Julien est revenu à l’hôpital. S’est réinstallé dans cette petite chambre où Angie après quelques jours commence à être de plus en plus consciente et contente de le voir à ses cotés. Julien est passé voir la police et son témoignage a été enregistré. Mais la police attend maintenant le dépôt de plainte d’Angi pour aller plus avant dans l’enquête ou sur la suite à donner à tout cela. Sophie a été libérée sur parole avec interdiction de s’approcher à moins de 500 mètres de l’hôpital ou de mon appartement. Angi reprend des forces et redevient de plus en plus joyeuse au fur et à mesure que la vie renait. Aucun organe vital ou os n’a été touché et elle pourra sans doute reprendre la danse d’ici quelques mois. Mais le diagnostic reste réservé pour savoir si elle pourra re-danser à son meilleur niveau. Nous sommes tous les deux l’un à coté de l’autre. J’ai eu l’autorisation de pouvoir m’asseoir à coté d’elle dans le lit et je mets même des fois mes jambes sous le drap à ses cotés pour la réchauffer. Ce jour là, nous sommes installés comme cela en discutant quand Léa fait son entrée dans la pièce. Elle fait quelques soins à Angie puis revient avec une pile de drap pour changer les draps du lit mitoyen. Elle tire fort pour les enlever. Elle doit même monter à quatre pattes sur le lit pour défaire les coins. Sa blouse est trop serrée et elle doit la remonter un peu pour pouvoir être plus à l’aise. Je suis à 50 cms d’elle et je vois ses longues jambes fuselées. Sa blouse est remontée à mi cuisse. Ses cuisses sont un peu bronzées et sans doute très douces. Angie a vu mon regard et profite qu’elle est partie chercher les draps de rechange pour me traiter de "petit coquin" à l’oreille. Léa revient et pour remettre les draps doit de nouveau remonter sur le lit. Sa blouse fait une nouvelle fois remontée mais encore un peu plus haut et je vois la naissance de ses fesses. Je me mets à avoir une érection qui n’échappe pas à Angi. Elle me regarde d’un air coquin en remuant le doigt en voulant dire... "pas touche". Mais je vois bien qu’Angi elle aussi est un peu excitée.Mais Léa est maintenant sur le lit et je vois la lisière de sa culotte et le bas de ses fesses. Elle se trémousse en mettant les draps et je ne peux m’empêcher de regarder. Angie glisse sa main sous le drap et ouvre ma braguette, déboutonne mon pantalon et descend doucement mon boxer. Libérant mon sexe qui gonfle à vue d’oeil. Sa main sur mon sexe me fait soupirer et je la vois mettre un doigt sur ma bouche pour me dire "chut". Sa main est si chaude et douce et je vois les fesses de Léa se trémousser. Sa main caresse bourses gorgées de semence et provoque une excitation supplémentaire qui gonfle encore mon sexe. Plusieurs jours d’abstinence, d’angoisses et de peurs s’évanouissent. J’ai envie... d’Angi... des fesses de Léa.. et je vois l’une et l’autre à mes cotés et ca m’excite fortement. Ce n’est pas possible... Léa doit se douter de quelque chose car elle dit "Ah zut ca ne tient pas... Je recommence... " et pour soit disant mieux se mettre, elle remonte un peu plus sa blouse laissant apparaitre le bas de sa culotte... De plus, elle a légèrement écarté les cuisses et je peux voir la culotte mouler son abricot juteux... qui semblait d’humidifier vu la teinte que la culotte prends. Elle se cambre plus et je n’en peux plus...Alors Angi agite plus ses mains à la fois sur mon sexe et mes bourses ce qui déclenche une éjaculation monstrueuse... J’inonde le drap et mes cuisses alors que la main d’Angie en reçoit aussi et me masse le sexe désormais si sensible... C’est trop bon...Sentant que le spectacle est terminé et sentant sans doute aussi les effluves de mon éjaculation. Elle finit rapidement son lit et avec un sourire malicieux, nous souhaite une bonne après midi en amoureux.Elle est délicieuse cette petite !
