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Absa au sauna libertin

Chapitre 4

Absa devient soumise

Avec plusieurs hommes
Absa au sauna libertin 4Alain est contrarié ce matin, après que sa femme s’est fait sauter la nuit dernière dans la voiture par ses deux amis. Puis, de savoir que le dénommé Hubert l’avait fait grimper aux rideaux, cela lui est insupportable. Bien sûr, il est responsable de l’avoir entrainée dans le sauna libertin et de l’avoir donné à ses copains, et par la suite à un tas d’hommes. Surtout qu’il s’est permis une relation intime avec une jeune fille rousse majeure depuis peu. Pourtant, il fait la gueule. Il ne parle même pas à sa femme pendant le petit déjeuner. Absa, nue, son ventre bien arrondi par sa grossesse, ne semble pas s’en soucier. Il lui dépose quand même un baiser sur le front avant de partir travailler. Absa s’empresse de prendre son iPhone et la carte d’Hubert dès que la voiture est partie. Elle compose le numéro de téléphone, cinq sonneries, personne ne répond, elle raccroche, déçue.
La journée se passe tranquillement, les copains de son mari l’ont appelé pour savoir si elle est d’accord pour une partie de jambes en l’air sans son mari. Excédée, elle leur dit que plus jamais elle ne recouchera avec eux. Vers quatorze heures, son iPhone sonne, elle voit le numéro d’Hubert s’afficher. La voix suave lui caresse le tympan.
— Bonjour belle Absa, excusez-moi de ne pas vous avoir répondu ce matin, mais mon mobile était réglé sur muet pour la soirée au club.
Absa remarque qu’il la vouvoie, pourtant quand il la prenait il ne se gênait pas pour employer des mots grossiers au moment de jouir. La jeune femme lui demande si la proposition de la revoir est toujours d’actualité ? Hubert lui répond qu’il en serait très heureux, et qu’il n’osait espérer qu’elle accepte.
— Cela ne risque pas de créer des problèmes dans votre couple de se revoir dans un autre contexte qu’un club échangiste. Absa lui répond du tac au tac.— À moins que vous ne le répétiez à mon mari, cela restera secret, vous avez peur de me mettre enceinte ?, dit-elle en pouffant de rire.
Hubert lui pose la question, peut-elle passer une journée et nuit avec lui ?Absa lui promet de se débrouiller, qu’elle apprécierait d’être à lui plus longuement que leur accouplement furtif au club. Elle le recontactera demain.Après avoir raccroché, elle appelle sa mère. Elle lui raconte la soirée au club en jouant la victime et omettant de lui raconter pour Hubert et la partie de jambes en l’air dans la voiture. Elle raconte à sa mère qu’elle souhaiterait prendre un peu de recul et aller passer deux jours chez une amie.
— Peux-tu me couvrir si Alain t’appelle, je te revaudrai ça ?
La maman d’Absa, loin d’être idiote et connaissant bien sa fille, n’est pas dupe, inquiète pour son petit-fils en devenir, elle lui fait promettre d’être prudente. Absa le jure.Alors, elle rappelle aussitôt Hubert, et lui demande si demain, il est disponible. Hubert confirme que pour elle, il est toujours prêt à la recevoir, il se propose même de venir la chercher. Folle de joie, Absa lui donne rendez-vous dans un bar éloigné de son domicile.
Absa va commettre le péché d’adultère, mais Alain a besoin d’une bonne leçon. Ensuite, elle n’est pas insensible au charme et la délicatesse d’Hubert qui ne semblait pas à sa place dans un endroit pareil.
