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L'abnégation de ma mère à la maison de retraite

Chapitre 4

L'afrique et ses secrets

Avec plusieurs hommes
Maman en brousse.

Ainsi fut fait, le jeune prêtre fut muté au Rwanda. Ma mère, virée de l’église, morte de honte, et pour se racheter, décida elle aussi d’aller en Afrique pour aider dans un dispensaire de brousse.
Suite.
Ma mère s’est retrouvée au Togo dans un petit dispensaire de brousse. Son expérience en maison de retraite a fait que le toubib du coin s’est appuyé sur elle pour instruire les villageois des risques inhérents aux pratiques sexuelles sans se protéger: Sida et toutes autres maladies vénériennes.
Elle passait de village en village, réunissant les matrones et les jeunes filles pour leur faire des démonstrations de la façon de mettre des préservatifs sur la verge de leur partenaire.
Il lui a fallu rouler plusieurs heures dans la savane avant d’arriver le soir tombant à un village écarté de tout axe routier. Le vieux guide noir a rarement mené des blancs dans cette région reculée. Il n’y a pas d’électricité ni eau courante. C’est un village d’une trentaine d’âmes dans des cases simples. Les hommes vont et viennent au gré de leurs envies pendant que les femmes font les corvées.
La nuit est tombée quand ils arrivent dans le village. Le guide parlemente avec le chef du village qui indique une case fermée par une simple tenture. Dans la case, juste deux paillasses et de l’eau dans des récipients. En signe de bienvenue, une négresse assez forte, les seins nus pendants sur sa poitrine, leur offre quelques fruits et un bol de lait de chèvre. Le chef du village les a invités à partager son repas du soir.
Il demande à ma mère ce qu’elle vient faire dans son village. Elle explique donc les moyens contraceptifs modernes permettant de limiter autant que faire ce peu la propagation des maladies vénériennes.
Il n’est pas convaincu et veut qu’elle lui fasse une démonstration. Il fait venir un jeune du village pour que ma mère lui montre ce qu’elle va enseigner aux femmes du village.
Elle aperçoit la silhouette d’un jeune noir qui s’approche, il fait trop sombre. La voix du chef se fait entendre :
— Déshabille-toi, Aziz ! Tu vas servir de modèle à la « doctor».
Aziz défait rapidement son espèce de sari qui tombe à terre découvrant un corps d’homme maigre. Il a une grande bite noire qui pend entre ses cuisses. Le jeune se retourne et recule; ma mère s’approche doucement, regardant ce beau paquet. Le corps du jeune luit d’une fine couche de transpiration sur son torse puissant et ses petites fesses étroites et cambrées.
Ma mère se dévoue et prend en main le sexe de l’homme qui grogne sous l’assaut, n’étant pas habitué à ce que la femme soit si entreprenante. Par contre, il n’éprouve aucune difficulté à bander. Sa bite, légèrement courbée, semble vigoureuse, et pointe très vite avec arrogance vers son nombril, il bande fort, le salop. Le but de ma mère est d’éduquer les femmes, mais là, elle ne peut pas se défiler, sinon, elle devra partir sans l’assentiment du chef de village. Elle prend un préservatif, le pose sur le gland d’une main et le déroule de l’autre. Les 2/3 de la hampe sont recouverts de la fine membrane.

