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Action ou vérité

Chapitre 3

Ma femme a ma merc, plus libéré que jamais

Voyeur / Exhibition
ACTION OU VÉRITÉ
— Ma femme à ma merci, plus libérée que jamais - (3)
Nous vivons ensemble, Caroline et moi, Thierry depuis 8 ans déjà et sommes mariés depuis 5 ans. À la suite d’une mutation dans la région bordelaise, nous avons fait la connaissance d’un groupe d’amis avec qui nous partageons la passion de jeux érotiques comme celui d’Action ou Vérité que l’on pratique régulièrement chez l’un, chez l’autre pour finir la soirée.
Dans un premier chapitre, j’ai planté le décor et expliqué comment ma femme a commencé de se transformer grâce à ce jeu et surtout comment elle a avoué à tous que même si elle ne m’a jamais trompé, elle y a pensé. Ce qui m’a laissé abasourdi une bonne partie de la soirée.
Dans un deuxième chapitre, Caroline nous a prouvé son penchant pour les femmes avant de se lâcher au cours de la soirée suivante, finissant par être dénudée totalement par Annabelle, l’employée de maison avant de jouir devant tous les convives sous les coups de langue de Vanessa, l’autre femme du groupe.
Depuis lors, notre couple est plus uni que jamais avec ma femme qui se libère totalement et moi qui la pousse toujours plus loin à le faire. Aussi c’est avec un plaisir sans cesse renouvelé que nous retrouvons nos amis Vanessa, Pierre, Paul et Luc tous les 15 jours pour une nouvelle soirée, où Caroline ne cesse de nous étonner.
Le samedi suivant entre deux réunions d’amis, nous décidons de nous faire un restaurant en amoureux, n’ayant pas réussi à parler vraiment entre nous du dernier week-end durant la semaine chargée qui a suivi, même si nous avons baisé tous les soirs depuis, comme à l’accoutumée. Comme à son habitude maintenant, ma femme est habillée sexy pour l’occasion, minijupe rouge avec un boléro noir et bien sûr un porte-jarretelles noir. Arrivés au restaurant, je fais en sorte que ma femme soit vue de la salle. Dès la lecture du menu, ma femme me surprend en me parlant de son ressenti lors de chaque partie du jeu « Action ou Vérité » :
— Mon chéri, il faut que je te dise quelque chose que je ne t’ai jamais dit.— Ah bon ! (Je suis surpris et j’attends la suite).— Voilà, c’est assez compliqué à dire, aussi je ne veux pas que tu m’interrompes. — D’accord, je vais essayer de te laisser finir quoi que tu me dises. (Là, je ne sais plus quoi penser !)— Je commence. Je t’ai déjà dit que lors des soirées pyjama en pension chez les bonnes sœurs, nous jouions souvent à ce jeu et que cela se finissait systématiquement en partouze lesbienne. Mais ce que je ne t’ai pas dit, c’est que pendant ces soirées, j’étais soumise aux filles et surtout que j’aimais être leur souffre-douleur. Quand je rentrais chez mes parents, j’avais souvent des bleus aux seins et les tétons hyper-sensibles et surtout les fesses rouges. Un jour, une mère d’élève a surpris nos jeux et a décidé que je serais sa chose. Avec elle, j’ai appris à jouir de cet asservissement et surtout d’être exhibée devant ses amies. Cela a duré 2 ans de mes 17 à 19 ans jusqu’à ce que je parte très loin pour mes études supérieures. Mais là au fond de moi, il me manquait quelque chose pour me sentir vraiment bien. — Et tu ressens la même chose aujourd’hui ?— Oui, mais ne m’interromps plus. Lorsque Vanessa nous a proposé de jouer au jeu, je me suis aussitôt revue 10 ans en arrière lorsque je me soumettais aux filles. Tu comprends mieux maintenant pourquoi j’exécute sans sourciller tout ce que l’on me demande dans nos soirées. Je sais par ailleurs qu’avant que tu me rencontres, tu avais des soumises et que tu t’es rapidement rendu compte que j’en étais une, mais tu n’as jamais été dur ou violent avec moi. Tu as su m’imposer tes pratiques sexuelles et je t’en remercie, car je prends mon pied comme une folle. Mais maintenant, sache que cela ne me suffit plus, je veux t’appartenir complètement, que tu fasses de moi ta chose. Ne plus être ta femme, mais ton esclave !
