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Action ou vérité

Chapitre 2

Ma femme se confie et se lache

Voyeur / Exhibition
Nous vivons ensemble, Caroline et moi, Thierry depuis huit ans déjà et sommes mariés depuis cinq ans sans enfant. À la suite d’une mutation dans la région bordelaise, nous avons fait la connaissance de nouveaux amis que l’on retrouve régulièrement chez l’un, chez l’autre pour finir la soirée par des jeux de plus en plus érotiques comme celui d’Action ou Vérité.
Dans un premier chapitre, j’ai planté le décor et expliqué comment ma femme s’est transformée grâce à ce jeu et surtout comment elle a avoué à tous que même si elle ne m’a jamais trompé, elle y a pensé. Ce qui m’a laissé abasourdi une bonne partie de la soirée d’apprendre ainsi qu’elle ait pu imaginer me faire cocu sans me le dire contrairement à notre accord de ne jamais rien nous cacher.
Depuis cette soirée-là pourtant, notre couple n’a jamais été autant uni et c’est avec grand plaisir que nous retrouvons nos amis tous les 15 jours pour une nouvelle soirée, toujours fertile en rebondissements, qui font évoluer notre vie sexuelle avec Caroline, qui ne cesse de m’étonner.
Nous sommes samedi matin et ce soir, comme convenu avec nos amis Vanessa, Pierre, Luc et Paul, nous allons les recevoir pour la deuxième partie d’affilée du jeu « Action ou Vérité ». Depuis plus d’une semaine, ma femme Caroline semble préoccupée. Pendant le repas de midi précédent, je ne peux m’empêcher de l’interroger à ce sujet :
— Tu peux me dire ce qui ne va pas ? Je te sens préoccupée depuis plusieurs jours déjà. C’est à propos de la soirée ? Dis-le-moi franchement si tu veux arrêter ce jeu ?— Non du tout ! Ce n’est pas ça, mais juste que le jeu me rappelle des souvenirs de jeunesse. — A bon ! Raconte alors. — Voilà tu sais que j’aime également les femmes !— Oui, tu m’en as déjà parlé. — Ce que je ne t’ai pas dit, c’est que pendant nos soirées pyjama entre filles, on avait l’habitude de jouer à ce jeu.— Cela ne devrait pas t’inquiéter alors ?— C’est surtout que cela finissait toujours par une grande partouze. — Et tu as peur qu’avec nos amis, il en soit de même ? — Non, c’est plutôt moi qui ai peur de mes réactions et surtout de ne pas pouvoir m’arrêter quand les questions ou les actions vont aller crescendo. — Rassure-toi ma belle, je serais toujours là à tes côtés pour te protéger et t’empêcher de faire des bêtises. Aussi ce soir lâche-toi ma petite coquine d’amour.— Merci mon chéri je t’aime tellement.
Nous finissons le repas de midi dans les bras l’un de l’autre. Nous consacrons bien sûr la suite de l’après-midi à la préparation du repas et de la salle à manger. Une fois encore pour l’arrivée de nos invités, ma femme est habillée très sexy avec cette fois une minijupe noire avec toujours ses porte-jarretelles, un string et un soutien-gorge à balconnet qui se laisse deviner par transparence sous un chemisier blanc. L’essentiel du repas accompagné exclusivement de Champagne, la boisson préférée de Caroline, nous permet de parler surtout de ce qui s’est passé pour les uns et les autres depuis notre dernière rencontre. Même si moi, je ne bois que l’apéritif comme boisson alcoolisée pour garder les idées claires. A l’issue du dessert, nos invités félicitent la cuisinière pour cet excellent dîner, mais ma femme doit leur avouer que c’est moi le cuisinier. Vanessa ne peut s’empêcher alors de dire :

— C’est un homme parfait que tu as là, Caroline !— Et encore tu ne connais pas toutes ses autres qualités ?— J’espère avoir l’occasion de les apprécier un jour ou l’autre !
