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Actes manqués

Chapitre 10

Fusion

Hétéro
Julien est complétement tétanisé. Il venait de retrouver un amour pur et il découvre une Angélique pas si angélique que cela. Bien sur, elle a sa vie et il se dit qu’il ne la connait plus si bien que celà maintenant. Il est tenté de tout laisser tomber et de garder Sophie... par lassitude et par facilité un peu.Mais il n’est pas comme çà. Alors il rentre chez lui, Sophie sur ses talons, n’osant rien dire car sachant que toute parole peut tout remettre en cause. Arrivé chez lui, Sophie lui sert un verre. Il approuve. Il en a besoin. Puis il regarde Sophie et lui dit :  -"Sophie... " — "Oui ? " — "Je suis un peu choqué ce soir alors laisse moi un peu s’il te plait. J’ai reçu une grosse déception mais j’aimerais être un peu seul ce soir." — "Je comprends... A demain alors... " -"Oui à demain" dit il d’un air absent.  Sophie l’embrasse et il rend ce baiser presque machinalement. Mais elle sent que ce baiser peut tout déclencher alors elle se colle à lui. Il la regarde et lui dit "Non... Pas maintenant... " . Elle continue de se coller. Alors il la repousse doucement et elle comprend. Elle prend alors son manteau, laisse le magazine de charme sur la table basse et sort.
Une bonne heure a passé. Julien a pleuré, a été triste. Il se décide à sortir pour marcher dans l’air frais. Il veut s’oxygéner. Dans son esprit, il veut comprendre pourquoi Angie a fait cela.Il appelle son portable. Boite vocale. Il ne laisse pas de message. Il s’en veut de sa gifle. Il sait qu’il n’aurait pas dû.Il marche et arrive en bord de Seine. Là où ils aimaient se retrouver autrefois. Il voit Notre Dame et ses jardins où ils aimaient déguster un sandwich grec quand ils étaient étudiants. Il entre dans le jardin désert à ce moment et s’assoit. Il ferme les yeux. Que faire ? Il ne sait plus. La pénombre commence à tomber. Jouant sur les clairs obscurs. Il devine maintenant des ombres. Il ferme de nouveau les yeux et sent une présence. Il ouvre les yeux. Elle est là. Il ne croit pas ce qu’il voir et croit rêver. Il referme les yeux en se disant qu’elle ne sera plus là quand il les rouvrira. Il les rouvre. Elle est toujours là.  — "Angi...? " — "Oui Julien."   Un silence s’installe. Il se lève. Elle est devant lui. Alors il ouvre ses bras et elle vient contre lui comme une noyée contre sa bouée de sauvetage.  Ensemble, ils disent doucement: -"Pardon... "  
Leurs yeux sourient. Ils se sourient. Leurs cœurs sourient de nouveau. La peur et l’angoisse disparaissent. Ils sont de nouveau bien. L’un contre l’autre. Du fond du jardin, je les vois et ils m’émeuvent. Ils s’assoient et je les vois discuter. Des heures durant, ils vont discuter. Se disant enfin tout, découvrant enfin ce qu’ils leur restaient à découvrir de l’autre, osant tout se dire ou tout s’avouer. La nuit est déjà avancée quand ils rentrent doucement. Julien la raccompagne mais n’ose pas entrer. L’invitera elle ? Il ne sait et n’ose plus. Ils sont passés si près du pire. Ils sont sur le pas de sa porte. Elle rentre. Il veut lui dire au revoir.  Elle lui prend la main et l’entraine. Elle se colle de nouveau à lui et l’embrasse doucement. Leurs lèvres se collent d’une manière presque virginale. Il sent la douceur de ses lèvres. Comme une pêche gouteuse qu’on prend plaisir à croquer lors des chaudes journées d’été. Son souffle s’accélère. Il respire sa peau. Sa bouche descend sur son cou. Elle offre sa gorge. Il lèche doucement cette peau légèrement salée et à l’odeur enivrante. Elle se redresse et couvre de baisers son visage... son cou...  Elle défait les premiers boutons de sa chemise et redécouvre ce torse qui l’avait tant fait fantasmé plus jeune. Des légères boucles ornent le haut de son torse et elle passe sa main fragile dessus. Il frémit. Elle ressent une chaleur l’envahir.  Ils se regardent intensément. Le désir grandit en eux. Les consument.  Leurs yeux expriment leurs désirs qui grondent, qui ne demandent qu’à sourdre. C’est une source qui les abreuve. Elle gronde en eux et cherche à sortir de terre, à éclater au grand jour, à couler et créer un ruisseau de bonheur. Pour qu’ils se désaltèrent ensemble à son onde.Leurs corps se sentent, se répondent... Ses seins se tendent de désir inassouvi, attendu depuis si longtemps... Son sexe se tend contre son bassin. Elle le ressent et se colle encore plus, ressentant sa vigueur qui l’affole. Leurs corps leur dictent leur volonté. Rien au monde ne peut plus les séparer.