Là, elle vient de m’avouer à quel point la soumission est importante pour elle. Si j’ai effectivement perçu depuis longtemps ce tempérament chez elle, tout comme nos amis d’ailleurs, je leur ai simplement dit que j’attendais que Caroline vienne me voir et me demande de la dresser avant d’aller plus loin avec elle. L’heure est donc venue de la prendre en main :
— Ma chérie, oui je sais que tu as un caractère de soumise. Je comprends mieux maintenant pourquoi tu as ce comportement pendant nos soirées entre amis. Mais sais-tu bien ce que tu me demandes ? Et dans quoi tu t’engages ? En mesures-tu toutes les conséquences ? Sache que si j’accepte, au début tu seras ma soumise, mais après, tu n’auras plus aucun droit et je pourrais faire de toi ce que je désire. Tu me fais un grand honneur en voulant que je sois ton Maître. Mais par exemple, tu n’auras plus la liberté de t’habiller comme tu le veux et surtout tu devras faire TOUT ce que je te commande. Alors je vais te demander de bien réfléchir et tu me donneras ta réponse mardi matin. Je dois aller en effet à Paris pour mon travail, je serais absent 3 jours.— Oui Maître !
Je viens de prononcer ces deux mots spontanément comme libérée du poids qui pèse sur moi jusqu’ici, trop contente que mon mari et Maître désormais vienne enfin de me proposer officiellement d’être sa soumise.
Cette invitation au restaurant est l’occasion de discuter longuement de tous les aspects de cette nouvelle relation de soumission entre nous. Il me fait détailler mes soirées au pensionnat, notamment avec cette mère qui m’a prise en main à l’époque. Une vraie tigresse au lit qui m’a procuré des jouissances longues et profondes jusqu’à l’épuisement.
De revivre cette soumission au fur et mesure que je la raconte à mon Maître, m’excite beaucoup. Lisant en moi comme dans un livre ouvert, il remarque vite que la petite brune (1m60 environ) qui nous sert, ne m’est pas indifférente avec sa jolie paire de seins et surtout son petit cul où je me vois déjà y glisser ma langue.
Aussi à la fin du repas, pour me tester en quelque sorte, mon Maître me demande d’appeler cette serveuse pour que je règle l’addition et en profiter pour lui demander son numéro de téléphone. Mais là où il me surprend, c’est quand il m’ordonne de lui donner mon string en guise de pourboire.
Après un moment d’hésitation, je marque mon accord en le regardant dans les yeux tout en faisant glisser discrètement mon string le long de mes cuisses avant de le faire tomber à mes pieds avec ma serviette pour les récupérer ensemble. Tout en soutenant mon regard, mon Maître me demande alors de faire en sorte qu’elle puisse remarquer mon absence de culotte. Une fois celle-ci en main, je découvre qu’elle est trempée de mouille. Je sens alors le rouge me monter aux joues à l’idée que la serveuse va sans doute s’en apercevoir.
Le visage encore empourpré, je fais signe à la serveuse de préparer l’addition. Lorsqu’elle s’approche de la table quelques minutes plus tard, je me tourne vers mon Maître pour lui parler tout en faisant tomber ma serviette comme par inadvertance. La serveuse la ramasse aussitôt au moment où j’écarte largement mes jambes tout en susurrant à l’oreille de mon Maître :
— Voilà, c’est fait ! La serveuse et même toute la salle peuvent admirer mon abricot lisse.
Cette fois, c’est la serveuse qui rougit légèrement en se relevant. Elle pose la note et la serviette en évitant mon regard. Je lui prends alors la main jusqu’à ce qu’elle me regarde dans les yeux et finisse par sourire. J’en profite pour lui demander son numéro de téléphone. Elle me répond qu’il est déjà au dos de l’addition (elle avait tout prévu la coquine). En échange, je lui dis que j’ai quelque chose pour elle. Je lui retourne la main et y dépose ma culotte trempée ! En partant, je cherche des yeux la serveuse pour lui envoyer un baiser. Sur le chemin de retour à la maison, mon Maître me félicite pour la réalisation de cette première épreuve. L’après-midi qui suit est consacré à la préparation de son déplacement à Paris.
