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Acte interdit

Chapitre 2

Inceste
(Merci au correcteur qui m’a si gentiment aidé.)

  Alors qu’il finissait de se débarrasser de ses vêtements poussiéreux. Thierry entendit qu’on frappait à la porte de la salle de bain.
Surpris, il entrebâilla la porte. La mère de son pote était là, triturant ses mains, nerveuse.
— Heu… Commença-t-elle. Thierry, j’aurais voulu te parler. La bouche de celui-ci s’étira en un large sourire.— Vraiment ? Mais de quoi voulez-vous parler Alice ?— Oh, ne fais pas l’enfant, tu le sais très bien ! Je sais que tu m’as surprise ce matin.— Effectivement… C’est bien malgré moi. Mais c’était très excitant comme scène.
  La mère se mit à rougir.
— Mmm… Enfin bref. J’espère que tu n’en as pas parlé à Jamie.— Mais pourquoi je lui en aurais parlé ? Vous êtes une grande fille ! Et c’est votre corps, vous avez le droit de vous faire du bien, si vous en avez envie.— Ça me gêne qu’il le sache, que sa mère est une dévergondée.— Une dévergondée ? Moi, c’est plus cette réflexion qui me choque…— Je…— Vous êtes une belle femme, aimer le sexe ce n’est pas un crime. Si vous n’étiez pas la maman de Jamie, je vous aurais bien fait des avances.
  Et ne tenant plus, il se colla à Alice, elle sentit son sexe dur contre son ventre.
— Sentez-vous comme vous me faites bander ?— …
  Il savait qu’il aurait dû lâcher cette femme, s’écarter d’elle. Ce genre de rapprochement n’était pas autorisé. Jamie lui en voudrait.Il s’apprêtait à s’éloigner lorsqu’il sentit la main d’Alice se glisser jusqu’à son sexe raide passant sous l’élastique de son caleçon. Elle paraissait fraîche contre son membre brûlant. Elle l’effleura sur toute la longueur, le prit en main et commença un lent va-et-vient. Des fourmillements de plaisir envahirent Thierry. Il attrapa ses seins, qu’elle avait généreux, et les malaxa.
  Alice gémissait, enfin un homme pour s’occuper d’elle. Elle s’en était privée trop longtemps. Elle avait envie de le sentir en elle, de l’avaler… Sans réfléchir, elle l’attira dans la douche, ouvrit le jet, après avoir retiré sa robe qui se boutonnait sur le devant et le caleçon de l’homme, d’un geste preste.
  Elle se mit à genoux, rinça le joli cadeau que ce jeune homme lui faisait. L’engin était d’une belle taille. Elle salivait à l’idée de le goûter. Elle lécha la hampe près de la base remonta jusqu’au gland. Enroulant sa langue autour comme on suce le tour d’un cornet de glace pour ne pas en perdre une goutte. Ses mains vinrent palper les bourses avec douceur. Elle sentait les veines saillir et palpiter sur ce bâton de chair. Galvanisée, elle le prit plus avant. Aspirant avec gourmandise.
— Mmm que c’est bon une bite bien tendue…
  Le jeune homme découvrait à quel point il ne s’était pas trompé. Cette femme était une vraie chienne assoiffée de sexe !
  Elle était belle à genoux devant lui, en sous-vêtements de coton blanc, complètement trempée, ce qui rendait le tout transparent. Ça le rendait fou !
  Thierry l’attrapa sous les aisselles et la releva contre le mur carrelé. Elle le regarda, le souffle court, tremblante d’excitation. Il remonta sa cuisse jusqu’à dévoiler les lèvres moulées par le tissu ruisselant. Il vint s’y abreuver, goûtant la chair de cet abricot juteux. Un cri aigu de plaisir l’arrêta. La peur de se faire surprendre était vivace.
  Il se redressa, l’embrassa en se plaçant entre ses jambes, maintenant la jambe contre sa hanche. Il déplaça la culotte sur le côté effleurant les lèvres. D’une poussée, il la pénétra.