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Je me glisse dans le dos d’Angi. Elle ressent sur ses fesses ma virilité qui se tend. Elle ondule pour la ressentir de façon plus sensuelle... plus intense. Mes mains sont sur son torse. Une d’entre elle se glisse sous son pull et caresse sa peau douce. Elle rejette sa tête en arrière sur mon épaule et me dit " encore... " Mon autre main descend vers son jean... Ouvre un bouton et s’aventure... Se glisse entre sa culotte et son jean et vient doucement palper son mont de Vénus. Puis en descendant, je ressens son clitoris qui attend ma caresse. Un simple effleurement et elle se cambre....s’appuyant sur mon membre bandé. Elle s’offre, se donne avec la vigueur d’un amour profond et renouvelé. La peur de se perdre nous a donné toutes les audaces et toutes les envies.Elle redresse les bras et ôte son pull. Son soutien gorge a vite rejoint son pull sur le sol. Sa peau nue sous mes mains me transcende. Fait courir en moi les effluves d’un désir puissant que nul barrage ne pourra plus arrêter. Mais ni elle ni moi ne le souhaitons. Nous ne souhaitons que le contraire. Le feu ruisselant de mes veines veut sourdre en elle et je sens que son puit d’amour voudra m’accueillir dans un délire de chairs froissées et de râles envoutants.
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Angi sent en elle le désir s’enflammer. Elle ne cesse de se frotter contre Julien. Elle monte et descend le long de ce corps qu’elle désire plus que tout. Elle se retourne, ses doigts glissent le long de la fente à peine ouverte de ce pantalon, seul obstacle entre leurs deux sexes. Julien a la respiration qui s’accélère au contact des doigts impatients d’Angie. Elle baisse rapidement le pantalon qui ne met que quelques minutes pour tomber sur le sol. Julien enlève le haut. Ils sont nus, debout l’un contre l’autre. Julien embrasse et lèche tout le corps d’Angie qui pousse des petits gémissements de plaisir. L’érection de Julien excite encore plus notre jeune danseuse, et elle veut faire durer le plaisir. Elle le repousse et le tire vers le lit. Elle le pousse sur le lit, et vient se poser à califourchon sur ce pénis au zénith. Elle est très humide, depuis le temps qu’elle en a envie, enfin, le moment est venu où ils vont enfin pouvoir fusionner dans des ébats qu’elle voulait doux sensuels et tendres. Mais elle en veut plus, elle veut que jamais il ne l’oublie. Elle veut qu’à chaque acte sexuel futur, il pense à elle. Elle veut laisser sur lui une empreinte indélébile.   Elle saisit ce pénis excité et le caresse dans des mouvements très machiavéliques. Angi se veut démoniaque, elle baise chaque petit lopin de peau de Julien. Elle joue avec son sexe comme elle jouerait avec un jouet. Ce jouet, organe de tant de convoitises, en cet instant,  est le sien. Elle frotte le gland sur son clitoris rouge, humide, gonflé. Elle est très excitée. Elle va devoir se contrôler et arrêter de jouer ainsi car l’excitation monte rapidement et elle est au bord du précipice. Elle ressent cette sensation vertigineuse au bord d’un gouffre, elle  a envie de jouir mais ne le fera pas. Contrôle, se contrôler, ne pas avorter cet instant tant attendu, ressenti rencore plus l’envie, le désir de l’autre.  La supplier, il doit la supplier. Le seul moyen pour elle de se sortir de cette impasse et de s’éloigner, de le plaquer et de l’attacher au lit. Elle le fait. Julien est abasourdi, il ne connaissait nullement sa partenaire, son amie ainsi. Jamais, il ne l’aurait imaginé dans un tel état d’excitation. Angi, l’ange, devient le démon. Elle va lui faire connaître l’enfer. Un enfer comme en rêve beaucoup de mâles, ces mâles qui la dévorent des yeux habituellement lors des shows au Djumbo.   