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Action ou vérité

Chapitre 4

Ma femme pose, s'offre à des inconnus et s'ouvre comme jamais.

Voyeur / Exhibition
Nous vivons ensemble, Caroline et moi, Thierry depuis 8 ans déjà et sommes mariés depuis 5 ans. À la suite d’une mutation dans la région bordelaise, nous avons fait la connaissance d’un groupe d’amis avec qui nous partageons la passion de jeux érotiques comme celui d’Action ou Vérité que l’on pratique régulièrement chez l’un, chez l’autre pour finir la soirée.
Dans un premier chapitre, j’ai planté le décor et expliqué comment ma femme a commencé de se transformer grâce à ce jeu et surtout comment elle a avoué à tous que même si elle ne m’a jamais trompé, elle y a pensé. Ce qui m’a laissé abasourdi une bonne partie de la soirée.
Dans le deuxième chapitre, Caroline nous a prouvé son penchant pour les femmes avant de se lâcher au cours de la soirée suivante, finissant par être dénudée totalement par Annabelle, l’employée de maison avant de jouir devant tous les convives sous les coups de langue de Vanessa, l’autre femme du groupe.
Depuis le troisième chapitre, ma femme est devenue ma soumise à sa demande, draguant la serveuse au restaurant ou suçant carrément les deux mambas noirs des cousins avant d’ingurgiter leur venin lors d’une soirée entre amis.
Elle s’apprête dans ce nouveau chapitre à poser nue pour leur oncle avant de se retrouver au centre des attentions de notre groupe d’amis pour une dernière partie du jeu « Action ou Vérité ».
Le vendredi suivant notre dernière soirée chez Vanessa et Pierre, j’ai invité l’oncle Claude pour déjeuner avec moi à la maison. Pour l’occasion, j’ai pris ma journée. Caroline ne travaillant que le vendredi matin, nous avions convenu que la séance photos avec Claude aurait lieu l’après-midi.
Claude étant arrivé bien avant midi, nous avons pu discuter en détail de ce que j’attendais de lui. Je lui ai donné carte blanche pour photographier ma femme dans toutes les positions, tenues, lieux et avec qui il veut, y compris prendre possession de son corps, hormis les pénétrations. Il m’a remercié pour ma confiance en lui et promis en retour de me transmettre les photos dès le lendemain matin.
Quand ma femme est arrivée en début d’après-midi, elle a été surprise de voir Claude déjà là. Elle pensait avoir le temps de se préparer tranquillement. Je lui ai ordonné d’aller se préparer rapidement parce que Claude l’attendait depuis un moment déjà. Quand elle est revenue, nous l’avons trouvée resplendissante, belle comme un cœur, comme lui a dit Claude. En effet, à chaque pas, elle laissait entrevoir sa chatte imberbe. Très satisfait de sa tenue, je lui ai dit d’obéir à Claude au même titre qu’à moi. Claude a donc pris en laisse sa soumise d’un jour et ils sont partis.
En rentrant à la maison, je commence de réfléchir à ma tenue pour cette séance photos que j’ai demandée, déjà excitée à l’idée de m’exhiber en public. Ayant mon après-midi de libre, je sais que j’ai du temps pour me préparer et surtout écouter les ordres de mon Maître avant mon départ. Mais à ma grande surprise, Monsieur Claude est déjà là à discuter avec Maître.
Maître me dit d’aller rapidement me préparer avec la tenue qu’il a déposée sur le lit. Je file vite prendre une douche et me maquiller avant de rejoindre notre chambre. Je découvre alors sur le lit que mon porte-jarretelles avec des bas en résille noir, un simple paréo rouge transparent et une paire d’escarpins de 10 centimètres. Une fois aussi légèrement habillée, je me regarde dans la glace pour découvrir que tout le monde va voir que je suis complètement nue sous ce bout de tissu rouge.
Mon excitation commence de monter à cette idée et s’intensifie lorsque je me présente à mon Maître et Monsieur Claude qui me félicitent en chœur pour ma beauté. Ma seule consigne pour l’après-midi est d’obéir à Monsieur Claude, mon nouveau Maître pour l’occasion, à qui mon mari tend symboliquement la laisse qu’il vient de fixer à mon collier.
C’est donc en laisse que je rejoins la voiture de Monsieur Claude. Il commence par m’apprendre à monter dans une voiture comme une salope que je suis désormais. Je dois d’abord poser mes fesses sur le siège avant d’entrer lentement une jambe après l’autre tout en les écartant suffisamment pour que tout un chacun puisse découvrir la salope qui monte en voiture. Il en profite pour me donner également quelques consignes pour la suite :
— Quand un homme ou une femme mettra sa main sur ta jambe, tu te laisseras faire. Plus la main remontera vers ta chatte, plus tu devras écarter les cuisses pour bien montrer ton accord que tu laisses ta chatte à disposition. Compris ? (Il joint alors l’acte à la parole sans toutefois toucher à ma chatte déjà pleine de mouille).