— Putain ! T’es brûlante, petite chienne !!— Ta gueule petit con ! Baise-moi ! On n’a pas beaucoup de temps !
  Les coups de reins se succédèrent de plus en plus vite, de plus en plus fort, jusqu’à la délivrance. Alice parvint à la jouissance. Elle avait toujours aimé se faire prendre vite et fort. Et elle avait suffisamment d’expérience pour lâcher prise rapidement et se laisser aller.
— C’était bon ! S’exclama-t-il.— Pas mal oui… Un peu rapide. Dépêche-toi de te laver ! Jamie va nous chercher.
  Alice sortit de la douche, se sécha rapidement et enfila la robe sur son corps nu.
— Vous allez rester nue sous la robe ? Il était repassé au vouvoiement naturellement, ce moment d’échange étant terminé.— Oui, répondit-elle un sourire en coin. J’aime la caresse des vêtements après l’orgasme. Ça prolonge le plaisir.
  Elle se dirigea vers la cuisine, le laissant méditer sur ce qui venait de se passer et prendre une douche éclair. Quand Jamie entra dans la pièce, sa mère disposait les pizzas coupées en morceaux dans de grandes assiettes.
— C’est gentil d’avoir acheté tout prêt pour que je n’ai pas à cuisiner mon chéri, glissa Alice en souriant à son fils.— Tu t’occupes de tout en ce moment, je peux au moins faire ça de temps en temps.
  Il s’approcha pour lui déposer un bisou sur la joue.
— Tu veux qu’on choisisse un film ? On se fait un dîner canapé ?— Oui, c’est parfait. Juste le temps de préparer les plats pour le dessert et ce sera bon.— Ok super… Thierry ! Tu t’es noyé dans la douche ou quoi ?! Se mit-il à crier vers le couloir de la chambre.
  Il ne vit pas qu’Alice rougissait.
— Ça va, j’arrive… Soupira Thierry.
  Ils se dirigèrent vers le salon pour choisir le film. Ils optèrent pour une comédie, ça plairait à tout le monde. Alice les rejoignit et ils commencèrent à manger. Les garçons servirent les bières. Le film était prenant et à mourir de rire, ce qui entretint la bonne humeur de chacun. Quand la fin du film arriva, Alice, qui était un peu éméchée, retourna à la cuisine chercher le dessert.
— Tu sais ce qu’elle a prévu ? Demanda Thierry curieux.— Non, elle n’a rien voulu me dire.
  Une bonne odeur sucrée la précéda. Elle posa sur la table basse une tarte aux pommes toute chaude, accompagnée d’une boîte de glace vanille et d’une bombonne en inox.
— C’est nouveau ça maman ?— On ne peut rien te cacher. On va se faire de la Chantilly maison en un tour de main !
  Elle servit dans une assiette la tarte et la glace et lorsqu’elle actionna le poussoir pour la Chantilly… Rien ne se passa.
— Zut !
  Elle essaya de la secouer un peu, mais non, toujours rien.
— Je crois que cette fois, c’est bon.
  Quand elle actionna de nouveau le poussoir… Ça fonctionna… Même un peu trop bien ! La bombonne déborda et Alice reçut une giclée de crème sur son bras et sur son tee-shirt. Elle poussa une exclamation de surprise et resta la bouche ouverte.
— Bon ben, c’est toi le dessert maintenant maman !
  Il lui prit la main et lécha les éclaboussures tout le long de son bras. Elle était surprise, mais ne le repoussa pas. Une petite voix dans la tête d’Alice, criait au scandale ! Il ne fallait pas le laisser faire !
— Chéri, ne lèche pas ta mère comme ça. Ce n’est pas bien, protesta-t-elle sans grande conviction.
