces choses, ne put plus retenir le sperme qui engorgeait son urètre et un flot de foutre jaillit, débordant des commissures des lèvres de ma mère qui avala le jus poisseux sans protester comme elle réciterait un « Ave Maria ». Pensant en avoir fini avec la pénitence imposée, elle gardait en bouche le sexe de l’homme d’Église, mais sans faire de mouvement, les yeux un peu dans le vague. Mais le jeune martiniquais revint à la charge après cet orgasme, le curé toujours bien vigoureux, se sentait d’attaque pour d’autres actes de pénitence.
— Vous n’avez pas encore assez expié, ma fille, et vous devrez être punie par où vous avez péché.— Oui mon Père ! Pardonnez-moi par où j’ai péché.
Ma mère était perdue, se doutant de ce que le jeune prêtre avec son sexe énorme s’apprêtait à faire, elle était paniquée à l’idée que cette verge impressionnante toujours en érection puisse pénétrer son hôtel barbu dans ce lieu saint. Il releva sa robe, détourna la culotte de coton blanc et la prit en levrette sans la ménager, poussant son gros nœud jusqu’au plus profond de la matrice, cognant à chaque ruade l’utérus de toutes ses forces.
— Repentez-vous ma fille, j’extirpe de votre corps le vice et la luxure avec le bâton du pèlerin christianisant les infidèles.

Mais elle ne l’écoutait plus, se donnant encore plus de plaisir en projetant son cul vers la bite qui la perforait, ayant perdu toute inhibition de se savoir chevauchée dans la maison de Dieu par l’un de ses serviteurs qui se servait de sa chair avec concupiscence et la plus grande lubricité. Ma mère ne put s’empêcher de hurler lorsque le gourdin de l’homme de Dieu la défonça sans ralentir avant comme tout homme de foi, de la prendre dans la position du missionnaire, si bien nommée en cette circonstance, tout en psalmodiant des incantations on ne sait à quel saint. Il la besogna avec ardeur, la faisant jouir plusieurs fois.Mais elle n’en avait pas fini avec l’homme d’Église qui cette fois lorgnait sur son postérieur. Il alla au tabernacle et prit la burette d’huile pour lubrifier la rosace de ma paroissienne de mère, faisant couler l’huile sur l’œillet encore fermé et étala le liquide avec ses doigts avant de s’en servir pour la faire pénétrer dans l’orifice.
— Il faut soigner le feu par le feu, ma fille, tu seras punie par là où tu as péché !

Puis il présenta son gland et poussa inexorablement jusqu’à ce que sa queue déflore le sphincter, faisant encore hurler ma mère, si brièvement initiée par le vieux Magrébin à la sodomie. Mais le Père, deux fois plus jeune que ma mère qu’il appelait « ma fille », ne tenait aucun compte de ses supplications et l’enculait vaillamment, poussant son défonce-cul jusqu’au plus profond du rectum, la ramonant ainsi pendant de longues minutes, la prenant avec de plus en plus de facilité. Maman transpirait de tout son corps, prenant encore son plaisir dans un orgasme intense à se faire prendre de la sorte dans la sacristie, ne pouvant se retenir de hurler sa jouissance en lançant son gros cul au-devant du gourdin qui perforait ses entrailles et qui enfin éjecta copieusement son sperme dans l’antre rectal.
Épuisée, ma pauvre mère n’était plus qu’un pantin désarticulé étendu sur le sol qui venait de subir la fornication sodomite du jeune curé quand soudain la porte de la sacristie s’ouvrit et laissa entrer le vieux Père Jean attiré par les cris de ma mère.
— Mais que se passe-t-il ici ? Oh quelle horreur, quelle abomination ! Madame xxx... Père Rudy ! Quelle honte pour l’église... Vous allez avoir d’ici peu des nouvelles de Monseigneur l’Evêque, apprêtez-vous à aller évangéliser au fin fond de l’Afrique...

Ainsi fut fait, le jeune prêtre fut muté au Rwanda. Ma mère virée de l’église, morte de honte, et pour se racheter, décida-t-elle aussi d’aller en Afrique pour aider dans un dispensaire de brousse.
A suivre... (En Afrique)
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