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L'accident de moto

Chapitre 1

Avec plusieurs hommes
L’accident de moto
J’ai toujours été passionné de moto. Mais cette passion a bien failli me couter la vie.Mon histoire s’est déroulée il y a six ans de cela. Alors que je roulais tranquillement sur une route de campagne, un vieux papy de 84 ans a grillé un stop juste devant moi, ne me laissant aucune chance de m’arrêter à temps. J’ai donc percuté sa C5 au niveau du capot, la moto s’encastrant dans l’aile et moi projeté sur la route à plusieurs dizaines de mètres. Résultats ? Mes deux jambes brisées, une main presque broyée, quatre côtes cassées, la rate explosée et un trauma crânien.
J’ai donc passé cinq jours dans le coma, puis deux mois à l’hôpital pour me retaper. A la sortie, je m’estimais tout de même heureux d’être toujours en vie malgré mon corps meurtri et mon esprit encore embrumé. D’ailleurs, je n’avais toujours pas récupéré l’usage de la parole.
Ma vie avait brutalement changé. De jeune homme plein de vie et de fougue, j’étais devenu triste et amer. La période était également difficile pour ma femme Justine qui, après l’angoisse de me voir régulièrement passer sur le billard, devait alors endurer mon mutisme et mon amertume, en plus de devoir me gérer. Cela commençait dès le réveil, pour me porter jusqu’à mon fauteuil roulant, m’aider à aller aux toilettes, me laver, me faire manger, etc.
A 30 ans, au lieu de profiter de la vie ou de gérer sa carrière comme tout le monde, elle était devenue prisonnière de son rôle d’aide-soignante d’un infirme.Nos petites bouffées d’air venaient de mes trois séances de kiné hebdomadaire. Justine n’ayant pas le permis de conduire, c’est le taxi de notre petit village qui nous transportait. Le chauffeur, un jeune homme de 35 ans environ, était génial. Serviable, souriant, curieux de tout, il avait rapidement sympathisé avec nous, avec Justine surtout, vu que je ne parlais toujours pas. Parfois, elle restait à parler avec lui dans le taxi pendant mes séances, pour se confier à une oreille attentive.
Un jour, je dus me rendre dans un établissement spécialisé à Bordeaux, afin de trouver une solution à mon problème vocale. Nous fîmes donc la route avec Romain et nous avons profité des deux heures et demie de trajet pour discuter. Au bout d’un moment, la conversation dévia sur le sexe. Avec humour dans un premier temps puis plus sérieusement, Justine n’étant pas spécialement timide sur le sujet. J’en profitais pour les observer : à chaque fois que Romain se faisait plus indiscret, je le voyais se dandiner bêtement en attendant la réponse de ma douce ; et elle rougir, mais répondre sans gêne et avec une certaine provocation. Je croyais rêver ! J’étais peut-être muet, mais pas mort !!
A force de regards appuyés, ce petit jeu s’arrêta. De toute façon, nous arrivions sur la rocade de Bordeaux, où le trafic dense obligea Romain à se concentrer sur sa conduite. Nous arrivâmes à la clinique, puis nous patientâmes dans la salle d’attente. Le retard du médecin commençant à être exagéré, Romain se retira pour aller se chercher un café. Il regarda alors Justine avec un regard coquin à peine dissimulé, à la suite duquel elle m’indiqua qu’elle souhaitait l’accompagner, arguant qu’il n’y en avait pas pour longtemps.
Quelques secondes après leur départ, ce fut mon tour d’être ausculté. Le médecin passa en revue mes derniers examens, mais conclut au bout de cinq minutes qu’il lui fallait davantage de données pour avoir un avis tranché sur mon cas. Il me raccompagna donc à la porte de son bureau, avec un nouveau rendez-vous pour passer une batterie de nouveaux tests.
En revenant à la salle d’attente, je jetai un bref coup d’œil. Personne. Je partis donc à la recherche de ma femme et de mon chauffeur. Avant de rencontrer le médecin, j’avais juste eu le temps de voir par quel couloir ils étaient partis.
J’empruntais donc celui-ci, mais au bout de quelques mètres, je m’aperçus qu’il était désert. Cette aile devait sûrement être destinée à être rénovée, mais ils n’avaient probablement pas dû avoir le temps d’en condamner l’accès. Je m’apprêtais à faire demi-tour lorsque j’entendis un bruit suspect. Après un bref moment d’hésitation, je souhaitai en avoir le cœur net. Je poussai donc mon fauteuil dans la direction du bruit qui se répétait et se faisait de plus en plus distinct.
