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Acte interdit

Chapitre 1

Inceste
Alice se regarda dans le miroir, d’un œil critique. Ce matin, elle avait mis une nouvelle parure de lingerie bleue, achetée sur un coup de cœur. Elle n’était pas si mal...
Dans la petite cinquantaine, les seins d’Alice étaient encore fermes. Ses hanches étaient dessinées même si, avec l’âge, ses courbes étaient devenues plus généreuses.
La dentelle transparente laissait voir les parties plus sombres de sa peau : ses tétons et les lèvres de son sexe.
« Enfin seule à la maison ! » pensa-t-elle.
Depuis quelque temps, son fils, Jamie, était revenu s’installer chez elle.
« Le temps de se retourner » avait-il simplement dit.Sa dernière rupture avait été plutôt fracassante, Alice n’avait rien dit, elle n’avait pas cherché à en savoir plus non plus. Elle l’avait accueilli au domicile familial et la vie avait repris son cours.
Cependant, il y avait une chose qu’elle avait découverte depuis quelques années et qu’elle s’était efforcée de cacher tant bien que mal avec le retour de son fils à la maison.
Peu après sa ménopause, ses appétits sexuels avaient augmenté... Ça avait débuté par un besoin de se caresser plus souvent. Elle qui avait toujours eu une libido qu’elle aurait qualifiée de normale, sans envies particulières. Et elle se retrouvait soudain avec des besoins qui la dépassaient. Désormais elle devait se satisfaire tous les deux jours, si ce n’était pas tous les jours. La présence d’un beau jeune homme dans la force de l’âge sous son toit n’arrangeait pas les choses d’ailleurs. Elle n’avait pas honte de ses envies. Elle y avait même pris goût. Mais de là à en faire part à son fils...
Il y avait des limites.
Cette pause était donc la bienvenue.
Alice s’allongea sur son lit, un casque sur les oreilles pour une intimité complète, munie de son téléphone qu’elle inséra dans un trépied que son fils lui avait offert il y avait quelque temps. Elle commença à regarder si un film réussirait à la distraire de cet état d’excitation. Des corps qui se frottent l’un contre l’autre, des gémissements...
Sa main vint se perdre sur son mont de Vénus et agaçant sa fente à travers la fine dentelle. Il faut dire que la couture de son shorty passait juste sur son clitoris, ce qui déclenchait des chatouillis et la rendait toute chaude.

Elle commençait à mouiller sous ses soins et des petits gémissements montèrent en elle...
*****