— Oui Monsieur.
Nous roulons un moment avant d’atteindre une forêt. Il gare sa voiture et prend un sac. Il me demande d’ôter mon paréo et de le laisser dans le coffre. Je regarde autour de moi pour voir s’il n’y a personne. Rassurée, je me dénude, ne gardant que mon porte-jarretelles et mes bas avant de prendre le petit chemin vers la forêt. La poignée pendante de la laisse tape mon clito à chaque pas. Cela m’excite tant que je coule de plus en plus. J’entends à intervalles réguliers le déclic de l’appareil photo de Monsieur Claude dans mon dos. Nous atteignons rapidement une petite clairière. Il me demande de m’y arrêter avant de sortir deux paires de bracelets, une pour mes poignets et l’autre pour mes chevilles. Une fois fixées, il sort des cordes. Il me fait mettre entre deux arbres auxquels il m’attache les bras en croix. Je regarde autour de moi et vois rapidement des buissons bouger. Au lieu de me faire peur, cela décuple mon excitation. Monsieur Claude met sa main sur ma chatte et me dit :
— Tu es une vraie salope, je vois que tu es déjà trempée !— Oh non continuez svp ! me suis-je mise à gémir quand il a retiré sa main.— Patience, tu vas bientôt pouvoir jouir comme une chienne que tu es !
Il prend quelques clichés de sa chienne écartelée entre les arbres. Quatre personnes sortent bientôt des buissons pour voir de plus près la salope qui est exposée. Monsieur Claude leur donne alors l’autorisation de me toucher, mais uniquement avec leurs mains. Là, ils commencent à me palper les seins. Je gémis de plus en plus et jouis sous les insultes et le pelotage de tout mon corps. Pendant ce temps, je vois Monsieur Claude prendre des photos. Je ne sais pas combien de temps cela dure, mais j’ai mal aux tétons et jouis de nombreuses fois.
Une fois détachée et les voyeurs partis, Monsieur Claude me tend une bouteille d’eau et m’oblige à la boire entièrement. Nous reprenons ensuite notre marche en faisant des haltes pour prendre des poses, que je qualifierais de très subjectives. Vient alors le moment où j’ai une forte envie de pisser. J’en fais part à Monsieur Claude, il me dit alors de le faire sur place face à lui, sinon je rentre à pied. Je m’exécute et m’accroupis en regardant Monsieur Claude. Il sort son appareil photo et me prend pendant que je pisse. Excitée comme je suis avec cette envie pressante, je ne tarde pas à pisser, accroupie comme une chienne. Il me le fait alors remarquer avec un sourire qui en dit long sur la suite des évènements.
Après avoir remis mon paréo, nous reprenons la route. Je suis dans un état second durant tout le trajet. Je ne vois pas la route défiler. Nous entrons bientôt dans Bordeaux pour nous diriger vers un quartier que je ne connais pas. Une fois garés, il me prend en laisse pendant cinq bonnes minutes de marche jusqu’à un café où nous entrons. Monsieur Claude connaît manifestement le patron qui nous dirige vers une petite salle à l’arrière occupée par deux clients.
Monsieur Claude me dit d’aller m’assoir entre ces deux hommes. Une fois assise, je n’en mène pas large, car je n’ai aucune idée de ce qui m’attend. Je ne tarde pas à le savoir quand l’un d’eux pose sa main sur ma cuisse. Et moi comme une automate obéissante, j’écarte aussitôt les cuisses. C’est le signal, puisque chacun d’eux me prend une jambe pour la poser sur ses cuisses. Me trouvant face à l’entrée, ma chatte s’ouvre alors à la vue de tous. Cette exhibition forcée fait réagir mon cerveau qui me commande de tout arrêter, tandis que mon corps réclame de continuer en mouillant de plus en plus. Ils retirent ensuite mon paréo pour que Monsieur Claude puisse me photographier. Tout en me prenant sous tous les angles, je l’entends discuter avec le patron qui lui dit :
— Dis donc Claude, tu as trouvé une sacrée salope cette fois ?— Et tu n’as rien vu ! Elle est en cours de dressage pour devenir une grosse chienne continuellement en chaleur !
