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A l'abordage !!!! (2)

Chapitre 2

Hétéro
Pour ma part j’estimais que nous avions franchi une étape avec Véronique. Ni une ni deux je sautais à l’eau avec un bout de sécurité car nous n’étions pas encore à l’encre.
Je criais « Véronique viens, viens caresser les dauphins... »
« « Tu es sur ??? Ce n’est pas dangereux?? » me demanda-elle avec un petit air inquiet désormais que c’était concret.
« Pas de problème viens dépêches toi » je venais également de me rendre compte que le tutoiement n’était plus un problème. » Merci les dauphins.
Véronique était rayonnante...
« Restes à côté de moi en tenant la corde par sécurité »
« Oui bien sûr mais c’est tentant d’aller nager avec eux »
« Quand on sera dans une crique il n’y aura pas de problème et regardes ils sont déjà en train de partir »
Véronique retournait au bateau, je la suivais de très près en admirant ses fesses qui surplombaient légèrement la surface de l’eau, j’avais ses petits pieds juste devant mon nez... je n’en pouvais plus, je me suis rapprochais exprès pour qu’elle puisse me mette un coup avec ses petits pieds. En effet, ils vinrent heurter légèrement mon visage, ses orteils caressèrent ma bouche.
« Oh pardon »me dit-elle d’un air navré.
« C’est pas grave Véronique » elle ne se rendait pas compte que tout le plaisir était pour moi.
Véronique s’approchait de l’échelle, je la suivais toujours de très près.
En remontant l’échelle elle glissa sur l’un des barreaux et vint glisser contre moi qui était sur le barreau inférieur... son bassin était contre le mien et forcément elle a du sentir contre ses fesses mon sexe qui était encore légèrement en émoi de ses orteils sur mon visage...elle remonta l’échelle et esquissa un léger sourire en me regardant. Je ne savais si c’était pour les dauphins, pour sa maladresse ou pour le fait qu’elle est sentie mon sexe légèrement bandé.

Nous nous dirigeons ensuite vers une crique, le reste du trajet s’est fait tranquillement comme si ce froid du début de séjour était à présent derrière nous.
«Désires-tu boire quelque chose ??"
« Oui avec plaisir merci » me dit-elle avec un grand sourire
Entre temps, Véronique avait remis son petit short et son tee-shirt moulant...
L’ambiance fut très bonne durant le repas, les langues se délièrent, elle m’expliqua qu’elle était déçu pour son mari, qu’il n’ait pas essayé de persévérer davantage pour cette croisière.
Surtout que j’avais reçu un message de mon collègue à terre qui me disait qu’il avait bien récupéré son mari, je comprenais donc son non insistance concernant sa présence sur la croisière...mais par respect pour Véronique je ne pouvais le lui dire.
Elle me posa beaucoup de questions sur mon style de vie, si cela me plaisait ou non. Elle ne s’était pas rendu compte qu’elle avait posé son pied sur le mien...en essayant d’être gentleman je lui indique.
« Oupsss pardon » me répondit-elle en souriant.
Je lui rétorquais que ce n’était pas grave. L’euphorie de cette journée aidant Véronique me posa une question ...je ne mis attendait pas mais alors pas du tout.
« Tu les aimes mes pieds de toute façon non??"
« Pourquoi dis-tu ça ??? »
« Non pour rien » me dit-elle en rigolant un petit peu.
Sans me démonter et voulant honorer ce nouveau pas vers moi je lui répondis
« Ben en toute honnêteté et je ne sais pas pourquoicar ce n’est pas mon genre mais quand j’ai vu tes pieds dans tes sandales, oui j’ai été troublé alors que d’habitudes les pieds me laisse totalement indifférent »
Dans un élan venu de je ne sais où, Véronique me posa l’un de ses pieds sur ma cuisse en me disant
« Mais pourquoi ils te laissent pas indifférent mes pieds ? »
Mon dieu je sentais mon sexe durcir et durcir peu à peu, je luis expliquais que c’était cette petite bague, cette manucure blanche sur ces orteils mattes...que l’ensemble m’excité beaucoup.
Elle rigola tout en retirant son pied...elle le fit glisser légèrement sur le côté surement pour vérifier si elle avait eu l’effet escompté...
C’était le cas, je suais légèrement mais mis à part mon sexequi était au final de l’autre côté de son pied je ne voulais pas qu’elle perçoive une once de mon état d’excitation.