Alain est plus aimable avec sa femme le soir, elle le voit venir et sait qu’il aura besoin d’un câlin cette nuit. Il a passé la journée à repenser à leur soirée sexuelle, et a constaté qu’il avait dû aller trois fois aux toilettes pour se soulager. La pensée de sa femme en train de se faire monter dans la voiture par ses amis lui avait provoqué plusieurs érections. Le repas prit dans la bonne humeur, profitant de l’excellente ambiance, Absa annonce à son mari qu’elle allait passer deux trois jours chez sa maman. Alain est un peu contrarié, l’entente avec sa belle-mère n’est pas au beau fixe, mais s’il veut obtenir les faveurs de sa femme, Alain doit se montrer plus humble. Absa ressort de la salle de bains vêtue d’une nuisette fuchsia, très courte et transparente qui met bien en valeur la couleur sombre de sa peau. Ses gros seins de future maman se balancent avec élégance.
Son ventre arrondi est un élément de son charme, quant à ses fesses rebondies, elles donnent l’envie de la prendre en levrette. Alain se caresse le sexe en la regardant venir vers le lit, à genoux sur le lit, elle se penche vers lui et l’embrasse langoureusement. Ses seins pointent déjà hors de la nuisette, ses tétons sont déjà érigés, violaçant sous l’afflux de sang. Alain tète les gros bourgeons, puis glisse une main baladeuse entre les cuisses de son épouse qui gémit aussitôt. Alain fait fi des préliminaires, il fait mettre son épouse en levrette et l’enfile d’un coup. Petit cri d’Absa suivit rapidement des gémissements de plaisir. Alain jouit en entendant sa femme crier son bonheur, ce qui le stimule dans un dernier coup de rein, il se vide dans son vagin.
— Tu as bien joui ma chérie, notre soirée au club nous a fait du bien.
Absa a pris beaucoup de plaisir. Cependant, elle ne lui confie pas qu’elle pensait à Hubert pendant qu’il lui faisait l’amour. Le lendemain, Absa embrasse son mari et lui dit qu’elle l’appellera le soir. Elle fait un signe à son mari, un sac à la main, et se hâte vers l’arrêt de bus. Alain a proposé à Absa de prendre la voiture. Elle a décliné sa proposition en lui faisant remarquer qu’il en aurait probablement plus l’utilité qu’elle et que sa mère possède déjà une voiture. Lorsqu’elle monte dans le bus, Absa est soulagée que son mari n’ait pas eu l’intention de l’accompagner. Trois arrêts plus loin, elle descend et pénètre dans le bar convenu. Sa courte robe, laisse bien entrevoir ses cuisses quand elle s’assoit, attirant le regard de quelques clients masculins. Malgré sa grossesse, elle donne envie. Ses seins ont presque doublé, son ventre rond, et son string apparent suscitent des montées de verges dans le café.
Elle est soulagée de voir Hubert entrer dans l’estaminet et venir s’asseoir près d’elle. Alors, il pose ses lèvres sur les siennes et aussitôt, elle se remémore ce qu’il s’est passé au club entre eux. Elle frissonne sous le chaste baiser. Hubert propose à Absa de partir pour gagner sa demeure. Une limousine avec un chauffeur les attend. Le chauffeur s’incline respectueusement et ouvre la portière de la voiture à Absa. La belle femme d’origine africaine s’assoit à côté d’Hubert. La voiture démarre, Hubert remonte la vitre de séparation, ce qui les isole. Hubert ne se contente plus de faire des baisemains. Il embrasse la jeune femme de manière franche, lui triture sa grosse poitrine, et une main s’insinue entre ses cuisses qu’elle écarte sans manière. Une main s’attaque au string, Absa soulève ses fesses afin de faciliter le glissement de son petit bout d’étoffe sur ses chevilles. Hubert se penche sur le corps de la belle et lui pratique un cunni. La langue se faufile partout.
Du clito érigé aux petites lèvres déjà suintantes, un doigt vient assister la langue, passant du minou à la rosace humide de la jeune femme qui geint de plaisir. Hubert lui masturbe son petit cul avec vigueur, Absa réagit favorablement à cette caresse anale. La jeune femme entend la vitre de séparation descendre, elle ne s’est pas aperçue que la voiture est arrêtée. Le chauffeur à genoux sur son siège regarde son chef doigter le petit trou d’Absa. Hubert continue de lui chatouiller son entrée de service, tout en caressant son bourgeon sorti du capuchon. Il écarte bien les petites lèvres et propose le corail rose à la vue de son chauffeur.