Ces derniers mots me libèrent inconsciemment. Je m’abandonne alors totalement aux deux hommes. L’un me dévore carrément la bouche pendant que l’autre me suce un sein. Sortant leurs bites raides, ils tentent ensuite de me pénétrer. Monsieur Claude les arrête aussitôt en leur promettant qu’ils auront bientôt l’occasion de me prendre par tous les bouts comme ils le souhaitent.
J’ai l’impression tout d’un coup d’être une femelle en rut qu’ils comptent se faire, sans pour autant se battre pour m’obtenir. Excitée à cette idée, je m’agenouille pour les sucer tous les deux jusqu’à ce qu’ils jouissent dans ma bouche. Monsieur Claude m’oblige alors de tout garder dans la bouche comme dans le jeu pour qu’il puisse m’immortaliser avec la langue sortie chargée de leur foutre !
Après avoir constaté ma bouche vide et surtout mon niveau de chaleur toujours aussi élevé, Monsieur Claude me demande de remercier le propriétaire en lui faisant une gâterie à son tour. Mais lui est si excité qu’il ne tarde pas à jouir. Après avoir ingurgité sa semence, il m’offre une coupe de Champagne pour fêter cet après-midi enfiévré. Avant de partir, toujours nue au milieu de tous, je cherche mon paréo des yeux, mais visiblement, il a disparu. La peur me saisit, car je ne me vois pas sortir dehors à poil.
Mais Monsieur Claude me tire par la laisse jusqu’à l’entrée où je marque un temps d’arrêt. Il me regarde alors en me disant qu’il n’y a personne. Effectivement, nous sommes seuls dans la rue jusqu’à la voiture. Là, il ouvre le coffre pour me dire qu’en bonne chienne, c’est désormais ma place. Heureusement que je ne suis pas claustrophobe. Durant le trajet dans le noir du coffre, je réfléchis à ce qui vient de se passer cet après-midi et me rends compte que j’ai finalement adoré être traitée comme ça. Il me faudra donc remercier Maître pour cette séance photos pleine de découvertes sur moi.
Quand la voiture s’arrête, je me demande où nous sommes. Quand le coffre s’ouvre, je suis d’abord éblouie par la lumière du jour avant de découvrir une énorme bite noire de 30 centimètres/7 centimètres sous les yeux et quand je les lève, je vois qu’elle appartient à Monsieur Claude. Je la lèche un long moment avec délectation avant d’essayer de la prendre entièrement en bouche. Je me mets alors à le pomper sans me préoccuper de l’endroit où nous sommes. Il prend des photos de la salope qui le suce. Quand il commence de jouir, j’ai l’impression que je vais m’étouffer tant le flot de foutre continue de remplir ma bouche par saccade. Une fois bu, je continue de lui nettoyer le gland, la hampe et même ses couilles avec la langue. Une fois sa bite remise en place, il me fait descendre pour me dire que mon Maître m’attend. Nous sommes en effet juste devant chez nous.
Je remercie Monsieur Claude pour l’après-midi passé avant de me précipiter chez moi pour me jeter dans les bras de mon Maître et lui dire merci à son tour.
Quand ma femme est rentrée, elle s’est littéralement jetée sur moi en m’embrassant. J’ai dû calmer ses ardeurs en lui disant qu’elle puait vraiment le foutre. Je l’ai envoyée se doucher. En attendant son retour, j’ai préparé l’apéro, car il était déjà 21h. Pendant qu’elle se douchait, Claude m’a appelé pour me raconter l’après-midi passé avec Caroline. Il m’a surtout dit que j’avais de la chance d’avoir une femme aussi docile que salope et que si je voulais, il pouvait trouver trois ou quatre blacks très bien montés pour s’occuper d’elle tout un week-end.
Lorsque ma femme est entrée dans le salon, je lui ai fait signe de se mettre à genoux devant moi. J’ai dit à Claude que j’allais réfléchir à sa proposition, mais que pour l’instant, j’avais d’autres projets pour elle. Une fois raccroché, j’ai félicité Caroline pour avoir obéi à Claude. Et pour la remercier, je l’ai enculée avec force, comme elle aime. Après, nous avons pris l’apéritif et dîné sans parler du tout de la séance photos, car je voulais les voir avant pour me faire une idée de sa soumission.
Lorsque le lendemain matin, j’ai reçu comme convenu les photos, j’ai appelé ma femme qui m’a rejoint aussitôt avant de lui ordonner :
— Tu vas me sucer pendant que je regarde tes photos. Tu as intérêt à faire durer !