Elle s’éloigne de lui, le fixe. Elle se tourne vers la commode et en sort un string, petit vêtement à croquer, il est en bonbons. Elle l’enfile en prenant soin de ne pas quitter Julien du regard. Il la dévore des yeux. Il attend, il se débat un peu, il aimerait la toucher, la prendre dans ses bras, la goûter, la déguster. Mais Angi ne veut pas qu’il la mange comme ça, elle veut le voir affamé.   Elle entame alors une danse comme elle sait si bien le faire. Elle ondule, se déhanche, l’allume. Elle le pointe du doigt, le nargue, fixe le pénis qui se dresse de plus en plus tel un serpent.  Charmeuse, Angie devient charmeuse de serpent. Son corps et ses mouvances en sont ses instruments. Instruments divins, qu’elle connaît bien. Elle approche,elle monte sur le lit. Elle se déplace à quatre pattes comme une chatte, non, une tigresse. Elle laisse glisser sa langue sur le corps de Julien. Il frissonne, essaie de bouger ses bras, il ne peut pas,il est soumis.  Soumission, il ne l’en croyait pas capable, non, pas sa douce amie, si timide. Et pourtant, Angi, ange et démon, insaisissable comme la plupart des femmes.   Elle lèche, le lèche. Ses lèvres sont pulpeuses et sensuelles. Elles sont sucrées, chaudes. Sa langue est un monstre de douceur,d’excitation.  Langoureuse, langue langoureuse, curieuse quand elle arrive au point de non retour…le sexe…sexe qui la réclame. Gourmande, langue gourmande qui le lèche, un supplice, elle encercle le sexe de Julien de sa bouche, ne bouge plus, sa langue effectue des petits cercles. La tension monte, la verge se gonfle et se gorge rapidement d’un précieux liquide. Ce liquide qui, quand il sort sous une explosion de gémissements et de sursauts incontrôlables, exprime la jouissance d’un mâle. Le mâle, ici, c’est Julien. Angie ne lui en donnera pas l’occasion, s’il doit jouir, c’est en elle qu’il le fera.  Elle abandonne quelques instants ce jouet divin, se redresse et fixe Julien de ses yeux pétillants de bonheur. Elle passe sa langue sur ses lèvres et lui envoie un baiser dans un souffle léger. Elle se cambre et caresse ses seins. Julien meurt d’envie de la toucher, de la combler. Elle le sait. Elle se glisse en ondulant. Elle est à la hauteur de sa bouche. Elle le taquine avec sa langue pendant que ses mains vagabondent sur son torse. — Attends mon cœur…Tu as faim ? Oui, tu as faim…Viens mon amour…Je vais te nourrir…  Elle dirige alors un ses seins au dessus de la bouche de Julien et il en goûte le bout, puis elle se penche un peu plus et Julien absorbe tout ce qu’elle lui tend. Il aspire et le lèche délicieusement et amoureusement de sa langue. Chaud, la chaleur de l’appartement est montée de quelques degrés. Elle a chaud, sa langue l’excite diablement. Son sexe se frotte contre le bassin de son amant, elle aimerait sentir ses mains. Elle ne le détachera pas, non, pas maintenant.   Elle se relève et se cambre. Sa main de femme fatale glisse sur sa peau douce et dorée. Ses doigts descendent timidement sous le regard de Julien, vers son petit paradis.  Elle se caresse,un doigt, puis deux, puis trois.  Elle est mouillée, ses doigts glissent à l’extrême, et elle s’en délecte. Elle humidifie sa bouche de sa langue. Elle en veut plus, et Julien va lui donner.  Elle a monté son bassin au niveau de sa tête. Elle descend doucement. Julien n’en peut plus d’attendre, il veut perdre sa langue dans ce fabuleux jardin humide de la rosée du matin.  