On continua notre discussion comme deux bons amis. Fatigué de cette journée elle alla se coucher mais je ne pouvais la laisser partir comme ça...elle m’avait eu avec cette histoire des pieds, je devais dire quelque chose...
Je lançai donc une perche
« Bonne nuit Véronique, et si moi j’aime les pieds, toi tu aimes la mécanique... »
Elle me lança un coin de sourire sans un mot.
Une espèce de jeu venait de s’instaurer entre elle et moi 1-1.
Je m’endormais avec encore une nouvelle fois pleins de fantasmes dans la tête...
Le lendemain matin je commençais à préparer le petit déjeuner discrètement pour ne pas la réveiller, elle se réveilla et vint me rejoindre sur le pont. Elle avait un tee-shirt très large, les cheveux en vrac et en me disant bonjour et en m’avouant qu’elle était désolé pour hier soir.
Quoi !!! pardon!!! C’était un stratagème ?? Ou regrettait-elle vraiment...
Je la rassurais en disant que cela faisait bien longtemps que je n’avais pas partagé un moment sympa comme ça. Elle souriait timidement et ce plongea dans ces longs silence que l’on aime le matin. Ce silence fût brisé par...
« Je vais me recoucher un petit peu car la météo se gâte un peu »
En effet, une légère pluie vint accompagner notre voyage jusqu’à la crique suivante. Je me mis torse nu une nouvelle fois car j’adore être comme ça quand il pleut.
Je naviguais donc seul sur le pont de mon bateau, il était 13h et toujours personne.
Mais depuis une demie heure j’entendais du bruit dans sa cabine, elle était de nouveau réveillée, j’entendais le bruit de sa douche puis plus rien...
Elle monta sur le pont sans même me regarder...mais j’étais muet, les yeux grands ouverts...elle portait une petite chemisette blanche magnifique, ses cheveux volaient au vent sur le haut de ses épaules. Sa chemisette était relativement serrée. Elle portait cette fois-ci un joli petit bas de maillot qui était tout juste noué par deux petits nœuds sur chaque côtés de ses hanches, le devant et le derrière de son maillot ne formait que deux triangles me montrant bien au vue des marques de bronzages que même si sa peau était matte, son mari n’avait jamais vu ce maillot... il n’avait jamais vu je pense sa femme avec un tel maillot, elle était sublime..
Elle croisa mon regard avec un léger sourire, on était loin de la froideur du début... elle m’avait coincé, j’étais pris au dépourvu.
Soudain une idée me vint.
« Véronique veux-tu barrer le bateau ? »
« Oui avec plaisir, je barre souvent avec mon père »
En effet, elle maitrisait très bien le fait de naviguer. La pluie continuait de tomber légèrement et la je me rendais très vite compte qu’elle n’avait rien sous sa chemise. La pluie rendait sa chemise transparente. Je pouvais désormais voir sa poitrine, je pouvais voie ses immenses mamelons marrons qui ressortaient à présent très bien au travers de sa chemisette détrempée. Les vagues engendraient une légère houle laissant ses seins s’écraser sur la barre du voilier. Le plus drôle était qu’elle ne se rendait pas compte que mes yeux ne pouvaient se détacher de ses seins mais je ne me rendais pas compte que l’effet fut identique dans son sens, c’est-à-dire que je portais un pantalon en lin blanc et l’effet de la pluie sur sa chemisette et ses seins était le même sur mon pantalon et mon sexe. Nous étions tous les deux devenus deux petits voyeurs l’un envers l’autre sur la transparence de nos vêtements laissant place à la manifestation impromptue de nos corps et de nos attributs.
Une minute plus tard nous nous étions tous deux rendus compte de la chose et Véronique me demanda si elle pouvait profiter d’un léger rayon de soleil pour aller bronzer sur la petit plage que nous venions de rejoindre.. Lui donnant l’accord elle se mit à l’eau et se dirigea vers la plage, nous nous quittions sur un léger moment de flottement suite à nos visions.
Je me rendais ensuite compte que ce petit moment avait réveiller en elle ce petit besoin de relancer le jeu que nous avions entamer plus tôt.
Je pouvais la voir au lien dans son maillot qu’elle avait enfiler entre temps et je pouvais distinguer qu’ elle venait d’enlever le haut, elle venait de libérer sa poitrine et je ne pouvais pas la voir aussi distinctement que à travers sa chemisette. J’étais comme un fou. C’était sur elle l’avait fait exprès d’autant plus qu’elle me disait bonjour de loin.