Quelle sensation de se faire tailler une pipe par sa femme avec une telle dextérité pendant que je la découvre s’exhibant devant des inconnus ! Sur la première photo, je vois ma femme monter en voiture, une jambe déjà dedans et l’autre encore dehors avec sa chatte lisse visible en gros plan. Je suis excité comme jamais de pouvoir partager sa beauté ainsi avec d’autres. Sur la suivante, elle marche nue dans une forêt. La troisième me la montre avec des bracelets aux poignets et sur les chevilles, suivie de la 4ème où elle est attachée les bras en croix entre deux arbres. Sur les 5, 6 et 7ème, on voit nettement 4 hommes prendre possession de son corps en lui pelotant les nichons et en pénétrant sa chatte et son cul avec leurs doigts à tour de rôle. Son visage exprime tout le bonheur ressenti de s’offrir ainsi.
Sur les 8, 9, 10 et 11ème, on la voit prendre des poses aguichantes limite obscènes. Sur les 12 et 13ème, elle se masturbe en fixant l’objectif du regard. Elle est vraiment magnifique quand elle jouit. Sur les deux suivantes, elle est accroupie au milieu d’un chemin en position de chienne en train de pisser.
Changement de décor sur la deuxième série réalisée à l’intérieur d’un bar. Sur la première, Caroline est assise sagement entre deux hommes, tandis que sur la seconde, elle a les jambes écartées posées sur les genoux de ceux-ci, découvrant ainsi sa chatte entrouverte brillante de mouille. Sur les 3 et 4ème, elle est entièrement nue et embrasse avec fougue un homme, puis l’autre. Sur la suivante, l’un lui tète un sein pendant que l’autre tripote son clito.
Sur les 6 et 7ème, elle suce chaque homme à tour de rôle. Puis sur la 8ème, elle ouvre en grand sa bouche pleine avant d’avaler. Sur la 9ème, elle est à genoux devant un troisième homme qui semble être le patron et lui prodigue une pipe dont elle a le secret. Sur la 10ème, elle est assise rayonnante, semble-t-il d’être la seule nue au milieu des hommes rhabillés qui boivent une coupe de Champagne. Sur les deux suivantes, on voit ma femme agenouillée dans le coffre d’une voiture en train de sucer un gros mandrin noir. Les dernières photos la montrent descendre du coffre et se diriger vers la maison toujours à poil sans se soucier du regard éventuel des voisins. C’est cette dernière évocation dans ma tête qui me fait exploser dans sa bouche en lui caressant la tête :
— Tu t’es comportée comme une bonne salope soumise, je te félicite. Tu as pris beaucoup de plaisirs ?— Merci Maître. Oui cela a été un moment très intense pour moi. — Quelle série de poses as-tu le plus aimé ?— Dans le bar d’être ainsi livrée à des inconnus et quand je suis rentrée dans le coffre pour revenir ici. Puis je vous demander une faveur, Maître ?— Oui, tu sais que tu peux tout me demander. — Dorénavant, je voudrais voyager dans le coffre de la voiture. C’est la place d’une chienne comme moi. — Bien, je prends note. — Ah ! Au fait, j’ai oublié de vous dire que j’ai pris rendez-vous chez ma nouvelle gynécologue, celle que Vanessa consulte, mardi soir en sortant du travail. — Si elle te l’a conseillé, il doit y avoir une bonne raison. Je commence à bien connaître Vanessa. Je suis sûr que ta gynéco doit avoir quelque chose de spécial ?— Oui, je sais déjà qu’elle est lesbienne et qu’elle aime jouer avec ses clientes. — Eh bien, tu iras. Je n’y vois aucun problème, mais il faudra juste que tu lui dises que tu es une salope soumise et qu’elle peut jouer avec toi comme elle le veut.
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Le mardi suivant, ma femme a rendez-vous à 18h chez sa nouvelle gynéco. Je ne l’attends pas avant 20h, sachant qu’elle a plus de 20mn de route pour rentrer. Elle est finalement rentrée vers 21h. Je lui ai dit que je commençais à m’inquiéter. Elle m’a juste répondu que tout s’était bien passé et qu’elle devait y retourner mardi prochain pour les résultats. J’ai eu beau la questionner sur les examens qu’elle a subis. Elle s’est contentée de me dire qu’elle lui avait bien passé mon message.Être un Maître n’est pas de punir quand on n’obtient pas la réponse voulue, mais de savoir aussi lâcher prise sur le moment pour mieux y revenir par la suite. Aussi cette nuit-là, elle a passé sa première nuit à poil au pied de notre lit avec son collier et sa laisse attachée à un pied.
Le vendredi suivant, nous devions recevoir nos amis, mais ayant entrepris des travaux de rénovation de notre salon, j’ai pris la précaution d’échanger notre tour avec les cousins. Bien m’en a pris, car ce soir-là, un contretemps à mon boulot m’a fait rentrer très tard et une fois de plus, nous avons été les derniers.