Vient le moment de quitter la table pour rejoindre le salon et prendre nos positions pour le jeu. Caroline se place une fois de plus entre les cousins pendant que Vanessa s’assoit entre son mari Pierre et moi. Comme toujours, cela commence par des questions simples avec Pierre qui lance les hostilités en s’adressant à ma femme :
— Caroline, quel est le fantasme que tu aimerais réaliser le plus rapidement ?— Être prise en photo nue en forêt et en intérieur.
Vanessa saute sur l’occasion pour s’adresser à moi :
— Thierry, ne me dis pas que tu n’as jamais pu la prendre en photo à poil ? — Si, j’ai toujours été dans l’impossibilité de le faire. Ce n’est pas faute d’avoir essayé.
Caroline ajoute aussitôt :
— Nous avons bien tenté à plusieurs reprises, mais au bout de deux photos, nous étions tellement excités que cela s’est toujours fini en baise. C’est la raison pour laquelle je voudrais trouver un autre homme pour me prendre... (elle laisse un blanc avant d’ajouter avec un sourire)... en photo !
C’est à mon tour d’interroger Vanessa :
— Et toi quel est ton fantasme du moment ?— Et bien au risque de vous choquer, j’aimerais bien voir Pierre se faire enculer.
Nos regards se tournent alors vers Pierre qui rougit en baissant la tête avant que Luc ne s’adresse à moi pour une action :
— Thierry, je voudrais que tu te déshabilles et que tu restes en caleçon pour toute la soirée.
Je me lève et ôte mon tee-shirt avant de baisser mon pantalon et enlever mes chaussures. Une fois assis en caleçon devant tous les autres encore habillés, je me tourne vers Pierre pour poser la question qui brûle les lèvres de tous :
— Ta femme vient de nous dire qu’elle aimerait te voir te faire sodomiser, mais toi tu serais d’accord ?— Oui, je vous avoue que j’aimerais bien en effet.
Je me rends compte alors qu’il est bi, mais je n’y vois aucun inconvénient. C’est lui qui demande ensuite à Caroline :
— Action ou vérité ?— Action cette fois, répond ma femme.— Alors, enlève ton chemisier et ta jupe.
Je me dis qu’elle va sortir son joker. Mais contre toute attente, je la vois se lever pour bien se placer au milieu de nous avant de défaire lentement bouton après bouton son chemisier tout en regardant chacun de nous bien dans les yeux. Une fois en soutif avec ses seins pigeonnants et ses tétons tendant le tissu fin de ce dernier rempart, elle commence de faire glisser sa minijupe petit à petit le long de ses jambes en prenant soin de se baisser à la fin pour la récupérer au sol et ainsi montrer à tous son petit cul nu rebondi nullement caché par son string ficelle minimaliste. Je reste un moment hébété par la beauté de ma femme en dessous sexy, mais surtout parce qu’elle a osé s’exposer ainsi devant nos amis. Cela semble l’exciter beaucoup d’être à moitié nue devant tout le monde. Je le vois à ses yeux pétillants lorsqu’elle croise mon regard. Je sens qu’elle est heureuse et fière d’avoir passé cette épreuve. Elle me le confirmera le soir dans notre lit en me disant :
— Quand Pierre m’a lancé le défi d’enlever mon chemisier et ma minijupe. J’ai longtemps hésité, mais je t’ai regardé dans les yeux et tu m’as alors donné la force de le faire. Donc je me suis levée et j’ai entamé un effeuillage sexy pour être sûr que personne ne rate rien. Une chose que je n’avais pas prévue c’est que cela allait m’exciter énormément de me déshabiller devant eux. Je pense que tu as remarqué mon état quand je me suis rassise entre les deux cousins. Tu m’as alors souri pour m’encourager à continuer le jeu.
Elle a en effet posé la question suivante à Luc à sa droite :
— Quel style de soirée organisez-vous dans votre grande maison ?— Cela dépend des clients. Cela peut aller du séminaire d’entreprise à des soirées très « hot ». — Oh la la ! dit-elle en rougissant à ses côtés, faisant rire tout le monde.
