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Un accident, une nuit

Chapitre 5

Hétéro
Une nouvelle matinée, à l’hôpital. Yann doit encore rester couché, mais il se sent beaucoup mieux depuis qu’il a retrouvé l’usage de ses mains. Il a pu prendre son temps pour déjeuner tout seul, sans aucune aide, et maintenant, il attend la visite de Béatrice. Il repense à sa bouche si douce autour de son sexe, à sa langue qui sait si bien tourbillonner autour de son gland pour lui donner du plaisir. Et il a hâte lui aussi de mieux la connaître, de découvrir ce corps qu’il a envie de caresser, d’embrasser... de posséder.
Et justement, la porte de sa chambre s’ouvre pour laisser le passage à sa belle infirmière. Un franc sourire illumine son visage, ses yeux pétillent. Il la dévore du regard pendant qu’elle parcourt les quelques mètres qui séparent la porte de son lit. Toujours aussi charmante, la blouse bien tendue par sa poitrine. Cette blouse n’est pas transparente, mais les pointes de ses seins se dessinent bien sous le tissu.
Est-elle nue dessous ? Yann imagine déjà ses mains parcourant son corps... Elle s’approche de lui, vient poser ses lèvres sur les siennes, un peu plus longuement que les autres jours. Yann ferme les yeux, apprécie la douceur et la fraîcheur de ce léger baiser. Déjà, il ressent une douce chaleur dans son bas-ventre.
— Bien... on va faire travailler un peu ces jolies mains...— Tu crois que te caresser serait un bon exercice ?— Petit coquin... tu ne penses qu’à cela !
Elle lui prend la main droite.
— Il faut d’abord que je m’assure de la souplesse de ton poignet, mais... ensuite... si tu souhaites me caresser... je crois que je me laisserai faire !
Elle s’occupe de son poignet, lui fait bien bouger et étirer tous ses doigts. Et puis elle soulève le drap.
— On va joindre l’utile à l’agréable !
Elle lui prend la main, vient la refermer sur son sexe déjà bien tendu.
— Ouvre et ferme tes doigts dessus, en suivant la cadence de ma main.
Il sent ses deux mains qui viennent encercler son sexe, il sent surtout les doigts de Béatrice qui jouent avec son gland. Il est bien, très bien même, sentant le plaisir monter tout doucement en lui sous les douces caresses de l’infirmière. De temps en temps, elle desserre sa main, sans lâcher celle de Yann et vient poser ses lèvres sur le dessus de son gland qu’elle sent tressaillir sous ses lèvres. Elle fait ensuite la même chose avec son autre main puis lui demande de retirer sa main à lui tandis qu’elle continue de le masturber lentement. Elle joue avec lui, l’amenant au seuil du plaisir suprême, mais laisse retomber la pression quand elle voit qu’il est proche de se rendre.
— C’est bien... on va passer à autre chose.
Elle s’assoit sur la chaise qui est proche du lit, penche le buste vers lui tout en dégrafant les deux boutons du haut de sa blouse. Comme il l’avait pressenti, elle est nue en dessous, du moins, ne porte pas de soutien-gorge, et ses deux seins, magnifiques, aux larges aréoles et aux tétons qui commencent à pointer sont proches de lui.
— Viens caresser mes seins... et joue de tes doigts avec les pointes... cela te fera un excellent exercice d’assouplissement.
Avec ravissement, il pose une main sur son sein droit qu’il sent bien ferme sous ses doigts. Il le caresse longuement, l’enveloppant bien avec la paume de sa main, jusqu’à ce qu’il sente que la tension commence à monter en elle. Alors ses doigts viennent jouer avec les petites pointes qui roulent sous ses doigts, ne tardant pas à doubler de volume...
— Oui... continue... ton autre main... l’autre sein...
Il a bientôt une jolie poitrine pointée devant lui, offerte.
— Approche-toi un peu plus.