Heureusement que ma femme n’a plus à s’habiller pour ce genre de soirée, une paire d’espadrilles suffit désormais. Je lui ai néanmoins menotté les mains dans le dos et posé une paire de pinces sur chaque téton, reliées par une chaîne pour compléter sa tenue de chienne soumise avec collier et laisse. Elle a grimacé quand je lui ai posé les pinces, mais je lui ai dit que c’était pour un court instant, le temps d’arriver chez les cousins.
Arrivés devant chez eux, je lui ôte les pinces. Comme la dernière fois, nous sommes accueillis par Anabelle, qui elle aussi est toute nue. Mais à la différence de Caroline, elle porte des anneaux aux tétons ainsi que sur chaque petite lèvre. Lorsqu’elle se retourne pour nous conduire au salon, je découvre une marque probablement faite au fer rouge comme celle des esclaves au temps de la traite. Les initiales C. J sont bien visibles. J’en déduis qu’elle appartient à Claude.
J’ai exigé de ma femme qu’elle ne fasse plus la bise aux convives, mais de leur rouler carrément une pelle y compris aux deux femmes présentes. Elle s’en est acquittée, les mains toujours attachées dans le dos, y compris donc à Annabelle, l’employée de maison.
Pendant le repas, nous avons parlé de l’évolution de Caroline dans la soumission et de la série de photos faites par Claude. Il m’a félicité de nouveau pour la docilité de ma femme et a renouvelé sa proposition que plusieurs de ses connaissances seraient très intéressées de disposer de ma soumise pour une nuit ou un week-end. Je lui ai répondu que cela pourrait se faire, mais pas pour l’instant, ayant d’autres projets pour elle pour la faire progresser.
Au dessert, Vanessa nous a surpris en officialisant notre entrée dans leur cercle d’amis. Nous serons dorénavant invités à toutes leurs soirées dédiées au sexe où la majorité des participantes sont des femmes mariées. Ces soirs-là, la plupart des maris restent à la maison pour garder les enfants tandis que les maris présents se contentent de regarder leurs femmes en action. Je me doutais bien qu’un jour ou l’autre, nous serions invités à leurs soirées très spéciales, du moins ma femme plus que moi. Mais comme Caroline est désormais ma soumise avant d’être ma femme, Vanessa a dit que son Maître pourrait bien entendu participer aux orgies.
Comme d’habitude désormais, nous avons pris un café, Claude et moi pendant que tous les autres buvaient le Champagne. Pour cette dernière partie du jeu « Action ou Vérité », c’est Claude qui a ouvert les hostilités en interrogeant Pierre qui a répondu : Action. Il lui demande alors :
— Pierre, tu vas te déshabiller et montrer à tous ton joli cadeau et nous dire pourquoi tu le portes.
Pierre se lève aussitôt et se déshabille. Une fois à poil, nous remarquons qu’il porte une cage de chasteté. Il s’en explique comme demandé :
— Après notre dernier repas, comme je ne satisfais plus du tout ma femme, elle a décidé en accord avec Monsieur Claude que je sois transformé en « Sissi » pour qu’elle puisse s’envoyer en l’air avec qui bon lui semble sous mes yeux. Rassurez-vous, cela fait longtemps que j’y pense, mais que je n’ose pas franchir le cap. C’est d’avoir vu Caroline accepter sa vraie nature de soumise qui m’a ouvert les yeux. De la voir si radieuse depuis sa transformation récente, je veux ressentir la même chose. J’ai donc accepté mon statut de lopette pour me féminiser petit à petit sous leurs ordres.
Sur ces paroles, nous le félicitons en chœur et lui disons que nous l’accompagnerons durant ce chemin. Le Champagne coule alors à flots pour célébrer ça. Une pose qui nous prend un bon moment pendant lequel je vois ma femme de plus en plus perturbée. Je l’interroge du regard, mais elle ne me répond pas, se contentant de baisser la tête. C’est donc au tour de Pierre de poursuivre le jeu. Comme à son habitude, il nous surprend encore en posant la question à sa femme tout en regardant la mienne. Anticipant son défi, elle lui répond bien sûr : Action. Il enchaîne en lui disant :
— Ma chérie, tu vas aller chercher Caroline pour vous allonger l’une sur l’autre en 69 et vous faire jouir mutuellement sous nos yeux !
