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Acte interdit

Chapitre 3

Une nuit riche de plaisir 1

Inceste
Au milieu de la nuit, Jamie fut réveillé par un bruit. Surpris sur le moment, il tendit l’oreille. C’était des gémissements … Sa mère devait encore se caresser.
  Cela lui arrivait régulièrement, depuis qu’il était revenu habiter chez elle, d’être réveillé comme ça.
  Au début ça l’avait dérangé, puis avec le temps était né une certaine excitation. Après ce qui s’était passé ce soir… Sa bite se leva immédiatement. Il avait envie de recommencer.
  Mais avec Thierry à côté de lui, il n’osait pas se lever. Il était couché en chien de fusil contre lui. Le bruit devait l’exciter aussi car il pouvait sentir sa bite pulsée contre son cul.
  Cela aurait dû gêner Jamie, mais il n’en était rien. Ils se connaissaient depuis si longtemps, tous les deux… Thierry aussi était bi. Excité Jamie frotta ses fesses contre la queue tendue. Le bras de son ami descendit de l’autre côté de son flanc. Sa main vint à la rencontre de la bosse que le désir avait fait naître dans son caleçon.
  Jamie remua. Puis il alluma une petite lampe de lecture, diffusant un faible halo sur le lit.
— Thierry…chuchota-t-il. Tu dors ?— Avec ta mère qui couine et ta bite raide dans ma main ? Vous êtes des petits pervers tout les deux ! J’ai plutôt envie de te la mettre que de dormir. — Ah oui ?
  Jamie était abasourdi par une telle proposition. Il n’avait jamais pensé à son meilleur ami sous cet angle. Passé la surprise il dû reconnaître que l’idée ne lui déplaisait pas …
— Ça te choque si je te dis que j’en ai envie aussi ?— Ça ne me choque pas, mais ça me surprend. Le petit Jamie si tranquille … Fait voir un peu. Joignant le geste à la parole il glissa sa main dans le caleçon de son pote et se mit à le branler doucement. Jamie se mit à respirer plus vite sous la caresse. — Mmm… Elle est bien dure cette coquine. Ça te plaît que je te touche ?— Oui mmm… Ça me fait drôle de faire ça avec toi…— J’ai bien envie de la goûter.
  Et joignant le geste à la parole il se mit tête bêche et le prit dans sa bouche. C’était différents de ce qu’il connaissait, un peu comme si Thierry savait où le caresser pour lui faire du bien.
— Comment tu fais ? C’est trop bon !— Essaie tu verras, ça vient tout seul.
  Jamie hésita, mais pas longtemps, trop curieux. Il voulait aussi rendre tout ce plaisir à son partenaire improvisé. Il prit ce bâton de chair dans sa bouche. Il se laissa envahir par son goût, sa chaleur. Le lapant, il descendit graduellement, de plus en plus bas vers ses couilles. Il le caressa de sa langue comme il aurait aimé l’être.
  Guettant le moindre frisson qui le guiderait pour accentuer le plaisir de l’autre. Il le prit en bouche, suçotant le gland. Il approfondit ses explorations jusqu’à l’avoir entièrement en ses muqueuses. Salivant sous les poussées.
— Oh putain oui Jamie, lèche- moi ! Suce-moi bien ! C’est bon mon petit salaud. Je vais décharger et te remplir la bouche si tu continues…
  Thierry repris son sexe avec plus de vigueur cette fois. Il le pompait à fond et Jamie sentait la sève montée. Tout à coup il s’arrêta.
— Tourne-toi, je vais te la mettre ! Tu vas me sentir dans ton cul et tu vas mouiller pour moi.
  Dépassé, il obéit docilement. Se retrouvant à quatre pattes. Son copain de jeu glissa la main sur ses fesses et vint agacer le petit œillet pour l’assouplir.
— Tu as du lubrifiant ?— Dans la table de nuit, j’en utilises pour me branler des fois.— Bien, ça m’évitera de te faire mal, je suis trop excité.
  Jamie attrapa le tube et le lui tendit. Il appréhendait un peu, jusqu’ici c’est lui qui avait pénétré ses partenaires. Il s’était déjà caressé l’anus seul mais là…
— Arrête de t’inquiéter, lui lança Thierry qui avait senti son trouble. Si tu n’aimes pas on arrête tout.— Je … c’est la première fois que je fais ça…
  Les caresses recommencèrent, doucement mais sûrement. Thierry inséra son gland dans le passage étroit qui ne l’était plus tant et il poussa de plus en plus loin. Jamie sentit le plaisir remonter. Sa bite était raide contre son ventre. Il l’attrapa en un mouvement souple de va-et-vient qui lui fit atteindre le point de non-retour.
— Putain, vas-y met moi ta bite jusqu’au fond ! C’est bon !
