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L'achat

Chapitre 2

Big Boy

Trash
Les émotions de ma sortie d’hier sont encore vives dans ma tête et dans mon corps. N’ayant rien à faire pour changer, je décide de me faire plaisir. Il me reste encore mon gros plug à tester après tout et mon imagination déborde.
Je m’installe donc dans le salon avec "Big boy", du lubrifiant et mes jouets habituels. Mes tubes de crème font pâle figures à côté de ce monstre. Comment vais-je pouvoir me l’introduire ? Il va me déchirer ! Pourtant, je sens déjà mon sexe se dresser  fièrement en inondant mon short, comme pour me rappeler à l’ordre.
Le sort en est donc jeté !
Je me déshabille rapidement et m’enduis de lubrifiant. Deux doigts rentrent sans encombre dans mon intimité. Mon autre main fait de même et me montre que j’aime me faire dilater le cul. Mon cerveau se met alors sur pause et je prends inconsciemment le premier objet à ma porté pour me remplir. Ni une ni deux, mon tube de crème se fait littéralement aspirer, comme si mon corps en voulait plus. La sensation est douce, mais j’en veux plus, beaucoup plus. Donc d’accords, tu veux un plus gros calibre, c’est parti !
Je retire le tube de crème et me saisis du monstre. Je me positionne accroupi au-dessus, le sexe droit et dégoulinant, le cul déjà un peu ouvert et un miroir pour observer la scène. Tout se passe bien au début, mais rapidement, l’objet se fait énorme. Malgré des va-et-vient, il ne veut pas rentrer.
Je décide alors de me mettre sur le dos et de m’agrandir l’orifice avec les doigts et deux tubes de crème. Le premier passe sans encombre, mais le deuxième nécessite beaucoup plus de lubrifiant pour entrer.
Je suis à la limite de mes capacités et je commence à me masturber pour que mon corps s’habitue. Deux trois minutes passent et un spasme se fait ressentir. Immédiatement, je sens un tube s’ouvrir et se vider en moi. Le liquide est rafraîchissant mais un frisson d’effroi me parcourt le corps. Comment le faire ressortir? Avec un peu de doigté, j’arrive sans trop de douleur à retirer les deux tubes. Mon cul reste bien ouvert et j’observe de la crème blanche hydratante sortir de moi, comme si quelqu’un venait de jouir en moi. La vue est excitante et j’en profite pour me replacer sur mon vieil ami avant que je n’expulse tout le liquide blanchâtre.
Cette fois-ci, je me mets à genoux de part et d’autre de mon supplice et attaque la descente. Elle se fait doucement et je me masturbe pour continuer. Après une ou deux minutes, je commence à me sentir de plus en plus écartelé. J’ai le souffle court et je ne peux plus bouger. Tout mon esprit est concentré sur cette action et je sens mon cœur battre autant dans ma poitrine que dans mon cul. Que vais-je faire ? Je n’y arriverais jamais. Il ne me reste pas grand-chose, juste cinq millimètres. Je ne vais tout de même pas renoncer.
C’est à ce moment précis, que la sonnerie de mon téléphone me sort de ma torpeur et me fait sursauter. Par réflexe, je m’assois et j’absorbe sans le vouloir l’immense plug jusqu’à la garde. Un cri de douleur se fait retentir dans l’appartement et des larmes perlent sur mon visage.
Après quelques instants, je reprends ma respiration et la douleur se transforme en plaisir. Le sol est trempé par mon excitation, le lubrifiant et ma sueur, et des larmes coulent sur mon visage. Je me sens honteux de la situation et excité à la fois. J’ai l’impression d’être une salope soumise au regard d’un groupe d’homme, le cul anéanti, qui se fait dilater avant de se faire saillir.
Je tente de me relever, mais le plug me gêne dans mes mouvements. Rien que le fait de parcourir les dix mètres pour rejoindre la salle de bain est un supplice. Je n’arrive pas à marcher droit, ni à rapprocher les jambes. Je suis cambré comme jamais et me sens empalé par l’objet. Pourtant, la vue de mon corps humide, le sexe dressé et le cul rempli, m’excite. Je dois vraiment être une salope en fait.
Sans réfléchir, je me mets à quatre pattes comme la chienne que je suis en train de devenir. Je me pince les tétons en me mettant des fessées avec une ceinture posée non loin de là. Après que mes fesses soient devenues bien rouges, je commence à me masturber frénétiquement en me serrant les testicules. Il ne me faut finalement que deux minutes pour me répandre sur le sol dans un râle bestial. J’ai la tête qui frotte contre le carrelage froid, le cul pluggé en l’air et les jambes grandes ouvertes. Je ressens un orgasme inouï parsemé de spasmes hors normes qui me font perdre la notion de temps. Toujours sans conscience propre, je me retourne et me mets à nettoyer le sol avec ma langue. Le goût de mon sperme ne me plaît toujours pas, mais quelque chose m’y pousse et je ne peux m’empêcher de lécher chaque goutte sur le sol et sur ma main. Qu’est-ce que j’aimerais pouvoir me sucer !
Lorsque je reprends connaissance, je sens des spasmes dans mon fondement, comme si mon cul cherchait désespérément à se refermer. Il me faut dix intenses minutes pour expulser l’intrus. Le miroir à proximité me permet de contempler mon trou béant, incapable de se refermer, dont un liquide blanchâtre s’écoule.
Ça y est, j’ai vraiment l’impression d’être un objet sexuel qui vient de se faire défoncer et remplir.
Pourquoi ai-je fait ça ? Suis-je tordu ? Comment faire pour m’en sortir ? Quand est-ce que je recommence ?
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