Afin de lui rendre la pareil et sachant maintenant que c’était vraiment un jeu je décidai de faire de même sur le bateau et me déshabilla complètement pour enlever ce pantalon qui était toujours trempé, j’étais complètement nu et j’en profitais pour continuer mes tâches habituelles à bord. Du coin de l’œil je vis qu’elle s’était assise à présent sur la plage afin de distinguer un peu plus de ce qui se passait sur le bateau.
Elle était comme moi et ne pouvait qu’imaginer. Je mis mon maillot et décida de me baigner au milieu des centaines de poissons. Elle fit de même et elle se rapprochait de moi dans l’eau...
« On se laisse aller sur le bateau quand il y a personne « me lança-t-elle.
« Tout comme toi sur la plage » on se regardait avec un petit sourire
C’était le moment de remonter sur le bateau.
Elle me titilla en me disant avec un sourire narquois
« Fais attention à pas prendre un coup de pied »
Je décidai pour me venger de lui jouer un drôle de tour. Lorsqu’elle remonta l’échelle j’ai discrètement saisis l’un de ses nœuds sur le bord de son maillot et en montant sur le deuxième barreau de l’échelle, je libérai le nœud ce qui libéra par la même occasion la moitié de son maillot. J’avais la, juste en face de moi la moitié de son cul sans rien, le maillot était tombé suffisamment pour que je puisse distinguer un bout de son petit abricot qui avait l’air vu de derrière parfaitement lisse.
Prise au dépourvue, elle fit un geste brusque pour le retenir
« Oups désolé je n’ai pas l’habitude de ce maillot », elle était légèrement gênée.
Je répondis avec le sourire et d’un air coquin
« Pas de problème »
Je l’avais vexé, je l’avais prise a son propre jeu en étant un peu plus offensif.
Elle repartie dans sa cabine. Je me repassais encore encore cette vue incroyable...mais il fallait que je me prépare a sa riposte car c’est plus intense à chaque fois.
Tout comme la veille nous repas se déroulait d’une façon merveilleuse, on rigolait et on en est venu à parler de sa vie. Elle avait une vie assez simple, mais je voulais en savoir plus sur sa vie coquine. Elle m’expliqua beaucoup de choses mais j’ai uniquement retenu qu’elle n’avait connu que son mari, et chemin faisant j’apprenais que son mari ne lui avait jamais fait de cunnilingus et que son mari était très dominateur ce qui depuis quelques années rendait sa vie un peu morose car c’était juste quand lui voulait sans plus trop d’amour et d’ardeur. Elle m’avoua que pour les vacances elle avait pris avec elle un grand nombre de vêtements et de sous-vêtements sexy pour essayer de relancer la flamme de son mari mais que rien n’y avait fait c’était toujours lui , quand il voulait sans ce préoccuper d’elle.
Mon sang ne fit qu’un tour!!! Mais du coup je commençais un peu à la comprendre, je comprenais mieux pourquoi elle était si joueuse mais si timide à la fois. Afin de l’émoustiller je lui lançai un défi digne d’une soirée universitaire.
« Véronique cape ou pas cape ? »
« Hein ? pardon ? heu ok pourquoi pas » me répondit-elle d’un air interloqué.
Je posai mon défi...
« Nous devons tous les deux enlever le bas... !! »
« Tout le bas ? » me demanda-t-elle ?? en se mordillant légèrement la lèvre.
« Oui oui et on le mets sur le bord de la table »
Elle ne se posa pas de question et enleva le bas, je ne pouvais rien voir car nous étions assis...elle posa un magnifique boxer en dentelle turquoise et noire sur la table.
hummm cela devenait pas mal, je ne pouvais donc cesser de penser au fait qu’elle ne portait rien.
Je fis de même, j’avais ma queue à l’air.
« A mon tour dit-elle avec un grand sourire »
Mais qu’avait-elle en tête pour avoir ce si grand sourire.
« Es-tu capes de te lever ??? » Me dit-elle en se levant elle-même. Je compris tout de suite que j’étais à mon tour pris à mon propre jeu, elle avait une robe donc je ne pouvais rien voir.
« Alors tu es capes ou pas??? » je ne pouvais me dégonfler.
Je me levais mais pour essayer de m’en sortir je me suis tourné dos à elle, et elle ne pouvait pas distinguer ma queue, elle ne pouvait voir si ce jeu m’excité ou non. ..