Il sort sa langue, il appelle silencieusement le sexe d’Angie. Angie lui tend doucement, toute cette lenteur l’excite, la surprend. Elle s’est baissée. Elle sent son souffle chaud, là juste au bord de ses grandes lèvres, puis c’est sa langue qu’elle sent. Elle se tient au mur, et se cambre. Elle amorce sa descente plus rapidement. Elle sent cette langue désireuse de la manger. Deux doigts sont venus écartés le rebord du string bonbon, Julien y croit mais Angie joueuse, le replace. Elle place alors son pubis devant les dents de ce mâle en rut  et lui offre les friandises à croquer.  Julien croque un à un les bonbons colorés, sucrés. Angi raffole de ce moment car Julien s’amuse lui aussi, il la nargue, fait monter l’envie d’Angie d’être dévorée toute crue.   Elle craque, écarte son string et lui donne son clitoris. Julien la lèche, la lèche et la lèche encore. Angi tente de résister, de ne pas descendre plus. Sa langue est si délicieuse et tentante qu’elle ne peut s’empêcher de descendre son bassin, et d’appuyer son sexe contre sa bouche. Tout le visage de Julien est recouvert par le sexe de sa maîtresse. Elle gémit de plaisir tant ce moment est merveilleux.  Elle reprend alors un peu le contrôle d’elle-même, et s’écarte subitement. Elle se rue sur la bouche de Julien, le mordille, le titille puis l’embrasse fougueusement. Elle saisit le pénis au sommet de son apogée et le guide vers  l’entrée de sa grotte sacrée. Elle sent cette verge dure, la pénétrer, elle le sent centimètre par centimètre, il rentre, l’excite encore plus. Elle peut sentir chaque petite veinule qui le parcourt. La verge gonfle et augmente de volume. Elle monte et descend, parfois se penche vers Julien qui suçote le bout de ses seins. Elle se redresse et se dégage puis se laisse à nouveau pénétrer.  Elle joue ainsi durant quelques minutes. Julien n’en peut plus de gémir, il ouvre et ferme les yeux, il ne sait plus où il en est, il ne sait plus où sa diablesse veut en venir.  Elle se cambre et s’appuie de plus en plus. Le sexe de Julien peut presque toucher le fond de la grotte, la main d’Angi palpe et presse les testicules gonflés et durcis par l’excitation, son autre main s’est posée sur son clitoris. Elle bouge et caresse les deux sexes en même temps. Elle bouge de plus en plus vite. Ses caresses sont de plus en plus excitantes, appuyées. Ils sont tous les deux au bord de la jouissance.   Julien n’en peut plus, il voudrait qu’elle le détache mais non, elle ne le fera pas. Il est soumis et le restera jusqu’au bout. Jamais, il n’oubliera ces ébats, non, jamais. Les portes de l’enfer, non, du paradis, sont ouvertes, il ne reste que quelques pas à faire pour y entrer.  NON, que dis-je, il ne reste que quelques mouvements bien précis et rapides à effectuer pour que le plaisir,le nirvana soient atteints. Et dans un dernier déhanchement de bassin audacieux, nos deux amants ensemble, crient leur plaisir, dans des halètements d’animaux essoufflés et épuisés. Angi ondule alors plus doucement, s’imprègne de l’instant fugace qu’est le plaisir, la jouissance. Julien encore secoué par de petits soubresauts, prisonnier dans ce vagin qui se contracte encore d’avoir atteint le sommet de la jouissance, tente de reprendre sa respiration.  Angi comblée d’avoir donné à l’être aimé tant de plaisir, s’affaisse et se pose contre le torse chaud de Julien. Elle l’embrasse délicatement, amoureusement, tendrement, en détachant les poignets de Julien, poignets rougis par les liens et par les efforts occasionnés pour tenter de se libérer. Ils s’enlacent silencieusement et s’endorment ainsi, lovés l’un contre l’autre.
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