Il s’est passé quelques mois depuis mes dernières histoires, mais je suis finalement de retour. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je suis un jeune homme d’une vingtaine d’années. Je suis grand, musclé et beau garçon, mais pas doué avec les filles. Je dirais même que ma vie est un désert de ce côté-là. Pour pallier à mes pulsions de jeune homme, je me fais donc très régulièrement plaisir, plusieurs fois par jour parfois. Je l’avoue, je suis un peu addict et mes jeux tournent souvent autour de la pénétration anale pour atteindre mon point P en plus de la masturbation. Les orgasmes que cette combinaison me procure sont extraordinaires et, comme vous avez déjà pu le lire, je ne m’impose aucune limite. Dernièrement, je me suis décidé à acheter un plug afin de tester la stimulation prostatique en extérieur. J’ai déjà plein d’outils à ma disposition, mais aucun n’est fait pour à la base. Après de longues journées de recherche et d’hésitation, je me décide à aller acheter un plug anal que je pourrais porter toute la journée. Ce n’est pas très conseillé, mais j’ai envie de me sentir pris et rempli en public. J’ai envie de me sentir salope, sans que personne ne s’en aperçoive. Pour mon premier achat, j’ai donc choisi un petit love shop dans une zone artisanale excentré et loin de chez moi, afin de ne croiser personne de mon quartier. Le magasin est perdu parmi les entreprises ou de nombreux camions passent. À l’entrée, une charmante vendeuse d’une trentaine d’années m’accueille et aucun client n’est présent comme je l’espérais. Je me retrouve donc seul dans les allées avec un mélange d’excitation et de gêne qui grandit en moi à chaque pas. Je ne manque aucun objet pour feindre une simple curiosité, mais intérieurement, j’ai envie de tout tester et acheter. Au bout d’un moment, j’arrive au niveau des plugs. Il y en a de toute taille et de toute sorte, et celui que j’ai repéré sur internet est là. Il est petit, mauve et incurvé afin de pouvoir le porter toute la journée au travail. Pourtant, un second m’attire immédiatement. Il est beaucoup plus imposant, rose et un gros "Big boy XXL" est visible sur l’emballage. Je me dis tout d’abord qu’il est trop imposant pour moi, mais après quelques secondes d’analyse, je me rends compte que je prends pratiquement aussi gros. Pourrais-je le porte en public lui aussi ? Avec un peu d’hésitation et de divagation sur mes futurs plaisirs solitaires, mon excitation prend le pas, autant dans mon boxer trempé que dans ma tête et je file à la caisse. Honteux et rouge pivoine, je demande à la caissière de m’emballer ces cadeaux pour ne pas avouer qu’ils sont pour moi. La vendeuse me sourit avec un regard qui en dit long et réalise deux beaux paquets cadeau. Je ne demande pas mon reste et de retour dans ma voiture, je passe discrètement une main dans mon caleçon. Il est complètement trempée et j’ai une très vigoureuse érection. Une tache d’humidité est d’ailleurs clairement visible sur mon entrejambe et mon membre ne s’arrête plus de couler. J’espère que la vendeuse ne l’a pas remarqué. Mais si elle l’avait fait, me l’aurait-elle dit ? Son regard et son sourire voulaient-ils me prévenir ? Je rougis une seconde fois et me mets à imaginer y retourner et lui demander si elle a un endroit tranquille pour tester mes achats, voire si elle veut me les introduire. Comment réagirait-elle ? Le ferait-elle ? Me prendrait-elle pour un obsédé ? Heureusement (ou pas), la bienséance me ressaisis et je sors finalement du parking. Quelques centaines de mètres plus loin cependant, je ne tient plus et décide de m’arrêter. Dans un accès de folie, je déballe le petit plug à l’abri des regards. Personne n’est à l’horizon et je commence à le lécher comme si ma vie en dépendait. Je l’humidifie abondamment et y mêle également avec le fruit de mon excitation que je goûte au passage. Je commence ensuite à l’introduire doucement en me contorsionnant, mais sans enlever mon pantalon. La situation doit être cocasse vu de l’extérieur. Je suis tellement excité et dilaté que le plug rentre très facilement. Trop vite peu être. La sensation est pourtant merveilleuse, douce et saisissante. Je me tortille alors sur mon siège pour le sentir bouger, ce qui me redonne une certaine vigueur et m’électrise tout le corps par la même occasion. J’ai tellement envie de me faire plaisir que j’hésite à le faire sur le bord de la route, mais je préfère rentrer chez moi. Que ce passerait-il si l’on me voyait ? Les camionneurs auraient une vue plongeante sur moi et pourraient me prendre en photo et me faire chanter. Ce serait bon de sentir autre chose que du plastique pour une fois. Mais que m’arrive-t-il ? J’ai subitement envie de me faire surprendre et surtout prendre par un homme. Je suis hétéro, pourtant... Bref, je me remet finalement en route. J’avance lentement et savoure chaque mouvement du véhicule, chaque bosse, et me masturbe de temps en temps en passant la main dans mon jean. Je ne me reconnais plus. Qu’est-ce que je suis en train de faire ? Je suis en train de devenir une vraie salope. Ca y est, je suis en bas de chez moi, mais je ne tiens plus. Mon sexe n’a cessé d’être en érection depuis que je suis parti dans cette aventure. Je prends les escaliers pour atteindre mon appartement. Ils sont vides et j’en profite pour me masturber en marchant. La sensation est intense et mon extase ne se fait pas tarder. Après seulement deux étages, je me cambre et mets à jouir dans mon boxer. L’orgasme et tellement fort que je me retrouve à quatre pattes, subissant des spasmes incontrôlables. La main maculée de sperme, je ne réfléchis plus, je l’amène à la bouche pour profiter de mon jus. Il n’est pas très bon, mais je ne peu m’empêcher d’avaler chaque goute. C’est ainsi, que je suis rentrée chez moi, fatigué mais heureux, le boxer et la bouche plein de sperme, telle une soumise qui vient de se faire remplir.