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Quelques jours se passent sans rien de nouveau. Angi reprend des forces et peut maintenant se lever. Elle marche quelque peu et commence à faire un peu de rééducation pour tester ses muscles. Nous sommes dans la salle de "gym" de l’hôpital. ( ou plutôt la salle de rééducation vu le nombre de malheureux ou de malheureuses victimes d’accident de la route qui essaient tant bien que mal de remarcher.) Etant présent, la personne qui encadre les séances me demande de m’occuper d’Angi et de la faire marcher entre deux barres parallèles en la laissant s’appuyer contre moi si elle fatigue. Nous commençons à avancer assez vite au début et elle semble me pas ressentir de douleur trop forte. Seules les plaies en cours de cicatrisation lui causent parfois des démangeaisons intolérables. Elle est habillée d’une simple blouse lacée dans le dos. Je vois entre les lacets la peau de son dos et surtout le dessus de ses fesses qui m’excitent. J’ai envie d’elle mais je ne peux rien faire. Mon sexe se tend dans mon pantalon malgré ma main qui appuie dessus pour essayer de la cacher. Angi est plus fatiguée et s’appuie sur moi... et ressent mon émoi... -"C’est moi qui te fait cet effet là ?" — "Qui veux tu que ce soit ? " — "Tu sais... moi aussi j’a ienvie... Surtout depuis le passage de l’infirmière... " A cette évocation, je durcis encore et Angi me sourit encore plus en ressentant mon plaisir. — "Alors... rentrons dans ma chambre... " Je l’accompagne en cachant tant bien que mal mon émoi. Nous entrons. Elle me fait m’asseoir sur le lit légèrement surélevé et s’assoit sur le fauteuil qui est plus bas que le lit. J’ai mon entrecuisse à bonne hauteur. Là, délicatement, elle ouvre mon pantalon, mon boxer, le descend juste un peu au cas où quelqu’un arriverait, et sort l’objet de son plaisir et de mon émoi. Elle approche la bouche et dépose doucement des petits baisers sur mon gland. J’en frémis. Puis sa langue sort et remonte par petits à-coups tout au long de mon membre. Je respire plus fort et elle en profite par surprise pour emboucher d’un coup mon gland. Je sursaute tant la sensation est douce, chaude et bonne. Je baigne dans sa bouche et je ressens sa langue qui virevolte sur mon gland. C’est délicieusement excitant et voir ses mèches caresser mes cuisses pendant qu’elle me fait ce plaisir excite encore plus mes sens.Elle entame alors un mouvement de va et vients qui m’amène au seuil de l’explosion. Elle sait si bien s’y prendre. Elle la ressort et me gratifie d’un sourire radieux puis par un geste de petite fille savourant sa sucette... elle retourne à son ouvrage... me caressant de sa langue ou de ses lèvres et me gratifiant de sensations intenses. Elle sent mon membre gonfler encore et commencer à avoir les prémices de l’explosion. Alors, comme une sauvage, elle précipite l’action en accélérant et en pressant mon sexe comme pour en sortir la substantifique moelle.Je ne peux plus résister et quand elle sent mon membre tressauter pour évacuer ma liqueur intime, elle lèche mon gland très (trop ) sensible et recueille dans un râle de ma part ce nectar dont elle ne laisse rien perdre. Nous entendons alors de l’autre coté de la porte de communication entre les deux chambres... un gémissement féminin... Le petit carreau dans la porte devait être occupé par quelqu’un qui a joué les voyeurs. Je vois des mèches blondes passer sous le carreau rapidement et la porte de la chambre voisine s’ouvrir et se refermer. Si nous avons pu apporter du bonheur à cette inconnue... tant mieux. Nous nous regardons tous les deux en éclatant de rire. Puis, les rires éteints, nous nous regardons et nos yeux nous disent que nous nous aimons. Nos lèvres alors se rejoignent dans un baiser ou peut se lire tout le bonheur du monde....