Sur ce, elle se lève et se dirige vers ma femme pour lui prendre la main avant de la faire allonger sur le tapis. Je sais que ma femme rêve de bouffer la chatte de Vanessa depuis longtemps. Alors dès qu’elle enjambe ma femme pour descendre son postérieur vers son visage, Caroline se rue sur son minou. Vanessa après un mouvement de surprise, émet rapidement des gémissements retentissants avant d’enfouir à son tour sa tête entre les jambes de ma femme sous les encouragements de Pierre. Nous nous levons, tous les cinq pour regarder de plus près ces femelles en rut se faire plaisir. C’est vrai que c’est beau deux femmes qui font l’amour. Me retrouvant à côté de Claude, j’en profite pour le remercier encore pour ses superbes photos. Il me répond :
— Tu sais, ta femme est très demandeuse. Il te faudra faire attention, car si tu vas trop vite dans son dressage ou que tu n’y prêtes pas suffisamment attention, tu risques de la perdre au profit d’un autre Maître qui n’aura pas la même approche que toi et moi pour son dressage. — Oui, j’en suis bien conscient. Je la freine beaucoup comme elle me l’a dit dernièrement. Elle voudrait devenir en fait une esclave sexuelle au service d’un Maître qui ne s’intéresse pas à son plaisir à elle, mais juste aux siens. Je lui ai dit que nous allions procéder par étape. Maintenant qu’elle n’a plus de souci pour être exhibée en public, je vais, comme elle le souhaite, commencer par l’humilier, puis la punir devant tout le monde également. Si tu veux participer à son dressage, j’en serais ravi ?— Ce que tu me demandes est un acte de grande générosité et un honneur pour moi que j’accepte volontiers. Nous devrons donc décider de quels points de son dressage tu vas t’occuper et lesquels je vais lui faire travailler.
Nous regardons encore un moment les ébats des femmes sous nos yeux avant que je décide d’y mettre fin en claquant dans mes mains. Nous leurs laissons quelques minutes de récupération avant de décider qu’il ne reste plus qu’un tour de jeu vu l’heure avancée de la soirée. C’est au tour de Vanessa donc de lancer :
— Caroline, Action ou Vérité ? — Je joue mes deux jokers pour décider moi-même du défi. (Là, je reste très perplexe sur ce qu’elle va bien pouvoir proposer !) — Tu es bien consciente que tu devras l’exécuter là maintenant ?— Oui, bien sûr !— Alors quel est le fantasme que tu veux réaliser devant nous pour conclure la soirée ?— Voilà ! (Elle me regarde alors droit dans les yeux pour voir ma réaction avant de poursuivre).— Vous savez tous que j’aime me faire défoncer le cul.
C’est un oui unanime qui lui répond. Elle se lance alors après avoir pris une grande bouffée d’air :
— Voilà, je voudrais être fistée, mais pas par mon Maître, ni par Vanessa. (Je la regarde dubitatif en attendant la suite).— La personne ici présente par qui j’aimerais que mon cul de salope soit défoncé est Monsieur Claude. J’ai envie de sentir sa main rentrer en moi. — Tu es bien consciente Caroline de ce que tu me demandes ? Une fois que j’aurai commencé, tu ne pourras plus faire machine arrière, même si tu as très mal au cul ! — Oui je sais. Je voudrais aussi que mon Maître filme sa salope de femme en train de se faire fister. — OK, nous allons faire cela ici sur la table basse. Anabelle, tu peux la débarrasser et apporter la vaseline ?— Oui Maître ! lui répond-elle aussitôt.
Il ne lui faut que quelques minutes pour tout préparer. Claude demande une dernière fois à Caroline si pour une première fois, elle ne préfère pas que ce soit Vanessa qui la fiste d’abord. Sa réponse est un NON catégorique proféré tout en venant se placer à quatre pattes sur la table, les cuisses écartées. Elle est déjà trempée. Je la contourne pour venir devant elle et lui soulever le menton pour qu’elle me regarde droit dans les yeux quand je lui dis :
— Tu veux être fistée certes, mais tu as intérêt à ne pas me faire honte plus que tu viens de le faire !
Et je l’embrasse avec passion pendant que Claude commence déjà son travail de dilatation de son trou du cul. Il y met deux doigts d’entrée qu’il tourne un moment avant d’en rajouter un pour attaquer un mouvement de va-et-vient rapide. Ma femme gémit et va même au-devant de ses doigts. Il en profite pour en rajouter un quatrième.
Il les tourne et retourne dans tous les sens. Je filme comme je peux en gros plan pour bien montrer son trou qui s’élargit petit à petit. Une fois les phalanges passées, il replie son pouce, puis force son intromission pour que sa main entière rentre d’un coup. Caroline se met à hurler de douleur. Il lui dit que c’est surtout pour la punir de lui avoir forcé la main, qu’une soumise n’a rien à demander.