A mon retour, le mardi matin après m’avoir servi le café, ma femme se met à genoux et me dit qu’elle désire être dressée pour devenir une bonne esclave. Pour toute réponse, je lui ordonne de me sucer dorénavant tous les matins pendant que je prends mon petit-déjeuner. Elle s’exécute aussitôt. Elle m’excite tellement avec sa langue experte, plus les gorges profondes qu’elle me prodigue, que je jouis rapidement dans sa bouche en lui disant de garder ma semence et de me la montrer avant de l’avaler. Je lui caresse alors la tête comme un bon toutou pour lui dire que c’est bien et qu’elle peut déjeuner maintenant.
Lors d’un temps libre les jours suivants, je vais dans un magasin BDSM où j’ai mes habitudes. J’y achète un collier en métal, plus une cravache, un fouet, un martinet et différents godes de formes et tailles différentes, ainsi que des plugs. A mon retour, ma femme m’attend comme demandé, nue à genoux au milieu du salon. Je l’embrasse fougueusement avant de lui fourrer ma bite dans la gueule en lui demandant de mettre ses mains dans le dos. Je lui baise alors la bouche jusqu’à la jouissance et lâche tout avec un râle de bonheur sans prendre la peine de me retirer.
Après une bonne douche, je la retrouve et lui dis que j’ai acheté quelque chose pour elle. Je lui tends alors l’écrin. Elle me regarde surprise et quand elle l’ouvre et découvre le collier, elle se met à pleurer. Je la prends dans mes bras et la berce. Elle me remercie pour ce magnifique cadeau et veut absolument le porter pour la prochaine soirée.
Ce samedi soir là, à sa sortie nue de la douche, je lui fixe d’abord le collier et lui dis de mettre sa robe portefeuille noire sans rien dessous puisqu’elle a déjà passé à poil la fin de la dernière soirée entre amis et que de toute façon, elle aurait dû rapidement enlever ses sous-vêtements au fil des questions ou actions. Sur le chemin qui nous mène chez Vanessa et Pierre, je dis à ma femme que ce soir exceptionnellement, elle peut encore m’appeler Chéri, Thierry ou Maître à sa convenance et agir à sa guise comme dans les précédentes soirées. Elle me répond : « D’accord Maître ! ». Lorsque nous sommes arrivés, les derniers une fois de plus, à croire que les cousins et nos hôtes l’ont fait exprès, nous découvrons la présence d’une autre personne qui se lève pour se présenter :
— Bonjour, je suis Claude, l’oncle de Paul et Luc. Vous devez être Thierry et Caroline, je suppose ? Vanessa m’avait dit que tu étais mignonne, mais elle est bien en dessous de la vérité. — Enchanté de vous connaître. Moi c’est Thierry en effet. — Enchantée Monsieur ! ajoute Caroline en baissant son visage soudain rougi par les compliments. — Tu portes un magnifique collier, lui dit Claude tout en me regardant avec un petit sourire que je lui rends aussitôt. — C’est mon Maître qui me l’a offert !
Je ne peux m’empêcher d’appeler ainsi mon mari, même si pour la soirée, il m’a dit que je n’étais pas obligée de l’appeler Maître et que j’avais carte blanche pour faire ce que je voulais. Aussi quand nous sommes arrivés, j’ai tout fait pour que tous nos amis remarquent mon collier. Mais, je n’avais pas prévu la présence d’un nouveau participant, Claude, l’oncle des cousins et financier de leur entreprise. La prestance qu’il dégage fait de lui un dominant naturel qu’une femme comme moi, soumise, rêve de s’agenouiller à ses pieds dans l’attente d’être dressée. Cette vision me fait mouiller, surtout quand il me félicite pour mon collier. Je baisse aussitôt la tête et me sens rougir.
Cette nouvelle relation avec ma femme laisse songeur, nos amis qui me félicitent néanmoins avant de me demander si cela ne risque pas de changer les règles de notre jeu ? Je les rassure en leur répondant que non et que l’on va continuer comme avant. Tout le monde est ravi. Nous passons ensuite à table où bien sûr les discussions tournent autour de la décision de Caroline de se soumettre désormais à son mari. Elle leur explique alors que c’est elle qui a insisté pour que j’entame son dressage, car elle en ressent le besoin depuis un moment déjà.
C’est mon tour ensuite d’être bombardé de questions. Je réponds en gros qu’elle doit dorénavant être capable de servir, comme bon me semble et en toutes circonstances, toutes personnes que je lui présente. Je la regarde dans les yeux tout en répondant aux questions pour voir ses réactions. Elle reste impassible jusqu’à la fin de mon interrogatoire qui satisfait tout le monde.
