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Accident de moto

Chapitre 2

Justine

Erotique
Plusieurs jours passaient sans que j’aie le plaisir de revoir Justine venir me faire la toilette. Je n’avais pas le moral, on m’avait appris que je devrais rester trois semaines avec ces plâtres qui m’empêcheront de faire quoi que ce soit. Je n’avais pas bandé depuis le jour où Christine m’avait délicieusement sucé et vidé. Je n’ai eu que des infirmières qui ne donnaient pas envie à mon bâton de se mettre debout.Bien sûr, les parents passaient beaucoup de temps avec moi, Christine passait tous les jours, mais impossible de me branler, beaucoup de passage dans le couloir. J’avais du mal à oublier Justine entrevue trop peu de temps à mon goût.Un soir, je fus surpris de voir Christine passer me voir, elle portait une blouse qui n’était pas habituelle. Après un dialogue sur tout et rien, elle se leva et me dit :
— Je vois que tu commences à déprimer, je t’ai préparé une surprise.
Elle se leva et ouvrit brusquement sa blouse ; oh elle était nue dessous. Je compris pourquoi elle avait choisi cette blouse qui n’était pas du tout transparente. Je me sentais revivre, qu’elle était belle avec ses seins d’une rondeur parfaite, son ventre plat et musclé, son sexe poilu que j’aimais tant.
— Ne bouge pas je vais te soulager, je n’en espérais pas tant.
Sans enlever le drap, elle retroussa ma chemise d’hôpital et plia une serviette sur mon sexe puis commença la branlette tout en approchant ses seins de ma bouche pour que je puisse les embrasser. Avec un tel érotisme, j’explosais rapidement. Ce fut puissant et excellent pour mon moral.Ma nuit fut peuplée de rêves érotiques, Justine et Christine se mélangeaient, je les voyais nues. Le corps de Justine était le même que celui de Christine, le seul que j’avais en mémoire aujourd’hui.
Au bout de quatre jours, la porte s’ouvrit et je retrouvais le sourire en voyant Justine rentrer.
— Justine, je suis content de vous voir, je croyais que l’évènement de l’autre jour vous avait tellement gênée que vous ne souhaitiez plus venir vous occuper de moi.— Mais non, j’étais en repos, répondit-elle, et l’évènement comme vous dites ne m’a pas du tout gênée, c’est normal ces réactions.— Je dois vous dire que depuis tout ce temps, je n’en ai eu aucune de semblable.— Vous semblez regretter ?— Un peu, c’était loin d’être désagréable, le pire a été quand vous êtes partis, dis-je en faisant la moue, je n’allais bien sûr pas lui dire que j’avais été soulagé. Je voulais qu’elle croie que j’étais resté sur ma faim.— Que dois-je comprendre ? me dit-elle avec un œil coquin.— Je peux être franc avec vous ?— Allez-y.— J’ai appris que j’allais rester ici plâtré trois semaines. Je ne sais pas comment je vais tenir pour cela. Je la regardais pour m’assurer qu’elle comprenne de quoi je voulais parler.— Je comprends, ce n’est pas évident.
— En plus avec une aide-soignante aussi belle que vous, la souffrance est double.— Merci c’est gentil, vous êtes en train de me charmer pour obtenir quelque chose vous.— Si j’osais oui en effet.— Osez osez, je suis une grande fille et prête à tout entendre.
Sa réponse me semblait comme une porte qu’elle ouvrait, mais je décidais de prendre beaucoup de précautions et ne pas la brusquer.Je me taisais donc pendant qu’elle préparait et qu’elle commençait à me laver. Je suivais tous ses mouvements et épiais le moindre cm de peau que je pouvais voir. Dans l’action, elle se penchait plus que d’habitude. Je n’ai bien sûr pas pu m’empêcher de perdre mon regard dans son décolleté. C’est là que j’ai vu la belle surprise, elle n’avait pas mis de soutien-gorge, je pouvais voir le creux de ses seins et ne rencontrais à aucun moment un morceau de tissu. Sans m’en apercevoir, mon sexe s’était naturellement réveillé et commençait à se redresser.Je relevais la tête pour la regarder et je compris dans son sourire très coquin que ce décolleté m’était destiné.
— Je vous remercie, me décidais-je à dire.— Merci de quoi, me répondit-elle avec un clin d’œil qui en disait tellement.— Merci d’avoir de me laisser entrevoir le joli corps qui se cache derrière cette blouse, merci de la douceur de vos mains.— Pourquoi êtes-vous aussi sympa ?— Parce que tu es jeune (on a presque le même âge) tu es gentil, pas difficile, tu ne râles jamais... Tu sais dans les situations comme la tienne, beaucoup sont exigeants et nous considèrent comme leurs esclaves.— Oui j’ai senti que j’avais affaire à un jeune homme qui avait un besoin particulier la première fois, j’ai donc fait ce qu’il fallait.
