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Absa au sauna libertin

Chapitre 5

Avec plusieurs hommes
Absa au sauna libertin 5Absa est toute songeuse, elle pensait passer quelques jours en amoureuse avec Hubert, et elle vient de se faire lécher le sexe par le chauffeur, et Hubert veut en faire une esclave sexuelle. Elle se sent amoureuse d’Hubert, bien qu’elle soit mariée et enceinte, l’attirance pour cet homme ne cesse de grandir. Est-ce la domination qu’il compte lui imposer, la façon dont il l’a fait jouir au sauna, toujours est-il que ses sentiments pour son époux diminuent ? Hubert lui fait savoir qu’il va téléphoner à son mari pour le convaincre de lui céder sa femme quelques soirées par mois, et qu’il décide désormais pour elle. Absa s’interroge sur la manière dont les deux hommes vont interagir. Hubert demande à son chauffeur de divertir la jeune femme pendant qu’il téléphone à son mari et de l’aider à s’installer dans sa chambre. Paul est satisfait, Absa a l’impression d’être utilisée. Comment cette soirée passée au sauna a-t-elle pu dégénérer de la sorte ?
Paul prend Absa dans ses bras et l’embrasse fougueusement alors qu’elle semble dépassée par la situation, les bras ballants, elle ne résiste pas. Paul caresse la grosse poitrine, faisant sauter les mamelles dans sa paume.
— Viens, je vais te montrer ta chambre et t’aider à tester ton lit.
Absa, comme une servante le suit sans se rebeller, si cela plait à son maitre, cela lui plaira également.À peine entré dans la chambre luxueuse avec salle de bain, Paul pose le sac de la jeune femme et lui ordonne de se dévêtir. Tel un automate, elle ôte sa robe, et nue devant le chauffeur, elle attend son bon vouloir. Elle est très attrayante avec sa poitrine imposante légèrement affaissée sous le poids de sa grossesse, son sexe lisse, et ses fesses rebondies. Paul bande, son pantalon en est déformé par la bosse de sa queue bandée.
— Je te suggère de te mettre à quatre pattes sur le lit, j’ai goûté ta chatte avec ma langue maintenant, je vais la faire goûter à ma bite. Paul sort sa queue sans baisser son pantalon sous le regard angoissé d’Absa. Ce n’est pas la taille du sexe de son amant qui l’inquiète, mais plutôt de ne pas être à la hauteur aux yeux d’Hubert en se laissant aller avec le personnel. Absa, en regardant dans la glace de l’armoire, voit Paul se positionner derrière elle, tenant sa queue à la main. Paul lui crache sur la rosace, sa salive s’écoule dans la fente, il étale son crachat sur l’entrée de la grotte sombre, entrouvre les lèvres pour découvrir le corail rose. Il maintient le minou ouvert, pose son gland à l’orée de la fente et s’enfonce lentement dans le vagin de la belle africaine. Il ne peut s’empêcher d’exprimer son bien-être au fur à mesure qu’il investit la grotte au climat tropical, chaude et humide.— Que c’est bon de baiser une belle petite noire, tu es ma première africaine, le maître est bon de te donner à moi, il est plaisant de me vider les couilles dans ta chatte de salope, dommage que tu sois déjà enceinte sinon je t’aurai engrossé.
Absa n’écoute pas son partenaire, elle est absorbée par la pensée que la queue qu’elle a dans la chatte est au moins la vingtième différente qu’elle prend depuis sa soirée au sauna libertin. Elle a l’impression d’être une pute, mais au lieu de la perturber, cela l’excite un peu plus que d’habitude. Le gland de Paul en est témoin, il est enduit d’une couche de liquide vaginal qui rend la pénétration d’une douceur extraordinaire. Il glisse dans le velours vaginal de la belle avec délice. Elle se surprend même à encourager son baiseur.
— C’est bon, va plus vite, je ne vais pas tarder à jouir salaud.
En ouvrant les yeux, elle voit Hubert appuyé au mur qui la mate en train de se faire baratter la chatte et inciter le propriétaire de sa moule à la finir. Absa comprend que d’être observée lui procure beaucoup de plaisir. Hubert prend un caméscope et filme leurs ébats. Absa est hors sol, elle n’y prête pas attention et ne peut plus retenir ses cris, l’orgasme secoue son corps, elle pleure, déchire le drap en crispant les doigts. Paul, dans un dernier effort, pousse un cri guttural.
— Prends ça dans ta moule putain, tu es trop bonne et il se vide dans le vagin d’Absa. La chatte de la jeune femme, semblable à un buvard, absorbe les nombreuses giclées de foutre chaud au plus profond de son vagin. La splendide noire tremble de tous ses membres, la présence d’Hubert a augmenté son plaisir. Absa, en retrouvant la raison, se sent désormais prête à se donner à tous les hommes qu’Hubert désirera. Hubert l’aide à se relever, l’embrasse avec tendresse et lui demande de recueillir le sperme de Paul qui dégouline de son abricot au creux de sa main et de laper la semence de son chauffeur.— Absa, tu es la femme que je cherchais pour assouvir mes fantasmes, maintenant que tu es à moi, je vais te faire découvrir le plaisir sous toutes ses formes, de l’humiliation à la félicité. Ton mari te téléphonera tout à l’heure, le problème est réglé, dorénavant, tu m’appartiens, en es-tu heureuse ? Il est encore temps de refuser.