— Ce contraste entre le rose et le noir est très agréable à voir, n’est-ce pas, Paul ?
Le chauffeur acquiesce de la tête et sort son sexe pour se masturber. Absa regarde Hubert surprise qu’il laisse le chauffeur mater son intimité, il se contente de lui sourire et continue de lui masturber l’œillet. Gênée, mais excitée de s’offrir au regard lubrique du chauffeur, elle ferme les yeux et se laisse aller au plaisir qui envahit tout son corps. Hubert l’embrasse avec tendresse, provoquant un brasier dans son ventre. Alors qu’elle ne tient pas compte de la présence du chauffeur, Absa pose les pieds sur la séparation de la voiture. Paul commence à lécher les orteils de la jeune femme en prenant un pied. La caresse de la langue sur chaque orteil la fait gémir, personne ne l’a jamais caressée ainsi. Elle se tourne sur le côté, dégageant le doigt de son anus, débraguette Hubert, extrait difficilement le sexe en érection du boxer et l’embouche goulument. Paul continue de lui lécher les pieds, accentuant la montée du plaisir de la jeune femme. Hubert dit à son chauffeur.
— Venez vous joindre à nous, Paul, vous serez ainsi plus à même de flatter notre charmante amie. Est-ce que cela vous intéresse ma chère ?
Absa répond par un grognement, vu son éducation, on ne parle pas la bouche pleine. Les deux hommes considèrent cela comme un accord tacite. Paul dit à Hubert.
— Monsieur, ne préférait-il pas que je mette une couverture sur l’herbe pour batifoler avec cette magnifique créature africaine ?
Hubert trouve l’idée bonne, et consent. Paul sort une grande couverture du coffre et l’étend avec soin sur l’herbe du sous-bois. À l’abri de tout regard sur ce petit chemin à peine tracé, ils ne risquent pas d’être surpris. Hubert prend la main d’Absa et l’aide à descendre de la voiture. Absa abasourdie se laisse entrainer hors du véhicule pour se faire trousser en pleine nature par son amant et son chauffeur. Elle ne se reconnait plus, comment enceinte se laisse-t-elle aller à la luxure. Et, pourtant, elle se laisse faire, subjuguée par le désir de plaire à son amant.
— Paul, aidez madame à se dévêtir.
Absa sent les mains chaudes et fébriles de Paul faire glisser la fermeture de sa robe, le tissu descend le long de son corps et fini en tire-bouchon au sol. Elle s’appuie sur l’épaule de Paul pour soulever les pieds et se dégager du tissu. Paul prend la robe, la plie et la dépose sur le siège de la voiture. Puis, il revient et fait glisser le string le long des cuisses, l’aide à ôter complétement en la tenant par la main, le porte à ses narines, et pousse un soupir de satisfaction. Nue, Absa se laisse guider par les deux hommes, Hubert la queue en l’air la fait se mettre à genoux et sans un mot avance sa bite sur les lèvres de sa jeune maitresse. Avec avidité, Absa absorbe le gland déjà brillant de liquide pré-séminal avec un appétit non dissimulé, elle tète la queue bandée de son amant. Paul la fait mettre à quatre pattes et se mettant sur le dos rampe pour mettre son visage entre les cuisses de la belle.
Paul est barbu, ses poils chatouillent délicieusement les petites lèvres entrouvertes, le ventre gonflé se colle sur le crâne chauve. Les mains de Paul saisissent des fesses bombées et attirent la jeune femme pour que sa vulve soit collée à sa bouche. La langue est agile et exploratrice, elle passe entre les petites lèvres, assaille le clito, Absa à l’impression que c’est un serpent qui parcourt tout son minou tant la langue semble se dédoubler. Lorsque Paul lui aspire le clito et le mordille tout en le titillant du bout de la langue, Absa roucoule sous la caresse linguale du sous-fifre d’Hubert. L’homme est ravi du spectacle, il avait deviné l’autre soir que sa jeune maitresse noire avait le feu au cul et un sacré potentiel pour devenir sa salope attitrée. L’idée d’être enceinte et de se donner à des pratiques extra-conjugales au lieu de faire culpabiliser la jeune épouse et lui procurer mauvaise conscience la stimule plus que de raison.