Comme elle me tutoyait, j’en fis autant.
— Toi aussi tu es gentille, ça me fait du bien et me remonte le moral de savoir que je vais bien être accompagné pendant ce séjour hospitalier. Dommage que tu ne puisses pas être présente tous les jours.— Oui, mais j’ai quand même le droit à des jours de repos non ?— Bien sûr je plaisante, mais je suis tombé sous ton charme dès que je t’ai vue. Aujourd’hui, j’ai même remarqué que ta tenue avait changé,— Ah bon ? Et tu as vu quoi de changé ?— Par exemple la dernière fois, tu avais juste des sous-vêtements blanc classique, mais là, je sais que tu n’as pas de soutien-gorge, tu sembles avoir des seins magnifiques.
Elle ne répondit pas, mais j’ai senti que je l’avais touchée en disant cela, était-elle gênée ? était-elle excitée ? J’aimais penser que c’était la deuxième solution.
— Tu es entièrement nue en dessous ? insistais-je.— Tu es bien curieux, je te rappelle que tu es les trois semaines, je vais te faire découvrir au fur et à mesure et si tu es sage, tu auras un traitement spécial quand je serai de garde seule le week-end.
Mon cerveau se mit à faire un calcul rapide, nous étions vendredi, elle rentrait de repos, donc logiquement, elle serait présente samedi et dimanche. Je m’en réjouissais d’avance et elle sortit de ma chambre.
Le lendemain, comme espéré, c’est bien elle qui entrait de nouveau.
— Comment va mon grand malade aujourd’hui ?— Je n’ai pas arrêté de penser à toi, regarde dans quel état je suis encore, j’ai besoin de soin, mon aide-soin préférée !— J’ai un rêve, ajoutais-je.— Ah bon ! dis-moi,— Je ne sais pas si je peux.— Ne fais pas ton timide, dis-moi.— A condition que tu me promettes de ne pas te fâcher et que, même si tu n’es pas d’accord, tu continueras à t’occuper de moi.— ouh lala, qu’est-ce que ça va être ? dit-elle en rigolant. (J’aimais son sourire mi narquois, mi-enjôleur). — Allez vas-y.— Je voudrais que tu te mettes entièrement nue pour me faire ma toilette, je voudrais tellement découvrir le reste de ton corps, bref je voudrais tellement de choses avec toi que mon esprit est extrêmement échauffé.— Impossible quelqu’un pourrait rentrer, j’ai déjà pris beaucoup de risques hier en en enlevant mon soutien-gorge.
Un long silence s’installait pendant qu’elle préparait tout son matériel puis elle reprit :
— J’ai fait du naturisme avec mes parents jusqu’à mes 12/13ans. Lorsque mon corps a commencé à changer, je n’ai plus voulu en faire, ces trucs qui poussaient, mes seins, mes poils au sexe, etc. m’ont rendue complexée, mais je commence à aller un peu mieux.
Je voyais que c’était dur pour elle de me faire cet aveu, mais j’étais ravi de la confiance qu’elle mettait en moi, ça laissait présager qu’elle était prête à se confier à moi. Elle ajouta.
— Depuis personne ne m’a vue toute nue, je n’ai jamais eu de relation avec un garçon, juste des amourettes.— Et pourtant hier tu es restée seins nus sous ta blouse,— Oui j’en avais envie, ton regard sur moi me rassurait. Je me suis sentie belle à tes yeux, cela m’a détendue. — Je suis triste qu’une jolie fille comme toi avec un corps aussi attirant n’ait pas encore connu de plaisir sexuel.— Je ne t’ai jamais dit cela, rétorqua-t-elle piquée, je n’ai jamais eu de rapport avec un garçon, mais le plaisir sexuel je connais, je peux même dire que je me connais assez bien sur ce sujet.— Ah ouais, raconte-moi, — Tu devras attendre pour cela, on vient à peine de se connaître, je ne suis pas encore prête à m’ouvrir ainsi.
Un long silence s’installait pendant qu’elle préparait tout son matériel.Je voulais lui dire qu’elle était super belle... mais je gardais bouche close. A ma grande satisfaction, elle revient sur ma demande tout naturellement.
— Il n’y a qu’un seul jour où je pourrais te faire ce plaisir si l’envie m’en venait et surtout si je m’en sens capable, c’est le dimanche, je suis toute seule.— Demain alors ?— Peut-être, ça dépendra de mon humeur, de mes envies et de toi.— Moi, qu’est-ce que je dois faire pour t’aider à prendre la décision ?— J’aimerais tellement pouvoir t’arracher les boutons et ouvrir grand cette blouse.
Elle éclata de rire :
— oh doucement gamin, il faudra attendre encore un peu.
Il était temps de finir son travail et elle décalottait mon gourdin, prit son gant rempli de savon avec sa main gauche et entreprit de le nettoyer en douceur presque affectueusement.Ma toilette terminée, je ne revis pas Justine de la journée.J’étais béni des dieux : Christine d’abord qui m’a déniaisé et maintenant Justine si belle, si gentille si si.....
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