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L'acceptatrice

Chapitre 1

Divers
Je m’appelle Sophie et je suis prof de français dans un lycée de la banlieue de Béziers . J’ai 27 ans , pas de soucis particulier , je vis seule , davantage par timidité que par choix réel .

Je me rend souvent à mon travail en prenant le train . Ce mercredi là , je m’étais déchaussée , mais au moment de remettre mes ballerines , je ne les ai pas retrouvées . J’ai regardé autour de moi ,je n’ai vu personne de ma connaissance ni quelqu’un me regardant particulièrement . J’ai attendu l’arrivée du train , j’ai parcouru le wagon à toute vitesse , regardant sous les sièges et dans les filets , je suis même rentrée dans les toilettes , mais je n’ai pas remis la main dessus . Mon premier cours de la matinée commençait dès huit heures , il m’était donc impossible de m’en procurer une autre paire .

Je montai pieds nus dans le bus m’amenant au collège , j’étais mal à l’aise et angoissée à l’idée de passer ma matinée sans chaussures . Arrivée à destination , je me suis rapidement réfugiée dans ma classe . J’ai fini de préparer mes cours , et quand la sonnerie de début des cours a retenti , mon cœur battait à mille à l’heure : j’allais affronter le regard et les commentaires des élèves sans pouvoir rien y faire . Petit à petit , mon angoisse a diminué et leurs regards étonnés se sont fait à la situation . Je suis restée dans ma classe toute la matinée , même aux intercours , c’était une chose de se retrouver pieds nus dans sa classe et une autre que de se promener ainsi dans les couloirs ou dans la cour de récréation . A chaque début de cours , une boule me serrait la gorge , mais les regards me gênaient de moins en moins et je m’enhardissais à me promener dans la salle .En dernière heure , un sentiment différent se fit jour en moi . Je réalisais que cette situation me plaisait : se retrouver dans une situation ou visiblement quelque chose manquait à ma tenue , loin de me faire peur comme au début de la matinée , me remplissait de fierté .

A la fin des cours , je quittai vite l’établissement , me dirigeant vers la gare , sans même chercher à me procurer de nouvelles chaussures . Assise dans le wagon , pieds nus , je revivais cette matinée … Une idée saugrenue me passa alors par la tête , il me fallait aller plus loin .Ayant jeté un œil autour de moi dans le wagon quasi désert , je dégrafai mon soutien-gorge , l’enlevai et le rangeai dans mon sac . Je n’avais plus que ma robe et ma culotte , je n’avais pas le souvenir de m’être retrouvée ainsi !

Je me tortillai sur mon siège , et sans réfléchir davantage , ma culotte suivit le chemin de mon soutien-gorge . J’étais quasiment nue et j’étais bien . Perdue dans mes pensées et excitée par cette situation , je failli rater mon arrèt , mais je repris mes esprits juste à temps pour descendre du train . J’aurai eu bonne mine , dans cette tenue , de m’éloigner de mon chez moi au lieu de m’en rapprocher .

Cinq minutes de marche me séparaient de mon appartement , et j’en savourai chaque instant . Bien sûr , l’absence de chaussures attirait quelques regards , et une petite douleur naissait à chaque fois qu’un gravier ou une aspérité du trottoir se glissait sous mes pieds , mais j’étais bien . Arrivée devant mon immeuble , je montai les escaliers jusqu’au troisième , en regrettant la fin de cette aventure . Pour la première fois de ma vie , je m’étais retrouvée dehors , quasiment nue , et cela m’avait tellement plu que j’en aurais remercié celui ou celle qui m’avait pris mes chaussures ce matin . Je me dirigeai vers la chambre , j’enlevais ma robe et m’allongeai sur le lit. Mes plantes de pieds étaient sales , quasiment noires , mais loin de me déranger , cela ajoutait à mon plaisir , comme une marque , un rappel de ce que je venais de vivre .