Une fois arrivé devant une ancienne chambre, j’ouvris la porte qui n’était pas complètement close. La première chose que je vis fut tout d’abord le manteau de ma chérie posé sur une chaise. Mon cœur s’emballa, il cognait dans ma poitrine à tout rompre. J’avais le souffle coupé, mais je voulais en savoir plus, je voulais TOUT savoir. J’ouvris donc discrètement un peu plus la porte.
La scène devant mes yeux me tétanisait (ce qui pouvait encore l’être ...). Romain était allongé sur le lit, en boxer, ma femme étalée sur lui, en sous-vêtements également. Elle portait mon ensemble préféré : un tanga en dentelle noir et un soutien-gorge assorti presque transparent.
Ils s’embrassaient, se caressaient. Romain baladait ses mains sur la peau douce de Justine, tout comme j’aimais le faire lorsque je le pouvais encore. Elles parcoururent tout son dos, allant de ses reins vers sa nuque où, au passage, il lui dégrafa son soutif, libérant ainsi ses deux superbes seins ronds, fermes et appétissants.
La vue de ce spectacle m’avait anéanti. Le sol se dérobait sous mes pieds (roues ?), mon univers tout entier implosait. Je voulais crier, tout fracasser, mais ... rien. J’étais comme paralysé par cette vision, par la peur de ce que j’allai découvrir, par cette pulsion voyeuriste que je ne sus pas non plus assumer ni réprimer.
Les lèvres de Justine quittèrent celles de son amant pour descendre vers son cou, puis vers son torse aussi musclé qu’imberbe. Il faut dire que le garçon avait de solides arguments ; toute une tablette d’arguments. Elle ne s’arrêta pas en si bon chemin. Elle ôta tout d’abord son boxer, puis se saisit de son sexe (qui en passant était d’une taille tout à fait respectable, quoique ne supportant pas la comparaison avec le mien). Elle commença à le masser tout en douceur pendant qu’elle l’embrassait à la base de son membre. Toutefois, elle ne mit pas longtemps à l’engloutir, presque entièrement, de telle sorte qu’on ne voyait plus que son rouge à lèvres carmin flottait au gré de ses mouvements.
A voir notre chauffeur se cambrer et tenir la tête de ma femme, elle semblait totalement le satisfaire. Il la laissa faire quelques minutes, mais en bon gentleman, il voulut lui rendre la pareille. Il retira dès lors son sexe du confortable cocon où il se trouvait et attrapa Justine par les hanches pour la faire basculer sur le dos. En un rien de temps, son tanga disparut. Jambes écartées, elle lui offrait l’accès à son intimité sur laquelle il se jeta comme un mort de faim. Elle fermait les yeux, gémissant à chaque coup de langue sur son clitoris. Elle s’agrippait aux barreaux du lit médicalisé, sentant le plaisir rayonner dans tout son corps.Je connaissais bien ma femme. Je savais que son plaisir n’était pas feint, mais je savais aussi qu’elle ne s’en satisfaisait pas. Il lui en fallait plus. Elle en voulait plus.Elle posa ses mains sur les joues de Romain et lui fit relever la tête. Elle le fixa dans les yeux et lui dit :
— Ca fait des mois que je n’ai pas fait l’amour. Fais-moi jouir !
Il sortit alors un préservatif de son portefeuille et l’enfila. Alors qu’il s’approchait du sexe de ma femme, elle le stoppa net.
— Non pas comme ça. J’aime mon mari, et ma chatte lui appartient. Mais il n’a jamais voulu essayer la sodomie. Si tu veux me baiser, ce sera par là uniquement.
Sa seule réponse fut un sourire démesuré. Quel homme n’a pas un jour rêvé d’entendre une telle injonction ? A part moi peut-être ...Elle posa donc ses pieds sur les épaules de son amant. Il caressa sa fente abondamment mouillée puis introduisit un doigt dans son anus. Je savais à quel point elle aimait ça et je me demande encore pourquoi je lui avais toujours refusé. Pourtant, il faut avouer qu’elle était belle à crever quand elle prenait son pied. Ses cheveux d’or, sa bouche mordant ses doigts, ses courbes harmonieuses ; tout chez elle me faisait craquer.