Absa comme lors de son mariage, emploie la phrase symbolique. « Je le veux ». Et, simultanément, elle ôte son alliance, et lui dit.Je suis à vous, je ferai ce que vous voulez, même les choses les plus horribles, à une condition : que mon bébé ne soit jamais en danger lors de ces unions avec d’autres hommes, et que vous m’aimiez toujours.
Hubert le jure sur la tête de son chauffeur.La jeune femme est soulagée, il ne lui reste plus qu’à avoir une discussion avec son mari pour découvrir comment et pourquoi il l’a cédée à un dominant. Cela la préoccupe beaucoup, bien qu’elle en soit ravie. Absa prend possession de ce qui est à ce jour sa chambre attitrée. Elle prend une douche pour se nettoyer des restes de spermatozoïdes qui errent dans sa chatte, en recherche d’ovules. La jeune femme se frotte de partout, caresse son ventre avec l’amour d’une mère, en chantonnant une berceuse de son pays pour le petit être qui pousse en elle. Heureusement qu’il ne pourra pas voir les sexes qui vont rendre visite à sa mère. Elle en sourit un peu gênée d’imaginer son enfant, observer des glands de toutes sortes fourrager dans son vagin, et lui cracher leur venin au visage. Elle se dit que décidément une soirée dans un sauna libertin lui a chamboulé ses relations sexuelles. Rien que de penser à tous les hommes qui défilaient sur elle au sauna, son petit chaton s’humidifie.
Jamais elle n’aurait pensé aimer autant la bite. Hubert apparait dans la chambre et lui fait part que son cocu veut lui parler. Cela fait drôle à Absa d’entendre parler de son homme comme une personne du passé, mais elle l’accepte.
— Allo, ma chérie, Hubert m’a expliqué ton désir de lui appartenir, je reconnais mes torts de t’avoir entrainée dans la luxure. De toute manière, cela m’excitait de voir d’autres hommes te jouir dans ta chatte, j’ai toujours eu envie de ça. En plus, j’ai des difficultés financières dans mon boulot, j’ai un peu jonglé avec les comptes. Cela risque de mal finir, pour notre prochain enfant, il vaut mieux trouver un arrangement avec ceux que j’ai un peu truandés. Hubert me propose de mettre mes comptes à jour en échange, tu devras faire tout ce qu’il te demande, pour le bien de notre enfant que tu portes dans ton ventre soit gentille, toi seule peut sauver notre couple. J’ai honte, mais je t’aime pour nous accepte !
Absa est interloquée, comment son mari peut lui demander une chose pareille, il la prend vraiment pour une pute.
— Tu es réellement une petite lope, ta propre femme, tu la prostitues pour sauver ton cul blanc, tu me dégoutes, je vais entièrement me donner à Hubert, pauvre cocu, mais surtout quand je serai à la maison, tu ne me touches pas.
Sur ce Absa raccroche.Elle en a les larmes aux yeux, comment son mari, le père de son futur enfant peut-il la vendre pour éviter les ennuis, salope, elle est, pute, elle deviendra pour son plus grand plaisir et essentiellement pour être la soumise d’Hubert. Au lieu de lui faire de la peine, la position de son mari lui donne envie de vivre la débauche la plus complète comme Hubert veut lui enseigner. Absa se sent maintenant prête à tous les vices. Elle tient à ne rien manquer sexuellement avant d’accoucher, ensuite, elle aura d’autres choses à s’occuper que de baiser. Absa reste seule tout l’après-midi. Une sieste réparatrice, Hubert l’appelle sur le téléphone de la chambre et lui fait savoir qu’ils auront des invités pour le soir, qu’elle prenne une douche et Paul lui apportera une tenue. Vers vingt heures, Paul lui apporte une robe vraiment courte, couleur or pailleté, un string noir, et des bas autofixant blancs, pas de soutif.
Absa se vêt, puis s’admire dans la glace, sauf son petit ventre rond, elle se trouve mignonne. Son ventre est quand même ce qui excite les hommes, ainsi que son opulente poitrine aux tétons gonflés. Certains hommes ont une attirance particulière pour les femmes enceintes. De plus, Absa, avec sa peau sombre pour quelques-uns, est de l’exotisme. En s’enfilant dans sa minette, c’est voyager en Afrique en restant dans un lit, leur passeport, c’est leur queue. Absa est anxieuse, qui Hubert a-t-il invité ? En trainant un peu les pieds, la jeune femme perchée sur ses hauts talons Se dirige vers la porte du salon, un domestique qu’elle découvre lui fait un clin d’œil et émet un sifflement d’admiration. Absa lui sourit, découvrant sa magnifique dentition blanche nacrée, trente-deux petites perles. Les portes s’ouvrent, Absa s’avance et là une surprise l’attend.
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