C’est au tour cette fois de Paul d’interroger Vanessa :
— Action ou Vérité ?— Va pour action, cela me permettra de bouger un peu.— Alors, fais-toi aider par Caroline pour te mettre dans la même tenue qu’elle !
Caroline se tourne aussitôt vers moi pour m’interroger du regard. Je lui souris en lui faisant un clin d’œil, repensant à ce qu’elle m’a dit à midi. Elle se lève alors pour rejoindre Vanessa qui commence déjà de soulever son pull léger et l’aide à lui faire passer au-dessus de la tête.
Et là, surprise, elle ne porte pas de soutien-gorge et laisse ainsi, sans s’offusquer, ma femme lui caresser les seins au passage. C’est quand Caroline se met accroupie pour dégrafer sa jupe et la faire glisser jusqu’à ses pieds que son nez se retrouve en contact avec son minou glabre. Elle ne peut alors s’empêcher de déposer un petit bisou dessus avant de se relever ! Le tableau est magnifique avec Vanessa totalement offerte à nos regards. Elle est aussi grande que Caroline, mais blonde avec des seins en forme de poire qui peuvent effectivement bien se passer de soutien-gorge et surtout un beau cul bien ferme. Elle me plaît vraiment.
La chaleur monte d’un coup entre les quatre hommes. Je propose alors une nouvelle tournée de café et digestifs. Puis, les actions et questions se succèdent encore un moment. La soirée se termine finalement dans la bonne humeur lorsque tout le monde se retrouve en petite tenue. Nous nous donnons alors rendez-vous dans 15 jours chez les cousins qui sont sénégalais et non antillais comme on le croyait.
Lorsqu’ensuite nous avons discuté de la soirée tout en rangeant la maison à poil en baisant à l’occasion sur le canapé ou la table du salon, je n’ai pu m’empêcher d’interroger Caroline sur ses deux voisins de jeu, Paul et Luc. Elle m’a avoué avoir été impressionnée par le gabarit apparent de leurs engins sous leur caleçon, même si elle n’a pu que les deviner pour l’instant !
Durant la semaine qui précède notre soirée chez les cousins, ma femme est très excitée à l’idée d’aller chez eux surtout pour découvrir où ils organisent leurs fameuses soirées. Je préfère donc que ce soit elle qui continue de décrire son état d’excitation d’alors :
— Je voulais être la plus sexy possible, aussi je suis allée faire des achats ciblés. J’ai donc acheté deux robes portefeuille, une rouge semi-transparente et une noire transparente pour permettre à tous de voir ce que je porte ou pas dessous. Pour compléter mes tenues, je prends des bas en résille, une paire rouge et l’autre noire assorties à une paire d’escarpins rouges avec talons de 15 centimètres.
Quand elle me montre ses achats à son retour, je l’imagine déjà dedans et j’en bande d’avance. Le samedi comme à son accoutumée, ma femme passe un long moment à se préparer. Quand elle sort, j’ai du mal de ne pas lui sauter dessus pour lui arracher sa robe rouge.
— Tu es magnifique ma belle, ils ne vont pas pouvoir se retenir de bander pour toi.— Merci mon chéri, c’est le but recherché. D’ailleurs, à la bosse de ton pantalon, je vois déjà l’effet que je fais sur toi !
Nous partons main dans la main pour rejoindre la somptueuse maison des cousins. Nous allons enfin pouvoir découvrir leur intérieur. Je sens ma femme de plus en plus fébrile et excitée à l’approche de chez eux. A notre arrivée, une jeune métisse de 25 ans environ, habillée en soubrette, nous ouvre et nous guide jusqu’au salon. Nous sommes étonnés, car ils ne nous ont jamais parlé de bonne à leur service. C’est Caroline la plus surprise qui me chuchote à l’oreille :
— Elle est magnifique, tu ne trouves pas, avec ses petits seins que j’aimerais bien toucher et surtout goûter à sa petite chatte.— Je vois que ces soirées et ce jeu ont réveillé tes instincts homosexuels.
