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Un accident bienvenu

Chapitre 3

La routine, quelle routine?

Lesbienne
Pour rien au monde je ne quitterais cette maison! Cela fait un mois environ que j’y suis, je m’y sens bien et ne vois pas le temps passer. La tâche ne manque pas, j’astique, je polis, je frotte, j’essuie, le soir je suis crevée.
Soyons honnête, il n’y a pas que l’entretien qui me fatigue…Irène, la cuisinière est extrêmement tactile. Non seulement elle adore peloter Claire, mais elle s’est enhardie à me pincer les fesses dès qu’elles sont à sa portée, ou bien à carrément passer la main sous ma jupe, l’index folâtrant avec ma raie. A tel point que c’en est frustrant, je le lui ai expliqué. Ce à quoi elle a répondu avec son accent du coin qu’elle ne me laisserait pas en plan, qu’il suffisait d’être patiente. La mimique de Claire fut alors suffisamment éloquente pour que j’aie hâte de passer à la suite…
Oui, mais en attendant, le matin, après le petit déjeuner, il faut que je me masturbe. J’alterne les coins de meubles et l’aspirateur. La maison entière doit être imprégnée de l‘odeur de ma chatte.
Lorsque le carrossier a rapporté ma voiture réparée, Madame m’a appelée dans son appartement. J’allais redescendre après l’avoir remerciée.— Et bien Léa, cela ne mérite pas un peu plus? avec un grand sourire.— Bien sur, Madame!
Maintenant, parfois Madame me sonne et me demande de venir : — Pour notre petite affaire…Bien souvent elle est dans sa chambre, généralement seule, mais pas toujours, et m’attend cuisses largement offertes : — Viens me gamahucher, petite traînée, fourre moi avec ta bonne langue…
Lorsqu’elle est accompagnée, elle enjoint parfois à sa complice de me donner une fessée ou bien de me caresser le minet ou la raie, mais c’est toujours elle qui me délivre, de sa main experte… Je peux ensuite aller me changer car elle me maintient la tête entre ses cuisses lorsqu’elle jouit et rares sont les fois ou cela ne tient pas du déluge.
En revanche je vois de moins en moins Claire, elle sort beaucoup mais j’ai trop besoin de mes nuits pour l’accompagner.
Un matin, Irène m’attend, le petit déjeuner prêt. Elle me tend une enveloppe, la note qu’elle contient nous informe que Madame et sa nièce seront absentes pour une huitaine.Je n’ai pas terminé mon bol qu’ elle est derrière moi et me malaxe les seins.— Tu vois, ça a pas été ben long à attend’. On va pouvoir jouer, depuis l’temps qu’j’attends!!!Un câlin du matin c’est toujours bon à prendre, je me laisse faire.