Elle gémissait tout doucement et ondulait son bassin au rythme des incursions de Romain. Bientôt, un deuxième doigt entra en elle. Un peu difficilement au début, mais une fois habituée, elle y prit vite goût.
Ne tenant plus, Romain ouvrit un petit étui de lubrifiant vendu avec la capote et se frotta le sexe avec. Il utilisa le surplus sur ses mains pour l’étaler entre les fesses de ma femme, en plus de la lubrification naturelle qui coulait maintenant de son vagin brulant.
Il dirigea son gland devant cette entrée interdite, regarda Justine pour chercher un dernier regard approbateur et enfin, d’un coup de hanche, fit entrer le bout de sa queue dans ma femme. Elle retint un petit cri en même temps que sa respiration. En connaisseur, il patienta dans cette position, laissant le temps au sphincter de s’adapter à son pénis. Quand il la sentit plus à l’aise, il poursuivit la pénétration jusqu’à ce que la moitié de son sexe fût introduit. Justine expira longuement. Il faut dire que mis à part ses doigts et son sex-toy en silicone, rien ne l’avait pénétré depuis des mois, et encore moins par là.
Ma tête était sur le point d’exploser. Je ne savais plus quoi penser. Comment ce si charmant garçon qui m’accompagnait depuis deux mois pouvait baiser ma femme aussi impunément ? J’étais hors de moi et j’aurais tellement voulu pouvoir lui tordre le cou !
Mais j’étais aussi tiraillé par le fait que ma Justine était privée d’une vraie relation de couple depuis mon accident et que, tout naturellement, une femme de cet âge a aussi des besoins et des désirs à combler.
En revanche, une chose à laquelle je ne m’attendais pas, c’était de voir à quel point cette situation continuait de m’exciter. Depuis ma chute de moto, on pouvait dire que c’était le calme plat dans mon pantalon. Mais le spectacle de voir ma si jolie femme prendre enfin son pied me provoqua une érection aussi inattendue que salvatrice.
Après avoir marqué une petite pause, Romain termina ce qu’il avait commencé. Maintenant, tout son sexe était entré. Il embrassa Justine, se retira tout doucement, pour mieux repartir à la charge, tout en contrôle. Ma moitié se décrispait de plus en plus et le plaisir se lisait désormais sur son visage. Elle ferma les yeux pour se concentrer sur ses autres sens, se mordant les lèvres encore plus fort, plantant ses ongles dans la peau et la chair de son jouet humain. Elle pencha la tête sur le côté, rouvrit les yeux et ... son regard se posa sur moi.
Elle avait désormais les paupières grandes ouvertes, mais aucun son n’était sorti de sa bouche. Romain était d’ailleurs à mille lieues de comprendre ce qu’il se tramait. Sans laisser paraitre quoi que ce soit, elle tenta d’analyser ma réaction en lisant l’expression de mon visage. Bien que décontenancée, elle comprit que je n’avais aucune intention de les interrompre. Je remarquais clairement la surprise dans son regard, mais aussi et surtout le soulagement de mon consentement. J’avais en effet abdiqué devant l’évidence : mon impuissance avait poussé mon amour dans les bras d’un autre. Au moins, un mince rayon de soleil transperçait ma détresse : je voyais enfin ma femme s’épanouir.
Rassurée, elle put dès lors se recentrer sur ses sensations si agréables. Son petit trou était si étroit que Romain ne mit pas longtemps à atteindre l’orgasme. Elle avait elle aussi ressenti beaucoup de plaisir, mais elle restait tout de même sur sa faim.
Justine l’invita à se retirer délicatement et lui proposa de se poser à côté d’elle. Dans la foulée, elle se leva et se dirigea vers moi. A ce moment-là, Romain me vit enfin. Il ne savait pas comment réagir ni où se mettre d’ailleurs. Il tenta bien de bafouiller quelques mots, mais devant mon flegme impérial, il demeura en fin de compte bêtement bouche bée.
En voyant mon pantalon déformé sous l’effet du désir retrouvé, ma chérie se mit à genoux devant moi. Avec toute la grâce que je lui connaissais, elle posa les mains sur mon jeans, le déboutonna et le fit descendre jusqu’à mes chevilles. Elle ne put réprimer un sourire sincère à la vue de ce sexe qui lui avait donné tant de plaisir.
