Tous les matins de cette semaine, Béatrice passe voir Yann et lui fait travailler la souplesse de ses doigts et de ses poignets. Parfois très prise par son service, elle ne peut s’éterniser avec lui, mais parfois elle dispose d’un peu plus de temps, comme ce jeudi où elle invite Yann à travailler la souplesse de ses articulations en venant lui caresser le minou. Elle est nue sous sa blouse, et elle mouille déjà rien qu’à l’idée de ses longs doigts qui vont enfin pouvoir jouer avec son intimité. Elle relève elle-même les pans de sa blouse, dévoilant aux yeux de Yann un sexe tout épilé, légèrement bombé, et dont les lèvres gonflées luisent déjà de rosée, ne demandant qu’à être caressées. C’est la première fois qu’elle s’offre ainsi à lui et, émerveillé, découvrant enfin ce trésor auquel il a tant rêvé, Yann commence doucement à lui caresser l’intérieur des cuisses, se rapprochant inexorablement de ce sexe qui comme un aimant l’attire. Sous sa caresse, Béatrice ondule légèrement du bassin, venant ainsi se frotter plus intimement encore contre la main de Yann. Enfin, ses longs doigts sont sur sa fente qu’il parcourt doucement, longuement, de bas en haut, avant que son index glisse entre ses lèvres, bientôt suivi d’un second doigt. Béatrice est tellement lubrifiée qu’un léger clapotis se fait entendre lorsque les doigts de Yann tournent en tous sens à l’intérieur de son vagin. Elle commence alors à gémir... mais sans pour autant perdre le fil de ses envies. — En même temps, tu peux travailler la souplesse de ton pouce... en venant caresser mon petit bouton d’Amour... Lorsqu’elle sent le pouce de Yann contourner puis presser son clitoris qu’elle devine bien tendu, elle se penche vers lui et vient prendre ses lèvres pour étouffer le grand cri de plaisir qui s’échappe de ses lèvres.Sa cyprine inonde la main de Yann.Quand sa respiration a repris un rythme plus normal, elle prend alors le sexe de Yann dans sa bouche et, creusant les joues pour bien le pomper, tout en le caressant lorsqu’il n’est pas entièrement en elle, elle l’amène rapidement aux portes du plaisir. — Pour moi, tu as récupéré toute ta souplesse, dans les deux poignets. Demain, je passerai avec le docteur en chef qu’il puisse juger par lui-même. Je ferai la tournée de toutes les chambres avec lui et ne pourrai donc pas te consacrer plus de temps, mais comme deux malades de l’étage doivent partir demain, je crois que vendredi, nous aurons un peu plus de temps pour nous. Et après une dernière caresse, elle se dirige vers la porte de la chambre. Le lendemain en effet, Béatrice n’est pas seule, et le praticien est content des progrès de Yann. — C’est bien, votre infirmière a fait du bon travail avec vous. On va vous laisser tranquille jusqu’à lundi, et nous nous occuperons alors de vos membres inférieurs. En entendant les mots « membres inférieurs », il voit Béatrice sourire, et avant de quitter la pièce, elle lui murmure : — Et moi d’ici là, je m’occuperai du membre intermédiaire ! Le vendredi, en effet, Béatrice arrive avec un grand sourire, lui disant qu’elle vient le voir pendant sa pause, et qu’ensuite, elle s’est arrangée avec sa collègue pour avoir un peu de temps devant elle. Ils échangent un tendre baiser, puis Béatrice remonte un peu sa blouse, découvrant ainsi son sexe. Elle y glisse bientôt deux de ses doigts, fait avec quelques allers-retours, puis les retire tout gluant de son jus intime avant de les approcher de la bouche de Yann qui s’empresse de les sucer. — Tu n’aimerais pas venir prendre cette liqueur directement à sa source ? Et elle s’approche encore davantage du lit, tandis que Yann se laisse glisser en s’allongeant bien et en se tournant de son côté. Son minou est à hauteur de la tête de Yann et de ses doigts, elle écarte légèrement ses grandes lèvres, il a une magnifique vue sur l’ouverture bien rose de son vagin déjà tout enduit de sa mouille. Yann se rapproche encore et sa langue tendue, dardée, vient toucher le sexe de son amante. Béatrice place alors une de ses mains derrière la nuque de Yann pour que sa bouche prenne bien possession de ce fruit bien mûr qu’elle sent plein de sève. Yann a la bouche collée contre elle et sa langue vient d’abord lécher toute sa fente, du bas jusqu’en haut, à plusieurs reprises, puis sa langue s’insinue entre les parois de son vagin, les caressant avec volupté, descendant de plus en plus au creux de son intimité. S’éloignant légèrement, sa langue vient ensuite trouver son petit bouton sensible, tournoie autour, s’arrêtant parfois dessus, le décapsulant et le faisant venir entre ses lèvres comme un mini-pénis. Il sent bientôt que Béatrice commence à trembler, et il alterne ensuite caresses au fond de son vagin et sur son clitoris. Ses lèvres, sa bouche sont pleines du plaisir de Béatrice, et lorsqu’elle sent qu’elle va se rendre, elle prend rapidement une des mains de Yann qu’elle porte à sa bouche pour étouffer ses cris de jouissance. Après avoir joui, elle déboutonne sa blouse et vient de ses deux seins emprisonner le sexe de Yann qu’elle commence ainsi à caresser, recevant bientôt sur sa poitrine tout le plaisir de son amant. — Tout ce que tu me donnes ! C’est trop bon ! J’aime recevoir ainsi ton sperme, j’aimerais le garder sur moi... mais je ne peux travailler ainsi... Elle prend une petite serviette en papier dans la poche de sa blouse, s’essuie avant d’aller faire un tour dans la petite salle de bain où il entend bientôt l’eau couler. — Eh bien... tu m’as donné des couleurs... mais... ce que c’était bon !— Moi aussi, tu sais... j’ai beaucoup aimé... et j’ai beaucoup joui.— Bien. Je suis donc absente ce week-end, je ne reviens que lundi soir. Décide ton amie à rester dans la nuit de lundi à mardi, et nous ferons plus ample connaissance...