Jamie regarda son meilleur pote Thierry. Heureusement qu’il était là. Sa rupture avec Sabine lui avait flanqué un sacré coup ! Obligé de retourner vivre chez sa mère parce qu’il était trop fauché pour se prendre un appart à son âge !!
Heureusement sa mère était un amour de femme. Elle l’avait accepté sous son toit, ne l’avait pas jugé, pas de question.
Mais depuis son retour, il la trouvait changée. Elle se mettait plus en valeur ces derniers temps. Elle avait repris le sport aussi. Et bien que ce soit sa mère, il devait bien reconnaître qu’il n’était pas indifférent à tout ça.
Ils avaient prévu une journée détente aujourd’hui : VTT DH suivi d’un arrêt dans un bar sympa où ils avaient l’habitude d’aller.
C’était Thierry qui conduisait.
Jamie glissa la main jusqu’à la poche de son jean.
— Et merde ! s’exclama-t-il soudain. J’ai laissé mon portefeuille à la maison !— Haha ! Avoue que tu l’as fait exprès ! rigola Thierry. Tu voulais surprendre ta mère ! Avoue...— De quoi tu parles ? Surprendre ma mère faire quoi ?— Tu vois pas comme elle pue le sexe ta mère en ce moment !
Jamie donna un coup de poing dans l’épaule de Thierry. Outré de cette réflexion.
— Non mais tu débloques où quoi ? Ça va pas dire un truc pareil ! C’est ma mère quand même !
Thierry se tue, il savait qu’il était allé trop loin. Le trajet jusqu’à la maison familiale se passa dans le silence. Arrivé à destination, Thierry se gara dans l’allée. Avant qu’ils ne descendent de la voiture, il se tourna vers lui, l’air penaud.
— Je suis désolé Jamie, j’aurais pas dû dire ça. Tu as raison, c’est ta mère.— Ouais... Je me suis laissé emporter moi aussi, j’suis désolé.
Ils descendirent de la voiture ensemble et rentrèrent.
— Maman ? C’est moi ! J’ai oublié mon portefeuille.
Pas de réponse.
— Tiens ? Bizarre, elle avait dit qu’elle resterait à la maison aujourd’hui. — Stresse pas... C’est une grande fille, elle est peut-être juste sortie faire des courses. — Ouais peut-être... Bon j’arrive, lança Jamie en se dirigeant vers sa chambre.— OK je vais en profiter pour aller pisser.
Tout semblait calme dans la maison. Thierry connaissait bien les lieux, cet endroit l’avait si souvent accueilli depuis qu’il connaissait Jamie.
Passant dans le couloir, une plainte attira son attention, on aurait dit des pleurs. Curieux, il s’approcha de ce qu’il savait être la chambre de la mère de Jamie et resta muet devant le spectacle qui s’offrait à ses yeux par la porte entrebâillée.
Elle était étendue sur le lit, en petite tenue, un casque sur les oreilles, en train de regarder son téléphone tenu par un trépied sur le matelas. Elle avait les jambes écartées et une de ses mains était glissée dans son shorty en dentelle. Les pleurs étaient en fait des gémissements de plaisir !
Thierry se sentit coupable d’épier ainsi Alice. Mais il n’arrivait pas à détacher son regard de cette scène. Son corps n’avait d’ailleurs pas attendu pour réagir. Il pouvait sentir son sexe gonfler et se serrer dans son pantalon.
Alice repoussait à présent le fin tissu pour insérer ses doigts dans sa fente, ils en ressortaient luisants de mouille. De son autre main, elle agaçait son clitoris et ses gémissements augmentaient en intensité au fur et à mesure.
Thierry commençait à remuer se touchant sur ses vêtements. Et Jamie qui n’allait pas tarder à redescendre !
À regret et au prix d’un gros effort, le jeune homme parvint à se détacher du tableau érotique pour aller aux toilettes. Une fois la porte fermée, il ouvrit ce carcan qui le comprimait. Ses mains se mirent à faire des allers-retours rapides sur sa queue tendue. Il ne tarda pas à libérer des giclées de sperme sur ses mains. Il soupira, soulagé.
— Oh Thierry, qu’est-ce que tu fous ? Tu t’es perdu ? lança Jamie à la cantonade.— J’arrive !— Chérie ? demanda soudain Alice. C’est toi ?— Maman tu es là ?! Je t’ai appelée tout à l’heure et tu n’as pas répondu.
Thierry arriva à ce moment. Alice avait passé une robe de chambre en satin par-dessus sa lingerie. Elle avait les joues roses et le regard fuyant.
— Je m’étais endormie en écoutant mes exercices de relaxation.— Je me suis inquiétée. — Allez Jamie... Tu vois, elle va bien ta mère ; le chambra son ami. Bon on y va, tu as ton portefeuille ?— Oui oui, en route.
En quittant la pièce, Thierry fit un clin d’œil à Alice qui fut la seule à le voir.
*****

La journée vélo se passa bien.Bouger, transpirer, c’était libérateur et ça vidait la tête. Enfin presque... Jamie revoyait sans cesse l’image de sa mère lorsqu’ils étaient partis. Thierry était un peu distrait pendant les pauses, repensant au spectacle auquel il avait assisté.
Ils s’arrêtèrent ensuite au bar. Et lorsqu’ils furent attablés devant une bonne pinte de bière, Jamie commença :
— Tu l’as pas trouvée bizarre tout à l’heure, ma mère ?— Ben, elle venait de se réveiller c’est peut-être normal non ?— Je sais pas. Je la trouve changée ces derniers temps... Même toi, tu trouves qu’elle est plus sexy. — Oui c’est vrai, mais de là à la trouver bizarre. Elle a peut-être un mec et elle ose pas t’en parler. — Peut-être... Je n’y avais pas pensé.
Jamie avait été troublé de la voir les joues roses, dans ce peignoir qui collait chaque courbe de son corps. Il avait du mal par moments à voir en elle la femme qui l’avait mis au monde, tant elle le troublait. Déjà quand il était ado, ça lui était arrivé de se caresser en pensant à elle. Il attribuait ça au manque de sexe dans lequel il était depuis plusieurs mois. — Bon on rentre ? Tu veux qu’on prenne des pizzas pour ce soir, Maman sera contente d’avoir du monde à la maison. — Avec plaisir vieux ! Mais c’est moi qui invite ! On va prendre des bières avant de partir ? J’ai vu qu’il en vendait à emporter ici.
Ils achetèrent l’alcool, prirent les pizzas. Jamie prévint Alice qu’ils rentraient et se chargeaient du repas. Elle lui dit qu’elle se chargeait du dessert.
*****

Lorsqu’ils arrivèrent. Alice les envoya se doucher après avoir mis les pizzas dans le four pour qu’elles restent chaudes.
— Vous puez la sueur ! dit-elle en fronçant le nez.
La maison était suffisamment grande pour avoir deux salles de bain à disposition. Une qui jouxtait la chambre d’Alice, une autre à l’étage près de la chambre de Jamie.
Thierry échut dans la salle de bain du bas. Jamie monta dans la sienne.
Alors qu’il finissait de se débarrasser de ses vêtements poussiéreux, Thierry entendit qu’on frappait à la porte de la salle de bain.
Surpris, il entrebâilla la porte. La mère de son pote était là, triturant ses mains, nerveuse.
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