Elle se soulève un peu, jusqu’à ce que ses seins soient au contact de la bouche de Yann qui continue, des lèvres le travail de ses mains. En même temps, il vient poser la main qui est du côté où est Béatrice, sur ses cuisses. La blouse s’est légèrement remontée, il sent sous ses doigts la chair nue et frissonnante. Béatrice défait un ou deux boutons, que ses mains soient plus libres, qu’elles puissent bien s’aventurer vers son intimité... il caresse doucement le haut de ses cuisses, sent leur chaleur, devine son envie...
Elle ne porte pas non plus de petite culotte, pas même un string... il sent bientôt l’humidité de ses lèvres intimes, sa cyprine qui commence à couler. Son majeur tendu sent rapidement sa fente toute chaude et humide, il s’insère entre ses lèvres, prend possession de son vagin. Elle se soulève encore un peu, avance son bassin, qu’il puisse mieux la pénétrer, elle le laisse aller et venir en elle, de plus en plus frissonnante, de plus en plus trempée...
Mais elle s’éloigne bientôt...
— Non... non, arrête... je t’en supplie... arrête, je vais jouir... et je suis trop... trop bruyante...
L’envie de la faire jouir est vraiment très forte, mais il cesse lentement d’aller et venir en elle, la laisse se calmer, reprendre ses esprits.
— J’aurais pourtant beaucoup aimé te faire jouir...— Oui... moi aussi, tu sais... j’aurais aimé jouir sous tes caresses. Mais pas ainsi, je ne veux pas ameuter tout le monde, je veux profiter pleinement de ces instants seuls avec toi. Mais je te promets que bientôt, tu pourras me faire jouir ! Mais par contre... tu m’as bien excitée, et maintenant, moi, je vais te faire jouir.
Et il sent bientôt les douces lèvres de Béatrice qui emprisonnent son gland, sa langue qui descend tout du long de son sexe. Ses lèvres sont toujours aussi expertes, ses joues se creusent pour mieux le pomper, mieux le faire venir et il ne peut résister longtemps à un tel traitement. De longs jets viennent bientôt tapisser le palais de Béatrice. Elle avale tout son sperme avec un petit gloussement de plaisir et sa langue reste bien sur lui pour nettoyer tout son gland.Et puis sa bouche le quitte, elle rabat le drap sur lui.
— J’aime ton odeur, j’aime ta fougue, j’aime ton sperme. Il me tarde de le sentir sur moi, sur mes seins, sur mon ventre. Et puis en moi aussi, je veux sentir le fruit de ton plaisir emplir mon ventre.— Et moi, Béatrice, j’adore tes caresses, tes lèvres me rendent dingue, tu me fais jouir d’une manière inouïe, et il me tarde de venir me perdre au plus profond de toi. Mais j’ai promis à Sylvie de ne pas le faire tant qu’elle n’est pas présente. Elle désire nous voir faire l’amour tous les deux... et je suis certain qu’elle ne serait pas contre de te donner aussi un peu de plaisir, et qu’elle apprécierait beaucoup que tu lui en donnes aussi. Cela ne te dérange pas ?— Non, pas du tout. J’aime que l’on me regarde donner du plaisir à un homme... et j’aime aussi beaucoup les douces caresses entre femmes ! — Sylvie est pareille... vous devriez bien vous entendre toutes les deux.— Je la trouve très belle ! Quand revient-elle ?— Elle sera là pour le week-end.— Parfait ! La semaine prochaine, je suis de nuit, et cela en même temps qu’une collègue avec qui je m’entends très bien. Alors je devrais pouvoir trouver du temps, s’il n’y a pas d’urgences. Et puis, tu sais, elle peut demander à rester une nuit auprès de toi.
Pour une nuit, cela est permis.Dans la soirée, il appelle Sylvie, lui raconte sa journée avec sa belle infirmière, n’omettant pas un détail.Il l’entend gémir en se caressant quand il lui parle des tendres caresses que Béatrice lui a prodiguées.
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