Mes yeux se fermèrent , mes doigts se mirent à jouer avec mon bouton et les pointes de mes seins , trois petites minutes de caresses furent suffisantes pour qu’un puissant plaisir m’envahisse et me plonge dans un sommeil profond . J’émergeais de mon lit vers 17H00 , je me dirigeais vers la douche et me débarrassais , à regret , des traces de mon plaisir … Séchée et habillée , avec des sous vêtements et une robe propres , je fis le tri dans mes chaussures , cherchant une paire que je pourrais enlever facilement . Je mis la main , ou plutôt le pied , sur une paire d’escarpins à petits talons qui semblait convenir à mon désir d’imiter Cendrillon et de recommencer l’aventure de vivre nu pieds !

Le lendemain , pendant mes cours , je me surprenais à rêver d’une situation me permettant de retrouver mes émotions de la veille , sans rien trouver qui me satisfasse vraiment . Pendant que mes élèves de terminale étaient plongés dans leurs exercices , je faisais le tour de la salle , aidant l’une ou l’autre , répondant aux questions parfois idiotes de certains , quand j’aperçus une élève jouant avec ses chaussures , les enlevant , les remettant , recommençant . Me rapprochant d’elle ,je poussai discrètement une de ses chaussures sous la chaise de son voisin , hors de sa portée . Revenue à ma place , je l’appelai pour qu’elle vienne au tableau . Elle s’aperçut alors de l’absence de sa chaussure , et vint au tableau pieds nus : l’idée était là , il fallait trouver une situation qui ne me permettrait pas de me rechausser et qui m’obligerait donc à me passer de cet accessoire vestimentaire .

Cette idée , c’est Nathalie , la documentaliste du lycée , qui me l’a fournie en me demandant si je pouvais l’accompagner dans l’après-midi à un rendez-vous au musée de l’éphèbe du Cap d’Agde , car sa voiture était en rade . Je n’avais cours qu’à partir de 16h30 , je lui donnai mon accord . Après une vingtaine de minutes , nous voilà arrivées à destination et avons trouvé un parking non loin du musée. C’est alors que je la vis , de l’autre côté de la rue : une large bouche d’égout semblait me faire signe . Je traversai avec Nathalie et fis semblant de trébucher , je me raccrochai à elle et envoyai ma chaussure dans la bouche d’égout . Impossible de la récupérer , je dus donc continuer pieds nus … ce qui me satisfaisait beaucoup , même si j’arborais une mine piteuse . Comme nous avions un bon quart d’heure d’avance , nous nous sommes un peu promenées dans les salles du musée et c’est là que tout a démarré !


« Alors , ça te fait quoi d’être pieds nus ? me demanda – t-elle .— La vérité , c’est que ça me plait , et je peux t’avouer que ce n’est pas accidentellement que ma chaussure a fini dans la bouche d’égout .— Tu l’as fait exprès ? Ah , et bien toi alors ! Et tu as déjà essayé davantage , ou plutôt encore moins de vêtements ? »Je lui racontai alors mon retour la veille , dans le train , et tout le plaisir que j’avais alors ressenti .« Puisque c’est comme ça , donne moi ton soutien-gorge , ça devrait te faire passer un bon moment .— Et puis quoi encore , tu veux rire ?— Quoi ? Même pas cap’ ?— Si , bien sûr , c’est seulement que je ne m’attendais pas à — Tu te tais maintenant , me coupa - t-elle , tu l’enlèves , tu me le donnes et plus vite que ça !— Mais— Tu l’ouvres encore et je te mets une paire de claques ! »Résignée , je dégrafai mon soutien-gorge , fis discrètement glisser les bretelles le long de mes bras , l’enlevai et le lui tendis .« Merci , me souffla-t-elle dans l’oreille , tu vois bien que ce n’est pas plus difficile que ça . Bon c’est le moment , j’y vais et à tout à l’heure . »

Nathalie m’apparaissait sous un nouveau jour , me dévoilant une facette d’elle que je ne soupçonnais pas , qui me faisait quand même un peu peur , mais à laquelle j’avais fini par me soumettre . Pieds nus et seins nus , je devais bien reconnaitre que la situation me plaisait , faisant naître en moi de troubles émois . Je ne me sentais pas du tout exhibitionniste , je ne voulais pas me montrer , dévoiler mon corps à des inconnus , mais seulement me sentir libre , me défaire de certaines obligations morales . Je savais que j’étais en partie dénudée , mais j’étais la seule à le savoir , à part Nathalie bien évidemment .