Irène, comment dire… c’est pas Miss France… même pas sa dauphine mais cependant elle a pas mal d’attraits. Elle a quelques kilos en trop certes, mais aussi une très forte poitrine et un joli visage rond, elle est toujours de bonne humeur et selon Claire une vraie salope.
J’aime comme elle me pelote les nibards, alterne douceur et brutalité, pince mes tétons à m’en faire mal mais les roule aussi avec tant de légèreté ensuite. Je me laisse aller à cet instant impromptu, je mouillotte en ronronnant, yeux fermés…Soudain elle passe ses bras sous mes aisselles,  me soulève pour me poser assise sur le plan de travail. Elle me roule une galoche, sa langue est partout, vite moins vite, elle avale ma salive, me picore la langue, l’insinue dans ma bouche. Hmmm c’est bon, comme on dit dans le Michelin, “mérite le détour”…
Elle frotte ses gros nichons sur les miens qui ne font pas la maille à côté, elle me trousse et explore ma culotte. Mince! Elle me pince le clito par dessus le tissu. Maintenant je mouille pour de bon, il faut aller au bout. Ma culotte me rentre dans la fente, elle s’acharne sur mon clitou et la salope, elle va me faire prendre mon pied comme ça. Je ne sais pas ce qui me prend, je lui gifle les nichons de toute ma force, elle aime ça, la vache et continue, tant pis j’envoie tout! Pffou!
Je la gifle de plus belle, elle en redemande, ses seins énormes tressautent à peine. Sur le plan de travail traîne une cuiller en bois avec laquelle je lui frappe la poitrine, elle en veut, elle va en avoir la grosse pute! Je la frappe de temps en temps sur les fesses, — Fais voir sur la chatte, chérie, supplie-t-elleElle a fait tomber sa jupe et roulé son tablier à sa ceinture pour m’offrir son bas ventre.
J’ai le visage en feu, je n’ai jamais baisé comme ça, mais putain! que j’aime ça!  Elle aussi!De temps en temps je glisse une main sur ses lèvres, elles sont bien mouillées, je branle son clito entre deux doigts, il y a de la prise, mais elle préfère la cuiller.— Ouvre bien ta chatte, grosse truie!
J’ai les seins durs à en avoir mal, je suis excitée comme jamais, je vise son bouton, lorsque je le rate, sa chatte étouffe le bruit, et je l’entends gémir. Finalement, elle retient ma main, m’embrasse le cou, le visage. C’est une façon pas banale de s’envoyer en l’air, mais après tout, j’ai apprécié, même si mon clito est bouillant maintenant.— C’était bon, c’était bon, de quoi as tu envie ma chérie? me demande-t-elle à l’oreille— Bouffe moi l’oignon sinon j’explose.A genoux, les fesses à l’air elle me lèche la figue, la fouille, farfouille, trifouille mais ne cafouille pas et elle se pourlèche lorsque je lui crème la langue.
Ca a été une sacrée séance. Je suis un peu penaude de m’être laissée aller comme ça, je n’avais jamais ressenti une telle envie de faire mal. C’est une facette de ma sexualité que je viens de découvrir et qui me laisse perplexe.Mais Irène me rassure et dissipe mes éventuels remords : elle a pris son pied bien plus qu’espéré et espère bien recommencer.— Cet après-midi il y a marché, mais si tu veux demain on peut se voir.Je suis pour, bien sur et nous convenons de nous retrouver dans ma chambrette le lendemain après-midi.
Je profite de l’absence de Madame pour aller tôt au lit et récupérer. Au petit-déjeuner, Irène est moins entreprenante, quand je le lui fais remarquer elle m’avoue craindre que je la méprise et que je regrette notre emballement d’hier.Je la détrompe, lui fais part de ma perplexité mais aussi qu’ayant peu de tabou, je suis bien disposée à découvrir de nouveaux jeux avec elle.
Vers 15h30 elle toque à ma porte, un sac de sport à la main.— Je suis passée au 4ème prendre une douche … dit elle énigmatique, tu es toujours d’accord?Je suppose que le contenu va servir à nos ébats, je suis curieuse de tout, alors, carpe diem!Sans plus traîner, elle me déshabille en me cajolant, en m’embrassant. Sous prétexte de jeu elle me bande les yeux.Puis m’installe à quatre pattes, mains et jambes bien écartées. Elle recommence ses caresses sur mes seins, sur ma chatte et mon cul.Comme la veille elle durcit progressivement ses caresses, mélangeant douceur et douleur légère. La tête sur les draps, le cul offert je me laisse faire quand, après une enième tape sur ma fesse, elle remplace les doigts qui étaient dans mon cul par un objet dur et froid qu’elle enfonce assez profond. Progressivement un liquide tiède me remplit le ventre jusqu’à le distendre.
Mon ventre plein, elle recommence à gifler mes seins et me donne sa chatte à lécher. Je me repais de son jus, reconstituant mentalement les méandres de son sexe. J’aimerais changer de position mais je suis lestée et dois rester en levrette. Pour me récompenser de sa jouissance, elle donne de petites tapes sur mon minou, visant le clito et m’introduit 3, puis 4 doigts. Le liquide balance en moi. Sous la branlée et sous sa conjugaison avec les  tapes je m’effondre quand le plaisir m’inonde…
Elle me laisse reprendre mes esprits et me redresse délicatement en me maintenant le dos et en glissant une cuvette sous mes fesses. Quand le liquide ressort elle me masse tendrement le ventre d’une main en me branlant de l’autre. Je repars au 7ème ciel dans ses bras sous ses bisoux et ses encouragements.
Quand j’ôte le bandeau, elle est passée par la salle de bain et m’observe en souriant, toute contente de son effet. Elle a gardé son tablier de cuisine et est nue dessous. Pour la remercier je le lui ôte et la couche sous moi pour un long 69, mon abdomen pendant encore un peu frotte ses gros seins.
Après une douche bien méritée, nous profitons de notre tranquillité. Ce n’est pas une bavarde, mais je devine qu’elle craignait ma réaction au lavement, je la rassure, certes, je ne le ferais pas tous les jours, mais, tous comptes faits, les côtés déplaisants sont plus que compensés par le plaisir trouble ressenti. Décidément cette maison me plaît!
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