Il garde alors sa main en elle un moment, le temps que ma femme s’habitue. Puis il commence un lent va-et-vient avant d’accélérer. Ma femme gémit de plus en plus fort jusqu’à hurler de nouveau quand il ressort sa main pour la remettre aussitôt pendant une dizaine de fois. A la onzième et dernière fois, il ferme son poing pour le rentrer entièrement. Là, ma femme explose totalement en hurlant, de jouissance cette fois, avant de s’évanouir carrément, avec la main de Claude toujours en elle. Tout son corps se met à trembler. Je la prends dans mes bras pour aller la déposer sur le lit de la chambre d’amis, conscient que ma femme n’est plus en état de rentrer à la maison.
De retour au salon, Claude me dit qu’il a été étonné de découvrir que Caroline avait manifestement été préparée à être fistée ce soir, car son cul était très propre. Je comprends alors pourquoi elle n’a pas voulu me dire comment s’était passé son rendez-vous chez la gynéco. Elle a dû lui demander conseil. Après avoir parlé encore un moment, j’ai rejoint ma femme qui dormait toujours à poings fermés...
Nous sommes finalement rentrés que le lendemain après-midi après déjeuner. C’était la première fois que ma femme rentrait nue en laisse en pleine journée. Je me demande bien ce qui a pu se passer dans sa tête pendant toute cette soirée.
Partir nue chez les cousins ne me pose plus de problème, même avec les mains attachées dans le dos. Ce qui m’a gêné, c’est de porter pour la première fois des pinces aux tétons et sur mes lèvres intimes avant qu’elles me fassent mal quand elles se sont mises à bouger à chaque pas pendant le trajet. Mais rien de comparable avec la douleur ressentie quand mon Maître a tiré dessus pour les enlever.
Quand Annabelle nous a ouvert entièrement nue, j’ai aussitôt flashé sur ses piercings aux tétons et aux petites lèvres. En la suivant dans le couloir, j’ai remarqué, tout comme mon Maître j’en suis sûre, son marquage aux fesses avec les initiales de Monsieur Claude.
Durant tout le repas en regardant Maître, j’ai eu l’impression qu’il se doutait de quelque chose me concernant. Aussi, j’ai eu plusieurs fois envie de lui dire ce que je comptais faire, mais la surprise serait tombée à l’eau. L’annonce de Pierre d’accepter d’être transformé en « Sissi » ne m’a pas surprise, Vanessa m’ayant déjà prévenu que son mari n’était qu’une lopette. Elle en a vraiment marre d’être obligée sans cesse de lui rentrer dedans, aussi elle est bien contente que Monsieur Claude le dresse. Ce qui m’a surprise en revanche, c’est qu’il ose nous demander, sa femme et moi, de nous bouffer la chatte. Cela ne m’a pas du tout gêné, bien au contraire depuis le temps que je voulais goûter à son abricot.
Je la revois se lever sensuellement en me regardant dans les yeux, elle me tend la main et machinalement, je l’attrape. Nous nous déplaçons, main dans la main, les yeux dans les yeux, derrière les fauteuils pour avoir de la place pour nos ébats. Elle me fait allonger. Lorsqu’elle m’enjambe, je n’ai d’yeux que pour cette chatte qui se couvre déjà de jus appétissant. Voyant qu’elle ne va pas assez vite, je l’attrape par la taille pour l’obliger à descendre jusqu’à moi. Je me précipite pour goûter ce nectar qui suinte de son vagin. J’alterne entre son clitoris que je suce et aspire longuement avant le nettoyage en règle de sa chatte. J’adore son goût salé qui donne envie de tout boire.
Quand elle pose sa bouche sur ma vulve, je crois défaillir tellement elle sait y faire. Je ne suis pas en reste de mon côté. Nous sommes bientôt seules au monde, concentrées sur notre jouissance. Rien de ce qui se déroule autour de nous ne peut désormais nous perturber. Juste lécher et recevoir son jus dans ma bouche. Au moment où elle jouit, elle se lâche totalement, laissant tomber ses dernières barrières en m’envoyant carrément une giclée de pisse dans la bouche que je bois avec délectation. Cela déclenche immédiatement ma jouissance.
Nous restons quelques minutes encore dans cette position pour profiter du moment. Mais Maître tape dans ses mains pour nous ramener sur terre et reprendre nos places. Quelques coupes de Champagne plus tard et voyant l’heure tourner, je commence à me demander si je vais pouvoir être fistée ce soir ou pas. Mon Maître voit bien que je suis anxieuse, mais je ne lui dis toujours rien. Quand Vanessa me pose enfin la question sur ma capacité d’aller jusqu’au bout de mon fantasme, je me lance.