En parlant du loup , je la vis revenir vers moi ,souriante et détendue ,son rendez-vous avait du se dérouler comme elle l’espérait . Quant à moi , perdue dans mes pensées , je n’avais pas vu le temps passer . « il nous reste une petite heure avant de rentrer , viens on va visiter un peu . Alors , comment te sens tu ? Cette situation t’a plu ? — Franchement , ça m’a bien plu même si je suis à la fois gênée et fière d’être presque nue . Je ne recherche pas du tout à être surprise dans cette tenue , ce qui me ferait mourir de honte , mais ça me procure du plaisir …— Et tu t’es caressée ?— Tu n’y penses pas , pas en public , quand même !— Bon , j’aime les petites filles obéissantes , alors tu vas gentiment me donner ta culotte , sans faire d’histoire . »Dire que je ne m’attendais pas à cette demande serait mentir . Je l’attendais presque avec impatience , mais un je ne sais quoi me retenait , m’empêchant d’accéder à sa demande . « Non , je … » Je n’eus pas le temps de finir ma phrase que je reçus une claque , puissante et douloureuse . « Mais … -T’en veux une autre ? Allez , donne !Les larmes aux yeux , je regardai autour de moi . Nous étions seules , pas de témoins de cette scène . J’enlevai mon slip et le lui tendis . Elle avança vers moi et me caressa la joue qu’elle venait de frapper . « Quand je te demande quelque chose , tu m’obéis , et vite . Sinon tu ne pourras pas dire que tu ne savais pas ! Et quand je vois l’état de ta culotte , je comprends bien que ça t’a fait plaisir . »

Elle me prit par le bras , et très vite j’oubliai comment je m’étais retrouvée avec ma seule robe comme vêtement, pour me consacrer aux sensations qui naissaient à nouveau en moi . Dans la voiture , je pris le volant , direction le lycée où je devais encore assurer une heure de cours . Nathalie jouait avec mes sous-vêtements , et j’espérais qu’elle allait me les rendre pour me sentir plus à l’aise , quand elle baissa la vitre et les jeta dehors . Dans le rétroviseur , je les vis un moment s’envoler au loin . Des larmes coulaient de mes yeux , la main de Nathalie se posa sur ma cuisse .« Tu vas voir que tu vas apprécier . Si je te les avais rendus , même si tu ne les avais pas enfilés , tu aurais su qu’ils étaient là , près de toi , et ca n’aurait pas eu le même impact . Maintenant , tu n’as plus d’échappatoire , tu es obligée de subir la situation , et c’est justement la peur d’être surprise ainsi , d’être cataloguée comme une vraie salope qui va te procurer le plus de plaisir . On arrive , tu fais ton cours et tu me rejoins après au CDI. »
Une boule au ventre , angoissée comme jamais , je fis mon cours en me déplaçant le moins possible , restant assise à mon bureau et , comme la veille , petit à petit , mon angoisse s’atténua , une chaleur certaine monta en moi . J’osai à nouveau bouger entre les rangs , heureuse que Nathalie m’ait permis de vivre ces instants . Mes élèves voyaient-ils une salope presque à poil ou est-ce l’image de la sage enseignante qui s’imposait ? Je connaissais certes la réponse , mais je me disais qu’un faux geste de ma part , qui dévoilerait un sein ou une fesse nue pouvait tout changer . Savoir que je ne ferais pas ce geste mais que je pourrai le faire augmentait la chaleur en moi , et c’est avec soulagement que j’accueillis la sonnerie qui mettait fin à cette journée . Il ne me restait qu’à me rendre au CDI , et entendre ce que Nathalie avait à me dire .
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