S’accoupler avec d’autres hommes que le géniteur de son futur enfant l’excite fortement. Paul sent le jus de la jeune femme s’écouler sur son visage, des giclées l’aspergent. Cette aspersion qu’il a provoquée le comble d’aise, faire jouir une aussi belle et adorable jeune femme est une récompense à son talent de brouteur de minou. Absa gémit en continuant de sucer Hubert et de jouir sur le visage du chauffeur. Elle sent le chibre d’Hubert vibrer, les mains de l’homme se crispent sur sa nuque et l’obligent à une gorge profonde qui la fait suffoquer. Il touche les amygdales, donnant une envie de vomir à sa maitresse. Absa, surmontant son envie de déglutir, se laisse faire et reçoit pour son courage de longs jets de foutre chauds et épais au fond de la gorge. Elle avale tant bien que mal le sperme de son mâle. Un peu s’échappe aux commissures de ses lèvres. Paul qui s’est dégagé d’entre ses cuisses vole à son secours.
Ainsi, il met son visage près de celui d’Absa et lèche le sperme de son maitre qui dégouline de la bouche de la jeune femme. Hubert s’ôte de la bouche de son amante et plonge son sexe dans le clapoir de son chauffeur. Paul savoure les derniers jets de foutre que lui prodigue Hubert. Le dominant ordonne à Absa et son serviteur de s’embrasser. Paul et Absa, échangeant leur salive et le sperme d’Hubert, se le passent de bouche en bouche, puis chacun avale ce qu’il lui reste du mélange. C’est la toute première fois qu’Absa voit un homme en sucer un autre, cela l’a troublée, mais loin de la dégouter. Hubert gentleman lui tend la main pour l’aider à se relever, et la fait monter nue dans la voiture. Absa prend sa robe pour la remettre, d’un geste Hubert l’en dissuade.
— Ma chère, tu n’as plus besoin de te cacher de Paul, pour que tu passes une nuit avec lui. Il est prêt à sacrifier un mois de salaire pour cela. Bien entendu, si tu approuves ?
Absa est surprise qu’un homme puisse la désirer autant, surtout avec son ventre rond. Les hommes sont un mystère pour elle, car ils ont des fantasmes surprenants et inattendus. Flattée, elle répond à celui qui sans qu’elle s’en aperçoive devient son maitre.
— Je ferai tout ce qui peut te faire plaisir mon chéri.
Alors qu’elle pense avoir répondu ce qu’il a envie d’entendre, Absa reçoit une énorme gifle qui lui fait danser la tête et l’étourdie.
— Ne me tutoie plus et appelle-moi maitre, insolente petite salope.
Interloquée, Absa reste coite, des larmes perlant aux coins de ses beaux yeux sombres.
— Si tu désapprouves, je peux te ramener à ton maquereau de mari, qui te fera bourrer comme une pute par ses copains, décide-toi vite.
Absa résignée, mais notamment ayant envie de découvrir de nouveaux plaisirs, hoche la tête et lui répond.
— Je suis toute à vous maitre, faites de moi ce que bon vous semble, je suis à vos ordres, mon corps et mon esprit vous appartiennent.
Hubert la prend dans ses bras, la cajole et l’embrassant tendrement sur les lèvres, lui murmure ensuite à l’oreille.
— Tu viens de prendre la bonne décision petite innocente, tu vas enfin savoir ce que jouir veut dire. Je parlerai bientôt à ton mari, j’ai des arguments qui devraient le convaincre de ne pas s’opposer à mes désirs.
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