C’est Claude qui doit ensuite répondre à nos questions. Il nous explique alors la raison de sa présence d’abord pour se reposer et voir ses neveux et qu’il a l’habitude de participer régulièrement aux soirées chez Vanessa ou à celles organisées par ses neveux.
Au moment de passer au jeu, Claude va prendre place entre Paul et moi pendant que je dis à ma femme d’ôter sa robe puisqu’elle n’en a plus vraiment besoin. Je lis alors dans ses yeux une surprise passagère avant de se raviser pour y consentir. Avec beaucoup de grâce, elle dénoue, puis ouvre sa robe avant de la laisser tomber à ses pieds pour l’enjamber et venir s’asseoir sur un siège face à nous. Claude se délecte avec gourmandise de ce strip-tease improvisé de ma femme et la félicite encore pour sa beauté.
Le cycle de trois soirées consécutives à jouer au jeu « Action ou Vérité » étant terminé, nous discutons d’abord de la suite à donner à ces fins de soirée où l’activité sensuelle, voire sexuelle parfois commence à prendre de plus en plus le pas sur les discussions et révélations intimes de tout un chacun. Il est décidé de poursuivre ce jeu afin de mieux connaître Claude et pour que lui en retour puisse nous découvrir à son tour. C’est donc Vanessa qui lance le jeu en s’adressant justement à lui :
— Quels sont tes hobbies Claude ?— A part les femmes... (il attend que l’on finisse tous de rire) ... la nature et la photographie.
S’adressant à son tour à Caroline, elle lui répond : « Vérité » et il lui dit alors :
— Je vois que tu aimes être nue devant tes amis, MAIS serais-tu prête à être exhibée dans une soirée où il n’y a que des inconnus ?— Oui, sans problème.
Elle se tourne ensuite vers moi :
— Maître, action ou vérité ? — Action.— (Et là, elle surprend tout le monde). J’aimerais que vous soyez nu vous aussi !
Je m’exécute et comme je bande de voir ma femme nue, Vanessa ne peut s’empêcher de dire :
— Oh ! Là là, dis donc tu as été gâté par la nature ?
Puis en se tournant vers ma femme :
— Tu ne dois pas t’ennuyer avec un morceau comme ça ? — J’espère pouvoir y goûter un jour (en me regardant dans les yeux avec un défi à peine voilé)
Luc saute sur l’occasion pour me dire :
— Tu dois avoir du sang noir qui coule dans tes veines pour être monté comme ça ? — Peut-être, lui dis-je !
Le jeu reprend et je vois bien Claude qui observe régulièrement ma femme des pieds à la tête et elle en retour qui soutient son regard. Ce soir-là, une fois de plus au fur et à mesure des questions et actions, nous nous retrouvons bientôt tous à poil, sauf Claude qui reste en caleçon. Quant à Vanessa, elle a dû se masturber et jouir 2 fois de suite devant nous. Son mari, Pierre lui a dû se branler et jouir dans sa main avant de la nettoyer avec la langue. Pour ma part, j’ai dû répondre à quelques questions sur mes pratiques BDSM. Ma femme n’a alors rien perdu de ce que j’ai dit à ce sujet. Je la sens perdue dans ses pensées pendant un bon moment.
Tout au long de la soirée, je sens le regard de Claude se poser souvent sur moi et sur mes tétons qui durcissent sous l’effet de l’excitation que je ressens d’être observée ainsi. En regardant Vanessa se masturber, j’ai envie de récupérer son jus. Je ne peux quitter sa main des yeux pendant qu’elle joue avec sa petite chatte.
Voyant la fin de soirée arriver, lorsque mon tour revient, je demande à ma femme « Action ou Vérité ? », elle répond « action » avec un petit sourire dans ses yeux pétillants, j’enchaîne aussitôt :
— Caroline (pour le jeu, je l’appelle par son prénom), je veux que tu suces Paul et Luc jusqu’à les faire jouir dans ta gorge, tu garderas ensuite leur foutre dans la bouche que tu ouvriras bien grande pour que l’on voie le sperme avant de l’avaler et nous montrer ta langue nettoyée. — Oui Maître.— Commence par Paul.
Puis me tournant vers les cousins Paul et Luc, je leur dis :
— Vous pouvez bien évidemment l’obliger à vous faire une gorge profonde !
