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Un accueil épicé

Chapitre unique

Hétéro
Après deux heures de route j’arrive enfin. Nous sommes en février, il fait beau et la vue sur la montagne est superbe. Ça change de la pluie et du brouillard que j’avais ce matin en partant de chez moi.
A peine ma voiture garée dans la cour que mon téléphone émet un bip me signalant un message WhatsApp.« Bienvenue. Rentre, pose tes affaires sur la chaise à ta gauche, enlève le haut et mets le masque sur tes yeux, j’arrive » Bon, ben on ne va pas perdre de temps ! c’est cool !
Je fais comme il m’a dit. Je le connais parfaitement mais je suis quand même un peu intimidée par cette mise en scène, je n’y suis pas habituée. Je rentre donc dans le chalet, pose mon sac, enlève mes chaussures, mon pull et mon tee-shirt (je n’ai jamais de soutif, mes mini seins n’en ont pas besoin), et me retrouve en jeans.
Je ne le vois pas. Je sais qu’il est là, je me doute qu’il est juste à côté, mais il ne dit rien. Je mets le masque sur mes yeux. Un masque tout simple comme ceux qu’on nous donne dans les avions pour pouvoir dormir. A travers, je ne distingue que les sources de lumière. Et puis je crie :« ça y est je suis prête mais par contre, j’ai super envie de faire pipi ». Il rigole. J’ai l’art de pas être dans le mouv’ quand il le faudrait, surtout si je suis un peu stressée.
Il est devant moi. J’ai vu son ombre passer devant la lumière de la fenêtre. J’ai les seins déjà tout tendus, faut dire qu’il ne fait pas chaud dans l’entrée, mais je doute que ça en soit la raison…il me prend par la main et m’emmène au chaud, à côté du poêle.
On est debout l’un en face de l’autre. Il fait 35 cm de plus que moi, même les yeux bandés je sens qu’il me domine largement.« Miam ! c’est joli tout ça » me dit-il. Il vient me déposer un baisé sur les lèvres puis glisse dans mon cou. Effet chair de poule instantané. Sa main m’attrape le sein gauche, qui parait encore plus minuscule dans sa grande paluche, et après l’avoir caressé quelques secondes, il saisit le téton entre ses doigts et pendant qu’il enfonce sa langue dans ma bouche, il me le pince et le fait tourner entre ses doigts. Mon ventre chauffe à mesure que cette petite douleur aigue s’amplifie. Le sein droit est jaloux, mais il est bientôt pris en charge par sa bouche qui a abandonné la mienne. Il alterne d’un sein à l’autre suçant l’un pendant qu’il pince l’autre.L’excitation monte, je sens que je commence à bien mouiller ma culotte. Il tire de plus en plus fort sur mes seins, et cette douleur m’électrise de plus en plus…. Mes mains le touchent. Il est habillé. Je sens à la bosse de son pantalon qu’il est lui aussi très motivé. Je le caresse à travers l’étoffe.
Et puis d’un coup, il s’écarte.Il entreprend de me déshabiller complètement, c’est vite fait : il ne reste que le pantalon et la culotte. Il me reprend alors par la main et m’emmène un peu plus loin.Il me fait assoir au bord de ce que je sais être le canapé car je connais la maison et me pousse pour que je me retrouve allongée, les pieds posés à plat sur le sol. Il me place les mains au-dessus de la tête, m’écarte les genoux et m’intime l’ordre de ne pas bouger. Sa voix a changé. Il est le maitre du jeu.
Je distingue son ombre partir. Je me sens un peu honteuse à m’imaginer comme ça, nue, cuisses écartées au milieu de son salon.
Il revient qq second après. « Alors qu’est-ce que tu m’as amené ? hum, intéressant »Je l’entends qui fouille mon sac.Il m’avait en effet demandé d’apporter quelques jouets de mon choix. J’ai évidemment amené le plug qu’il m’a offert pour Noel, ainsi qu’un vibro et des pinces à seins. Je me retrouve donc immédiatement avec les pinces. La morsure n’est pas trop violente, mais elle me fait quand même baisser les bras de surprise. Il m’empoigne alors fermement les poignets et les replace en me disant sévèrement« pas bouger !»
Je le sens s’installer à ma droite. Quelque chose vient glisser sur ma peau. Je ne sais pas ce que c’est. Ça chatouille un peu. C’est assez long, souple. Ce n’est pas froid. Il le fait glisser quelques secondes sur mon ventre, l’intérieur de mes cuisses, effleure mon sexe…et vlan ! un coup sec sur la chatte. « Écarte tes cuisses j’ai dit ». Mmmm, c’est cuisant mais c’est bon. J’ai reconnu une cravache...
Il continue à promener le bout en cuir sur mon corps et à me mettre par surprise de petits coups secs un peu partout. Le ventre, les seins, l’intérieur des cuisses, le sexe… Ça ne fait pas vraiment mal : une brûlure subite qui passe en quelques secondes mais ça m’excite terriblement. Mon corps se tend à chaque gifle du cuir et je sursaute, ce qui me vaut des réprimandes car j’ai tendance inconsciemment à bouger. Dans ces cas là deux petits coups secs sur l’intérieur de la cuisse ou sur le bras m’ordonnent de me remettre en position.