  Thierry s’approcha à son tour et commença à s’occuper des gouttes de crème sur le tee-shirt qu’il ramassa avec ses doigts léchant ceux-ci au fur et à mesure. Ils étaient au point de bascule vers ce que secrètement, ils désiraient tous les trois… Même Jamie, que l’idée avait mis mal à l’aise, envoyait ses principes aux oubliettes devant le plaisir de lécher ce corps si attirant. Audacieux, il attrapa la bombonne et aspergea le décolleté d’Alice.
— Ce sera bien meilleur que dans une assiette ! Lança-t-il.
  Sa langue lapa la Chantilly en caressant la peau au passage. Chacun guettait la réaction de l’autre… Contre toute attente, ce fut Jamie qui craqua le premier et passa la main sous la jupe de sa mère pour s’apercevoir de la nudité sous la robe.
— Mais… Tu es nue !— Heu… Oui. On voyait les marques de mes dessous avec ma robe.— J’ai envie de toi Maman. Tu veux aussi ?— Je… Oui ! Oh oui ! Même si ça fait de moi un être pervers…— Il n’y a pas que des mauvais côtés à la perversion…— Il y a tout le plaisir qui va avec.
  À ses mots, Thierry n’hésita plus et déboutonna la robe d’Alice et se mit à lui téter goulûment le bout de sa généreuse poitrine.Alice caressa les cheveux de ses deux amants. Enhardi, Jamie se mit à genoux pour la lécher. Goûter à ce fruit juteux délicieusement défendu.
— C’est ça mon chéri, lèche ma chatte… Hum, c’est bon.— Et toi suce-moi, dit Thierry qui était monté sur le canapé, guidant sa bite dure dans la moiteur de sa bouche.
  Alice caressa les bourses en léchant le gland gorgé de sang.
— C’est ça mon salaud, bande bien dur ! Je vais t’avaler tout entier.
  Les deux hommes se regardèrent surpris et excités d’entendre cette femme, si réservée d’habitude, adopter un langage aussi cru. Elle joignit le geste à la parole attrapant la bombe de Chantilly pour en étaler une dose le long du membre tendu qu’elle se mit en devoir de nettoyer. Puis elle enfourna le tout avec force succions et aller-retours. Elle salivait abondamment, ça coulait sur les bourses.
  Jamie ne perdait pas une miette du spectacle, il avait sorti sa bite et il avait pris les choses en main. On entendait plus que des gémissements dans la pièce. Jamie s’arrêta au bord de l’explosion, le gland suintant de la sève de son plaisir.
— On met un film de cul ?— Heu… Si tu veux, ça peut être excitant.— Mais grave !
  Ils basculèrent la télévision vers le portail internet. Après une brève recherche, ils mirent un film de longue durée style orgie. Ça partait dans tous les sens. Des bouches, des culs, des bites, des chattes qui se faisaient remplir à l’envi dans un concert de gémissements et de cris de plaisir. Ils restèrent quelques instants happés par ce spectacle.
  Jamie, qui était toujours à genoux devant Alice, fit jouer sa langue de plus belle, la pénétrant de ses doigts. Il fouilla sa chatte avec ardeur faisant gicler le jus de celle-ci. Elle se mit à couiner comme une chienne en chaleur.
— Oh oui encore ! Vas-y fait juter maman ! Fais-moi jouir ! Oh ouiiiiii !
  La cyprine coulait le long de ses jambes. Thierry s’accroupit à côté et lécha le jus. Allant jusqu’à le goûter sur la bouche de Jamie.
— Baisez-moi. Remplissez tous mes trous.
  Elle se positionna ensuite sur le canapé à quatre pattes. Jamie se mit devant elle.
— À mon tour, j’ai envie de ta bouche sur ma queue.
  Elle ne répliqua même pas ! Il était trop tard et elle en avait bien trop envie pour réfléchir. Elle attrapa le membre dur et chaud, commença par téter le gland comme une sucette.
  Poursuivant ses caresses elle l’accueillit dans la moiteur de sa bouche l’aspirant fortement pour ne pas en perdre une goutte.
Thierry se plaça derrière elle. Il ouvrit les lèvres de son sexe délicatement de ses doigts.