Elle se dirige alors vers nous, Paul étant toujours à mes côtés.
Je me lève alors et me mets à genoux devant Paul en l’aguichant. Mais je n’ai pas besoin de faire beaucoup d’efforts pour le faire bander. C’est la première bite noire que je suce. Je joue avec ma langue le long de sa hampe et son gland avant de les gober. Une main de Paul vient alors se poser sur ma tête pour m’imprimer un mouvement de va-et-vient en rythme de plus en plus soutenu et surtout plus profond. Il lui faut au moins 5 bonnes minutes pour jouir dans ma bouche dans un râle salvateur. Je me tourne alors pour montrer à tous ma bouche pleine. Il a en effet déchargé une telle quantité que je dois m’y reprendre à plusieurs fois pour tout avaler avant de sortir ma langue.
Puis toujours à quatre pattes, je vais m’occuper de la queue de Luc tout aussi grosse que celle de son cousin (20 centimètres/6 centimètres), comme ils nous l’ont vanté. Il est beaucoup plus brutal que Paul, car lui, il garde sa main appuyée sur ma tête pour maintenir sa bite au fond de ma gorge. Je panique, sentant le manque d’air, mais il ne relâche pas son étreinte. Quand enfin il diminue la pression, je me dégage, bave et tousse pour recouvrer ma respiration. Je reprends ensuite ma fellation et finis par le faire jouir à son tour dans ma bouche. Je suis moi aussi à deux doigts de jouir également. Car si ma tête n’apprécie pas ce traitement, mon corps lui, oui, tant ma chatte est détrempée.
Je me tourne alors vers Claude pour la question traditionnelle à laquelle il répond « action ». J’en profite pour lui demander :
— Claude, je voudrais que vous me preniez en photo en extérieur et en intérieur dans tous les lieux qui vous conviennent. — D’accord, mais on fera cela vendredi après-midi. Je passerais te chercher en voiture. Comme tenue, tu devras avoir des escarpins de 10 centimètres minimum avec un porte-jarretelles noir et une laisse fixée à ton collier. Tu mets juste un paréo comme vêtement. Il faudra qu’il t’arrive au ras des fesses. C’est bien compris ?— Oui Monsieur.
Nous buvons un dernier verre. En quittant nos amis, je dis à Claude « à vendredi ! », puis en faisant la bise à Vanessa, je lui glisse à l’oreille « Tu auras bientôt toi aussi le droit de goûter à ma bite ». Elle me dit « humm » pour toute réponse. Au moment de partir, ma femme veut remettre sa robe, je l’arrête aussitôt :
— Tu rentres à poil. On va prendre le petit chemin comme d’habitude.
Ma femme me tend finalement sa robe et nous partons. Sur le chemin, je la fais arrêter et poser ses mains sur un arbre. Je l’oblige à se cambrer et écarter les cuisses avant de dire :
— Alors tu es contente d’avoir enfin pu goûter aux mambas noirs ?— Oui Maître !
Je glisse une main sur sa chatte. Elle est trempée. Je lui fais remarquer en disant qu’elle mérite une punition pour être aussi dépravée.
— Oui Maître, punissez votre salope.
Je vais alors chercher une longue tige de noisetier et la fais glisser sur ses fesses.
— Combien de coups, une salope comme toi, mérite-t-elle ?— 30 Maître !— Pour un début, cela est trop. Je pense que 15 suffiront pour aujourd’hui. A chaque fois que tu recevras un coup, tu compteras à haute voix et tu en redemanderas un autre.
J’arme mon bras et lui donne le premier coup.
— Aie ! UN. Merci Maître, puis-je en avoir un autre ?
Deuxième coup, elle pousse à nouveau un petit cri :- Aie ! DEUX. Merci Maître, puis-je en avoir un autre ?Puis avec les 3°, 4°, 5°, 6°, 7° ses cris se transforment bientôt en gémissements. Après le 15°, je n’en peux plus, tellement excité je la baise debout contre l’arbre. Sa jouissance est si forte que je dois la retenir pour qu’elle ne tombe pas. Je la prends dans mes bras et l’embrasse passionnément en lui disant que je suis très fier d’elle. Arrivés à la maison, je l’accompagne à la douche pour la laver avant de la masser longuement sur notre lit où elle finit par s’endormir avec un petit sourire.

.../...
La suite dans un prochain chapitre, si vous continuez d’apprécier l’évolution de notre couple.
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