Pour toute réponse, elle tourne la tête pour porter son regard et le fixer sur ce cul qui se balance devant nous pendant qu’elle nous mène aux autres invités. Nous sommes les derniers, nous dit-elle. J’en profite de mon côté pour admirer le décor très raffiné de l’entrée et du couloir. Arrivés au salon, Paul vient à notre rencontre tout comme Vanessa qui s’approche de ma femme pour carrément l’embrasser sur la bouche. Surprise par cette entrée en matière, elle hésite un court instant avant de lui rendre son baiser. Paul nous présente ensuite leur employée de maison :
— Je vois que vous avez fait connaissance avec Anabelle. Elle est avec nous depuis quatre ans et très fidèle désormais. — Fidèle ?— Oui, car figurez-vous que Madame était aussi embauchée par des concurrents pour nous espionner. Quand nous l’avons su, nous lui avons fait comprendre qu’elle avait plus d’intérêt à travailler juste pour nous. Aussi maintenant elle nous est totalement dévouée, pas vrai Anabelle ?— Oui Maître !
Cette réponse laconique qui établit clairement le lien entre eux me fait sourire. Le salon est décoré comme le reste avec beaucoup de goût. Ma femme impatiente tient à savoir si c’est dans cette pièce qu’ils organisent leurs soirées « hard ». Pour toute réponse, les cousins lui disent d’attendre encore un peu. Anabelle nous sert l’apéritif pendant lequel nos amis commencent par féliciter Caroline pour sa tenue, ce qui la fait rougir comme à son habitude. En effet, tout le monde a immédiatement remarqué l’absence de soutif sous la robe de ma femme lors de ses déplacements occasionnant un mouvement de balancier de ses seins libres sous le tissu semi-transparent et le frottement de ses gros tétons sensibles tombant légèrement.Le repas se tient ensuite dans une franche camaraderie. Enfin, nous passons dans le salon pour prendre le café et un digestif toujours servis par Anabelle. Cette fois, c’est moi qui ouvre le bal des questions. Je m’adresse alors à Vanessa :
— As-tu déjà participé à une soirée hard de Luc et Paul ?— Oui, et plusieurs fois.
C’est ensuite à Vanessa de poser à Caroline la fameuse question : action ou vérité ?
— Vérité, lui répond ma femme. — Tu préfères être prise par-devant ou être enculée ?— Je préfère être enculée, car depuis que mon mari m’a fait découvrir la sodomie, j’adore être prise ainsi.
Puis Caroline s’adresse à Paul : action ou vérité ?
— Action.— Tu peux nous faire visiter les lieux où vous organisez vos soirées spéciales.
Nous nous sommes alors tous levés pour nous diriger vers une porte à double battant. Une fois ouverte, nous avons pu pénétrer dans une pièce agencée de façon fonctionnelle avec un grand lit trônant au milieu, bien pratique pour organiser des soirées « hot ». Luc nous invite ensuite à le suivre, car la visite n’est pas finie. Derrière un grand rideau, nous découvrons un escalier qui descend au sous-sol pour nous mener dans une autre pièce totalement différente.
J’entends Caroline pousser un « oh ! » de surprise à la vue de la salle BDSM qui apparaît sous nos yeux. Il y a un pilori, une croix de Saint-André, une table de gynécologie et de nombreuses chaînes qui descendent du plafond ainsi que le matériel adapté : fouet, cravache, chat à neuf queues et bien sûr des godes de différentes tailles. Caroline me serre la main un peu plus fort, mais continue d’inventorier pendant un long moment tout ce qu’il y a dans cette pièce. Nous remontons ensuite reprendre notre place au salon pour continuer le jeu.