Une fois mon fantasme annoncé, plus possible pour moi de faire machine arrière, je vois alors que Maître n’est pas du tout content. Mais en me soulevant le menton, il me dit juste de ne pas lui faire plus honte que je viens de le faire. Je ne comprends pas pourquoi il me dit ça. Sa phrase me tourne toujours dans la tête quand j’attends la suite à quatre pattes sur la table basse.
Je suis déjà terriblement excitée quand Monsieur Claude commence à rentrer deux doigts dans mon cul. Je gémis comme une chienne que je suis. Je sens mon plaisir monter jusqu’à l’entrée d’un troisième doigt qui me provoque une légère douleur, mais vite remplacée par un nouveau plaisir grandissant au fond de moi. Quand il rentre ensuite un quatrième doigt, la douleur plus vive réapparait, coupant net ma jouissance annoncée. Je grimace et ferme les yeux pour me concentrer sur les doigts qui me travaillent le cul. Le plaisir revient bientôt encore plus puissant. Je gémis de plus en plus fort. Plus rien ne compte désormais pour moi, sauf la jouissance qui s’annonce.
Mais Monsieur Claude rentre d’un coup sa main en force. Une grande douleur m’envahit, si vive que je crie très fort avant d’avoir la respiration coupée. Sa main s’immobilise alors au fond de mon cul. Lorsqu’un moment plus tard, Monsieur Claude commence de bouger sa main dans mon cul, jamais je n’ai senti quelque chose d’aussi énorme en moi. Il s’active de plus en plus vite dans mon cul. Un sentiment d’être fourrée comme une dinde de Noël m’effleure l’esprit. J’aime pourtant cette sensation de plénitude qui va soudain se transformer en une jouissance violente remontant du très fond de moi pour me faire hurler avant qu’un voile noir apparaisse devant mes yeux.
Quand j’ouvre les yeux, je suis couchée dans un lit inconnu tout comme la chambre. Je me retourne pour constater que je suis seule. Mais où est Maître ? Je me lève et là, une douleur aigüe au cul me remémore instantanément la soirée jusqu’au moment du trou noir où j’ai dû sans doute m’évanouir. Je sors de la chambre et tombe sur Paul qui m’indique où est la salle de bain et que Monsieur Claude m’attend dans la cuisine pour me donner une crème apaisante. Je me douche rapidement et rejoins la cuisine tout en cherchant du regard mon Maître. Monsieur Claude m’y accueille sèchement :
— Si tu cherches ton Maître, il est sorti se promener, car tu lui as fait honte hier soir devant tout le monde ! (Je le regarde hébétée, ne saisissant pas ce qu’il dit).— Je vois que tu ne comprends pas.— Non. Je n’ai rien fait, je pense, qui aurait pu le décevoir ?— Ah bon ! Alors, je vais te rafraîchir la mémoire. Te faire fister le cul comme la dernière des salopes, cela ne te dit rien ?— Si bien sûr. Je pensais que cela lui plairait au contraire. — Mais cela lui aurait plu, si tu lui avais demandé au préalable. Il ne t’aurait jamais refusé ça. Mais comme tu l’as mis devant le fait accompli, il est très fâché. Heureusement qu’il tient à toi, sinon avec un autre Maître, il t’aurait déjà donnée à quelqu’un d’autre. Moi en tout cas, c’est ce que j’aurais fait. Lui préfère te punir. Tu vas devoir t’excuser pour ton comportement.
Je me mets à pleurer, car je viens de réaliser que je suis à deux doigts de tout perdre. Lorsque Maître revient, je me précipite à genoux pour lui demander pardon et lui dire que j’accepte toutes les punitions qu’il jugera nécessaires. Sur le chemin du retour, je n’arrête pas de m’excuser. Pour toute réponse, Maître me dit que je ne perds rien pour attendre et que je vais me souvenir de cette soirée, c’est sûr.
Depuis cette soirée hard que je ne regrette pas, je ne cache plus aucun de mes fantasmes à Maître. Avec le recul, j’ai bien compris que j’ai failli le perdre. Aussi depuis ce jour, j’essaie de me racheter et de lui montrer que lui seul peut me donner des ordres. Je suis consciente que sans lui à mes côtés, je serai probablement sur le trottoir aujourd’hui. Je le vénère même devant notre famille qui trouve que notre couple a beaucoup changé depuis notre déménagement.
Avec cette dernière partie du jeu « Action ou Vérité », voilà qui conclut cette série. Si vous continuez d’apprécier l’évolution de notre couple, nous pourrons envisager une nouvelle série.
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