En me replaçant malignement sur ma chaise, je pouvais voir son air furieux mais joueur.
« Bien joué » me dit elle"
« Tu voulais voir quoi ?? Mon sexe ou si je jeu m’excitait?? »
« Ni l’un ni l’autre »
C’était un coup sur une réponse de fierté n’ayant pas obtenue ce qu’elle voulait.
Nous étions en train de manger le dessert toujours sans nos sous vêtements.
Sans le savoir elle allait abattre une carte compliquée a gérer pour moi. Elle gesticulait sur sa chaise, mais que faisait elle ?
Je l’ai très vite compris lorsque j’ai senti ses pieds sur chacune de mes cuisses. Rhoo la maline, j’étais coincé et mon queue commençait à durcir rapidement. J’imaginais la scène sous la table car elle devait avoir forcément les cuisses écartaient étant donné que les miennes l’étaient. J’imaginais donc sa petite chatte légèrement entre ouverte, je me demandais si elle avait une épilation parfaite si,.. et si…
Je pouvais sentir l’un de ses pieds glissait sur le haut de ma cuisse je le voyais enfin apparaitre sous la nappe, il n’était qu’à quelques centimètres de mon sexe. Je senti à présent le second se dirigeais vers mes bourses. Je sentais la fraicheur de la bague sur l’une de mes couilles. Je me concentrais mais rien n’y a fait lorsqu’elle commença à me branler, elle entamait de doux vas et viens sur ma queue avec ses pieds, je sentais qu’elle s’amusait à essayer de l’agripper...elle souriait sans pouvoir vraiment me regarder en face.
« Maintenant j’ai ma réponse, je sais si tu es excité et que mes pieds t’excites vraiment »
« En effet tu marques un point »
Mais elle s’arrêta ...peut être était-elle déçue d’avoir marqué un point, elle reparti dans sa cabine me laissant comme ça.
« Ça va??? Que fais-tu?? » lui demandais je d’un air intrigué.
« J’ai envie de profiter de cette belle lune pour me baigner »
« Mais tu me laisses comme ça?? »
« Rooo ça va tu es grand et surtout tu n’es pas mon mari » me dit-elle en sautant à l’eau!!!
Encore une fois j’essayais de lire son jeu, elle était tellement fier de son coup et d’avoir marqué un nouveau point. Je sauta la rejoindre dans l’eau pour une baignade en pleine nuit.
« Je vais me coucher » me dit elle"
« Ok je te suis pour l’échelle »
« Tu me suis ?? Tu ne te baignes pas davantage?? »
« Oui je suis fatigué et frustré »
« Frustré, pour si peu » me dit-elle en rigolant.
«Je te préviens, pas la peine de tenter le même coup j’ai pas fais la même erreur avec mon maillot »
Pour moi c’était clairement une invitation. Je vis de suite que le nœud de droite était déjà détaché, je voyais qu’elle le tenait discrètement avec sa main...je n’ai pas pu m’empêcher de retirer le second nœud.
Elle fit un esquissa un léger
« haaaa »
Elle était sur le haut de l’échelle sur le bateau et moi sur le bas de l’échelle. Je ne pouvais en rester la et je pris un malin plaisir à retirer son triangle, son bas de maillot. L’opposition ne fit pas très grande. J’avais ses fesses juste devant moi, ses fesses étaient magnifique, je saisissais ses hanches pour mieux les embrasser, elle ne disait rien, elle restait là attendant peut-être la suite. Naturellement elle se cambra un peu plus sur le pont, ses seins et son ventre étaient allongés sur le pont, ses jambes étaient droites, elle formait un équerre parfaite sur l’arrière de mon bateau. Je caressais gentiment ses pieds et petit à petit je lui écartais les jambes tout en lui embrassant les pieds et je remontais petit à petit le long de ses mollets et de ses cuisses qui tremblotaient légèrement.
Lorsque ses jambes étaient suffisamment écartées laissant son petit abricot bien en évidence de mes yeux je lui ai dit
« en effet je ne suis pas ton mari »
« Et ?? »
Et ma langue commença a s’approcher doucement de son petit abricot qui en effet était parfaitement lisse, ses lèvres pendaient légèrement et étaient bien humides.
Je sentais que ses jambes commençaient à trembler un peu plus à la découverte de cette nouveauté. Je sentais davantage à présent le goût de son envie qui dégoulinait le long de ses cuisses. Etant pris d’une ardeur sans pareil je gravis un échelon de plus de l’échelle pour mieux lui agripper les fesses et je commençais à lui dévorer avec une grande tendresse sa petite chatte toute humide.