Après quelques questions et actions anodines, c’est au tour de Luc que l’on n’a pas beaucoup entendu jusqu’ici. Il s’adresse à Caroline qui lui répond cette fois : « Action ». Luc claque des mains et Anabelle arrive. Il lui ordonne :
— Anabelle, tu vas déshabiller complètement Caroline avec douceur et surtout sans toucher ses parties sensibles. — Toi Caroline, tu vas te laisser faire et quand tu iras te rasseoir, tu écarteras tes genoux d’au moins 30 centimètres l’un de l’autre.
Là une scène des plus érotiques se déroule sous nos yeux. Anabelle prend la main de Caroline pour l’inviter à se lever. Je vois la respiration de Caroline changer et devenir plus lente. Anabelle dénoue lentement la robe portefeuille avant de lui ôter, la laissant debout face à nous, les bras le long du corps avec juste son string et ses porte-jarretelles. Elle est magnifique ma petite chérie avec ses cheveux longs roux descendant jusqu’au creux de ses reins pour mettre en valeur sa croupe ferme et musclée.
Je regarde Vanessa qui n’en perd pas une miette avec dans son regard une envie folle de la dévorer. Anabelle se met alors à genoux devant ma femme, puis lui retire délicatement son string et son porte-jarretelles. C’est entièrement nue que Caroline est raccompagnée à son siège par Annabelle sous les regards médusés des convives admirant ses longues jambes musclées par la marche. Une fois assise face à Vanessa, elle prend la position exigée par Luc et écarte légèrement les cuisses pour lui faire découvrir sa chatte lisse. Elle n’a jamais aimé les poils au point de s’en être débarrassée par un traitement définitif. Assis cette fois à ses côtés, j’en bande et la félicite en lui disant que je suis fier d’elle.
Pour faire redescendre la tension, nous avons droit à un autre verre et discutons à nouveau de choses et d’autres. Après cette pause salvatrice, nous reprenons les questions. Pierre nous surprend alors en demandant à sa femme, action ou vérité ? Elle lui répond : Action. Sans se démonter, il lui dit :
— Tu vas faire jouir Caroline uniquement avec ta langue !
Vanessa qui n’attend que ça depuis un moment, se lève et vient se placer entre les jambes de Caroline. Avec ses mains, elle écarte au maximum les jambes et les lèvres fines de ma femme nous dévoilant un clitoris de bonne taille et une vulve épanouie par mes intromissions répétées. Son anneau strié nous apparaît également au-dessous lorsqu’elle lui fait relever légèrement les jambes. Elle adore en effet que sa petite porte soit occupée et le plus souvent par un plug. Dès que Vanessa pose ses lèvres sur celles de la chatte de Caroline, celle-ci se met à gémir de plus en plus jusqu’à crier carrément sa jouissance avant de s’écrouler sur son siège, les yeux dans le vague et le souffle saccadé.
Nous les applaudissons tous en chœur pour leur prestation d’un érotisme rare. La soirée se termine après plusieurs autres questions ou actions concernant l’intimité des uns et des autres, laissant une fois de plus chacun en petite tenue, sauf Pierre et Caroline qui ont fini complètement nus.
En quittant nos hôtes, nous nous disons à dans 15 jours chez Vanessa et Pierre. Sur le chemin de retour chez nous à pied, nous sommes tellement excités encore que je remarque en passant ma main sur son entrejambe que ma femme n’a pas jugé utile de remettre son string. Je l’ai alors plaquée contre un arbre avant de dénouer sa robe et ouvrir ses pans pour profiter sans vergogne de son corps ainsi dénudé tout en échangeant nos impressions sur cette soirée :
— Alors là cette fois, tu m’as surpris, ma belle. Tu as été parfaite, la reine de la soirée. — Merci, cela m’a excitée follement, tu sais, d’être nue devant vous tous. Mais la cerise sur le gâteau a été surtout quand Vanessa m’a bouffé la chatte et que j’ai joui sous vos yeux ! — Oui, j’ai vu que tu t’éclatais en oubliant carrément notre présence et il n’y a pas que ça que j’ai remarqué, j’ai bien vu comment tu ne quittais pas des yeux leur salle de torture. — Oui, je m’y voyais déjà attachée à chacun de leur appareil. — A la vitesse où tout cela va, ce sera bientôt le cas, je pense. — Tu m’en veux que je me comporte de plus en plus comme une salope ?— Bien sûr que non. Je t’aime comme tu es ma chérie. — Alors, encule à fond ta salope de femme !