Avec tendresse, elle encercla ce cher compagnon de jeu de ses lèvres délicieuses. Sa langue jouait à s’enrouler autour de mon gland, me procurant mes premiers frissons depuis bien trop longtemps. Elle sentit toutes mes émotions ressurgir et s’appliqua à mettre encore davantage de fougue dans ses gestes. J’étais prêt à exploser. Mais Justine me connaissait par cœur. Elle cessa brusquement son activité, me laissant dans le désarroi le plus total.
En fait, elle n’avait pas du tout l’intention de précipiter ce moment qu’elle avait tant attendu. Elle se releva, m’enjamba et vint se positionner juste au-dessus de mon pénis.Elle descendit tout doucement vers lui, le prit dans sa main et le manœuvra pour le guider vers sa petite chatte entièrement épilée dont je raffolais. En une fraction de seconde, j’étais enfin en elle.
Cette sensation à la fois nouvelle et pourtant si familière me transit littéralement. Les longs soupirs expirés par la bouche si sensuelle de Justine me firent penser qu’elle était dans la même extase que moi.
Ses mouvements de bassin se firent de plus en plus rapides. Je sentais son délicieux nectar s’échapper d’elle pour venir m’envelopper tout le bas-ventre. Elle savait exactement où placer mon sexe dans le sien pour jouir. Et il ne lui fallut que quelques minutes pour y parvenir.
Enfin ! Son premier orgasme, profond, puissant, que j’étais le seul à pouvoir lui donner. Son souffle était saccadé, tout comme le mien. Nous restâmes ainsi figés, profitant de l’instant présent, à nous embrasser comme si nous avions 14 ans.
Elle souleva ses fesses en douceur, laissant glisser mon sabre hors de son fourreau. Elle revint se mettre à genoux devant moi, fixant mon membre luisant dressé fièrement devant elle. Cette vue lui provoqua une nouvelle salve de désir.
Elle posa ses deux mains sur mes cuisses et ses lèvres sur mon gland, qu’elle dévora avec gourmandise. Elle garda les yeux fermés pour mieux se concentrer sur ses gestes. L’une de ses mains quitta ma cuisse et se dirigea instinctivement vers sa chatte toujours aussi humide. Elle laissa glisser ses doigts le long de sa fente, s’aventurant de temps à autre à entrer un doigt à l’intérieur.
Un regain de plaisir la parcourut. Je le ressentais directement, les gémissements étouffés dans sa bouche venant faire vibrer ses lèvres sur ma hampe. Ce fut comme une explosion de sensations venant du plus profond de mes entrailles. Je fus incapable de retenir la pression bouillonnante à l’intérieur de moi. Mon jus jaillit en un éclair et remplit entièrement la bouche de ma belle Justine.
Elle ne descendit pas tout de suite en intensité dans ses va-et-vient, me laissant tout le temps de savourer ce moment. Progressivement, elle interrompit son mouvement, serrant aussi fort qu’elle le put mon sexe entre ses lèvres, pour être sûre de ne pas en perdre une goutte.
Nous prîmes quelques instants pour recouvrer nos esprits. Dans le feu de l’action, nous avions même totalement oublié la présence de notre chauffeur. Mais vu la situation, je le voyais mal venir se plaindre de son sort. C’est donc en silence (j’avais l’habitude) que nous nous sommes rhabillés. Puis nous avons repris la route, dans cette Ambiance toujours aussi monastique, tous bien conscients du moment des plus gênants que nous venions de vivre.
Par la suite, Justine et moi avons fait le point sur notre vie amoureuse et sexuelle. Autant dire que c’est déjà une épreuve en soi pour un couple lambda, donc imaginez un peu lorsqu’on est muet !
J’ai notamment profité dans cette expérience pour me remettre en questions, faisant valser mes prétendus principes sur mes désirs et ceux de Justine. Je m’autorisais même à découvrir les plaisirs du sexe anal. Je dus avouer que dès lors, j’y ai pris plus goût que je ne l’imaginais au point qu’un jour, cela m’avait fait jouir tellement fort que je lâchai un puissant râle de plaisir. Ainsi retrouvai-je ma voix !
En revanche, nous n’avons plus jamais revu Romain. Prétextant une incompatibilité d’emploi du temps, il mit fin à notre collaboration. A la place, il nous envoya une de ses consœurs, une charmante femme d’une quarantaine d’années, très raffinée et élégante.
Mais ça, c’est une autre histoire...Ange Cestin
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