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Accident de moto

Chapitre 1

L'hopitâl

Erotique
Cette nouvelle histoire est la suite de "Ma belle-sœur Christine"
En rentrant de chez Christine après avoir vécu tout cela, j’étais sur la route du retour sur ma moto.Le temps était magnifique, ça faisait beaucoup de bien de sentir ce vent sur mon visage, visière ouverte.Je pensais sans cesse au corps de Christine, j’étais obsédé par ses seins, son fessier, sa chatte, son jus ...Dans mes rêves, je n’étais plus concentré sur la route et je finis par perdre le contrôle de mon deux-roues pour finir dans les champs.Je fus rapidement pris en charge et je me retrouvais sur un lit d’hôpital, plâtré des deux jambes et des deux bras. Me voilà bien, j’avais perdu toute mon autonomie.Mon frère et ma belle-sœur, qui travaillaient dans cet hôpital, ayant été informés de mon accident sont rapidement venus me rendre visite. Après les échanges sur mon état qui n’était pas si grave, nous nous détendions et commencions à dérouter notre conversation pour parler de tout et de rien. Mon frère lança le sujet de ce que nous avions fait avec Christine. Eh oui, je savais maintenant que tout était transparent entre eux et qu’elle avait eu le temps de raconter les grandes lignes de nos ébats.
— Dommage, tu ne pourras plus toucher ma femme, commença-t-il avec un large sourire.
Je savais que c’était vraiment de l’humour et que c’était pour m’informer clairement qu’il savait déjà tout.
— Oh oui dommage, ça va me manquer, ajouta Christine. Mais ça laissera le temps à nos corps de reprendre leur souffle.
Ces premières phrases de mes deux visiteurs me replongeaient automatiquement dans mes pensées qui avaient causé cet accident. Évidemment, je sentais mon sexe se gonfler. A ce moment, une infirmière rentrait dans ma chambre pour les soins et les invitait à sortir.Sans précaution, elle soulevait mon drap pour entamer une toilette, voyant mon sexe bien gros, elle me jetait un regard avec un petit sourire. J’étais gêné et m’excusais de cette situation.
— Vous savez, j’ai l’habitude, c’est quelquefois difficile de se contenir cela, me dit-elle pour me rassurer.— J’espère que cela ne va pas gêner pour faire votre travail.— Non ça ira, en plus, ça risque de ne pas s’améliorer quand je vais le toucher.
C’était une très belle femme, le fantasme de l’infirmière nue sous sa blouse n’arrangeait rien.J’essayais de discuter avec elle pour sortir mes pensées de cette accumulation d’érotisme.
— Vous êtes ici depuis longtemps ?— Non, je suis arrivée depuis 5 mois seulement, je viens de finir mes études d’aide-soignante et j’espère entrer bientôt à l’école d’infirmière.— Je vous croyais infirmière, vous êtes jeune ?— Oui, j’ai 19 ans.— Vous vous appelez comment ?— Justine, et vous ?— Bruno.
Pendant que nous faisions connaissance, elle avait terminé de me nettoyer le visage, mon torse et mes pieds, les seules parties de mon corps encore visibles. Je la regardais et essayais de distinguer sa morphologie, je ne ratais pas une occasion pour épier ses mouvements en espérant en voir plus que sa blouse fermée sagement me permettait de voir.Elle était blonde, aux yeux clairs, assez grande, svelte, un certain charme émane d’elle. Un sourire éclairait toujours son visage.Je distinguais à certains moments dans le reflet de la lumière qu’elle ne portait que des sous-vêtements en dessous de sa blouse. Je pariais sur une poitrine d’un généreux 90C tenue. Je pouvais deviner un soutien-gorge blanc qui semblait très simple et une culotte identique.
Elle finit par attraper mon gourdin bien dressé, même s’il n’était pas totalement tendu. Elle tirait sur la peau pour le décalotter, j’ai eu à ce moment un gémissement de plaisir et je fermais les yeux. Je sentais sa main chaude l’entourer et elle se mit à le nettoyer professionnellement. Elle s’est tournée vers moi et me demanda :
— Désolée, mais dans cet état, je ne peux pas faire mieux, j’espère que je ne vous fais pas mal.— J’ai honte, mais je n’ai pas mal, c’est même très agréable.
Elle ne répondait pas, je pense qu’elle voulait éviter de sortir du périmètre de son activité. Lavé et séché, elle remettait le drap sur moi, vérifiait ma perfusion et sortait en me disant avec un grand sourire :
— A bientôt, et essayez de vous calmer.— Pas si simple à maîtriser, surtout avec une jolie infirmière comme vous, m’amusais-je.
Elle rougissait et sortait de la chambre, puis laissait revenir mon frère et ma belle-sœur.
— Tu as une belle tente, se moquait Christine en voyant mon gourdin droit comme un I.— Oui, j’avais un peu honte qu’elle soit obligée de me laver dans cet état. Mais c’était super agréable, en plus d’être douce, elle est super mignonne, répondis-je.— Bon tu ne vas pas le laisser comme ça, dit mon frère en s’adressant à sa femme. Tu n’as plus qu’à le vider proprement.— Tu veux que je le branle ici ? interrogea-t-elle.— Pour éviter d’en mettre partout, le mieux serait que tu le suces et n’en laisses aucune goutte, tu aimes ça.
Elle se tourna vers moi, rouge comme une pivoine d’excitation, et me demandait :
— Qu’en penses-tu ? Tu veux que je te soulage ?— Tu penses qu’on peut faire ça discrètement ?— Ne t’inquiète pas, dit mon frère, je me mets à la porte pour vous laisser le temps de réagir au cas où.
Sans réfléchir plus, Christine lève le drap, attrape ma queue à pleine main et la prit dans sa bouche jusqu’au plus profond de sa gorge. Elle joua avec sa langue et en quelques aller-retour, j’éjaculais dans sa bouche. Elle n’en laissait échapper la moindre goutte comme prévu et nettoya consciencieusement avec sa langue. Enfin soulagé, je retrouvais une situation plus adaptée.
— Merci beaucoup Christine, je ne sais pas ce que j’aurai fait sans toi, impossible de me masturber avec ces plâtres. J’ai peur pour les jours à venir.— Pas de stress, nous viendrons te voir tous les jours, soit tous les deux, soit toute seule. A chaque fois que nécessaire, je te viderai les couilles, dit-elle tranquillement pendant que mon frère acquiesçait.— C’est très gentil, mais je suis frustré de ne pas pouvoir bouger, je ne pourrai même pas te toucher, en plus à l’hôpital, difficile de te mettre à poil, te voir va aussi me manquait.— N’y pense pas, je vais réfléchir à tout ça et trouver la solution. En attendant, tu auras toujours le loisir de mater ton aide-soignante.
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