Après avoir joui tous les deux avec une intensité décuplée par cet échange, nous avons terminé les derniers mètres nous séparant de la porte de notre jardin sans rien dire, plongés dans nos pensées, ma femme oubliant carrément de renouer sa robe.Avant de conclure ce chapitre, Caroline tient à faire part au lecteur de tout ce qui a pu traverser son esprit à chaque moment important du jeu :
— Lorsque nous commençons de jouer, je ne peux m’empêcher de regarder Anabelle. Elle est magnifique, à peine plus petite que moi avec de petits seins appétissants que j’aimerais bien toucher à l’occasion et surtout pouvoir goûter un jour son abricot doré qu’elle nous dévoile à chaque fois qu’elle vient servir l’un d’entre nous. Elle se penche en effet sans plier les jambes, à la demande de ses maîtres sans doute, pour que tous nous puissions constater qu’elle ne porte rien sous sa micro-jupe.— Quand vient mon tour de poser une question, j’en profite pour demander de visiter les lieux où ils organisent leurs fameuses soirées. Je suis d’abord surprise par la présence d’un grand lit au milieu de la première pièce. Je crois rêver ensuite en pénétrant dans la deuxième salle, lieu de soumission totale. Je serre alors fortement la main de Thierry qui me regarde et me répond par un sourire qui me fait du bien. Je ne peux m’empêcher d’imaginer être attachée sur chacun des ateliers pendant que l’on abuse de moi sans retenue, mon fantasme absolu devenant ainsi réalité. Je suis dans un tel état d’excitation que n’importe qui à ce moment-là aurait pu m’emmener pour me prendre sur l’un ou l’autre appareil. Je l’aurais laissé faire sans protester. Mon mari ayant remarqué mon trouble, déclenche alors notre retour au salon. Une coupe de champagne me permet rapidement de redescendre sur terre et suivre le jeu à nouveau.— Luc demande cette fois à Anabelle de me déshabiller complètement. Quand elle me prend la main avec douceur, je sens ma chatte commencer de mouiller. Avec une délicatesse que seule une femme peut avoir, elle ôte ma robe avant de s’agenouiller pour toujours très délicatement retirer mon string sans même effleurer mes lèvres. Mais son souffle sur ma chatte me fait mouiller comme une folle, je suis à deux doigts de lui prendre la tête entre mes mains pour l’obliger à poser sa bouche sur ma chatte.— Quand, après une nouvelle pause champagne, Pierre a dit à sa femme de me faire jouir avec sa bouche, j’ai pratiquement joui rien qu’en la voyant arriver tellement mon excitation était montée tout au long de la soirée. Quand elle a posé ses mains sur mes cuisses pour les écarter en grand, j’ai fermé les yeux et attendu de sentir sa bouche se poser sur ma vulve. Lorsque sa langue est venue titiller mon clito, j’ai ressenti une décharge et il n’a pas fallu longtemps pour que je crie ma jouissance tellement elle était forte. Quand j’ai rouvert les yeux, j’ai vu le regard de mon mari qui me transmettait toute sa fierté et sa bienveillance. — Après avoir pris congé de nos hôtes, sur le chemin de retour, je n’ai pas pu attendre d’être à la maison et j’ai demandé à mon mari d’enculer sa salope de femme contre un arbre. J’ai joui une fois de plus dès qu’il est entré en moi en repensant à la soirée et en imaginant tout ce que je pourrais vivre dans leur salle de soumission à l’occasion d’une prochaine invitation !
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La suite dans un prochain chapitre, si vous avez apprécié cette succession d’événements réellement vécus par notre couple cette année.
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