  Ne se le faisant pas dire deux fois, Thierry poussa à fond et pistonna son amant.
— C’est ça oui ! Mouille pour moi petite salope ! Je vais te remplir.
  C’est alors que la porte de la chambre s’ouvrit…
*****
  Du fond de son grand lit vide, Alice regardait le plafond.
  Son sang bouillait, son corps criait son besoin de luxure. Le tissu de sa nuisette, pourtant en coton très doux, envoyait comme une décharge électrique à chacun de ses mouvements.
  Encore…
  Pourtant l’épisode qu’elle avait vécu ce soir avec son fils et son meilleur ami n’avait pas été de tout repos ! Sans compter l’épisode de la salle de bain !
  Non vraiment, elle ne comprenait pas ces nouveaux besoins. Ce n’était jamais assez ! C’était désespérant.
  Sa main glissa sur son corps, éveillant plein de sensations. Répondant à ses envies. Elle réfléchirait à tout cela demain. Là il fallait se satisfaire pour trouver le repos.
  Elle ferma les yeux, les mains sur son corps, revivant les scènes les plus excitantes de la journée. Le regard du voyeur glissant sur elle pendant qu’elle se donnait du plaisir, comment Thierry l’avait prise dans la cabine de douche alors que son fils aurait pu les surprendre, la langue de Jamie sur sa chatte…
  Elle fit glisser ses doigts sur son clitoris, déjà très sensible et entama de petits mouvements circulaires, des gémissements plutôt sonores montèrent de ses lèvres. L’orgasme la submergea rapidement, relâchant les tensions de son corps. Mais ne la satisfaisant pas entièrement…
  Tendant l’oreille soudain, il lui sembla entendre des sons rauques venir de l’étage où dormaient les garçons. Qu’est-ce que…
Serait-ce possible ? Jamie et Thierry ? L’idée lui paraissait étrange, mais pas vraiment déplaisante.
  Un tas de scènes lubriques naissaient déjà dans son esprit…
  Il fallait qu’elle aille voir…
*****
  Elle rajusta sa nuisette et sortie les pieds nus dans le couloir pour ne pas faire de bruit. Elle monta les escaliers à pas de loup. Les sons lui parvenaient plus distinctement.
— … Suce-moi bien ! C’est bon mon petit salaud. Je vais décharger et te remplir la bouche si tu continues…
  Elle s’arrêta en haut des marches où elle était arrivée, choquée ! Elle avait reconnu la voix de Thierry. C’était lui qui se faisait sucer ?
  Jamie avait toujours été plutôt volontaire, agissant le premier sans attendre d’instruction. Hier soir encore, la situation avait dérapé après une intervention de Jamie !
  Quelle surprise de le retrouver dans le rôle de celui qui exécute et qui se fait baiser !Elle s’approcha encore pour voir, trop curieuse pour rebrousser chemin. La porte était fermée mais il y avait une serrure sans clé par où elle pu glisser son regard indiscret.
  Elle mit du temps à distinguer quelque chose car la chambre était plongée dans l’obscurité, seul une petite lampe de lecture éclairait le lit où les deux hommes étaient allongés, semblait-il.
  Elle entendait les gémissements de Thierry. Puis elle n’entendit que le bruit de succion entrecoupé de soupirs. Elle sentait que sa chatte s’humidifiait d’excitation. Deux hommes qui se donnent du plaisir !
  Elle aurait voulu pousser la porte pour se joindre à eux, mais elle n’osait pas. Craignant de tout arrêter par son intervention.Thierry se remit à parler, interrompant ses réflexions :
— Tourne-toi, je vais te la mettre ! Tu vas me sentir dans ton cul et tu vas mouiller pour moi.
  Alice mit la main sur sa bouche pour retenir une exclamation de surprise. Voilà qu’il voulait lui mettre sa bite dans le cul !  Sa chatte pulsait des battements précipités de son cœur. Fébrilement elle glissa ses doigts jusqu’à son interrupteur, pour essayer de calmer son état. C’était trempée et brûlant.
  Elle se caressa du pouce en introduisant sont majeur et son annulaire dans sa fente. Son autre main était toujours sur sa bouche pour étouffer les bruits.
— Putain, vas-y met moi ta bite jusqu’au fond ! C’est bon !
  La supplique de son fils lui envoya le coup de grâce.  Elle jouit abondamment, aussi silencieusement que possible, écoutant ce qui se passait dans la chambre. La cyprine coulant le long de ses jambes tremblantes. Elle se laissa glisser au sol, en appui sur la porte. C’est alors que la serrure céda et que la porte commença à s’ouvrir…
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