— Oh, comme c’est mouillé tout ça ! Ta mère est une bonne salope Jamie ! Je vais la défoncer !— Oui, défonce-moi, vilain garnement !
  La bite glissa comme dans du beurre. Les claquements de chair se faisaient entendre à chaque coup de reins. Plus il la pistonnait, plus la mouille ruisselait. Elle gémissait de plus en plus fort malgré l’autre bite qui lui remplissait la bouche. Les deux hommes ahanaient sous l’effort. Leurs torses étaient luisants de sueur. Jamie attrapa les seins qui battaient le rythme et en pressa les tétons. Puis il attrapa la tête de la suceuse pour lui baiser la bouche avec frénésie, perdant pied.
— Allez salope ! Bouffe ma queue… Oh, comme tu suces bien, petite vicieuse !
  De son côté Thierry, les mains sur la croupe, récupérait de la cyprine pour badigeonner le petit trou plissé. Celui-ci s’ouvrit sans difficulté, laissant passer le pouce. Il accorda ses mouvements aux coups de rein. Tous les muscles de la chatte se resserraient. Puis le pouce fut remplacé par l’index et le majeur, cherchant à dilater la voie. Alice se sentait comblée de toutes ces attentions, même s’ils ne la ménageaient en aucune façon.
— Han, vas-y encule moi ! Donne-m’en plus…
  La bite ruisselante, il ressortit de la gaine soyeuse du vagin pour s’insérer dans le cul offert.
— Je veux te la mettre aussi… Donne-moi ta chatte.
  Alice se redressa, le cul plein de la bite de Thierry qui l’aida à écarter les cuisses pour l’accueillir. Jamie se positionna entre ses jambes.
— Viens mon chéri…
  Le passage, bien que lubrifié, fût très étroit. Alice se retrouva prise en sandwich entre les deux hommes, étirée à l’extrême, lui semblait-il. Elle était en équilibre, elle ne pouvait que s’accrocher à son fils qui la pilonnait ferme. Thierry n’était pas en reste, il pouvait sentir la bite de Jamie à travers la fine paroi de séparation de l’anus et du vagin.
— Je sens ta bite ! Va plus fort !
Excité, il suça le cou d’Alice, l’attrapant par les seins pour mieux la tenir.
— Je vais exploser ! Vous êtes trop grands ! Paniqua-t-elle soudain.— Mais non Ali, lui susurra Thierry à l’oreille. Regarde comme tu es glissante et souple, tout va bien. Sens-tu comme je vais te remplir ton petit cul qui mouille.
  Ils se mirent à ralentir pour qu’elle se calme et reprenne confiance petit à petit.
— Oh, c’est trop bon ! Dis Jamie en l’embrassant. — Oui putain !
  Alice se relâcha. Tout ce sexe d’un coup et la double pénétration déclenchaient chez elle une myriade de sensations nouvelles. Il était difficile de gérer ce plaisir et la culpabilité de corrompre son fils dans cet inceste. Le sexe qui lui fouillait le cul sembla grandir soudain.
— Ah, je jouis ! S’exclama Thierry.
Il fit quelques allers-retours encore et sortit son engin qui commençait à débander. Jamie en profita pour les allonger sur le canapé. Relevant les jambes de sa mère pour la pénétrer plus profondément. Sa main se posa sur le mont de Vénus et trouva le clitoris qu’il vint agacer et de petits gestes circulaires.
Il n’en fallut pas plus à sa mère pour exploser en un orgasme sismique, qui déclencha Jamie. Il bascula la tête en arrière et poussa un grondement rauque.
  Puis il s’allongea sur elle, la tête sur son torse. Elle lui caressa les cheveux. Thierry s’assit à même le sol et les caressa tour à tour, profitant du moment.
  Après leurs ébats, ils firent une toilette rapide et partirent se coucher exténués, mais comblés. Alice dans sa chambre. Jamie et Thierry à l’étage. Ils dormirent dans le même lit, comme ils l’avaient fait de si nombreuses fois par le passé.
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