Je pense qu’elle aimait ça à l’écoute de ses premiers petits gémissements qui ne mirent pas longtemps à venir. Je ne pouvais la décevoir pour son premier cuni...son corps ondulé un peu plus a chacun de mes lapements, je commençais à introduire petit à petit ma langue en elle, c’était si bon, sihumide si chaud. Sentant ses mains qui essayaient de m’agripper et afin qu’elle ne vienne pas trop vite, je voulais lui faire découvrir autre chose et la position était idéale.
Elle avait à présent une main sous son visage et l’autre le long de son corps, je lui saisissais l’une d’elle pour qu’elle m’aide à écarter ses fesses. Je voyais à présent très nettement sa petite étoile, j’étais aux anges. Je me fis pas prié pour commençait a bien me délecter de son anus, elle n’était pas indifférente à cela et je lui dévoré avidement ses fesses sentant la rugosité de son anus très serré. Je voyais qu’elle appréciait cela, je redoublais donc d’effort, dans mon élan j’ai essayé de lui doigté l’anus mais elle me repoussa.
Mais que faire e pouvais continuer à lécher sa petite chatte qui désormais était trempé à outrance. Et à ma grande surprise pendant que mon visage continuait à s’humidifier de son jus de désir elle commença elle-même à se doigté l’anus. Je ne disais rien et je profitais de ce nouvelle instant magique. Ma queue n’avait jamais était aussi dure.
Elle tremblait et gémissait de de plus en plus...elle retira son doigt de son anus et agrippa mes cheveux et sans même le voir venir je reçu en plein visage un orgasme d’une intensité extrême mon visage était recouvert de sa semence, j’étais trempé, elle venait littéralement de me jouir dessus. Je rigolais de ce petit soubresaut dû au fait que ma langue ne pouvait se passer de la lécher.
Je m’approchai d’elle pour profiter de la position pour venir la pénétrer...mais elle me bloqua une nouvelle fois.
« J’ ai quelque chose à finir « me dit-elle..."
Elle se retourna pour s’assoir sur le bord du bateau, ses genoux étaient au niveau de mes hanches et je commençais à comprendre où elle voulait en venir. Elle se recula légèrement et ses jambes se mirent comme des papillons Ses pieds encore humide de sa jouissance qui avait coulé le long de ses jambes saisissaient de nouveau ma queue. J’en profitai pour tapoter doucement son clitoris et jouer encore avec son abricot qui dégoulinait toujours de plaisir. Son visage m’intriguait, je sentais son regard intense sur ma verge, je ne savais si elle était concentrée à ma masturbation, concentrée pour ne pas jouir de nouveau... ou était-elle en train de réfléchir à un nouveau stratagème.
En attendant en voyant ses orteils parfait me masturber, je sentais à mon tour mon envie de venir approcher. Je saisissais gentiment ses pieds pour accélérer un peu le mouvement.
Soudain je les ai lâché et elle comprit de suite que j’allais jouir et elle me les présenta ses pieds bien en avant bien à plat devant ma queue gonflé au maximum. D’un grognement discret je ne pouvais me retenir et aspergea ses pieds de tout mon sperme qui inondait à présent ses pieds par saccade. Ses pieds, sa bague étaient recouvert de mon jus de plaisir qui commençait à coulet entre ses orteils. Elle avait la bouche légèrement ouvert et souriait en regardant ses pieds maculés. Je ne savais ce qu’elle était en train de penser mais le fait de la voir se caresser les pieds afin d’étaler mon sperme partout sur ceux-ci c’était extrêmement intense pour moi et je ne pouvais jouir une seconde fois. Que pensait-elle de cette nouvelle expérience, avait-elle appréciée ? En tout cas je l’espérais grandement.
Elle se redressa et attrapa son boxer qui était toujours posé sur la table. Elle nettoya ses petits pieds en essuyant mon sperme à l’aide de celui-ci.
Elle me regarda en se levant afin de retourner à sa cabine.
« A demain... mais il faudra que l’on parle »
Est-ce que elle regrettait ? je n’en savais rien mais cette soirée était inoubliable pour moi.
Je me mis également dans ma cabine en pensant à ce qu’elle voulait me dire et en pensant a demain.
A suivre...A l’abordage
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