De surprise, les deux hommes se séparèrent précipitamment. Jamie bondit sur ses pieds, l’esprit en ébullition. Il ouvrit en grand la porte de sa chambre et se retrouva nez à nez avec sa mère, assise par terre, les jambes sous elle. Une main entre ses jambes, l’autre sur sa bouche. — Maman ! Tu… tu m’espionnais ?!?— Je suis désolée mon fils, je… Je vous ai entendus et je suis montée pour …— Jouer les voyeuses ! trancha Thierry. Le spectacle vous a plu au moins ? Alice baissa la tête, honteuse. — Vu ton état, on dirait bien que oui, enchaina Jamie dont le sourire commençait se dessiner. — Pas un pour rattraper l’autre décidément ! se mit à rire Thierry. — Vous… vous ne m’en voulez pas ? murmura Alice interloquée. — Un peu… que ma mère m’espionne, à trente ans passé ! Mais bon… Je ne vais pas en faire une maladie et puis… Comme je n’ai pas encore joui, tu vas pouvoir nous aider un peu. Thierry, qui s’était levé, était à la hauteur de son meilleur ami. Échangeant un regard de conspirateur, ils l’attrapèrent chacun sous les bras et la portèrent jusqu’au lit. Elle s’assit au bord du matelas, les regardant tous deux sans bouger. Alice, bien que très excitée se sentit quelque peu intimidée… — Oh allez, deux belles queues rien que pour toi, Alice. Tu ne vas pas te priver de ce plaisir ?!? À moins, que tes propres caresses en nous regardant ne te suffisent ?— Tu sais bien que non ! Même après ce qu’on a fait dans le salon, je n’en avais pas assez ! Alors juste en me caressant…— Et puis après, tu vois bien que nous non plus ! Alors qu’est-ce que tu attends ? Nous ne demandons que ça ! Elle se mit à genoux, les deux hommes l’entourant, au garde-à-vous tous deux. Passant la langue sur ses lèvres, elle prit une bite dans chaque main. Elle en lécha une, passant sur le méat et prenant le gland entre les lèvres. Puis passa à l’autre. Puis, les tirant légèrement l’un vers l’autre, elle les fit se rapprocher jusqu’à pouvoir prendre les deux glands dans sa bouche. Elle alterna ensuite entre l’un et l’autre, toujours plus profondément jusqu’à les prendre entièrement. Sous la succion conjuguée à l’excitation, elle se mit à saliver. Les bruits d’aspiration montèrent dans la pièce. Les deux hommes respiraient fortement, gémissant chaque fois que c’était leur tour. — Quelle bonne suceuse tu fais Alice !— Ouiii, continue, c’est trop bon maman !
— Mmm, que ça me plaît vos goûts qui se mélangent dans ma bouche. Thierry contre Jamie, glissa une main sur les fesses de son ami. L’interruption d’Alice l’avait laissé frustré. Ce qu’il avait commencé avec Jamie, ça faisait un moment qu’il y pensait, qu’il en avait envie. Et comme ces deux-là semblaient plutôt ouverts d’esprit, il se demandait si il ne pourrait pas essayer d’autres plaisirs, moins conventionnels… Il aventura sa main entre les globes des fesses, titilla l’anus qui était encore légèrement humide de leurs ébats plus tôt. Jamie ne se déroba pas. Enhardi, Thierry s’agenouilla à côté d’Alice qui suçait toujours sont fils. Une main sur les fesses de celui-ci, il embrassa la joue de la mère portant l’autre main sur le sexe de la dame. Le passage étant plus que glissant, il inséra l’index et le majeur et commença à la doigter. Elle se mit à gémir, ravie que l’on s’occupe d’elle. Baissant les bretelles de la chemise de nuit, il fit choir le tissu au sol. Il prit un sein dans sa bouche en continuant à la caresser. Les tétons durcirent sur la langue. Pour plus de confort, Thierry s’assit au sol. Alice se détacha du sucre d’orge dont elle s’occupait pour enjamber ce corps d’homme bandé. Bien que très lubrifiée, sa chatte serrée bloqua à accueillir le membre dressé. S’aidant de ses doigts elle fit céder le barrage de chair pour s’emplir jusqu’au plus profond. Jamie se rapprocha et Thierry profita de la distraction d’Alice pour prendre la bite dans sa bouche. — Humm, oui recommence c’est tellement bon quand c’est toi… chuchota-t-il. Alice montait et descendait en rythme, la tête basculée en arrière. La situation semblait l’exciter encore plus. Elle se mit à lécher les bourses de son fils, une main sur la tête de son amant pour le guider plus profondément sur le sexe qu’ils partageaient. Les gémissements se répercutaient sur les murs de la pièce. — Ah j’en peux plus ! Vous allez me faire exploser ! Côte à côte, ils se mirent à genoux. Le liquide commençait à suinter du gland luisant. Bouche contre bouche, le bâton de chair au milieu, leurs fluides se mélangeaient. Dans un son rauque, le sperme jaillit et fut léché jusqu’à la dernière goutte. Jamie s’allongea sur le lit. Il fût vite rejoint par les deux autres qui reprirent leur chevauchée de façon plus confortable. Alice s’accroupit au dessus de Thierry, augmentant l’amplitude de la pénétration. Les seins se balançaient à chaque aller-retour. Jamie accompagnait les mouvements de sa mère par des caresses aériennes, parcourant son corps. Elle accéléra subitement, portée par l’orgasme. Les deux hommes la soutinrent l’accompagnant jusqu’à la fin. Elle les embrassa tous deux et s’allongea de l’autre côté du lit. Ils étaient tous trois, côte à côte, le souffle court. Soudain Alice se tourna sur le côté la tête reposant sur sa main l’air préoccupé. — Tu n’as pas joui Thierry… J’ai fait quelque chose qu’il ne fallait pas ?— Mais non pas du tout ! Je...J’avais envie de quelque chose et je n’ai pas osé. Ça m’a un peu coupé... Ses yeux regardaient un point fixe sur le mur en face du lit, n’osant pas observer les réactions de ses amis.
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