Je ne peux toujours rien voir, je ne sais pas quand ça va tomber, je suis donc totalement concentrée sur ce qu’il se passe sur ma peau. L’alternance des caresses et des morsures de la cravache me fait me liquéfier un peu plus. Je ne dois pas bouger sous peine d’une tape un peu plus forte. Quelle douce torture !
Et puis, je le sens se déplacer. Il s’installe, à genoux je crois, entre mes cuisses. Il est satisfait de voir que je suis trempée. Il a toujours la cravache à la main mais c’est sa bouche qui vient se poser sur ma chatte : enfin ! il se met à me manger. Je sens sa langue qui m’aspire mes lèvres, qui tourne autour de mon bouton puis qui plonge le plus profond qu’elle le peut entre mes nymphes. Je n’ai toujours pas le droit de bouger mais j’ai bien du mal à ne pas serrer les cuisses par moment tellement c’est bon, notamment quand il me pince le clito entre ses dents et sa langue. Ça me fait une véritable décharge de plaisir à chaque fois. De sa main droite, il fait bouger les pinces sur mes tétons tout en me bouffant le minou. Un doigt, puis deux, puis je ne sais même pas combien, viennent alors s’enfoncer en moi. J’aime quand on me fouille comme ça. Je ne suis plus qu’un corps, mon cerveau a complètement déserté, et ça, qu’est-ce que c’est bon !
Je sens sa langue s’aventurer vers ma rondelle. Il me lèche des deux côtés un moment puis je sens ses doigts quitter ma grotte pour venir voir par derrière si l’herbe y est plus verte…Il s’y prend doucement, je sens que la résistance que mon anus pouvait avoir au départ disparait. Pouce sur le clito, index dans le petit trou, langue sur mes nymphes, il me tient ! Je suis hors du temps. Je sens alors quelque chose de froid qui s’immisce entre mes fesses : mon plug. Il me le place sans aucune douleur, puis se reconcentre sur mon minou en faisant bouger le bijou avec ses doigts en même temps… Je m’entends crier. Je me lâche complètement… c’est trop bon ! premier orgasme.
Il se relève, se replace au-dessus de moi, à ma droite. Il commence par poser ses lèvres sur les miennes : je sens alors un liquide frais couler dans ma bouche. Plusieurs fois, il me donne à boire ainsi. Et puis, soudain, ce n’est plus sa bouche qui se pose mais sa queue. Il la tient d’une main et en la promenant partout sur mon visage, en profite pour me mettre quelques petits coups avec. Bouche grande ouverte, j’essaie alors de l’attraper au vol (je n’y vois toujours rien). J’ai envie de lui, de le manger à mon tour. Je suis telle une bête affamée. Quand je parviens à refermer mes lèvres sur son gland, je me mets à le sucer goulument. J’ai enfin le droit de bouger mes bras ; en tout cas, je le prends : je saisi donc sa hampe d’une main et ses couilles de l’autre et je me mets à pomper tout en le branlant. Ma langue s’agite. Au départ, il a une main qui me caresse le clito en même temps mais au bout d’un moment, il me saisit l’arrière de la tête et se met à me baiser la bouche. Je sens sa queue qui me pilonne le fond de la gorge, j’ai les larmes qui me montent aux yeux par moment mais j’adore…
Soudain, il se retire. Il veut me baiser. Il m’attrape par le bassin, me retourne, genoux au bord du canapé, fesses en l’air, cuisses écartées, tête dans les coussins. Sa main s’abat sur mes fesses, sur ma chatte aussi, plusieurs fois. J’aime cette brûlure qui suit les fessées. Pendant qu’il enfile la capote, j’ai droit à quelques coups de langue bien profonds. Il est debout derrière moi, son gland contre l’entrée de ma chatte. Il joue avec mon bijou, toujours en place dans mon cul. Mon corps n’attend plus que sa queue au fond de mon ventre. Je vibre. Je suis complètement partie. « Quelle jolie vue » me dit-il goguenard, avant de me pénétrer d’un coup, profondément ! Je hurle de plaisir dans le coussin sur lequel j’ai la tête écrasée. Il m’attrape le poignet gauche et le tient derrière mon dos en clé de bras, son autre main est sur ma hanche, ses doigts crispés me pénètrent les chairs. Il se sert de ces appuis pour donner plus d’amplitude à ses mouvements. Il me pilonne violemment, il fouille les abysses de mon corps. Sa queue fait bouger le plug. Je sens la membrane fine qui les sépare. C’est intense ! Tout comme ma jouissance qui ne tarde pas à venir. La sienne suit presque immédiatement. Il se plante encore plus profondément dans mon ventre pour déverser son jus. Puis me lâche, pantelante. Je tombe sur le canapé, comme un poids mort. J’ai l’impression d’avoir fait un marathon, d’être passé dans une lessiveuse…mais je suis comblée !
Une dernière tape sur les fesses et il me dit« c’est bon, tu peux enlever ton bandeau » et ajoute hilare une fois que c’est fait « bonjour quand même, on ne s’était pas encore vu ! »
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