— A quoi ça sert ? demande le chef du village ?
Ma mère lui explique :
— Si l’homme ou la femme n’est pas en « bonne santé », il ou elle ne transmettra pas sa maladie à son partenaire.
— Et pourquoi ça fait une petite poche devant ?
— C’est pour recevoir la semence de l’homme.
— Fais-moi voir !
Ma mère ne peut pas se permettre de refuser et commence par branler le jeune villageois. Elle a de la chance qu’il ne soit pas très endurant, et en moins d’une minute, il se vide dans le condom.
— C’est à usage unique, reprend ma mère, il faut changer le petit chapeau à chaque fois !
Le chef est satisfait et lui permet donc de faire dès le lendemain la leçon aux femmes du village.
Pendant deux jours, elle explique aux femmes comment mettre une capote, se servant de godes qui les font rire. Elles lui font remarquer que certains « calibres » du village sont beaucoup plus gros.
Certains guerriers ne voient pas d’un bon œil que l’on vienne brider leur virilité. Le troisième soir, ils attirent ma mère dans une case. Elle se retrouve cernée par trois hommes dont l’un est un véritable Hercule.
Elle porte un tee-shirt blanc et un jean de toile gris. Le plus jeune lui ordonne :
— Montre-nous tes seins !
Elle se rebiffe, mais ne peut rien faire; il tire le tissu sur ses épaules, découvrant son torse, et son voisin dégrafe le soutif, libérant les deux grosses mamelles de ma mère. Elle n’ose plus bouger.
— Tu as de beaux seins pour une blanche !
Le son de sa voix et la façon dont ils la regardent ne la laissent pas indifférente. Il y a quelque temps, elle se serait enfuie, mais après l’histoire de la maison de retraite et l’aventure dans la sacristie, elle a beaucoup changé.
Ma mère a envie qu’ils la touchent, mais ils ne semblent pas décidés. Ils la dévorent littéralement des yeux. Elle redresse le buste pour faire saillir ses seins. Un doigt vient épouser la courbe d’un globe en remontant vers son aisselle. Un deuxième noir se dégèle et empaume l’autre mamelle. Les bouts commencent aussitôt à durcir. Ils comprennent le message du corps et l’un d’eux se met à lécher avec ferveur une doudoune. Le troisième, pour ne pas rester sur le bord de la route, lui retire pantalon et petite culotte, écarte de la main les grosses lèvres qu’il dévore comme s’il n’avait pas goûté à une chatte depuis de longues années. Tout y passe : les dents, les lèvres, le nez, puis progressivement, tout le visage, dans la fourche généreuse de ma mère. Elle a l’impression d’être une truie tétée par ses porcelets assoiffés de lait maternel ou de tout autre fluide.
Mais le plus jeune n’y tient plus, il retire ses nippes.
— Je vais te posséder toute entière, vais m’enfoncer tout au fond de toi !
— Oui ! Mais laisse-moi te mettre un préservatif.
Elle est devant une bite impressionnante ! Elle lui met un chapeau et commence à la caresser, ayant du mal à en faire le tour avec sa main, elle en avait rarement vu de si grosses avant ces derniers temps. Il se met sur elle et astique son gros membre sur la chatte béante déjà bien trempée avant de s’affaler sur elle, l’empalant de sa bite, la queue bien au fond de sa chatte.
Ma mère crie tant la queue la défonce sans ménagement, il lui pétrit les seins pendant qu’il pilonne la chatte si bien qu’elle jouit sans pouvoir se contrôler très rapidement, essayant de ne pas trop crier pour éviter de réveiller tout le village.
Allant à son rythme, la queue coulisse sans aucune difficulté; il la baise de mieux en mieux et elle apprécie qu’il la lui mette bien profond. Il gémit de sa voix rauque, fermant les yeux en prenant son pied, mais il se retire alors, et présente sa grosse queue pour qu’elle l’enfourne dans sa bouche. Ma mère pose ses seins autour de son dard et le branle rapidement, faisant jaillir son gland qu’elle gobe à chaque sortie. Il ne met même pas une minute à gicler et elle reçoit une dose de foutre peu commune. Elle en a partout, sur les seins dans le cou et surtout dans la bouche. Elle déglutit pour avaler sa semence, le suçant encore un peu.
Le deuxième noir prend aussitôt la place. Il sort sa queue et les yeux de ma mère n’en reviennent pas de la longueur. C’est la plus longue bite qu’elle n’ait jamais vue. Elle est aussi grosse et épaisse que celle de son comparse. Il lui donne à avaler son gros gland et la force de descendre le long de sa queue encore plus longue que celle du jeune, ma mère a du mal à l’avaler en entier.
Elle la saisit des deux mains, met un peu de salive dessus et commence à la branler et la lécher de haut en bas. Elle est surprise, car la queue a bon goût, un vrai délice. Le nègre prend la tête entre ses mains et plonge dans la gorge offerte, lui faisant venir les larmes aux yeux alors qu’elle s’étouffe avec sa queue. Elle presse ses couilles, les embrasse, les suce avant de les prendre dans sa bouche tout en flattant de ses caresses, la bite vraiment incroyable. Elle recommence à le sucer tout en jouant d’une main avec ses couilles. Il a posé ses deux mains dans les cheveux de ma mère et marmonne entre ses dents :
— T’es vraiment bonne pour une blanche !
A suivre...
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